Le parlement des jeunes s’indigne de la façon dont les jeunes demeurent dans des groupes armés en territoire de Beni, au Nord-Kivu.
Au cours d’une interview accordée à Kt.cd, Héritier Mualabo, président du Parlement des jeunes, en territoire de Beni a déclaré que les jeunes restent dans les différents groupes armés par manque d’encadrement et d’occupation.
« Les jeunes ne veulent pas abandonner les groupes armés dans le territoire de Beni à cause de manque d’occupation. La jeunesse est largement oubliée par le gouvernement, dans ses actions, alors qu’elle devait être en pôle position, pour donner les pistes de solution à la recrudescence de l’insécurité dans la région, mais aussi participer à la pacification de l’Est du pays, longuement menacée par les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliés ».
Il appelle en outre, le gouvernement congolais de veiller à cette préoccupation, car les jeunes sont prêts à quitter les groupes armés, une fois que le travail leur est garanti.
À ce jour, l’on estime qu’une centaine de jeunes demeurent dans les groupes armés en territoire de Beni, du fait de cette situation.
Les travaux sur la table ronde de la vaccination anti Covid-19 ont été ouverts par le Premier ministre, Sama Lukonde, ce me 17 novembre 2021
Une occasion pour le ministre national de la Santé, Jean Jacques Mbungani de rappeler la nécessité desdits travaux, mais également l’importance de se faire vacciner contre le Covid-19 en République démocratique du Congo (RDC).
Placés sous la tutelle de Félix Tshisekedi, président de la République, ces travaux qui ferment le 18 novembre, connaîtront la participation de toutes les parties prenantes dans la lutte contre cette maladie.
C’est un dégoût de plus, un ras-le-bol exprimé par le caucus des députés de l’Ituri et de Nord-Kivu qui ont de nouveau déploré la situation macabre qui sévit actuellement dans la partie Est du pays, malgré les prorogations de l’état de siège par l’Assemblée nationale.
Alors que l’Assemblée nationale a prorogé pour la 12ème fois cette mesure ce mercredi 17 novembre, ces élus du peuple ont pour leur énième fois boycotté la plénière où leurs collègues ont décidé de voter ce projet de loi.
Ils disent constaté avec regret une politique « non conséquente » à la réalité qui prévaut dans cette zone, étant donné que malgré l’état de siège, la population continue à se faire massacrer.
» Dans la nuit du 14 au 15 novembre 2021, au moins 22 civils ont été tués au village Chabusiku, groupement Tsere, chefferie de Bahema en territoire d’Irumu en Ituri, dans la nuit du 11 au 12 novembre 2021, au moins 70 civils ont été massacrés au village Kisunga en chefferie de Bashu, en territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu. Le Centre hospitalier de Kisunga a été totalement incendié au cours de cette macabre incursion ; du 03 au 09 novembre 2021, au moins 52 corps en décomposition ont été retrouvés dans différents villages du groupement Babila Bangolo, chefferie de Babila Babombi, en territoire de Mambasa, en Ituri » ont-il dit dans une déclaration commune.
Ils ont ainsi réitéré leur demande au gouvernement afin de réfléchir à des mesures salvatrices conséquentes pour l’éradication de l’insécurité dans cette partie du pays.
Dans leur proposition, ces élus du Nord-Kivu et Ituri ont appelé notamment le gouvernement à la mutualisation des forces avec des pays amis en vue de combattre les groupes armés dont les ADF.
Il s’est ouvert ce mercredi 17 novembre à Rotana Hôtel à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo le Forum 2021 sur la Diaspora.
Prévu pour deux jours, ce forum placé sous le thème » Diaspora, acteur du développement et de la lutte contre la pauvreté « , a été lancé par le Président de la République Felix Tshisekedi.
Organisés par le ministère des Affaires Étrangères en partenariat avec l’Organisation Internationale pour la Migration(OIM),Ces travaux s’inscrivent dans le cadre de créer et de maintenir un cadre institutionnel des réflexions et discussions en vue d’inciter et de promouvoir les investissements extérieurs, lesquels sont susceptibles de booster l’économie nationale ainsi que le développement intégral du pays.
En présence de plusieurs personnalités et congolais venus de partout, le Président Tshisekedi a promis de travailler dans le sens de l’amélioration du climat des affaires.
Il a également promis l’allègement des conditions d’entrée des congolais vivant à l’extérieur afin de les inciter à venir contribuer à la construction de l’édifice.
D’après le service de communication de la présidence, la diaspora congolaise n’a transféré, rien que pour l’année 2020, 1,2 milliards ayant pour l’essentiel servi aux besoins de scolarité et de santé dans leurs familles respectives.
A quelques jours de La Défense de son titre de champion du monde, le boxeur congolais junior Makabu a été plébiscité par un trophée de la fédération mondiale de boxe (WBC) pour avoir ravivé la boxe au Congo 47 ans après le combat du siècle qui a opposé Ali et Foreman.
Du haut de La tribune, lors de la remise dudit trophée, le boxeur congolais a lancé un appel au président de la République et à son gouvernement, de lui prêter main forte pour La Défense de son titre, au mois de décembre prochain.
« Je remercie le président de la République, Félix Tshisekedi, pour avoir accepté de soutenir la Boxe. Grâce à lui, la RDC a remporté la prestigieuse ceinture WBC et la première défense. Je sollicite votre implication pour ma 2ème défense le mois prochain » lance le champion.
Junior Ilunga Makabu avait remporté le 31 janvier 2020, à Kinshasa, la ceinture de champion du monde WBC Golden, poids lourd-légers, face au polonais Michäel Cieslak, au terme de 12 round. Il l’a défendu le 19 décembre 2020 par K.O après 7 rounds, devant le nigérian Olanrewaju Durodola.
Le renforcement des capacités des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), reste au cœur du travail de la MONUSCO. C’est qu’a fait remarquer le responsable de la communication de la Monusco M. Mathias.
Les FARDC sont en première ligne dans deux provinces de la RDC, en état de siège. Mais depuis l’instauration de cet état de siège, plusieurs voix s’élèvent pour décrier le bilan des opérations menées par elles. Les responsables de l’armée congolaise indiquent qu’un grand travail est déjà fait, mais plusieurs choses restent à faire.
La Monusco quant elle, indique que le soutien financier et matériel manque aux FARDC pour l’atteinte des objectifs, dont celui de la pacification de l’Est de la République.
« Avec les ambitions de l’état de siège, il nous semble important que l’armée puisse bénéficier du soutien financier, matériel et humain, nécessaire pour atteindre ses objectifs », a expliqué M. Mathias.
Les provinces du Nord-Kivu et de Ituri sont en état de siège. L’Assemblée nationale s’apprête à proroger cette mesure pour la douzième fois.
L’évêque de Bukavu, Monseigneur Maroy invite les dirigeants de la République démocratique du Congo (RDC), à réfléchir sur les conditions des militaires, policiers parce que c’est à eux que revient la noble charge et lourde mission de nous sécuriser. Il l’a déclaré au cours d’une interview accordée au journal Les Coulisses.
« Nous disons à tout le monde et en particulier à ceux qui nous dirigent qu’il y a lieu de réfléchir sur les conditions de vie des militaires et des policiers parce que c’est à eux qu’il revient la noble et lourde mission de nous sécuriser et qu’ils ont juré mourir pour la nation et son peuple. Ils ne peuvent pas être à la fois le problème et la solution », a déclaré François Xavier Maroy.
Nous disons à tout le monde et en particulier à ceux qui nous dirigent qu’il y a lieu de réfléchir sur les conditions de vie des militaires et des policiers parce que c’est à eux qu’il revient la noble et lourde mission de nous sécuriser et qu’ils ont juré mourir pour la nation et son peuple. Ils ne peuvent pas être à la fois le problème et la solution », a déclaré François Xavier Maroy
Le prélat catholique a par la même occasion, appelé les autorités congolaises, à réfléchir également sur la question de porosité des frontières avec les voisins, qui est un fléau à la base de l’insécurité.
« Ensuite, réfléchir sur ce phénomène de porosité des frontières avec nos voisins. C’est un vrai fléau qui contribue grandement à l’insécurité. On ne sait pas qui est votre voisin de jour et surtout de nuit », a-t-il soutenu.
D’autres questions abordées par le chef spirituel de l’Église catholique locale de Bukavu, sont celles liées à l’autorité de l’Etat et aux récurrentes attaques armées à l’Est du pays. Pour cette dernière, l’évêque catholique s’est également interrogé sur leur nature.
Mgr Maroy, tenant en mains balle et croisette. (Photo, tiers).
« L’absence de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire contribue énormément à l’insécurité. Quant aux attaques, il y a lieu de s’interroger sur leur nature dès lors qu’elles se déroulent à proximité des postes des agents de l’ordre. Voilà pourquoi allusion est faite à Saül : « Saül, Saül, pourquoi me persécutes-tu ? Ac, 9, 4 ».
Pour lui, Saül, c’est tout celui qui persécute l’homme créé à l’image de Dieu. « Ces Saüls sont nombreux parmi nous, à tous les niveaux, dans toutes les couches de la société », a-t-il rappelé.
Cependant, ce membre de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) regrette que Église, jadis considérée sacrée, lieu de refuge pour tous, soit aujourd’hui la cible de toute attaque.
« Lorsque les gens s’attaquent aux symboles de l’Église, cela signifie que nous avons perdu de notre foi, la crainte de Dieu. L’Église était jadis un refuge pour tous, un lieu sacré ».
La situation sécuritaire à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) demeure préoccupante malgré l’état de siège instauré depuis le mois de mai dernier.
C’est dans cette optique que le président Félix Tshisekedi reçoit l’après-midi de ce mercredi 17 novembre, Les caucus des députés nationaux, des provinces concernées.
» Sur demande des députés nationaux élus au Nord-Kivu et en Ituri,le président de la République reçoit les deux caucus cet après-midi pour échanger sur l’état de siège et les voies et moyens pour ramener la paix à l’Est« , annonce faite par le président de l’Assemblée nationale », a écrit le député national Juvenal Munubo dans son compte twitter.
Le 1er novembre dernier, les élus de l’Ituri et du Nord-Kivu, avaient décidé de quitter la plénière consacrée à la prorogation de l’état de siège pour la 11ème fois consécutive. Ils avaient exprimé leur regret face à la détérioration de la situation sécuritaire dans leurs provinces, alors que sous état de siège.
Le député provincial Promesse Matofali s’inscrit en faut contre la 12ème prorogation de l’état de siège dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.
Il estime que l’état de siège a affiché toutes ses limites, d’où continuer à faire des prorogations reste une violation grave des droits de l’homme dans les provinces précitées.
Dans une déclaration à la presse ce mercredi 17 novembre 2021, pendant que l’Assemblée provinciale se prépare à proroger pour la 12ème fois l’état de siège, cet élu de la ville de Butembo dans la province du Nord-Kivu propose de quitter de cette situation pour passer à l’état d’urgence sécuritaire. Pour lui, avec cette nouvelle forme va permettre de continuer à lutter contre l’insécurité tout en maintenant les autorités civiles et militaires à la fois.
« Les réalités sur terrain confirment l’échec cuisant de l’état de siège. Nous pouvons dire que les droits des citoyens ne sont pas respectés, c’est pour cela nous disons qu’il serait vraiment urgent qu’on passe de l’état de siège à l’état d’urgence sécuritaire » a-t-il dit.
Il propose que dans l’état d’urgence sécuritaire que les autorités militaires s’occupent des questions sécuritaires et que les autorités civiles s’occupent des questions civiles, celles liées notamment au foncier, à la justice et du développement de la population.
Promesse Matofali affirme que les questions sécuritaires échouent actuellement parceque les autorités militaires s’adonnent à tous les autres secteurs de la vie, oubliant leur seule priorité qui n’est autre que la sécurité.
A noter que lors de la 11ème prorogation de l’état de siège à l’Assemblée nationale, les députés nationaux du Nord-Kivu et de l’Ituri s’étaient retirés de la salle des plénières pour s’opposer à cette décision de la chambre basse de parlement.
« Le magma n’est pas très loin et qu’il peut sortir à l’intérieur tout comme à l’extérieur du cratère », c’est la déclaration de Célestin Kasereka Mayinda, directeur scientifique de l’observatoire volcanologique de Goma à la suite d’une nouvelle annonçant l’éminente éruption du volcan Nyamulagira.
Dans une déclaration à la presse ce mercredi 17 novembre 2021, le directeur scientifique de l’OVG fait savoir que cette activité ne présente pas jusque là d’énormes dangers pour la population qu’il appelle d’ailleurs au calme.
Poursuivant, Kasereka Mayinda fait savoir que depuis plusieurs années ce volcan (en activité) enregistre des éruptions moins dangereuses, mais rassure que si cette éminente éruption s’avère externe, elle peut avoir plusieurs dégâts humains et environnementaux.
A noter que la dernière éruption externe du volcan Nyamulagira date de 2011 avec plusieurs dégâts.
Trois policiers ont été condamnés par le tribunal militaire garnison/Gombe, après leur tentative d’assassinat de l’inspecteur général de la police nationale congolaise, le commissaire divisionnaire Raüs Chalwe.
Le tribunal militaire garnison de Gombe a décidé d’infliger à chacun d’eux, une peine de 20 ans de prison ferme, englobant plusieurs délits qui enfreignent farouchement la marche des agents de l’ordre en milieu public.
C’est au cours de l’audience lundi 15 novembre, que le verdict est tombé à l’endroit de ces agents de l’ordre.
Rappelons que, leur tentative d’assassinat a eu lieu sur l’avenue Colonel Mondjiba, alors que le Général Chalwe les interpellait sur la bonne conduite dans leur tâche. Ils ont été jugé également pour plusieurs préjudices confondus notamment, outrages envers les supérieurs et violation des consignes.
Les différentes manifestations que ne cessent d’organiser les forces sociales et politiques pour exiger la dépolitisation de la centrale électorale, est un regret pour le Secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social ( UDPS).
Augustin Kabuya pense que ces manifestations sont une « distraction puisque ce sont elles qui ont pillé ce pays« .
« Quand il parle de la démocratie, la famille de Floribert Chebeya ou de Rossy Mukendi voit les choses de la même manière qu’eux ? Leurs mains sont remplies de sang, ils ne peuvent que se faire » , a-t-il déclaré dans une interview accordée à un média local.
Et d’ajouter: » Si j’étais à leur place, j’allais faire le champ dans mon village au lieu de faire trop de bruits à Kinshasa, puisque ce sont des gens qui ont pillé ce pays « .
Entre temps, l’Eglise du Christ au Congo (ECC) et la CENCO affirment que la désignation et l’investiture du bureau de la CENI n’ont pas respecté les prescrits de la Constitution.
Les forces sociales et politiques se disent déterminées à maintenir la pression pour obtenir l’indépendance et la dépolitisation de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Après la marche de samedi 13 novembre dernier, les laïcs catholiques et protestants, d’autres forces sociales et politiques, notamment, Lamuka ( Fayulu Muzito) et le Front commun pour le Congo (FCC), annoncent un sit-in le lundi 22 novembre devant le bureau de la centrale électorale, sur le boulevard du 30 juin, à Kinshasa Gombe.
Dans une déclaration mardi 16 novembre, ces forces sociales et politiques exigent l’annulation de la mise en place » irrégulière et illégale » du bureau ainsi que de la plénière de la CENI, la suppression de la taxe RAM et la résolution des problèmes de l’éducation des enfants.
« Faute de quoi, nous, CALCC et MILAPRO, allons intensifier indéfiniment des actions pacifiques par tous les moyens, notamment les marches, villes mortes et les sit-in « , a-t-il déclaré.
Outre, elles ont annoncé une marche pacifique le 27 novembre, à Kinshasa, qui aura comme point de chute l’Assemblée nationale.
Alain Siwako, député provincial élu du territoire de Beni, au Nord-Kivu, exige au gouvernement de remplacer le porte-parole de l’armée du secteur opérationnel Sokola1 Grand Nord, suite à ses différentes réactions à la presse.
Se confiant à Kt.cd le mardi 16 novembre, il a indiqué que le porte-parole de l’armée met en difficulté le mariage civilo-militaire, suite à ses propos irrésistibles, il demande au gouverneur de la province du Nord-Kivu, le Lieutenant général Constant Ndima Kongba, de saisir sa hiérarchie militaire, dans le but d’obtenir le remplacement immédiat et sans conditions du porte-parole des opérations sokola 1 Grand Nord.
« A la récente attaque des rebelles ougandais des Forces démocratiques alliés, au village Kisunga, en territoire de Beni, le vendredi dernier, le porte-parole des Forces armés de la République démocratique du Congo (FARDC), avait justifié la tuerie de plus de soixante (60) civils d’un résultat d’un conflit coutumier », a-t-il dit.
Pour lui, les sorties médiatiques du capitaine Antony Mualuchayi anéantissent le mariage civilo-militaire, qui s’avère nécessaire pendant cette période d’état de siège.
Les députés nationaux sont conviés ce mercredi 17 novembre 2021 à la plénière qui portera sur l’ examen et vote du projet de loi, portant autorisation de la prorogation de l’état de siège.
Le communiqué signé par Joseph Lembi, rapporteur de la chambre Basse du Parlement renseigne que la plénière se penchera également sur l’audition du rapport de la mission effectuée dans le territoire de Mwenga, en province du Sud Kivu.
Conduite par le ministre de l’Intégration régionale Didier Mazenga, la délégation du Comité international de la francophonie a rencontré, mardi 16 novembre, Jean-Michel Sama Lukonde, le Premier ministre congolais.
Dans leurs échanges sur les préparatifs des IXème Jeux de la francophonie, Zeina Mina, Directrice du comité international desdits Jeux a été rassurée du ferme engagement et la détermination du gouvernement congolais de tout mettre en œuvre, pour la réussite de l’édition de Kinshasa.
« Nous avons abordé les Jeux de la francophonie. Nous avons eu l’assurance de son Excellence Monsieur le Premier ministre, encore une fois, l’engagement de la République démocratique du Congo pour leur organisation dans les meilleures conditions, la mobilisation de toutes les équipes, les moyens pour les organiser dans les meilleures conditions », a-t-elle déclaré.
Pour rappel les IXème Jeux de la francophonie sont prévus à Kinshasa au mois d’août 2022.
Il n’a fallu que 48 heures pour mettre dans les oubliettes le suspense au sujet de l’affaire RDC-Bénin d’une ultra-médiatisation d’un fait de jeu, remplacement de Ben Malango à la 90e minute.
La plainte déposée par la sélection Béninoise à la Fédération Internationale de Football Association ( FIFA), pour annuler le résultat obtenu par les Léopards à Kinshasa a été sans succès. D’après les dernières révélations, l’instance mondiale ne fera pas cas à ce recours.
La Commission de discipline de la FIFA n’a procèdé qu’à la vérification de différents faits de jeu auprès des fédérations congolaise et béninoise. Les nombres de cartons jaunes et les joueurs concernés sont les seuls points évoqués dans la correspondance de la FIFA.
La Fédération internationale de football association (FIFA) vient ainsi de notifier seulement la Fédération congolaise de football association (FECOFA) sur les sanctions disciplinaires à I’endroit des joueurs : Samuel BASTIEN, Joël KIASSUMBUA et Arthur MASUAKU avertis avec des cartons jaunes. Seul le joueur MASUAKU est suspendu pour le prochain match de la RDC pour cumul de cartons jaunes.
Dans ce cadre, les Léopards vont bel et bien jouer le tour de cadrage prévu au mois de mars de l’année prochaine, ce, en attendant le tirage au sort attendu le 18 décembre prochain.
La semaine mondiale de l’entrepreneuriat sous l’état de siège a ouvert ce mardi 16 novembre 2021, à Goma, avec comme thème : « État de siège, opportunité d’affaire pour une paix durable dans l’entrepreneuriat au Nord-Kivu ».
David Kamuha, conseiller principal du gouverneur en charge des finances a indiqué que ce colloque tient à la sensibilisation et à la formation des jeunes entrepreneurs. C’est aussi pour l’avancement de l’entrepreneuriat pendant cette période de l’État de siège dans la province.
« L’objectif de la semaine mondiale de l’entreprenariat, c’est aussi de les informer de ce genre de facilitations qui existent déjà et qui peuvent leur permettre (entrepreneurs), de commencer leurs activités sans trop de problème. Vous savez, l’une des instabilités sécuritaires, c’est le manque d’emploi. En organisant la semaine mondiale de l’entreprenariat, je peux leur dire, il y a lieu de vivre autrement. On peut commencer une entreprise, même avec peu d’argent et vivre autrement, que d’aller perdre son temps dans les groupes armés », a t-il indiqué
Le Nord-Kivu disposera désormais d’un cadre légal qui réunira de jeunes entrepreneurs.
« Nous allons effectivement faire signer au gouverneur de province, un arrêté portant, le cadre permanent de concertation des entrepreneurs. Ça va permettre régulièrement aux entrepreneurs de se réunir dans un cadre bien organisé sur le plan juridique. Le Nord-Kivu est l’une des rares provinces où nous avons tout un arrêté qui organise les allègements fiscaux et les exonérations », a t-il ajouté
Il sied de signaler que, la semaine mondiale de l’entrepreneuriat fermera ses portes le 23 novembre 2021.
Un nouvel amphithéâtre, qui porte le nom de Félix Tshisekedi, président la République a été inauguré ce mardi 16 novembre, au siège national de l’Inspection générale des finances (IGF), à Kinshasa.
Selon le numéro un de l’IGF, ce bâtiment compte 120 places et servira aux formations permanentes des inspecteurs.
Plusieurs réfection et Construction des bâtiments ont été recensés depuis la nomination de Jules Alingete à la tête de cette institution, attachée à la présidence.
Peu avant, Alingete avait promis d’accroître à 55, le nombre d’inspecteurs des Finances.
Ce mardi 16 novembre, le président de la République s’est rendu au marché de Liberté, situé dans la commune de Masina, où il a constaté les dégâts causés par l’incendie qui a ravagé week-end dernier, une partie de cet établissement.
Accompagné du gouverneur de la ville province de Kinshasa, Gentiny Ngobila, il a donné des instructions et directives pour la prise en charge des sinistrés et l’identification de la cause de cet incendie de trop.
Le marché de Liberté, dont le pavillon 1 a été victime de l’incendie le samedi dernier dans la nuit est considéré comme le deuxième de la capitale après le marché central dit Zando.
C’est pour la première fois que Félix Tshisekedi visite ce marché depuis son arrivée au pouvoir, construit sur l’initiative de Mzee LD Kabila et inauguré en 2003 par Joseph Kabila.
Le don du Rwanda, de construire un village moderne pour la République démocratique du Congo, en faveur des sinistrés du volcan Nyiragongo, n’est pas le bienvenu pour la députée nationale Magguy Kyala, qui demande au gouvernement de rejeter l’offre.
Cette élue encourage les autorités congolaises de refuser carrément ce qui paraît à ses yeux comme un cadeau empoisonné.
Elle trouve louche que le président rwandais ait demandé à son homologue congolais que le génie militaire rwandais se charge de la construction dudit village, alors que le pays (la RDC) a lui aussi, l’ingéniosité de se charger de cette construction.
»Je demande au gouvernement de ne pas prendre ce cadeau-là, c’est un faux cadeau. Il veut donner un cadeau à son frère et veut que ses soldats à lui viennent construire ce village moderne. Est-ce que nos propres soldats congolais ne savent pas construire des maisons ? Le génie militaire existe dans le rang des FARDC « , s’est-elle exprimée.
Pour elle, l’idéal pour le gouvernement rwandais, d’aider la population sinistrée de cette partie du pays, et de reverser la somme destinée à la contribution dudit village au budget de l’État congolais.
» Si Kagame veut nous aider, qu’il reverse cet argent au budget du gouvernement, ce dernier peut charger l’armée congolaise à ériger ce village moderne pour leurs frères sinistrés de Nyiragongo « , a-t-elle déclaré.
Pour rappel, en juin dernier, lors de leu rencontre à Goma, Paul Kagame, le président rwandais avait promis d’offrir un village moderne à Tshisekedi, son homologue congolais. Le coût de ce village est estimé à hauteur de 30.000.000 USD.
Réduire les salaires des députés pour appuyer le financement de l’armée n’est pas une idée salvatrice, pour éradiquer l’insécurité dans la partie orientale du pays, estime le député.
Ce dernier pense que la solution pour renforcer le financement de l’armée réside dans l’accroissement du budget de la défense, par la lutte contre le coulage des recettes de l’Etat, et la réduction du budget de fonctionnement des cabinets politiques.
» Je ne crois pas que la solution pour améliorer les conditions de vie et de travail des militaires soit la réduction des salaires des députés nationaux qui, souvent, agissent comme des assistants sociaux, faute des actions du gouvernement dans leurs circonscriptions électorales », a-t-il déclaré via son compte Twitter.
Le débat est parti de la déclaration, par le premier Vice-président de l’Assemblée, de voir les salaires des ministres et députés être réduits à moitié, et reverser cette somme au budget de l’armée.
» Nous demandons à notre peuple de faire des sacrifices alors que nous-mêmes dirigeants, nous ne faisons pas ce sacrifice. Autant nous demandons au peuple de faire des sacrifices, nous devons prêcher par l’exemple. Nous devons accepter qu’aujourd’hui, ce qu’un ministre touchait hier soit divisé par deux. Nous devons accepter que ce qu’un député touchait hier soit divisé par deux « , a dit Jean-Marc Kabund.
Dans le même ordre, il a appelé ses collègues députés du Nord-Kivu et de l’Ituri, à saisir cette occasion pour doubler voire tripler le budget alloué à la Défense.
La semaine mondiale de l’entrepreneuriat sous l’état de siège a ouvert ce mardi 16 novembre 2021, à Goma, avec comme thème : « État de siège, opportunité d’affaire pour une paix durable dans l’entrepreneuriat au Nord-Kivu ».
David Kamuha, conseiller principal du gouverneur en charge des finances a indiqué que ce colloque tient à la sensibilisation et à la formation des jeunes entrepreneurs. C’est aussi pour l’avancement de l’entrepreneuriat pendant cette période de l’État de siège dans la province.
« L’objectif de la semaine mondiale de l’entreprenariat, c’est aussi de les informer de ce genre de facilitations qui existent déjà et qui peuvent leur permettre (entrepreneurs), de commencer leurs activités sans trop de problème. Vous savez, l’une des instabilités sécuritaires, c’est le manque d’emploi. En organisant la semaine mondiale de l’entreprenariat, je peux leur dire, il y a lieu de vivre autrement. On peut commencer une entreprise, même avec peu d’argent et vivre autrement, que d’aller perdre son temps dans les groupes armés », a t-il indiqué
Le Nord-Kivu disposera désormais d’un cadre légal qui réunira de jeunes entrepreneurs.
« Nous allons effectivement faire signer au gouverneur de province, un arrêté portant, le cadre permanent de concertation des entrepreneurs. Ça va permettre régulièrement aux entrepreneurs de se réunir dans un cadre bien organisé sur le plan juridique. Le Nord-Kivu est l’une des rares provinces où nous avons tout un arrêté qui organise les allègements fiscaux et les exonérations », a t-il ajouté
Il sied de signaler que, la semaine mondiale de l’entrepreneuriat fermera ses portes le 23 novembre 2021.
Dans un communiqué signé depuis le lundi 15 novembre à Pretoria, en Afrique du Sud, par le porte-parole du Vice-Premier ministre, en charge des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC), il est indiqué, qu’à ce jour, 413 passeports ordinaires imprimés à Kinshasa, ont été imprimés et acheminés depuis le jeudi 10 novembre, au pays de Nelson Mandela, pour les requérants.
Ces derniers se rendent depuis le vendredi 11 novembre dernier, à l’Ambassade de la RDC, pour récupérer chacun son passeport.
C’est depuis plus d’une année que chacun des bénéficiaires avait payé à l’Ambassade de la RDC à Pretoria, sans en obtenir, indique le même communiqué, qui a en même temps expliqué que, s’agissant de 133 autres requérants, dont les données n’ont pas été retrouvés dans le serveur (pour les années 2019 (79 personnes, et 2020 54 personnes), ils devront se faire recapturer sans avoir à payer un quelconque frais. Le prix du passeport de lui, reste fixé à 99$.
Le même ministère a annoncé l’arrivée, dans les prochains jours, d’une délégation, dont la mission sera de procéder à la relance de la capture dans différentes villes de la nation arc-en-ciel notamment, Pretoria, Cape Town, avant que la même opération se poursuive normalement au niveau de l’Ambassade.
Le projet de loi des finances pour l’exercice 2022, comporte plusieurs axes d’exécution, a soutenu le Premier ministre, lors de la présentation dudit projet devant les députés nationaux.
Onze principaux projets seront financés par le gouvernement pour l’exercice 2022. Parmi lesquels,
– Les travaux de lutte antiérosive à travers le pays ;
– L’acquisition des matériels pour l’installation de la fibre optique en vue de la migration vers le système téléphonique CUCM
– La construction des bâtiments devant abriter les Tribunaux de paix dans 145 territoires ;
– La pacification et la stabilisation de l’Est du pays ;
– La réhabilitation et la construction des infrastructures devant abriter les IXème Jeux de la Francophonie
– La construction de nouvelles casernes militaires ainsi que la réhabilitation de la base de Kitona et de Kamina ;
– L’acquisition des matériels informatiques pour la numérisation des Administrations financières ;
– La création et le déploiement de la chaine de la recette ;
– La réhabilitation des prisons à travers le pays ;
– La construction, la réhabilitation et l’entretien des routes, voiries et édifices publics en vue du désenclavement du pays ;
– La modernisation des parcs de la Foire Internationale de Kinshasa ;
– L’acquisition d’équipements nécessaires à la certification des réserves
