Quatre ans après l’accession du Président Tshisekedi à la tête de la magistrature suprême, le 24 janvier 2019, la situation des femmes à accèder aux instances de prises de décision est restée statique comme pour le pouvoir passée.

Ces dires sont de Chantal Faida, activiste pour la démocratie et activiste sociale au cours d’une interview accordée à kt.cd ce mardi 24 janvier 2023. Pour elle, seuls 27% de femmes ont accès aux institutions pendant que la constitution parle de 50%.

Par ailleurs, elle note que, durant les 4 ans quelques avancées ont été enregistrées entre autres, la diplomatie agissante du chef de l’état et la volonté d’organiser les élections dans le délai constitutionnel.

A ceci, Chantal Faida parle aussi des autres points qui méritent une amélioration, notamment dans le secteur de l’emploi chez les jeunes.

Cet activiste deplore aussi la situation sécuritaire devenue volatile sous Tshisekedi avec notamment l’occupation des plusieurs villages dans le territoire de Rutshurunpar les terroristes du M23.