La  Communauté internationale des femmes vivant avec le vih/sida (Icw)/ section République démocratique du Congo a organisé une matinée d’échanges ayant eu pour thème :« Femmes et jeunes face à la charge virale, pour l’obejctif 90-90-90 du Programme commun des Nations unies contre le vih/sida (Onusida) ». C’était dans la grande salle de conférence du Programme national multsectoriel de lutte contre le vih/sida (Pnmls), pleine comme un œuf, avec l’appui de l’Onusida.

S’exprimant à l’occasion de cet évenement, qui coincidé avec l’An 1 de Icw/Rdc, le Point focal de cette Ong internationale,  Mme  Kitanu Mbemi Laure Marie  a commencé par  s’est félicité de l’apport, mieux de l’ambitieux objectif 90-90-90 de l’Onusida, qui constitue la réponse  même à la pandémie du Vih/sida.

«  Nous pouvons clamer tout haut, qu’avec les efforts collectifs, les engagement qui prennent en charge la réalisation du dépistage du vih 90%, le 90% du traitement du Vih et de 90% de la supression de la charge virale auprès des personnes vivant avec le vih que l’objectif ambitieux de l’Onusida est très louable », a indiqué le Point de Icw devant une assistance dans laquelle l’on pouvait reconnaitre  toutes les Ong partenaires de lutte contre le vih/Sida en Rdc, scandant des cris, mais plus des acclamations pour soutenir Mme Kituna Mbembi Laure Marie, à cette occasion où tous les efforts de la Pvvih doivent être capitalisés. C’est ce qu’a estimé elle-même, avant de souligner  que ceci passe par le renforcement des capacités de ses membres.

C’est ainsi, qu’elle a plaidé pour le renforcement des capacités des femmes et des jeunes filles vivant avec le vih à travers l’accès universel au traitement, la dimension globale de la Prévention de la transmssion du vih de la mère à l’enfant (Ptme), l’appropriation  des objectifs des Nations unies  90-90-90.

Aussi, l’assistance a estimé qu’il est important de plaider pour les personnes vivant avec le vih (Pvvih)  afin qu’elles arrivent à vérifier à chaque fois leur charge virale.  « Ceci est capital », a lâché un médecin dans la salle, avant de souligner ceci : « Après examen, lorsque la charge virale est  indetectable,  nous encourageons les Pvvih à poursuivre le traitement…. Cependant, lorsque cette charge est  detéctable, c’est un problème et là, nos services de consuling  suivent de près le comportement du patient, sa manière de prendre le médicament…. », précisant que très souvent, c’est le problème de nutrition qui se pose pour les Pvvih, jugeant impérieux que cette problématique soit prise en charge par les partenaires.

Une  plainte bien entendue par deux grands partenaires de taille, à savoir le Programme national multisectoriel de lutte contre le sida (Pnmls) et l’Onusida, présents dans la salle.

La chargée des Droits humains de l’Onusida, Nathalie Marini, qui représentait le Directe-Pays, Marc Saba, a encouragé Icw/Rdc dans ses activités, avant d’assurer la disponibilité de sa structure à l’accompagner et accompagner les autres Ong partenaires vers un développement durable.

Même son de cloche pour le Pnmls, qui a toujours été au côté de cette Ong, qui a vu le jour en 1992 à Amsterdam au Pays-Bas à l’initiative d’un groupe de travailleurs, hommes et femmes luttant pour l’égalité entre  hommes et femms. Et qui  a pour missions de garantir et d’améliorer la qualité de vie des femmes et des jeuens filles vivant avec le Vih à travers la solidarité, la mobilisation, l’organisation, la défense de la recherchen de mentorat,….