C’est sous la présidence des îles Fidji, en collaboration avec le gouvernement allemand et le secrétariat de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques, CCNUCC, que la conférence des Nations Unies sur le changement climatique, COP23, va s’ouvrir dans la ville fédérale allemande, Bonn , du 6 au 17 novembre 2017. Les pays se retrouveront pour débattre de l’avancement des objectifs et des ambitions de L’accord de Paris et avancer sur les lignes directrices de sa mise en œuvre.

La CCNUCC compte sur la collaboration des pays membres pour la réussie de ces assises. « Grâce à la coopération, cette COP23 est possible, A recommandé la secrétaire exécutive Patricia Espinosa aux ambassades à Berlinn, le 27 juillet. Elle a dans son même discours invité aussi à prendre conscience de la vulnérabilité des îles et de tous les peuples et ouvrir la porte à davantage d’accompagnement et de soutien aux collectivités résilientes pour une transition rapide vers un avenir alimenté par les énergies propres ».

Le soutien et la collaboration, c’est de ça que va souffrir l’accord de Paris si finalement les États-Unis d’Amérique se retirent comme Annoncé le premier juin 2017. En effet, les USA sont considérés l’un de pays le plus pollueurs de la planète qui doivent contribuer plus pour la matérialisation de cet accord. Son départ pourrai aussi entraîner celui d’un autre pollueurs, la Chine et compromettre l’application de ce premier accord sur le climat.

Cependant, l’un de poumons de lutte contre le réchauffement climatique, la RDC, a déjà parcouru le trois quarts du chemin d’adhésion à l’accord de Paris. Après l’Assemblée Nationale le 15 octobre, le Sénat de la RDC a ratifié, mardi 31 octobre, cet accord sur le climat. Il ne reste plus qu’au président de la République de promulguer cette loi afin que la RDC espère bénéficier des fonds dans le cadre de la protection de l’environnement.