C’est depuis 11h du lundi 4 juillet que le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) Tony Mwaba a foulé le sol de la ville de Kisangani dans la province de la Tshopo.

Dans ce coin du pays, il va non seulement procéder au lancement de l’Examen national de fin d’études primaires (ENAFEP) mais également faire un état des lieux de ce sous-secteur.

Il va également faire le suivi du respect de l’application des instructions du chef de l’État Félix Tshisekedi, notamment en rapport avec l’effectivité de la gratuité de l’enseignement primaire, précise ses services de communication.

Bien plus, le numéro 1 de l’EPST va également lancer la campagne  » Pas une école sans banc », qui vise à lutter contre le surpeuplement des élèves dans les salles de classe, c’est ce qu’a indiqué la même source.

Au moins deux millions d’élèves finalistes de l’école primaire prennent part à l’Examen national de fin d’études primaires (ENAFEP) ce mardi 5 juillet que toute l’étendue de la RDC.

C’est ce qu’a fait savoir le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) Tony Mwaba lors de la cérémonie du lancement de cet examen depuis la ville de Kisangani dans la province de la Tshopo.

« La participation de 2.011.688 candidats, dont 958.649 filles alors qu’à l’édition 2021 il avait été enregistré 1.559.518 finalistes dont 880.826. Ces candidats seront répartis dans 8.111 centres de passation alors que ceux de 2021 avaient passé le Test national de fin d’études primaires (TENAFEP) dans 7.026 centres»,

Plusieurs autorités ont pris part à cette cérémonie entre autres, le Gouverneur Abibu Sakapela, le conseiller du chef de l’État et bien d’autres personnalités.

Il convient de préciser que, la participation à ces épreuves qui vont se clôturer ce mercredi 6 juillet est gratuite même pour les écoles privées.

Dans l’optique de lutter contre les avortements non sécurisés en RDC, l’ONGI Maries Stopes RDC en collaboration avec le Réseau des Journalistes pour la Santé Sexuelle et Reproductive (RJSSR) a réuni lundi dernier les journalistes pour une formation sur la santé sexuelle et reproductive.

A Selton hôtel situé à Kinshasa, tour à tour, les intervenants à cette session ont fait part des dispositions que prônent le protocole de Maputo sur l’avortement sécurisé, notamment en cas de viol, agression, inceste et lorsque la grossesse met en danger la santé mentale et physique de la mère.

« On a parlé du protocole de Maputo qui existe déjà et qui dans son article 14 parle des cas exceptionnels qui sont permis pour l’avortement sécurisé. On a aussi parlé de la planification familiale et de comment la communauté juge ce point là par rapport à nos filles», a fait savoir Mme Nathy Kabissa, l’une des intervenantes, membre de l’ONGI Maries Stoppes.

Les journalistes ayant participé à cette formation sont donc appelés à parler de cette réalité qui constitue l’une des causes principales de la mortalité maternelle en République démocratique du Congo (RDC).

« Ne pas en parler ça veut dire laisser les gens dans l’ignorance et être dans l’ignorance c’est continuer à recourir aux avortements clandestins qui mettent en danger la vie, la santé des femmes », a insisté Bibiche Mbete, coordinatrice du RJSSR.

D’après elle, il y a des prestataires formés qui peuvent pratiquer les soins complets d’avortement centré sur la femme, rassurant tout de même qu’il y a des sessions qui se déroulent ce jour à travers la RDC sur cette question.

Le protocole à la charte africaine des droits de l’homme et des peuples, relatif aux droits de la femme en Afrique, communément appelé protocole de Maputo est un protocole international de l’Union africaine, amenant les États signataires à garantir les droits des femmes, y compris le droit de participer au processus politique, l’égalité sociale et politique avec les hommes, une autonomie améliorée dans leurs décisions en matière de santé et la fin des mutilations génitales féminines.

Principal instrument juridique de protection des droits femmes et des filles, ce protocole garantit de façon spécifique, en son article 14, le droit à la sante et au contrôle des fonctions de reproduction.

C’est depuis 11h du lundi 4 juillet que le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) Tony Mwaba a foulé le sol de la ville de Kisangani dans la province de la Tshopo.

Dans ce coin du pays, il va non seulement procéder au lancement de l’Examen national de fin d’études primaires (ENAFEP) mais également faire un état des lieux de ce sous-secteur.

Il va également faire le suivi du respect de l’application des instructions du chef de l’État Félix Tshisekedi, notamment en rapport avec l’effectivité de la gratuité de l’enseignement primaire, précise ses services de communication.

Bien plus, le numéro 1 de l’EPST va également lancer la campagne  » Pas une école sans banc », qui vise à lutter contre le surpeuplement des élèves dans les salles de classe, c’est ce qu’a indiqué la même source.

À l’occasion de la commémoration de son sixième anniversaire, le Groupe « Compétences Intelligence, Développement et Expertise » (CIDE) a procédé samedi 2 juillet 2022, à des visites de réconfort auprès des malades des hôpitaux publics, principalement dans les chefs-lieux des provinces.

Grâce au moyen de bord, le Groupe CIDE a apporté un soutien tant matériel que moral à travers des actions telles que: la régularisation des factures des malades, les dons en vivres et non vivres, ainsi qu’un moment de partage en guise d’un soulagement moral aux souffrants.

Ces visites simultanées dans les chefs-lieux des provinces du pays, ont permis à la structure de se rendre compte des besoins urgents en matière de santé sur toute l’étendue du territoire national.

Créé depuis le 02 juin 2016, le Groupe CIDE est une plateforme apolitique dont la solidarité est le socle de la vision, en vue de booster le développement du capital humain.

À Kinshasa, les patients internés de l’hôpital général de référence de Kinshasa, ex Maman Yemo et ceux de l’hôpital du camps kokola, ont été touchés par ces actions salvatrices menées par CIDE et n’ont pas manqué d’exprimer leurs vifs remerciements à l’endroit de cette structure des bénévoles.

Au cours d’une messe célébrée dimanche 03 juillet dernier à Kinshasa, le Secrétaire d’État du Saint-Siège, le Cardinal Pietro Parolin, est revenu sur la situation sécuritaire qui prévaut à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) dans son homélie lors d’une messe organisée hier dimanche à l’esplanade du palais du peuple.

Reconnaissant les causes de cette instabilité dans cette partie du pays, le Secrétaire du Vatican a affirmé que la paix est continuellement menacée par des groupes armés et par des intérêts d’exploitation et de prédation.

Pour ce prélat italien La convoitise autour des matières premières, la soif d’argent et de pouvoir ferment les portes de la paix et représentent une atteinte au droit des personnes à la vie et à la sérénité.

Face à un peuple blessé par des problèmes tels que l’absence de travail, la pollution(…),dit-il, le cardinal a exhorté à ne pas céder à la désolation ni au découragement.

« Mais Jésus continue à nous envoyer, nous, ses disciples, pour que nous puissions répéter les mêmes mots« , a indiqué le Cardinal Parolin durant cette messe réunissant une foule immense, composée des fidèles et plusieurs personnalités.

“Paix à cette maison ! Paix à la terre congolaise, qu’elle redevienne une maison de la fraternité » a-t-il lancé dans sa prière. Il a dans cette visée, appelé la population ainsi que les dirigeants à œuvrer pour la paix en République démocratique du Congo.

C’est depuis quelques semaines que la partie Est de la République démocratique du Congo (RDC), est agressée par le Mouvement du 23 mars( M23) appuyé par le Rwanda.

Face à cette situation, le Président congolais, Félix Tshisekedi ne cesse de réaffirmer sa détermination de rétablir la paix dans cette partie du pays, notamment en renforçant les éléments de la force de défense par des nouvelles figures.

À la suite de son appel du 30 juin dernier, au recrutement des jeunes dans l’armée, le Gouvernement dit prendre des mesures pour faciliter cette opération.

Bien plus, le Premier ministre Sama Lukonde a rassuré que son gouvernement ne ménage aucun effort pour mettre à la disposition des forces de défense et de sécurité, les moyens requis afin de faire face à cette agression rwandaise.

Le mariage précoce des jeunes filles en République démocratique du Congo (RDC), est un fléau qui gangrène la société et compromet l’avenir des jeunes filles, c’est ce qu’a dit le Président Tshisekedi au cours de la récente réunion du conseil des ministres.

D’après lui, cela découle d’une conception de la société qui attribue à la femme un rôle social qui se limite à la procréation ou aux corvées domestiques.

Le Chef de l’Etat a ajouté que ces mariages précoces dans certains cas, les filles sont offertes en mariage en compensation des dettes de leurs parents , ce qui constitue une forme d’esclavage.

« Toutes ces pratiques se font en violation totale des lois y afférentes. Certaines mesures urgentes doivent être prises pour stopper (…) », a indiqué le chef de l’État.

Ce dernier a noté la nécessité de l’élaboration et la mise en œuvre d’une politique de vulgarisation sur cette thématique plus particulièrement dans les milieux ruraux.

Outre, Rose Mutombo, ministre de la justice et Garde de sceaux, le ministre de Genre, famille et enfant, celui des affaires sociales ainsi que de l’intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières ont été chargés d’agir avec célérité sur les dossiers y relatifs.

Lors de la 60ème réunion du conseil des ministres, le chef de l’État Félix Tshisekedi a mis l’accent sur la nécessité d’améliorer les conditions de vie des habitants de l’Est, victimes de la guerre.

Ce faisant, il a souligné l’urgence pour les membres du Gouvernement d’appuyer les efforts de guerre, chacun dans ses attributions respectives.

Aussi, il a encouragé le chef du Gouvernement à les réunir pour l’évaluation de leurs actions et programmes dans les zones sous Etat de siège, en vue de contribuer efficacement à lutter contre cette guerre.

« Le véritable hommage que tout gouvernant, détenteur du pouvoir public est appelé à rendre à Patrice Emery Lumumba, c’est de s’approprier sa passion pour son pays, son modèle de gouvernance, sa détermination à réussir, son oubli de soi pour l’intérêt général », a insisté Félix Tshisekedi.

La 21ème session ordinaire de la conférence des chefs d’État et de Gouvernement des États membres de la la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) prévue à Kinshasa, capitale de la RDC, est fixée au 25 juillet prochain.

L’annonce a été faite par le ministre de l’Intégration régionale et de la Francophonie, vendredi 1er juillet lors de la réunion du conseil des ministres.

A l’en croire, cette réunion se tiendra dans un contexte régional marqué par plusieurs menaces à la paix, la sécurité et la stabilité, entre autres, l’agression de la RDC par le Rwanda sous couvert par le M23.

Aussi, la flambée des prix des produits de première nécessité dans les États membres suite aux mauvaises campagnes agricoles et aux difficultés d’importation liées à la crise russo-ukrainienne.

Les particularités à ces assises se pencheront également sur la question liée à la persistance de la crise humanitaire due aux déplacements des populations dans la région à cause de l’insécurité.

Enfin, ils feront le point sur la persistance de l’activisme des groupes armés rebelles, des groupes terroristes et autres forces négatives dans la région.

Cette session ordinaire sera précédée à partir du 20 juillet de plusieurs réunions techniques préparatoires impliquant les Experts des différents États membres, a indiqué le compte-rendu dudit conseil.

Avec grande pompe le week-end, Félix Tshisekedi, président de la République a inauguré une nouvelle cité de résidence des officiers supérieurs et généraux des Forces armées congolaises, baptisée « Pool Malebo » en raison de son emplacement aux abords du fleuve Congo.

Pourtant la construction d’un autre site destiné toujours aux Forces de sécurité, lancée dans le cadre du programme dit de « 100 jours » dans le camp Tshatshi reste en berne en raison d’un détournement des fonds dédiés à ces travaux dont les présumés coupables sont acquittés. L’avenir de cette cité reste incertain, « Pool Malebo » comble-t-il la débâcle de 100 jours?

Dans sa prise de parole, Gilbert Kabanda, ministre de la Défense nationale a spécifié que «ces résultats ne constituent que les prémisses du projet, lequel va s’étendre sur les cinq prochaines années»a-t-il dit. Il reste à savoir si les maisons préfabriquées, à l’abandon au camp Tshatshi, seront aussi intégrées dans ce projet quinquennal.

La cérémonie inaugurale s’est ténue dans l’enceinte de cette nouvelle cité située dans la commune de la N’sele à Kinshasa, au cours de laquelle au moins 30 officiers gradés de l’armée ont symboliquement reçu de mains propres du chef de l’État, les clés de ce qui sera désormais leurs nouvelles résidences.

Cette nouvelle cité réservée aux élites du commandement de l’armée nationale compte au total 190 logements modernes dont les 30 premiers sont déjà rendus viables grâce aux travaux de construction de la société Congo International investment Group (CIIG).

Pour M. Kabanda, «au delà de la sphère des officiers généraux et supérieurs ce projet couvrira également les besoins en logement de tous les officiers et sous officiers de carrière».

Les finalistes de l’école primaire sur l’ensemble du territoire national vont passer du 5 au 6 juillet prochain
l’examen national de fin d’études primaire (ENAFEP).

Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), Tony Mwaba va procéder au lancement de ces épreuves à Kisangani dans la province de la Tshopo.

Le ministère de l’EPST qui confirme cette information, indique qu’après la Tshopo, Tony Mwaba se rendra dans le Grand Katanga pour le lancement de la session ordinaire des finalistes du secondaire/cycle long et court prévue du 18 au 21 juillet.

Alors que c’était prévu le 23 juin dernier, l’ENAFEP a été reprogrammé suite aux contraintes liées au transport aérien, c’est ce qu’avait indiqué le ministère de tutelle.

À l’occasion de la 62ème fête de l’indépendance de la RDC, le président de la République Félix Tshisekedi a salué l’enterrement digne de ce nom et l’ hommage que le gouvernement a réservé à l’héros national, Patrice-Emery Lumumba.

Pour le premier citoyen congolais, 62 ans après la mort de Patrice-Émery Lumumba et ses deux compagnons politiques à savoir Maurice Mpolo, et Joseph Okito, l’appropriation de son patriotisme est la meilleure des manières de lui rendre hommage.

« Le véritable hommage que tout gouvernant, détenteur du pouvoir public est appelé à rendre à Patrice-Emery LUMUMBA, c’est de s’approprier sa passion pour son pays, son modèle de gouvernance ainsi que sa détermination à réussir » a lâché le Président de la République aux membres du gouvernement.

Au cours de la récente réunion du conseil des ministres, le chef de l’Etat congolais a convié l’exécutif national de méditer sur le testament laissé par le tout premier Premier ministre congolais, dans un contexte où la souveraineté ainsi que l’intégrité territoriale sont mises à l’épreuve.

Selon le Président Tshisekedi, il est plus qu’urgent que les membres du Gouvernement appuient l’effort de guerre, chacun dans ses attributions respectives.

À cette même occasion, il a encouragé le Premier ministre et ses membres du gouvernement pour l’évaluation de leurs actions et programmes dans les zones sous état de siège, afin de contribuer efficacement à lutter contre la guerre à l’Est, et améliorer tant soit peu les conditions de vie de la population congolaise dans cette contrée.

Dans cette même démarche, Félix Tshisekedi a exhorté chaque membre du gouvernement à se montrer exemplaire en faisant de leur ministère, la vitrine par laquelle le peuple peut identifier les traces de la gouvernance de Patrice-Emery Lumumba.

C’est le vendredi 1er juillet 2022 dans le hall de l’Institut français en ville de Goma que deux films documentaires tournés par les fils du Nord-Kivu ont été visualisés.

Il s’agit du film « NIA » en français « Envie » du jeune réalisateur congolais Lebon Kasamira. Ce documentaire retrace l’histoire d’une jeune artiste qui compte réécrire l’histoire par le slam. Elle estime qu’elle peut mieux faire localement et devenir vedette sans envie d’aller en dehors de la RDC.

Un autre film c’est « La voix des oubliés » du réalisateur et vidéaste Mulisya Kelly en provenance de la ville de Beni au nord de la province.
Ce documentaire retrace aussi l’histoire originale de la marche des élèves de Beni qui avaient passé 72 heures de sit-in devant la mairie pour émettre leur voix et dire non aux tueries et réclamer une paix durable dans leur région.

« Ce qui nous a beaucoup plu à faire ce documentaire, la voix des oubliés, c’est beaucoup plus la détermination des enfants face à ce qui se passe aussi dans la communauté depuis une décennie. Ces jeunes écoliers n’ont pas été refroidi par rapport à la situation d’insécurité et massacre, ils ont aussi exprimé leur voix; et personnellement j’avais trouvé intéressant de documenter cela pour faire parvenir cette voix là au monde entier » a expliqué le réalisateur Mulisya Kelly.

Du côté de l’organisateur, Stawart Muhindo du Collectif Habari RDC, cette soirée de projection avait pour but notamment de présenter la situation actuelle dans la région et appelle le public gomatracien à rejoindre le combat pour la paix que mène chaque jour les populations du grand nord de la province.

A noter qu’après la tournée à travers les zones ciblées par les organisateurs, les documentaires seront disponibles sur toutes les plateformes de téléchargement et pourra être rendu disponible pour la consommation du grand public.