Ouverts vendredi 25 mars, les travaux de la Commission paritaire gouvernement-banc syndical de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU) ont été une satisfaction pour le Réseau des associations des professeurs du Congo (RAPUCO) qui croit à une issue favorable.
» Aujourd’hui est un grand jour pour l’enseignement supérieur et universitaire parce que, le gouvernement s’est ressaisi pour lancer les travaux en commission paritaire (…). Nous espérons que la volonté que le gouvernement affiche est réelle », a dit le coordinateur du RAPUCO.
Représentant du Premier ministre, le vice-Premier ministre , en charge de la Fonction publique Jean-Pierre Lihau a rassuré de la ferme volonté du Gouvernement à donner des réponses aux recommandations des professeurs.
« Il est temps de remplacer les paroles par les actes. Les discours on en a assez, maintenant il faut agir », a-t-il soutenu.
Un engagement réaffirmé par le ministre de l’ESU, Muhindo Nzangi qui a rassuré la communauté universitaire d’un compromis raisonnable entre les deux parties, ce, avant d’affirmer que toutes les dispositions sont prises pour que ces assises se déroulent correctement.
Une information confirmée par Jimmy Ambumba, président de la commission PAJ de l’Union pour la démocratie et progrès social (Udps). « Ce n’est plus qu’une question de négociations. Le parti y travaille d’arrache-pied », a dit Me Ambumba.
Ce dernier a ajouté que « lorsque l’autorité de référence du parti (Félix Tshisekedi) décidera sur la proposition qui lui sera soumise, l’opinion sera informée »
Après avoir annoncé sa démission sur sa page Twitter au mois de février dernier, Jean-Marc Kabund alors premier vice-président de l’Assemblée nationale a également été radié du parti et du de président a.i de l’Udps qu’il occupait depuis l’arrivée de Félix Tshisekedi à la tête du pays.
« Courage les gars. Vous avez été formidables », a dit le président congolais Félix Tshisekedi, au sortir du stade ce vendredi 25 mars, à l’issue du match aller entre les Léopards de la République démocratique du Congo et les Lions de l’Atlas, l’équipe marocaine.
« Cette équipe est prenable. Je n’ai pas été impressionné par leur prestation. Nous étions capables de marquer 4 buts. Pas de panique les gars », a-t-il déclaré, avant de rassurer que, “ je veux être avec vous au Maroc et je sais que nous serons qualifiés”.
Ce vendredi 25 mars se jouait la manche aller du match RDC-Maroc, comptant pour les barrages du mondial Qatar 2022. Une rencontre à laquelle la RDC été ténue accroché sur le score de 1-1.
Au lendemain de la participation de la République démocratique du Congo (RDC) à l’exposition Dubaï 2020, Modero Nsimba, ministre congolais de Tourisme estime que son pays a, à cette occasion bien vendu son « écotourisme ».
« Nous avons présenté notre potentiel touristique. Nous avons 9 parcs nationaux. Les opportunités d’investissement s’étendent jusqu’à 37 mètres le long du littoral atlantique, 4700 kilomètres du fleuve Congo », a-t-il déclaré avant de quitter les Émirats Arabes Unis.
Et de soutenir que « de retour à Kinshasa, je rentre avec l’espoir. Nous avons présenté l’offre et nous attendons », a-t-il indiqué.
Rappelons qu’à cette exposition, le président congolais, Félix Tshisekedi y a également pris part.
Les prochaines dates de la tenue des IXe jeux de la francophonie sont désormais connues après le report de la part de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Dans un communiqué publié samedi 19 mars au terme d’une réunion présidée par Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de l’OIF, l’instance faîtière de ces jeux a indiqué que les jeux vont se tenir du 26 juillet août 2023 à Kinshasa, capitale de la RDC.
En ce qui concerne les travaux en cours, l’OIF affirme son engagement avec le gouvernement congolais de tout mettre en œuvre pour les achever dans le délai et garantir le succès.
Initialement prévu en 2021, les IXe jeux de la francophonie prévus à Kinshasa sont allés de report en report, d’abord à cause de la pandémie, ensuite à cause du retard accumulé par le gouvernement congolais dans la construction des infrastructures devant abriter ces jeux. Mais cette fois, ces dates semblent les bonnes.
Plus de 50 jours après son arrestation début février dernier, François Beya, l’ancien Conseiller en charge de sécurité du Président congolais Félix Tshisekedi, continue à rester dans les geôles de l’Agence nationale des renseignements (ANR).
Une violation de loi que dénonce André Claudel Lubaya, Député national et président national de UDA original. Pour l’élu de Kananga, continuer à détenir l’ancien chef de sécurité sans « acte légal renforce le caractère extrêmement arbitraire de son arrestation et remet en cause les principes même qui sous-tendent l’État de droit », dit-il dans une publication consultée par votre média. D’où son interpellation au chef de l’Etat congolais.
« J’en appelle à la bienveillance et au juste arbitrage du président de la République pour qu’il use de tous les moyens légaux en son pouvoir afin que son ancien Conseiller spécial soit remis vivant, sain et sauf, à sa famille », écrit-il dans sa tribune.
Et d’ajouter: » Plus de 50 jours après, continuer à détenir au secret Monsieur François Beya, sans acte légal d’accusation et en violation manifestement délibérée de ses droits fondamentaux garantis par notre Constitution et par les instruments juridiques internationaux de protection des droits de l’homme, renforce le caractère extrêmement arbitraire de son arrestation et remet en cause les principes même qui sous-tendent l’État de droit. Enfermé à l’ombre du silence par le fait du prince ; sans jugement, sans assistance d’avocat ni condamnation, en violation des articles 18 et 19 de la Constitution, 9 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et 6–7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, l’ancien Conseiller spécial est livré à la merci de l’arbitraire, dans l’indifférence obséquieuse du Ministère de la Justice et de celui des Droits Humains ainsi que de la Commission nationale des droits de l’homme. Ces conditions pour le moins attentatoires le mettent en insécurité physique, juridique et judiciaire de même qu’elles placent la RDC sur la liste des États prédateurs des droits de l’homme », souligne-t-il.
Et de marteler: « En l’absence d’une procédure judiciaire honnête et d’une accusation irréprochable, l’affaire François Beya, dont le supplice énerve les lois du pays de même qu’il heurte le bon sens le plus élémentaire devrait interpeller plus d’un sur notre entendement de l’État de droit. Plus rien, sauf le désir d’arbitraire de ses geôliers ne justifie son maintien dans une détention aux contours visiblement contestables. Laisser perdurer cette infamie, c’est consacrer l’usage excessif et abusif du pouvoir et le règne de l’arbitraire dans un pays qui, pourtant, s’apprête à prendre part, le 28 mars prochain à Genève, à la 49ème Session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies et à accueillir début juillet, Sa Sainteté le Pape François.
Enfin, au président Tshisekedi, le député sollicite vivement et solennellement sa bienveillance.
« Fort de ma qualité d’élu, j’en appelle solennellement à la bienveillance et au juste arbitrage du Président de la République, Magistrat suprême, qui sort auréolé d’un prestige certain à la Présidence de l’Union Africaine, pour que cette affaire ne constitue pas une souillure sur son parcours et qu’il use de tous les moyens légaux en son pouvoir pour que François Beya, son ancien Conseiller spécial en matière de sécurité, soit remis vivant, sain et sauf, à sa famille. Et l’histoire retiendra que le Président de la République a rendu justice et agi avec équité dans une affaire controversée ».
Rappelons que c’est au mois de février dernier que François Beya a été interpellé, pour sa présumée implication dans un coup d’Etat présumé.
Eve Bazaiba, vice-Premier ministre en charge de l’Environnement et du Développement durable était, jeudi 24 mars, du haut de la tribune au 9ème Forum Mondial de l’eau ouvert le 22 mars à Dakar capitale du Sénégal.
L’occasion pour le numéro 1 de l’environnement congolais de vanter les potentialités naturelles que regorge la RDC avant d’inviter les États à contribuer aux efforts de la rentabilisation des ressources en eau de la RDC, pour les pays en carence de l’eau.
Forte de son potentiel environnementale dont 10% de réserve d’eaux douces du monde et 52% des eaux douces d’Afrique, la RDC se présente comme une alternative à la sécurité de l’eau en faveur de la paix et le développement dans le monde, a relevé Ève Bazaiba.
« …il y a beaucoup de pays d’Afrique qui manquent d’eau et beaucoup de pays du monde qui manquent d’eau. Nous, nous avons de l’eau, nous avons ce potentiel environnemental très important; mais nous avons besoin de la technologie qui devra nous permettre de rentabiliser ces ressources en eau « , a-t-elle insisté, soutenant qu’il faut urgemment intégrer cette donne.
Cette session a coïncidé avec le 20ème anniversaire de la Conférence des ministres africains sur les eaux. Ce forum de Dakar est une première en Afrique Subsaharienne, il ira jusqu’au 27 mars sous le thème : »la sécurité de l’eau pour la paix et le développement «
Pas de vainqueur ni vaincu, mais les fauves congolais quittent la pelouse du stade de Martyrs dans une déception totale. Le président de la République reste sans mots pourtant il a beaucoup misé pour une victoire à Kinshasa. Mais ça n’a pas été le cas.
Les tapages, la propagande des politiques n’ont abouti qu’à un nul. La communication et la sensibilisation pour le match a été plus forte que le jeu produit par les hommes de Hector Cuper sur terrain.
Dès l’entame, les marocains se sont montrés dangereux après une incursion dans la défense congolaise. Ça ne sera qu’une fausse alerte pour la cage gardée par Joël Kiassumbua.
Yoan Wissa répond plus efficacement en inscrivant à la 14ème minute un but pour la République démocratique du Congo (RDC). La joie pour les supporters venus nombreux au stade. Mais un somnifère pour ses coéquipiers qui ne fourniront plus d’effort pour alourdir le score.
Au retour des vestiaires, la RDC baisse d’un cran. Le Maroc en profite pour gagner plus des lignes jusqu’à obtenir un penalty qui sera malheureusement manqué.
Les congolais sont loin d’avoir une leçon pour assurer les arriérés. Les marocains reviennent à la charge et marquent à la 75ème minute dans une combinaison entre deux joueurs. La défense ne constate que le dégât, (1-1).
Le score va en rester là. Ce n’est que le match aller. Le verdict est prévu le 29 mars prochain au stade Mohamed V à Casablanca.
Dans un mémo déposé ce vendredi 25 mars au bureau de Jean-Michel Sama Lukonde, la délégation syndicale du Fonds de promotion de l’éducation et de la formation (FPEF) a tiré la sonnette d’alarme sur la situation de crise qui s’est installée entre cet établissement public et le sous-secteur de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), à la suite de l’instruction académique n°023 du ministre de l’ESU, où une grossière illégalité s’est glissée au point 222, relatif à la disposition qui prévoit l’ouverture « ,d’un compte de transit », géré par le Secrétaire général à l’ESU, en vue de recevoir la quotité du produit des frais académiques pourtant dévolu au FPEF, a indiqué cette délégation dans son mémorandum.
Pour cette délégation, l’instruction du ministre Muhindo Nzangi énerve la loi, dès lors que le Fonds de promotion de l’éducation et de la formation est non seulement un établissement public, mais il est aussi un « compte spécial » repris dans la Loi des Finances avec des assignations clairement fixées par l’autorité budgétaire, martèle-t-on dans le mémo.
« Que le ministre de l’ESU revienne sur cette décision qui est illégale. D’habitude depuis toutes ces années cette quotité est toujours versée dans le compte du FPEF. Pourquoi ? Parce que nous sommes un établissement public doté d’une autonomie de gestion administrative et financière« , a déclaré Madame Charlotte Kapesa, chargée de la parité au Fonds de promotion de l’éducation et formation.
Dans le même ordre, elle a indiqué que la décision du ministre vient amputer cet établissement public de toutes ses ressources. « Nous n’avons que deux ressources minervales: EPST et ESU. Maintenant le ministre a enlevé une grande partie de ces ressources, en attendant celles du nouveau décret qui ne sont pas encore activées, mais qui le seront bientôt, avec la signature des arrêtés ministériels. À la Primauté, nous avons déposé notre mémorandum. Le Premier ministre étant absent, nous avons été reçus par le Collège socio-culturel qui s’occupe de l’éducation. Ils ont promis de répondre de manière imminente », a-t-elle encore soutenu.
Rappelant les différentes démarches menées par le Directeur général du FPEF, ainsi que la lettre du ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) auprès de son collègue de l’ESU, sans succès, elle a dénoncé une situation qui préjudicie lourdement la bonne marche et le social du personnel du FPEF, en tant une structure qui doit accompagner le chef de l’Etat congolais, dans sa vision de gratuité de l’enseignement, ainsi que la politique du gouvernement.
Au plan des recommandations, la délégation syndicale a sollicité au Premier ministre de demander au ministre de l’ESU de reconnaître la nullité de l’instruction académique n°023 dans les considérations concernant le FPEF, de tirer les conséquences pratiques de cette nullité et autoriser, par voie de conséquence le recouvrement de la quotité du produit des frais académiques par le FPEF en vertu du décret et de l’arrêté interministériel évoqué supra, et ce, conformément à la loi n°08/009 du 7 juillet 2008 portant dispositions générales, applicables aux établissements publics et de la loi n°11/011 du 13 juillet 2011, relatives aux Finances publiques. De demander aux ministres des Mines, Industrie, PTN-TIC, Emploi, travail et prévoyance sociale, de signer des arrêtés ministériels avec le ministre de l’EPST, tutelle du FPEF pour l’activation rapide des quotités à tirer des ressources innovantes prévues dans le décret n°021/06 du 24 novembre 2021, portant, organisation et fonctionnement du FPEF.
Signalons qu’après le Bureau du Premier ministre, la délégation du FPEF a pris la direction du Ministère de l’ESU pour la même démarche.
A quelques heures de la grande rencontre entre les Léopards de la RDC et les lions de l’Atlas de Maroc comptant pour les barrages de la coupe du monde Qatar 2022, les sportifs de Goma au Nord-Kivu émettent déjà leurs pronostics.
Des pronostics qui vont tous dans le sens positif. Si pour les uns, les Léopards vont gagner par 3 buts à zéro, d’autres par contre estiment que le match sera terminé par deux buts à 1 en faveur de la RDC.
C’est le cas du coach Thaudé Farini, l’un des grands techniciens de sport dans la ville de Goma qui, confiant à la sélection de Hector Cuper estime que la victoire sera de la partie congolaise.
Dans les rues de Goma, certains citoyens ordinaires n’ont pas cessé de manifester leur indefectible soutien aux Léopards congolais qui vont mouiller les maillots au stade des Martyrs ce vendredi 25 mars à partir de 17h heure de Goma.
Il sied de noter que, sur les 28 joueurs invités par le sélectionneur congolais, 27 sont déjà présents à Kinshasa, y compris Meschack Elia qui est arrivé la soirée du jeudi 24 mars.
C’est ce jeudi 24 mars que s’est clôturé l’atelier sur le journalisme, les fake news et la mesinformation, organisé par l’association des Médias d’information en ligne (MILRDC).
La question sur la lutte contre les fausses informations qui cèdent la place à la rupture de confiance du public auprès des médias, a été longuement discutée par les professionnels des médias, pendant deux jours.
Plusieurs intervenants ont tour à tour expliqué les stratégies et les techniques de lutte contre ce problème qui ronge le secteur médiatique.
Lors de son intervention ce jeudi 24 mars, Thérèse Ntumba a relevé 3 outils permettant aux journalistes de détecter les fausses images, c’est-à-dire modifiées ou montées. Il s’agit, notamment, de Google reverse image, Yandex et Tineyer.
« Tous les jours nous faisons face aux fakes news dans l’exercice de notre métier, surtout avec l’avènement des réseaux sociaux, donc chaque jour, nous recevons au moins une fausse image, une fausse information. Les outils que nous avons présenté ce jour permettront aux journalistes de ne plus tomber dans le piège des fakes news afin de conserver leur crédibilité auprès du public », a-t-elle soutenu.
Appuyée par Internews, cette activité a réuni les journalistes de télévisions, radios et des Médias d’information en Ligne du mercredi 23 au jeudi 24 mars à Kinshasa.
Des prix des chinchards, poulets et autres produits surgelés ont augmenté sur le marché congolais, a-t-on observé.
Ce, depuis la rupture du stock du gouvernement congolais, importé de la Namibie, fin 2021 dernière. Les surgelés, tels que le poulet ou les cuisses de poulet, qui se font rare ces derniers temps connaissent aussi une ascension sur le marché.
À en croire plusieurs témoignages, les importateurs des produits surgelés ont augmenté les prix de ces poissons massivement consommés par les populations congolaises à longueur d’année. Ces derniers, parmi lesquels des expatriés avaient gardé leurs stocks, après à l’arrivée de la cargaison importée en Namibie par l’Etat congolais, pour éviter la rupture de ces produits aux dernières festivités de la nativité et la saint sylvestre. Depuis la fin des chinchards importés de la Namibie, les importateurs privés ont doublé et voire triplé les prix, témoigne-t-on encore.
« La quantité commandée par le gouvernement la fin de l’année dernière est finie. Face à la forte demande de consommation, elle n’a pas résisté. À ce jour, il y a manque des poissons chinchards, et les tenanciers du secteur en ont profité pour augmenter les prix et faire affaire », déclare une vendeuse au marché Gambela.
En rappel, l’année dernière le gouvernement de la RDC avait versé l’équivalent de 6 millions de dollars américains à la Namibie, en vue d’obtenir 27. 300 tonnes de poissons chinchards.
Le ministre namibien de la Pêche, Derek Klazen, a notifié à son homologue congolais en charge de l’Economie, Jean-Marie Kalumba, de la régularisation du quota de pêche de la République démocratique du Congo (RDC), dont l’échéance est fixé à décembre 2022 courant.
« En vertu des pouvoirs qui me sont conférés par l’article 33 de la loi de 2000 sur les ressources marines, j’accorde, par la présente au gouvernement de la RDC, le droit de récolter à des fins commerciales, les 27 300 tonnes métriques non capturés du quota de poissons chinchards pour la période 2022, ceci prenant cours à partir du 7 mars 2022 et expirant le 31 décembre 2022 », a renseigné un article de nos confrères de Actualité.CD, un média en ligne en RDC. Côté congolais, cette correspondance a été rendue publique par le Jean-Marie Kalumba, le mardi 22 mars dernier, a-t-on souligné.
Une autorisation qui n’est pas sans conditions, a précisé ce média. Dans sa correspondance au ministre congolais, le namibien a imposé que la main d’oeuvre namibienne soit prise en charge par le gouvernement congolais et informer la Namibie de la quantité de poissons réellement pêchés (..).
D’autres conditions c’est que, « le navire qui devra être utilisé pour les opérations de pêche devait tenir compte de la main-d’œuvre namibienne qui ne doit pas être inférieure à 55 % », a signifié le namibien Derek Klezen à son homologue congolais. Et de prévenir qu’« il est prévu qu’à la fin de la saison de pêche, mon bureau soit informé sur les tonnes métriques de poissons réellement pêchés et le solde, le cas échéant. Et que le quota garantit que les chinchards doivent être pêchés au plus tard le 31 décembre 2022, car aucune prolongation ne sera accordée ».
Autre chose, le gouvernement namibien exige à ce que les fonds soient débloqués avant. Ce qui permettra à la partie congolaise de pêcher dans le temps la totalité de son quota de chinchards. Aussi, que cette pêche ait lieu au moment opportun, afin qu’au 31 décembre prochain le quota soit atteint.
Rappelons que le quota de poissons chinchards ( communément Mpiodi), avait été négocié par le gouvernement congolais l’année dernière, alors que les importateurs des surgelés avaient refusé de respecter les prix concertés avec le gouvernement sur le marché.
Ils seront au stade des Martyrs ce vendredi 25 mars, pour apporter leur soutien aux joueurs congolais qui vont livrer le match aller face à la sélection marocaine, dans le cadre des barrages de la coupe du monde Qatar 2022. Il s’agit du président Félix Tshisekedi et tout le Gouvernement Sama Lukonde.
L’annonce a été faite par le chef du Gouvernement mercredi dernier, lors d’un entretien avec les Léopards au stade des Martyrs.
Sur place, il a rassuré aux fauves congolais que tous les efforts sont réunis pour qu’ils arrivent aux résultats, 47 ans après la dernière qualification à la coupe du monde.
« Vous ne pouvez pas vous imaginer tout l’engouement qu’il y a parce que ça semble être un moment banal mais sincèrement, on est vraiment en train d’écrire l’histoire et on a une opportunité historique 48 ans après. C’est le moment. Et on fera avec vous. Ça sera avec le nom et chacun de vous », a signifié Sama Lukonde.
Notons que, seulement 25.000 billets seront vendus pour cette rencontre de la manche aller, prévue à 16 heures, dont le billet est vendu à 20.000 FC.
C’est dans ce quartier de la commune de Limete, que la brigade mise en place par le Ministère des Hydrocarbures a mené son opération avec l’appui de la Police nationale congolaise (PNC), afin de découvrir ce dépôt clandestin de carburant.
Au lendemain de l’incendie d’un dépôt de carburant au quartier De bonhomme, dans la commune de Matete, le ministre Didier Budimbu, avait exprimé sa volonté de mettre en place une brigade, avec un objectif de fouiller tous les entrepôts clandestins de carburant. À l’occasion, il avait même fait part d’une plainte contre le responsable du dépôt de Matete.
La double confrontation entre les Léopards de la République démocratique du Congo (RDC) et les Lions de l’Atlas du Maroc semble se jouer sur tous les fronts. Tous les coups sont permis. Même la désinformation. Dès son atterrissage à Kinshasa, l’équipe marocaine a joué sa première carte.
Cette dernière par l’entremise de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), qui a déposé une réclamation auprès du secrétariat général de la Confédération africaine de football (CAF), pour un prétendu agissement « anti-fair-play » des dirigeants sportifs congolais à l’égard de son équipe nationale à son arrivée Kinshasa.
La FRMF a dénoncé l’absence des représentants officiels de la Fédération congolaise de football association (FECOFA) pour l’accueil de l’équipe visiteuse, l’absence des deux bus loués par les marocains pour le transfert de l’équipe de l’aéroport à l’hôtel, ainsi que l’exposition de la délégation marocaine à des supporteurs locaux, empêchant ainsi son passage,
En contre réaction, la Fecofa, dans une correspondance adressée aux cadres de la CAF, n’a pas caché sa désolation concernant les « propos mensongers » émis par la Fédération royale marocaine de football (FRMF).
Sans passer par le dos de la cuillère, les responsables de la Fecofa ont appelé d’une voix ferme, la Fédération marocaine à retirer à retirer ses propos « infondés, contenus dans sa correspondance adressée à la CAF ».
Signalons que, les deux entraîneurs seront face à la presse ce jeudi avant le face à face entre les deux équipes prévu au stade des Martyrs de la Pentecôte.
Le journaliste Isidore Eric Cibamba appelle le Premier ministre à associer les médias et journalistes de l’intérieur au projet de développement de 145 territoires de la République Démocratique du Congo.
Dans une correspondance adressée le 22 mars au chef du gouvernement Jean-michel Sama Lukonde, exploitée par Kt.cd, ce chevalier de la plume, explique que la réussite d’un projet comme celui du développement des 145 territoires exige que tous les Congolais se l’approprient.
Selon Eric Cibamba, au regard de la réalité sur terrain où la désorientation politique et médiatique fait la loi, « il est important d’associer les journalistes et médias des milieux ruraux pouvant ainsi informer et former la population autochtone grâce aux programmes diffusés », peut-on lire dans sa lettre.
Une déclaration qui n’est pas étonnante parce que les élus provinciaux communiquent pas assez avec leur base et les médias locaux sont représentés comme les seuls canaux par excellence informant dans ce milieux. A-t-il tenté de rappelé le premier Ministre Sama Lukunde.
« Monsieur le Premier Ministre, Sama Lukonde, j’apprécie l’idée de réunir les Députés provinciaux pour s’imprégner du projet de développement de 145 territoires. Cependant, vous êtes sans ignorer que la plupart de nos élus communiquent à peine avec leurs bases. Dans cette situation, les médias locaux restent le canal par excellence pour atteindre la population », a-t-il écrit au Chef du gouvernement. En Exhortateur, le Journaliste Éric Cibamba relève un fait.
Le journaliste demande que le Premier ministre tient compte des professionnels de médias travaillant à l’intérieur du pays, parce que la Rdc ne se résume pas qu’à la ville de Kinshasa.
« Le choix des Journalistes vivant dans la capitale Kinshasa dans les projets gouvernementaux réalisés en provinces tend vers la discrimination contre les Journalistes des milieux directement concernés et ayant à la main la réalité quotidienne ». Dit-il.
Loin l’idée de s’attaquer aux confrères Kinois , Eric Cibamba note simplement que « Kinshasa n’est pas la RDC ». Pour réussir, « il faut associer tout le monde », estime-t-il.
Pressenti comme grand absent dans la double confrontation des barrages mondial Qatar 2022, entre la RDC et le Maroc après son vol manqué mercredi dernier, Meschack Elia sera bel et bien de la partie mais ne pourra jouer que le match retour à Casablanca.
Cette information a été annoncée par les sources gouvernementales quelques heures après des affirmations sur l’incertitude de cet ancien du TP Mazembe dans cette rencontre des barrages. « sur intervention personnelle du Chef de l’Etat Meschack Elia est en route pour Kinshasa», a rapporté un membre du gouvernement.
Même si ce dernier ne sera pas de la partie le 25 mars au stade de martyrs, il sera dans le groupe au match retour à Casablanca le 29 mars prochain.
Dans un communiqué rendu public le 24 mars 2022, Le ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU) Muhindo Nzangi a annoncé le chronogramme du déroulement des travaux de la commission paritaire gouvernement-banc syndicat du personnel de l’ESU et de la recherche scientifique qui débutera ce vendredi 25 mars .
Vendredi 25 mars aura lieu la lecture et adoption du TDR et du RCI par la commission ad hoc. Le calendrier des activités sera adopté samedi 26 mars, les commissions seront regroupées dimanche 27 mars.
Quant à la plénière de la commission paritaire, elle aura lieu lundi 28 2022.
Convoqué pour la double confrontation entre les Léopards de la RDC et les Lions de l’Atlas du Maroc, l’ailier de Young Boys en Suisse, Meschack Elia éprouve des difficultés pour effectuer son déplacement en RDC.
En toile de fond, son statut de réfugié politique et l’inaction de la Fédération congolaise de football association (FECOFA) et du ministère des Sports pour le changement de son statut.
Pourtant, Meschack Elia avait sollicité l’implication des autorités sportives pour sa participation dans cette double confrontation dont le match aller est prévu en moins de 48h au stade de Martyrs à Kinshasa.
Mais la convocation de Hector Cuper n’a pas suffi pour espérer à un retour de cet attaquant congolais qui n’a plus joué pour son pays depuis plus de deux ans.
Pour suppléer à son absence, des sources confient que l’actuel avant-centre de Kasimpasa en Turquie, Jackson Muleka. Tous les Léopards convoqués par le technicien argentin sont déjà regroupés à Kinshasa où il s’entraîne depuis près de 72h.
La vice-Premier ministre, ministre de l’Environnement et du développement durable séjourne à Dakar au Sénégal depuis lundi dernier. Eve Bazaiba Masudi prend part pour le compte de la RDC au 9ème Forum Mondial de l’eau.
Les Gouvernements , le secteur privé et les organisations de la société civile planchent sur 4 priorités au cours de ces assises dont la sécurité de l’eau, l’assainissement, la coopération et le développement rural. Les participants devront également renforcer la mise en œuvre des actions nécessaires à l’atteinte des objectifs du développement durable (ODD).
La grande messe de l’eau de Dakar offre une plate-forme d’expression pour les parties prenantes notamment les groupes des femmes, les jeunes, les agriculteurs, éleveurs et pêcheurs et va contribuer à la transformation de la vie quotidienne des populations et à l’amélioration des performances des secteurs productifs.
Ce forum, le premier du genre en Afrique Subsaharienne réuni du 22 au 27 Mars 2022, la communauté mondiale de l’eau et de l’assainissement. Le thème retenu cette année: « la sécurité de l’eau pour la paix et le développement »
Outre le Président sénégalais Macky sall, hôte de l’événement, Denis Sassou Nguesso du Congo Brazzaville, Sahlé Work Zewde d’Ethiopie, Mohamed Ould Ghazouani de la Mauritanie et Umaro Sissoco Embalo de la Guinée Bissau prennent part à ce Forum. David Malpass de la Banque Mondiale et Akinwumi Adenisa de la Banque Africaine de Développement (BAD) sont aussi conviés.
En moins de 48 heures du match aller entre la RDC et le Maroc, la Fédération congolaise de Football (FECOFA) annoncé que le billet de cette rencontre sera vendu ce jeudi 24 mars.
Fixé à 20.000 FC, le billet sera vendu au stade des Martyrs et au siège de la FECOFA à partir de 9 heures, précise la même source.
« Le Secrétaire général de la Fédération congolaise de Football Association (FECOFA) porte à la connaissance des sportifs congolais amoureux du football que la vente des billets d’accès au stade des Martyrs aura lieu demain jeudi 24 mars 2022 à partir de 9h00», a écrit le SG de la FECOFA, Belge Situatala.
Prévue ce vendredi 25 mars, cette rencontre va débuter à partir de 16 heures de Kinshasa, soit 4 jours avant le match retour au Maroc.
L’humanité a célébré le mardi 22 mars dernier, la 29ème édition de la journée mondiale de l’eau potable. À cette occasion, Mercy Corps, une organisation internationale non gouvernementale d’aide humanitaire et de développement opérationnel, présente en République démocratique du Congo (RDC) depuis 2007 n’a pas manquer à vanter ses mérites, pour ses multiples interventions dans ce secteur.
Dans une interview accordée à Kt.cd ce mercredi 23 mars, Tom Mosquera chief of party-USAID’s sustainable water and sanitation Systems activity , a indiqué que Mercy Corps fournit une aide d’urgence vitale aux personnes les plus vulnérables, affectées par le conflit à l’est de la RDC, tout en travaillant avec les communautés pour créer des solutions durables pour la croissance économique, l’atténuation des conflits et une sécurité alimentaire et hydrique durable.
Poursuivant, l’humanitaire a fait savoir que dans le cadre du projet IMAGINE, son organisation a desservi en eau potable plus de 1.000.000.000 de personnes, en provinces du Nord et du Sud-Kivu. Une intervention qui a contribué sensiblement à la réduction du taux de diarrhée chez les enfants de moins de cinq ans de 13% à 4,6 % et 5,3 % respectivement pour Goma et Bukavu, de février 2016 à février 2021.
Dans le cadre d’amélioration des conditions d’accès à l’eau potable, MC a construit et réhabilité des points d’eau (bornes de fontaine et sources) pour desservir une population de 65 000 habitants dans ses zones d’intervention dans la province du Sud-Kivu.
En marge de cette journée, l’ONG a organisé une séance d’échanges avec les membres des conseils locaux de la jeunesse des quartiers Mugunga et Lac-vert, pour réfléchir sur la problématique de l’accès à l’eau potable dans leur entité respective; pendant qu’au Sud-Kivu elle a collaboré avec les zones de santé de Miti Murhesa et Katana.
Quid de la desserte en eau potable après éruption ?
L’éruption du volcan Nyiragongo, le samedi 22 mai de l’année dernière, a sensiblement affecté la desserte en eau potable dans plusieurs quartiers de la ville de Goma et en territoire de Nyiragongo.
En effet, les conduites d’eau ont été endommagées par la lave. Des milliers des ménages qui s’étaient déplacés vers la localité de Sake, à environ 30 km de Goma, n’ont pas trouver de l’eau en retournant dans leurs quartiers. Une situation qui a ramené près de 900.000, du nombre de population qui accède à l’eau, pourtant avant l’éruption c’était un peu plus élevé que ça.
« Cette éruption avait affecté notre réservoir de Bushara en territoire de Nyiragongo, causant ainsi plusieurs dommages dans la fourniture de l’eau. Nos techniciens sont à pied d’œuvre et quand ils vont finir avec les travaux, nous estimons que les chiffres atteindront les 1000.000.000 pourquoi pas plus « , a dit Tom Mosquera.
Signalons que, pour cette année, l’attention a été portée sur les eaux souterraines, comme une ressource invisible dont l’impact est visible partout dans le monde pour commémorer cette journée.
En séance d’entraînement ce mercredi 23 mars, les joueurs congolais ont reçu la visite du Premier ministre Sama Lukonde, qui leur a apporté le message d’encouragement du chef de l’Etat et de toute la population congolaise.
En moins de trois jours du match aller, le chef du gouvernement congolais a fait savoir aux joueurs que tous les efforts sont fournis pour que le pays obtienne la qualification.
« Le premier message d’encouragement que je vous transmets c’est celui du président de la République, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Le deuxième message c’est celui de toute la population congolaise. Vous ne pouvez pas vous imaginer tout l’engouement qu’il y a parce que ça semble être un moment banal, mais sincèrement on est vraiment en train d’écrire l’histoire et on a une opportunité historique, 48 ans après », a-t-il dit.
Le chef de l’exécutif a rassuré que le jour de cette rencontre, tout le Gouvernement accompagnera le président de la République pour leur apporter le soutien.
« Cette histoire va s’écrire avec un effort collectif de l’équipe, de chaque joueur et de tout le peuple congolais qui est derrière vous pour cette victoire. On y croit. Je pense que vous comprenez l’enjeu. Là où je suis encore très rassuré c’est qu’à l’entame de l’entraînement et à la clôture, ça commence toujours par une prière. Et donc nous mettons aussi Dieu à contribution (…) Tous les efforts sont fournis pour que nous arrivions aux résultats et avec le ministre des sports qui est ici présent avec nous », a-t-il ajouté.
Alors que le Tribunal de grande instance de Gombe a condamné Ferdinand Kambere, Secrétaire général adjoint du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) à 6 mois de prison il y a quelques jours, ce jour, le ministère public lui, vient d’interjeter appel contre le jugement de cette instance judiciaire.
Ce dernier estime que la Cour d’appel tiendra compte de son réquisitoire de « peine de mort », tel qu’il l’avait exigé peu avant la décision du TGI de Gombe, a soutenu l’avocat d’Ardent Kabambi.
« Nous avons également interjeté appel contre la modique somme de 10.000 USD alloués à notre client », a déclaré Maître Laurent Otshumbe.
Ce dernier dit espérer que la Cour d’appel puisse majorer le montant dû aux dommages et intérêts.
Aux yeux de plusieurs observateurs, il s’agit d’un coup de théâtre qui jette de l’opprobre sur la justice congolaise, alors que le pays prône un Etat des droits.