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La RDC admise au Conseil de droits de l’homme de l’ONU

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La République démocratique du Congo(RDC) a été élue, lundi 16 octobre à New York (USA), membre du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. 151 pays sur 193 votants ont voté pour l’élection de la RDC.

Ce vote permet ainsi à la RD Congo de siéger au sein de cette organisation les trois prochaines années à dater du mois de janvier 2018.

La ministre congolaise de droits humains Marie-Ange Mushobekwa s’est félicitée de cette élection. « Nous avons le devoir d’être exemplaire. Nous nous engageons à respecter les droits de l’homme, à lutter contre l’impunité et à poursuivre la collaboration avec les différentes instances de l’ONU », a-t-elle déclarée.

Pour sa part le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende s’est réjouit de la nouvelle étant donné que plusieurs ONG Nationaux et internationaux s’opposaient à la candidature de la RDC.

« Ceux qui s’opposaient à cette candidature ont échoué! Le monde entier et pas seulement l’Afrique, puisque 151 voix, c’est au-delà du continent africain vient de nous apporter un soutien significatif », a-t-il déclaré avant d’ajouter que la RDC va devoir mettre à contribution son expérience en la matière au service du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

504 jours de C.Nangaa: une violation de la constitution selon Congo en Marche

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Le coordonnateur de la plate-forme politique Congo en marche, Médard Kankolongo a affirmé que les 504 jours qu’a proposé la Commission électorale nationale indépendante (CENI) pour organiser les élections, est une violation de la constitution. C’était au cours d’un point de presse tenue ce lundi 16 octobre à Kinshasa.

« Nous pensons que la CENI à travers son président, Corneille Nangaa a montré ses limites, son amateurisme caractérisé par sa volonté de plonger le maintien des institutions actuelles au pouvoir au-delà de 2017 et plonger le pays dans le chaos« , a déclaré Médard kankolongo.

Cependant Congo en Marche rejette « tout calendrier qui mènerait aux élections au-delà de 2017 et exige la démission de Corneille Nangaa.

Par ailleurs la plate-forme invite toutes les forces sociales et politiques de s’unir afin de lutter pour l’alternance à travers des actions communes «à l’exemple du 16 février 1991» où le peuple congolais avait manifesté pour la réouverture de la Conférence nationale souveraine(CNS).

Tripartite CNSA-CENI-Gouvernement : poursuite des travaux ce lundi

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Dans un communiqué dont une copie est parvenue à la rédaction de KINSHASATIMES.CD, le Président du Conseil National du Suivi de l’Accord (CNSA), Joseph Olenghankoy  a convoqué la poursuite des travaux de la tripartite lancée le samedi 14 octobre.

Olenghankoy  a invité tous les Membres du CNSA, les Membres du Gouvernement, représentants de la CENI ainsi que les partenaires, les experts tant nationaux qu’internationaux à poursuivre les travaux de l’évaluation du processus électoral en RDC ce 16 octobre.

Le communiqué fixe à 10 heures  de Kinshasa la reprise de ces travaux, toujours au Palais du Peuple dans la salle de Conférence internationale qui abrite le Sénat, où s’est tenu leur lancement le samedi 14 octobre.

Rappelons que le CNSA a été mis sur pied par l’Accord de la Saint Sylvestre comme mécanisme de suivi de la bonne application de ce compromis politique par tous les signataires.

Toutefois, l’opposition radicale du Rassemblement et du Front pour la République conteste la désignation d’Olenghankoy à la tête de cet organe, poste qui revenait à Etienne Tshisekedi, décédé avant de l’occuper.

En visite officielle en RDC, Zuma affirme son soutien à Kabila

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Le président Joseph Kabila a reçu ce 15 octobre  au Palais de la Nation son homologue sud-africain et président en exercice de la Communauté de Développement des Etats de l’Afrique Australe (SADC) Jacob Zuma. C’était dans le cadre d’une visite de travail entre les deux Chefs de l’Etat.

Selon un communiqué de la Présidence de la République, Kabila et Zuma ont échangé sur la situation générale qui prévaut dans la sous-région de la SADC et dans les Grands Lacs. L’occasion pour eux de revenir sur le processus démocratique en RDC.

« Ils [Kabila et Zuma] ont échangé fraternellement sur le développement de la situation politique, sécuritaire et économique dans l’espace SADC ainsi que dans la Région des Grands Lacs. A cet effet, les deux Chefs de l’Etat réitèrent leur totale adhésion aux décisions politiques pertinentes du 37ième sommet de la SADC concernant l’évolution positive de la situation politique en RDC. » peut-on lire dans le communiqué conjoint émis par la Présidence.

Abordant les aspects diplomatiques entre Kinshasa et Pretoria, Kabila et Zuma ont renouvelé leur engagement à consolider les relations bilatérales excellentes qui existent entre les deux pays.

Connu pour son appui au régime de Kinshasa, Zuma n’a pas manqué de réaffirmer son soutien au processus électoral en RDC, un processus contesté par l’opposition radicale alors que la communauté internationale exige un calendrier électoral qui respecte l’esprit et la lettre de l’Accord de la Saint Sylvestre.

« En outre, le Président sud-africain a exprimé son soutien au processus électoral en cours en RDC. » précise le communiqué.

RDC: les travaux de la tripartite Ceni-CNSA et gouvernement lancés

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Les travaux d’évaluation du processus électoral en République démocratique du Congo par la tripartite Ceni-Cnsa et gouvernement ont été lancés ce samedi 14 octobre 2017 à Kinshasa, au palais du peuple.

Différents acteurs représentants différentes institutions ont défilé à l’estrade de la salle abritant les plénières du Sénat. Prenant la parole, le président du Conseil National de suivi de l’accord (CNSA) de la Saint Sylvestre, Joseph Olenga Nkoy a fait observer une minute de silence en mémoire du leader charismatique de l’opposition Etienne Tshisekedi, décédé le 1 février dernier en Belgique. Il a à travers son speech appelé l’opinion nationale et internationale à croire en la volonté du CNSA qui oeuvre pour la réussite du processus électoral conformément à l’accord du 31 décembre.

Pour sa part le président de la commission électorale nationale indépendante (CENI) Corneille Nangaa a rappelé que son institution travaille d’arrache pied pour la tenue effective des élections bien que les résultats ne soient pas visibles par tous. « La  Ceni tient a trouver l’équilibre afin d’organiser des bonnes élections. Les attentes sont énormes et les avancées ne sont pas toujours perceptibles », a t-il indiqué précisant que la centrale électorale demeure ouverte pour recueillir les suggestions « des uns et des autres ».

Ouverture ce matin des travaux de la trilatérale CNSA, CENI & gouvernement: la RDC en quête d’un calendrier électoral crédible & consensuel? pic.twitter.com/PghPL8pAhM

— Bart Ouvry (@BartOuvry) 14 octobre 2017

« Comme cela avait été annoncé au mois d’août dernier, les présents travaux vont permettre à la CENI de disposer de tous les éléments nécessaires pour préparer dans le plus bref délai le calendrier électoral réaliste tant attendu par l’opinion nationale et internationale », a affirmé le premier ministre Bruno Tshibala insistant qu’il n’y a plus de crise politique en RD Congo.

504 jours de Nangaa : la Monusco non impliquée selon Charles Bambara

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Le directeur des informations de la mission onusienne en République démocratique du Congo a tenu à rétablir la part de responsabilité dans les 504 jours exigés par la CENI pour l’organisation des élections.

Selon lui, les contraintes techniques évoquées par le président Corneille Nangaa ne sont pas du ressort de la Monusco.

«Notre tâche c’est d’accompagner la CENI. Nous l’avons accompagné dans l’enrôlement des électeurs à travers tous les pays et nous l’accompagnons actuellement dans l’enrôlement des électeurs au Kasaï avec 4 tonnes de matériels déployés», a-t-il déclaré.

A l’entendre parler, la Monusco s’est jusqu’ici acquitté de ses tâches dans le processus électoral en cours en RDC. Elle ne peut pas être associée aux 504 jours de Corneille Nangaa. Seule la CENI devra endosser et expliquer les 504 jours qu’elle estime pour la «bonne» tenue des élections.

ESU RDC: Le protocole d’accord entre professeurs et gouvernement en 4 points

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Les professeurs ont décidé de levée la grève qui paralyse les activités académiques depuis plus de deux mois, à partir de ce lundi, après que le gouvernement congolais ait décidé de répondre à leurs revendications.

Il s’agit d’abord de la revendication des enseignants relative à la récupération des 45% qui représente plus de 8 milliards de Francs congolais de leur pouvoir d’achat perdu suite à la dépréciation du Franc congolais. La tripartite : Ministre de l’ESU, Steve Mbikayi, vice-ministre des finances, Jean-François Mukuna et celui du Budget, Pierre Kangudia qui a représenté le gouvernement congolais à ces assises s’est engagée à couvrir ce fossé en 3 paliers :

A partir du mois de novembre, le gouvernement congolais versera aux enseignants 35% de cette somme exigée. C’est-à-dire, près de 3 milliards de francs congolais. Pareil pour le deuxième palier qui sera mis à disposition dès le deuxième trimestre 2018. Le 30% restant soit 2.5 milliards de Francs devront être perçus au troisième trimestre de la même année.

Les associations syndicales des enseignants exigeaient également au gouvernement, plus de 4.7 milliards de Francs congolais retenus sur les revenus de 17 professeurs pour les véhicules qu’ils n’ont jamais reçus et pour « le trop perçu opéré par l’État. »

Les représentants du gouvernement à ces assises se sont engagés à livrer d’abord les 17 véhicules aux 17 professeurs non servis, avant de leur rembourser les 3 millions du trop perçu à chacun, sans chronométrer lesdites opérations.

Pour ce qui est de la mécanisation des enseignants, un atelier devra être organisé en février 2018 pour discuter de l’amélioration des conditions sociales du personnel de l’enseignement supérieur. L’application de la loi de 2014 sur l’enseignement national devra attendre la transmission des mesures d’application «déjà élaborées par la commission ad-hoc», à la commission socioculturelle et à la hiérarchie gouvernementale dans la deuxième quinzaine du mois d’octobre courant.

Le compromis jusqu’ici théorique est synallagmatique. Si le gouvernement ne respecte pas ses engagements, il ne sera pas une surprise que les professeurs reprennent le chemin de la grève.

Nord-Kivu : Les FARDC ont délogé les ADF de l’axe routier Mbawu-Kamango

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Le capitaine Mak Azukay, porte-parole de l’opération Sukola I a confirmé la reprise « effective » par les FARDC du contrôle de l’axe routier Mbawu Kamango au terme de 4 heures de combat contre les ADF ce vendredi 13 octobre.

« Pour l’instant les combats se poursuivent en profondeur dans les environs de Topoke, camp Kabila. Donc il n’y a pas un bilan, la nuit vient de tomber. Il faut attendre pour fouiller et évaluer. Sinon les hostilités se poursuivent encore, » a-t-il déclaré.

Les FARDC ont pris 5 jours de « manœuvres » avant de lancer cet assaut qui leur a permis de venir à bout de l’ennemi a précisé Mak Azukay.

ESU : Le gouvernement et les professeurs fument le calumet de paix

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Les négociations entre le ministre de l’enseignement supérieur et universitaire, Steve Mbikayi et les professeurs des universités de la RDC ce 13 octobre, ont débouché sur la signature du protocole d’accord entre les deux parties.

A en croire Steve Mbikayi, ce protocole marque la fin de la grève déclenchée depuis plus de 2 mois et garantit le début de l’an académique ce lundi 16 octobre.

« Nous venons de signer un protocole d’accord ce soir, avec toutes les associations de professeurs, tous les corps scientifiques, administratifs et d’autres syndicats, » a déclaré le ministre de l’ESU après les échanges.

Le ministre a signifié que ce protocole démontre que les négociateurs sont tombés d’accord sur un certain nombre de points qui les séparaient sans les résoudre tous. Les professeurs selon lui sont d’accord de suspendre leur mouvement de grève.

Pas de crainte donc que la rentrée académique 2017-2018 ne puisse commencer ce lundi d’autant plus que « nous nous sommes entendus, » a confirmé Steve Mbikayi.

L’engagement politique est-il suffisant pour mettre fin au sida en Afrique de l’Ouest et du Centre ?

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Malgré les progrès louables accomplis à l’échelle mondiale pour mettre fin au Sida, lebesoin urgent d’accélérer le rythme de l’action en Afrique de l’Ouest et du Centre était évidentau moment où la « Déclaration politique 2016 de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la fin du sida » a été adoptée en juin 2016. Avec seulement 28% des personnes vivant avec le VIH bénéficiant d’ une thérapie antirétrovirale dans la région à la fin de l’année 2015, contre 54% en Afrique orientale et australe, les dirigeants politiques de la région étaient déterminés à élaborer un Plan pour aider l’Afrique de l’Ouest et du Centre à rattraper son retard sur d’autres parties du monde.

L’ambition d’atteindre les objectifs 90-90-90 d’ici 2020 devait être maintenu afin que90% des personnes vivant avec le VIH fassent un test de dépistage et connaissent leur statut sérologique, 90% de celles qui connaissent leur statut soient placées sous une thérapie antirétrovirale et 90% de celles qui suivent une thérapie antirétrovirale durable parviennent à une charge virale supprimée.

En étroite collaboration avec le Programme Commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) et d’autres partenaires clés, la région a élaboré un Plan de rattrapage qui contribue à accélérer la riposte au VIH pour atteindre ces objectifs ambitieux d’ici 2020. Les Chefs d’État et de gouvernement l’ont approuvé lors de la réunionAIDS Watch Africa qui s’est tenue en juillet 2017 sous la direction du Président en exercice de l’Union africaineet Président de la Guinée, Alpha CONDE, afin de remettre sur les rails la riposte au VIH dans la région, dans moins de deux ans.

Ce Plan complète d’autresplans existants dont les pays se servent pour lutter contre le VIH et le Sida.
Ce nouveau Plan donne à l’Afrique de l’Ouest et du Centre l’occasion de s’approprier la riposte au VIH grâce à un leadership plus fort aux niveaux national et infranational. Il offre également de nouvelles opportunités pour améliorer la prestation des services et obtenir le financement nécessaire auprès des gouvernements, des partenaires au développement et des chefs d’entreprises du secteur privé.

Nous avons maintenant l’opportunité de combler toutes les lacunes en matière de traitement en plaçant immédiatement sous thérapie antirétrovirale les 850. 000 personnes qui avaient été testées positives au VIH, mais qui n’étaient pas encore enrôlées pour les soins. Les 250.000 autres personnes vivant avec le VIH – dont 60.000 enfants – peuvent désormais faire le dépistage au VIH et suivreimmédiatement une thérapie antirétrovirale soutenue. Il est important de noter qu’une autre tranche de 100.000 femmes enceintes vivant avec le VIH peut bénéficier d’une thérapie antirétrovirale qui les protège du sida et permet ainsi à leurs enfants de naître sans le VIH.

Les signes indiquant que les dirigeants politiques tiennent leur promesse de redoubler d’efforts pour parvenir à la « Déclaration politique 2016 des Nations Unies sur la fin du sida » d’ici à 2030 sont désormais lisibles. Le 21 septembre, par exemple, six chefs d’État et de gouvernement ont rejoint le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé, lors de l’événement HIV FastTrackorganisé par le Président ougandais Yoweri Museveni en marge de la 72ème Assemblée générale des Nations Unies à New York, pour partager des messages d’engagement renouvelé et espérer que la riposte au VIH a pris l’élan dont elle avait besoin pour faire l’histoire du sida.

Dans notre région, par exemple, le Nigéria – le plus grand pays de la région qui se classe au deuxième rang mondial en ce qui concerne le fardeau du VIH/sida – a déjà réussi à mettre plus d’un million de personnes vivant avec le VIH sous ce traitement qui sauve. Le pays a profité de l’occasion qui lui était offerte, lors de cette rencontre, pour s’engager à traiter chaque année 50.000 autres personnes vivant avec le VIH, en utilisant les ressources nationales.

Le leadership politique nous a donné des orientations qui peuvent nous rassurer que la plupart des 6,5 millions de personnes vivant avec le VIH en Afrique de l’Ouest et du Centre vont connaître leur statut et recevoir le traitement vital dont elles ont besoin, en moins de deux ans.
Le rythme de la riposte au VIH en Afrique de l’Ouest et du Centre s’accélère. Nos actions communes sur le terrain, associant les autorités, les communautés, le secteur privé, les Nations Unies et les partenaires dans les 25 pays de la région, sont essentielles pour soutenir ce nouvel élan.

Dr Djibril DIALLO de l’Onusida

RDC: Un avion Congo Airways à destination de Lubumbashi bloqué à Kananga

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Les passagers de la compagnie aérienne Congo Airways qui ont quitté Kinshasa ce vendredi 13 octobre 2017 matin pour Lubumbashi dans la province du Haut- Katanga sont bloqués à Kananga dans la province du Kasaï central a cause d’une panne technique de l’appareil.

Selon l’un d’eux l’appareil a connu une panne technique. Le président de la ligue de consommateurs Chief Tshipamba dénonce la mauvaise prise en charge dont font l’objet les consommateurs et le manque de communication de la compagnie.

 « Une fois arrivés à l’aéroport nous avons été notifié qu’une hélice de l’appareil ne répondait pas. C’est à cause de cette panne que nous n’avons pas décollé. Jusque là, l’appareil est en réparation. Nous sommes livrés à notre propre sort à l’indifférence totale de l’entreprise et nous ne savons pas à quel saint nous vouer » s’est plaint chief Tshipamba.

Jusque là, les passagers sont incertains au sujet de la reprise du voyage. Il faudrait attendre la fin des travaux de maintenance de l’avion.

La RDC adopte le projet de loi de ratification de l’Accord de Paris

La République Démocratique du Congo a adopté le projet de loi autorisant la ratification de l’Accord de Paris au titre de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques. C’était au cours de la séance plénière de l’Assemblée nationale que présidait par Aubin Minaku le jeudi 12 octobre 2017.

La ratification de l’Accord de Paris permettra au pays de gagner plus de 20 milliards de dollars d’ici 2020 dans le cadre de lutte contre les changements climatiques. Les députés nationaux se félicitent de’ avoir accompli leur devoir et demande au gouvernement congolais de s’investir pour que le pays ait accès à ce financement.

« Le Congo regorge une très grande partie de la forêt qui sert de puits de carbone quantité énorme de ce gaz dans le monde entier. En adoptant cette loi, le pays bénéficiera des avantages liés à cet Accord. Le parlement a fait sa part et la balle est maintenant dans le camp du gouvernement. Il y a eu des éboulements dans certains du pays faute de reboisement, nous pensons que l’adoption de cette loi bénéficiera aussi à la population» a déclaré un député congolais.

Outre les bénéfices financiers, cette adoption offre d’autres avantages au pays sur les plans politique et économique.

Sur le plan politique, il est un symbole de la cohérence et de la continuité de l’engagement politique du pays et permet à la RDC d’affirmer son leadership régional et international des pays luttant contre les changements climatiques.

Quant aux enjeux économiques, permettra d’attirer plus des financements verts qui affecteraient positivement l’économie du pays.

Rappelons que la forêt congolaise couvre la moitié du territoire avec ses 125 millions d’hectares. Elle représente 47 % du massif forestier tropical du continent africain et 6 % des réserves tropicales du monde.

L’incendie de l’immeuble Empire [EN IMAGES]

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Propension de la fumée

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Vue de l’immeuble aile AV. du Mont des arts
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L’une des interventions des sapeurs pompiers
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Arrivée des Casques bleus de l’ONU
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Maîtrise progressive de l’incendie

Kinshasa : L’immeuble Empire sur l’Avenue ex-24 novembre en feu

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L’immeuble Empire situé non loin de l’Institut Supérieur de Commerce (ISC) sur l’avenue de la Libération, ex-24 Novembre dans la commune de la Gombe, a pris feu autour de 12 heures 30 ce 13 octobre.

Plus d’une heure après, plusieurs véhicules anti-incendie, se relayent mais le feu ne toujours pas maîtrisé. Parti de la partie haute du batiment abritant les maisons commerciales il se propage un peu partout dans l’immeuble frontal de la concession du groupe Congo futur.

L’origine de l’incendie reste pour le moment inconnue, selon un agent de l’ordre rencontré sur place. Notre reporter par ailleuirs signale plusieurs pertes des marchandises imobilières, électromenagères et autres. La police de circulation routière a bloqué l’axe ISC-avenue de la Gombe, chose qui crée des embouteillages

 

 

 

Les 504 jours de Nangaa : la verge qui sépare la classe politique congolaise en 2

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Elle est très bien accueillie par la Majorité présidentielle au même moment qu’elle est carrément rejetée par l’opposition dans ses multiples facettes.

Multiples, c’est le nombre de réactions enregistrées depuis que le président de la CENI, Corneille Nangaa, qui « en projetant les élections au plutôt en 2019, a mis du sel sur la langue de la tripartite Gouvernement-CENI-CNSA » qui doit se prononcer d’ici le 17 octobre sur le processus électoral accuse l’opposition.

« Depuis que ce pays existe, c’est la première fois qu’un cycle électoral va durer 4 ans ! Tout un mandat politique! Ça signifie simplement qu’il (Joseph Kabila) fait tout pour verrouiller et à un moment, improviser les élections pour les gagner. Ce qui est tout à fait contraire à la constitution et ce qui serait en tout cas un fâcheux précédent, porteur de la déstabilisation de notre pays en permanence, » a accusé Christophe Lutundula, le porte-parole du G7, coalition de l’opposition qui soutient le candidat président Moïse Katumbi.

La communication de la CENI telle qu’appréciée par la Majorité présidentielle « est un appel à la raison à la classe politique, particulièrement à nos partenaires de l’opposition qui pensaient imposer leur volonté sur les contraintes techniques. Il est raisonnable, de se plier aux exigences techniques qui sont différentes des aspirations politiques, » a exigé son porte-parole André Atundu Liongo.

Pour le Rassemblement de l’opposition de Félix Tshisekedi, le report des élections à 2019 « est une déclaration de guerre contre le peuple congolais. »

She Okitundu séduit déjà Nikki Haley

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Le Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Léonard
She Okitundu a pu convaincre l’Ambassadeure permanente des
Etats-Unis à l’ONU, Nikki Haley pour que Kinshasa et Washington recourent à
nouveau aux « canaux officiels » par le dialogue permanent entre les
deux pays.

Au cours d’un tête-à-tête entre ces deux diplomates jeudi 12 octobre à
New York, Léonard She Okitundu a émis le vœu de «voir la situation
de la RDC mieux comprise à l’internationale et Washington soutenir le
Congo, pays considéré comme stratégique dans la région».

Il a rassuré Nikki Haley sur le processus électoral qui, selon lui, a
déjà atteint « la phase finale », et sur « l’amélioration de la
situation sécuritaire au Kasaï ».

Nikki Haley est attendue à Kinshasa le 21 octobre prochain, suite à
une décision prise par Donald Trump lors du sommet Afrique-USA tenu en
marge de la dernière Assemblée Générale de l’ONU.

La RDC ne peut siéger au conseil de droits de l’homme de l’ONU selon HRW

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Dans une déclaration rendue publique ce vendredi 13 octobre, l’ONG de défense des droits de l’homme, Human Rights Watch(HRW) estime que les Etats
membres des Nations Unies ne devraient pas voter en faveur de la
République démocratique du Congo(RDC) lors des prochaines élections au
Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.

HRW justifie cette position par des «violences généralisées» des droits
humains commises par le gouvernement de la RDC et son «manque de coopération»
avec les mécanismes des Nations Unies dans le domaine des droits de l’homme.

«Accepter la candidature de la RD Congo porterait atteinte aux
principes fondateurs et à la crédibilité du principal organe des
droits humains de l’ONU et à sa capacité à promouvoir le respect de
ces mêmes droits », a déclaré Louis Charbonneau, directeur de
plaidoyer auprès de l’ONU à HRW.

Les élections annuelles pour pourvoir les 47 sièges du Conseil des
droits de l’homme de l’Onu se tiendront le 16 octobre prochain.

Aubin Minaku aux députés de l’opposition : « Chaque président de l’Assemblée nationale a une sensibilité politique »

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Taxé de partialité dans la modération des débats au « temple de la démocratie » et visé par une pétition, le président de la chambre basse du parlement congolais, Aubin Minaku a clamé son impartialité tout en revenant sur son rôle qui est celui «de garantir la liberté d’expression des uns et des autres, Opposition et Majorité», lors d’un débat selon sa définition. En cas de divergence sur une question, ce même rôle a-t-il poursuivi, lui interdit «d’épouser le point de vue de l’Opposition ni celui de la Majorité, mais de laisser les uns et les autres débattre avant le vote par la plénière souveraine».

Le débat «pomme de concorde» des élus nationaux, mais sur quoi débattre, « la pomme de discorde» qui divise minorité et majorité parlementaire. Opposition et majorité s’appuyant chacune sur le même règlement intérieur et le même arrêté de la cour constitutionnelle sur les motions donnent pourtant différents points de vue. Une motion incidentielle avant le vote d’une motion de défiance et/ou de censure est à la foi réglementaire et constitutionnelle, soutient-on à la Majorité présidentielle, majoritaire au parlement. Non, c’est une simple aberration, rétorquent les élus de l’opposition quoi que minoritaires au parlement mais déterminés à faire entendre leur voix.

Pour la faire entendre, ils ont déserté leurs sièges pour dénoncer le parti pris du président de l’assemblée, teinté d’une seule couleur politique, étant secrétaire général de la Majorité présidentielle, couleur qui lui conduit à «jouer le jeu de sa famille politique dans un hémicycle composite», accuse l’opposition parlementaire.

«Chaque président de l’Assemblée nationale a une sensibilité politique. Là n’est pas le problème », a répondu Aubin Minaku au micro de Kamanda wa Kamanda Muzembe. Le problème plutôt, il le situe au niveau de l’interprétation de la Cour constitutionnelle sur les motions. «Étant donné la divergence (sur l’interprétation de l’arrêt) dans la rue, je me suis décidé de saisir la cour en interprétation de son propre arrêt. Dans un État de droit, il n’y a pas d’autres manière de procèder que celle-là, » a-t-il déclaré.

En effet, conformément à la constitution congolaise, le poste de président de la chambre basse est réservé à la majorité parlementaire, contrairement par exemple à la Grande Bretagne de laquelle le régime semi-présidentiel congolais puise une partie de ses fondements, le « Speaker » est un homme neutre issu ni du parti des conservateurs, (Conservative Party), ni de celui des travaillistes (Labour Party), encore moins du camp des Libéraux-démocrates (Liberal Democrats), pour ne citer que ceux-là, afin d’éviter des penchants politiques aux Speaker, pendant le débat.

Elections en 2019: Samy Badibanga lance un énième appel pour l’unité de l’action de l’opposition

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Réactions, déclarations et appels à la résistance  ne cessent de tomber  depuis l’annonce du report des élections par de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) au plus tôt en avril 2019. L’un des derniers en date c’est celui de l’ancien premier ministre, Samy Badibanga Ntita.

L’ex-chef du gouvernement déplore la division de l’opposition congolaise, qui selon lui cause préjudice au combat qui est sienne. Sur ce, il préconise une union forte de l’opposition politique  en vue de barrer la route à la tentative du pourvoir de reporter sine die les scrutins attendus d’ici fin 2017.

«Au final, personne n’est gagnante dans cette division. Bien au contraire, le pouvoir arrive à tirer son épingle du jeu. Il est donc temps de mettre de côté les questions d’égo et de privilégier l’intérêt supérieur de la nation», a déclaré l’élu de Kinshasa.

Samy Badibanga invite tous les opposants à s’unir «sans égo afin d’entrevoir comment faire face à ce qui apparaît comme une volonté de renvoyer les élections aux calendes grecques», et encourage également les députés nationaux et sénateurs membres de l’opposition à rester vigilants sur la qualité des lois attendues pour mener à bien le processus électoral en cours.

 

 

F. Tshisekedi qualifie le report des élections à 2019 de « déclaration de guerre contre le peuple »

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De retour de son séjour euro-américain, le président du Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au Changement (Rassop) Félix Antoine Tshisekedi s’est confié à la presse ce soir. L’occasion pour lui de réagir aux propos du président de la CENI reportant les élections à la fin de l’année 2019.

Dans sa communication à la presse, Félix Tshisekedi a qualifié de « déclaration de guerre » et de « énième forfaiture » le report de l’organisation des élections en RDC 2019 décrétée par la CENI le 11 octobre 2017. Corneille Naanga a en effet annoncé qu’il faudrait 504 jours additionnels à la CENI pour la tenue des scrutins. Ce qui prolonge de fait l’échéance du 31 décembre 2017 fixée dans l’accord de la Saint Sylvestre.

« Devant cette énième forfaiture, Joseph Kabila et son serviteur Corneille Naanga ont déclaré la guerre au peuple congolais et se sont de ce fait disqualifiés », a souligné Felix Tshisekedi.

Ce report viole le compromis politique du 31 décembre alors que, selon Félix Tshisekedi, le principal thème lors de ses différents échanges pendant son périple euro-américain était  le strict respect de l’accord de la Saint Sylvestre par ses signataires.

« De l’Union Européenne aux Nations Unies, la communauté internationale a exhorté la classe congolaise, le camp Kabila comme le rassemblement, à œuvrer de bonne foi pour la tenue des élections apaisées et crédibles au plus tard le 31 décembre 2017 dans le strict respect de la constitution et de l’accord politique de la Saint Sylvestre adoubé par la résolution 2348 du Conseil de Sécurité de l’ONU. » a rappelé le président du Rassop.

Par conséquent, le chef de file de l’opposition congolaise a noté avec regret la non-application de ce compromis politique, qu’il attribue à la mouvance présidentielle.

« Pourtant je suis affligé de voir que la voie de notre cheminement vers l’alternance démocratique demeure parsemée d’embûches et d’obstacles à cause de la boulimie du pouvoir d’un seul homme, Joseph Kabila, qui ne cesse de multiplier les subterfuges de toutes sortes pour s’éterniser à la tête de l’état en violation de la constitution, défiant ainsi tout un peuple. »

L’Unesco regrette profondément le retrait des Etats-Unis

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L’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture a à travers une déclaration exprimé son regret sur le retrait des Etats-Unis de cette agence de l’Onu.

«Je regrette profondément la décision des États-Unis d’Amérique de se retirer de l’UNESCO, dont j’ai reçu la notification officielle par lettre du Secrétaire d’Etat Américain M. Rex Tillerson», a déploré la Directrice générale du l’Unesco Irina Bokova.

Le numéro un de cette institution faisant partie du système des Nations Unies a dans cette même déclaration rappelé le rôle de l’UNESCO qui est important pour «renforcer les liens de notre humanité commune face aux forces de la haine et de la division».

Pour sa part les Etats-Unis justifie sa décision qui d’après son département d’Etat reflète ses inquiétudes par rapport à l’importance d’une «réforme en profondeur» de l’organisation ainsi que ses «partis pris anti-israéliens persistants».

Les USA alliés particulier d’Israël s’étaient déjà retiré de l’Unesco il y a 6 ans, ne contribuant plus financièrement, ce, après l’admission dans l’organisation de la Palestine en tant qu’Etat membre.

L’ambassadeur itinérant au ministère russe des affaires étrangères, ne trouve pas grave le départ des Etats-Unis de l’Unesco et estime qu’il sera plus facile pour l’agence de l’Onu basée à Paris d’évoluer sans eux car ces dernières années «Ils n’étaient pas utile» pour elle.

Besoin urgent d’aide humanitaire pour les déplacés des violences en RDC (CICR)

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Le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) a publié un communiqué ce jeudi 12 octobre 2017  dans lequel il lance un s.o.s à la communauté internationale afin de mieux s’intéresser à la situation humanitaire des déplacés en République Démocratique du Congo.

La violence et les affrontements à répétition entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo et les groupes armés au Nord-Kivu, Sud Kivu et depuis le début de l’année 2017 dans l’espace Kasaï  et le Tanganyika ont causé beaucoup de souffrances
humaines.

«Des familles qui ont fui leurs habitations à cause des affrontements armés sont de retour après que les lieux ont été pacifiés. Mais elles ont trouvé leurs habitations brulées. Elles n’ont pas de quoi reconstruire leur vie, elles vivent dans des conditions inhumaines.
Nous devons mobiliser de fonds pour venir en aide aux personnes en détresse car elles en ont besoin», a déclaré Patricia Danzi, directrice du CICR pour l’Afrique.

Selon le CICR, la RDC comptait en 2016 près d’un million de personnes déplacées par des violences internes. Ce qui fait d’elle le pays ayant le plus grand nombre de déplacés plus qu’en Syrie ou en Irak. La Croix Rouge est venue en aide à plus de 352 000 personnes déplacées ou résidentes dans le cadre de ses opérations humanitaires depuis le début l’année.

Dans l’optique de réduction du taux des déplacés en RDC, plus de 10 000 civils et militaires ont bénéficié de formations sur le droit international humanitaire, organisées par le CICR en collaboration avec la Croix-Rouge de la RDC pour prévenir les attaques contre la
population.

Jacob Zuma attendu ce 15 octobre à Kinshasa

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Le président Sud-Africain et président en exercice de la Communauté de
développement de l’Afrique australe (SADC), Jacob Zuma, est attendu à
Kinshasa ce dimanche 15 octobre pour échanger avec son homologue
congolais sur les questions de paix et de sécurité en République
Démocratique du Congo.

Selon un communiqué de la présidence Sud-africaine, le voyage de Zuma
à Kinshasa est davantage sous sa casquette de président de la SADC
pour discuter avec le président Joseph Kabila sur les questions de
paix et de sécurité dans la région des Grands Lacs, mais également sur
la situation politique en RDC.

Lors de la tenue du 37ème sommet de la SADC en Afrique du Sud,
l’organisation sous-régionale avait unanimement, dans une de ses
résolutions, reconnu l’impossibilité d’organiser les élections en
2017, en RDC, et avait par la même occasion, promis de dépêcher le plus
rapidement possible un envoyé spécial pour suivre de près la situation
de crise en RDC.

« La SADC s’est engagée à aider le Gouvernement et le peuple de la RDC
à parvenir à une paix, une sécurité et une stabilité durables »
explique ce communiqué.

Si la plupart de participants avaient apprécié les déclarations de la
SADC, dans l’opposition congolaise, l’organisation sous-régionale avait essuyé de
vives critiques.

Le président de la SADC arrive au Congo au moment où la Commission
Electorale Nationale Indépendante s’apprête à publier le calendrier
dont dépend la suite du processus électoral.

RDC: les 504 jours de Corneille Nangaa enflamment l’opposition

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La prolongation «anticipée» des élections au plutôt en avril 2019, par la déclaration du président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Corneille Nangaa qui exige un délai de 504 jours à dater de la fin de l’enrôlement pour le début des scrutins en RDC, enflamme depuis 24 heures les acteurs politiques de la RDC qui ont pris d’assaut les réseaux sociaux afin d’exprimer leur ras-le-bol.

« Les élections en 2019? Révoltant ! Un magistral bras d’honneur d’un homme qui n’en a plus au peuple congolais ! Il faut savoir partir à temps… » écrit Olivier Kamitatu, porte-parole du candidat déclaré à la présidentielle désormais hypothétique, Moïse Katumbi.

Et à l’élu national Sam Bokolombe d’aller au-delà de la déclaration « élection en 2019. Un temps additionnel de 3 ans« , pour lier la déclaration du président de la CENI au dialogue de la cité de l’Union africaine d’octobre 2016 : « C’est le complot de la cité de l’Union Africaine que révèle et met en oeuvre Corneil Nangaa, » soutient l’élu de Basankusu.

Face au « complot » le ton est plutôt martial, aux allures offensives du côté de l’Angola voisin, où l’un des initiateurs du «Manifeste citoyen» et beau fils de l’ancien président Dos Santos, Sindika Dokolo informe à Corneille Nangaa qu’il « vient d’enclencher le détonateur. » « Les congolais debouts avec les forces politiques et citoyennes vont passer à l’action » promet-il.

Les types d’action à mener sont presque définis par l’UDA Originelle de Claudel Lubaya qui tout en considérant que « la déclaration de la CENI porte atteinte au droit du peuple d’élire ses dirigeants, une menace à la paix et la stabilité du pays« , comprends que « s’opposer à l’affront fait par la CENI est une responsabilité morale et un droit garanti par l’article 64 de la constitution« .

Et ce tweet de François Mazet journaliste de RFI « pas d’élection avant 2019, annonce le bosse de la commission électorale » sur lequel le député de l’UNC rebondit pour caricature « selon la machine à faire glisser. »

Le président du Rassemblement, la plus grande plate forme de l’opposition Félix Tshisekedi a quant à lui promis de s’exprimer en début de soirée ce jeudi 12 octobre. Une réplique du numéro un Rassemblement au numéro un de la Ceni sera donnée lors de ladite conférence de presse, à en croire des sources dans le sillage du secrétaire général adjoint de l’UDPS.

La tripartite CENI-CNSA-Gouvernement reportée pour le 17 octobre 2017

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Initialement prévue pour ce jeudi 12 octobre, l’ouverture de la tripartite CENI-CNSA-Gouvernement pour évaluer le processus électoral et la mise en œuvre de l’accord du 31 décembre 2016 est reporté pour le mardi 17 octobre prochain.

Selon les sources proches du Conseil national de suivi de l’accord (Cnsa) de la Saint Sylvestre, ce report est dû à un problème logistique.

La rencontre qui devait se tenir à kisantu dans la province du Kongo central, a été délocalisée pour Kinshasa, rapportent les mêmes sources.