Une aggravation des pratiques de corruption en 2021, dénonce-t-on.

Pour cette structure, 80% de dépenses publiques sont allouées aux salaires qu’aux investissements.

Dans ce tableau, figure la première institution du pays, c’est-à-dire, la Présidence de la République qui a vu son personnel augmenter, avec 1018 membres de cabinets en 2021, contre 455 en 2018, sous la présidence Kabila.

En deuxième lieu, l’on trouve l’Assemblée nationale. Cette dernière, hors mis les 500 députés, rémunère 2756 membres de cabinets.

Le Sénat lui, vient en troisième position, et prend en charge 109 sénateurs et 881 membres de cabinets.
La Primature elle, boucle la boucle de cette série, avec 106 membres dans le cabinet de Sama Lukonde, le Premier ministre congolais, indique l’ODEP.

Pour cet observatoire, il manque toujours plus d’un milliard de dollars pour la gratuité de l’enseignement. Et d’ajouter, le projet Tshilejelu a été lancé à la cavalière, sans études de faisabilité aucune, sans note de calcul ni devis.

Et de conclure: « plusieurs projets initiés par le régime actuel, l’ont été aux fins de détournement des deniers publics ».