Reçus mercredi dernier par le ministre de la santé Jean-Jacques Mbungani, les sénateurs du Grand Équateur ont plaidé pour l’amélioration de la situation sanitaire dans cette partie du pays en cette période de Covid-19.
Cette délégation conduite par la sénatrice Lydie Baopoko a saisi cette occasion pour faire part des problèmes que connait cette partie du pays liés notamment au manque des infrastructures, au paiement de primes et salaires des personnels soignants et la carence des médicaments.
Un sentiment de joie pour Lydie Baopoko qui a devant la presse rassuré que le ministre Jean-Jacques Mbungani a été favorable aux différentes préoccupations soulevées.
« Il a ainsi promis d’y apporter des sollicitations idoines afin de répondre à l’attente de la population du Grand Équateur », a-t-elle indiqué.
Le traitement qu’ont subi, mardi 17 janvier, les manifestants qui réclamaient la libération du pasteur Ngoy Mulunda, défraie la chronique au sein de la classe politique congolaise et sur les réseaux sociaux.
Pour sa part l’ex gouverneur de l’ex province du Katanga, Moïse Katumbi a haussé le ton pour condamner les violences qu’ont subi ces manifestants.
«Je condamne fermement l’usage disproportionné de la force et le recours à la violence pour réprimer la manifestation pacifique organisée en faveur de la libération du Pasteur Ngoy Mulunda.», écrit sur Twitter le président du parti politique Ensemble pour la république, avant d’ajouter «Les tirs à balles réelles et l’usage intempestif des gaz lacrymogènes sont injustifiables.»
Plusieurs blessés et des cas d’arrestation ont été signalés lors de cette manifestation à Lubumbashi dans le Haut Katanga visant à réclamer la libération de l’ex président de la CENI.
Ce dernier croupit depuis près d’un an en prison de Kasapa. Il a été condamné en janvier 2021 à trois ans de prison ferme pour incitation à la haine tribale. incitation à la haine tribale, propagation de faux bruits et atteinte à la sûreté intérieure de l’État.
La problématique liée à la pénurie d’eau et à la hausse du prix du carburant en République démocratique du Congo, inquiète au jour le jour la population.
Face à cette situation qui crée voire une désolation, Didier Budimbu et Jean-Marie Kalumba, respectivement ministres des Hydrocarbures et de l’Economie nationale ont échangé mercredi dernier afin de trouver les pistes de solutions.
A l’issue de ces discussions, Jean-Marie Kalumba a rassuré que des mesures seront annoncées dans 48 heures pour remédier à cette situation.
Lors de ces mêmes échanges, renseigne le service de communication des Hydrocarbures, les deux warriors avaient également abordé la question liée au manque à gagner dont la prise en charge est assurée par le gouvernement.
» La question du manque à gagner était bien évidemment évoquée dont la prise en charge est assurée par le gouvernement afin que les consommateurs n’en pâtissent nullement au regard de la fluctuation du prix du marché à l’échelle internationale « , a-t-on appris.
Au Sud-Kivu, les acteurs sociaux ont accordé un moratoire de 48 heures à la société REGIDESO afin juguler au problème de pénurie d’eau dans plusieurs quartiers de la ville de Bukavu.
Des acteurs sociaux en ville de Bukavu au Sud-Kivu, ont accordé un moratoire 48 heures au directeur provincial de la REGIDESO pour réalimenter les différents quartiers de la commune d’Ibanda qui viennent de passer plus de trois semaines sans eau.
Devant la presse ce jeudi 20 janvier, Christion Zihindula, habitant et leader de la commune d’Ibanda, a indiqué que le silence observé dans le chef de la direction provinciale de la REGIDSO sur la pénurie en eau qui s’observe depuis bientôt un mois dans la grande partie de la ville de Bukavu alors qu’il existe un contrat des services qui lie cette société de distribution d’eau et les habitants d’Ibanda devient de plus en plus coupable.
Il promet une pétition contre Valère Ntumba, actuel directeur de la REGIDESO au Sud-Kivu si rien n’est fait dans les 48 heures pour desservir les habitants en eau potable.
« On voudrait avoir du directeur de la REGIDESO des éclaircissements sur ce qui se passe. On veut connaitre c’est quoi le problème qui fait que les gens passent trois semaines sans cette denrée rare qui est l’eau. L’eau c’est la vie mais ça fait trois semaines que nous n’avons pas été desservi en eau. Qu’il éclaire la religion de ses clients parce que nous avons un contrat d’achat des services de la REGIDESO. Souvent la REGIDESO communique quand il y a problème de facturation mais quand il y a panne, elle ne communique pas. Si on n’a pas des réponses claires, les acteurs sociaux ont décidé d’initier une pétition pour le départ du directeur de la REGIDESO au cas où il n’est pas en mesure de nous fournir l’eau dans les 48 heures qui suivent. La société doit communiquer et s’excuser s’il s’agit d’un problème. Lors de paiement des factures, déjà à 4 heures du matin il y a un mobilisateur qui passe pour demander aux gens de payer », a déclaré Christian Zihindula.
Comme d’autres habitants, Christian Zihindula voudrait également obtenir de la part de la REGIDESO l’éclaircissement sur le paiement du mois de janvier qui tend à sa fin alors que les habitants n’ont pas consommé l’eau de la REGIDESO.
« On se demande si le mois de janvier sera facturé dans les parties non desservies en eau. Est-ce que c’est l’allocation compteur ou c’est la consommation ou encore les tuyaux qui passent dans nos parcelles qu’on va facturer ? Toutes ces questions restent pendantes et il va falloir que la REGIDESO nous éclaire », insiste cet habitant.
En réaction, Valère Ntumba, directeur provincial de la REGIDESO appelle à l’apaisement. Devant la presse ce même jeudi à son bureau, il parle d’une panne technique qu’a connue la conduite d’eau qui dessert la partie Nyalukemba, Nguba et d’autres coins de la commune d’Ibanda qui connaissent cette pénurie en eau potable.
D’après lui, en tant que société de vente d’eau, la REGIDESO ne peut pas retenir l’eau au détriment de ses clients alors qu’elle est à la recherche de l’argent.
Pour le moment la REGIDESO dit être à pied d’œuvre pour acquérir une nouvelle pompe pour continuer l’exploitation. Valère Ntumba explique qu’un appel d’offre international a été lancé pour permettre à sa société d’acquérir une nouvelle pompe.
En attendant l’aboutissement de cette démarche et pour continuer à desservir la population concernée, la REGIDESO dit avoir opté pour la modification de son programme de distribution d’eau pour permettre aux quartiers non desservis d’avoir partiellement de l’eau.
Il a ajouté que, la solution est plus technique et les habitants devraient avoir la patience et attendre que la panne soit réparée.
Le Président de l’association africaine de défense des droits de l’homme (ASADHO), Jean-Claude Katende a interpellé la ministre de la justice Rose Mutombo sur l’applicabilité de sa correspondance devant reconduire l’ancien ministre de l’EPST, Willy Bakonga au centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa.
Dans une interview exclusive accordée à la rédaction K.T.cd, le coordonnateur de cette association a évoqué laconiquement les conditions floues qui entourent la liberté de cet ancien ministre de Joseph Kabila.
Jean-Claude a dit craindre que le désormais homme libre, l’ancuen ministre de l’EPST, Willy Bakonga, profite de son adhésion à l’Union sacrée de la nation pour rendre sans effet, la lettre de recherche adressée contre lui par la ministre de la justice.
« La crainte que nous avons, et qu’il profite de son adhésion à l’Union sacrée de la nation pour faire en sorte que la lettre de recherche à son égard puisse plus avoir un effet. C’est le seul danger que nous constatons à ce niveau là » a-t-il déclaré.
Il demande également à la ministre en charge des questions judiciaires, la raison justificative ayant conduit au stand-by de cette affaire qui demeure en sourdine, et ce, malgré sa demande officielle, celle d’appliquer la loi conformément au jugement rendu à Willy Bakonga.
« Nous souhaiterions savoir pourquoi madame la ministre de la justice n’agit pas, ne donne pas effet à sa propre lettre qu’elle avait rendu publique » s’est-il interrogé.
Rappelons que, quelques jours après la libération de Willy Bakonga en septembre 2021, la ministre de la Justice avait désapprouvé cette démarche, tout en considérant qu’il s’agissait d’un manquement grave et d’un excès de pouvoir qui porte atteinte à l’exécution de l’Ordonnance présidentielle du 28 juillet 2021 portant mesure collective de grâce.
Le président de la République a promulgué la loi portant prorogation pour 15 jours, l’état de siège dans les provinces du Nord-Kivu et Ituri, en vigueur depuis le 06 mai 2021.
L’ordonnance relative à cette promulgation qui a pris cours depuis le mercredi 19 janvier, a été lu sur les ondes de la Radio télévision nationale congolaise (RTNC) .
Une promulgation qui est la conséquence de l’adoption par le gouvernement, du projet de loi portant prorogation de cette mesure d’exception dans les deux provinces pré-citées pour une période de 15 jours. C’était lors de la 36 ème réunion du conseil des ministres, tenue en date du vendredi 14 janvier 2022 .
Étant en vacances parlementaires, les deux chambres du Parlement avaient, lors de la session ordinaire de septembre, habilité le gouvernement à légiférer à sa place pendant la période des vacances parlementaires qui va jusqu’au 14 mars 2022.
Retenons que c’est pour la deuxième fois consécutive que le gouvernement proroge l’état de siège dans le cadre de la loi d’habilitation.
Si Paris, capitale de la France est symbolisée par la Tour Eiffel, Kinshasa, capitale de la RDC par la Tour Échangeur; la ville de Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo elle, est renommée par les chutes de Wagenia, un site historique et touristique, avec une particularité de pêche. En séjour missionnaire dans la province de la Tshopo, la vice-Première ministre en charge de l’Environnement et développement durable a visité ce site et a promis de s’activer à sa restauration, réhabilitation et modernisation.
Accompagnée du Gouverneur a.i. de cette province, Eve BAZAIBA s’est rendue compte de l’état actuel de ce site qui, selon elle mérite une attention particulière. « Ainsi, au nom du gouvernement les chutes Wagenia seront non seulement restaurées, mais aussi réhabilitées et modernisées pour leur accorder des valeurs touristiques et environnementales conséquentes » a-t-elle indiqué.
Des architectes, urbanistes et d’autres experts du secteur sont déjà à pied d’œuvre pour établir le besoin de cette restauration et modernisation, pour le début effectif des travaux de leur l’aménagement. C’est ce qu’a indiqué le service de communication de la Vpm de l’environnement. Il faut souligner que ce site date de l’époque coloniale.
La RDC pays solution contre le réchauffement climatique n’est pas qu’un slogan. Elle se prouve à travers les potentialités naturelles que regorgent le pays et la capacité de cette dernière à protéger ces potentiels.
Dans cette optique, la patronne de l’environnement congolais, la patronne de l’Environnement, Ève Bazaiba, en mission de contrôle et d’inspection à Tshopo, a effectué une descente à la Tour à flux de carbone de Yangambi située dans cette province.
Haut de 55 mètres (15 mètres au-dessus du couvert forestier), la Tour à flux de carbone de Yangambi est la première du Bassin du Congo. Elle a pour objectif de mieux comprendre la contribution des forêts tropicales à l’atténuation du changement climatique et aussi sert à l’étude des échanges de gaz à effet de serre entre la forêt et l’atmosphère.
Après plus de deux heures de visite, la ministre, Ève Bazaïba, elle, qui a pu escalader les 55 mètres de cette tour estime que cette dernière conforte la position de la RDC comme Pays-Solution face à la crise du changement climatique au monde.
« Aujourd’hui avec des données produites par cette tour, on peut avec conviction confirmer que la RDC est le premier poumon du monde en termes de séquestration de carbone. Cela est une fierté et une responsabilité à protéger davantage nos forêts tropicales. Nous saluons cette coopération avec les différents partenaires et nous pensons que ce projet va s’étendre à d’autres forêts de notre pays pour avoir davantage des données scientifiquement prouvées sur notre capacité à séquestrer le carbone », dit-elle à sa descente de la tour à flux.
Construite par l’Université de Gand, le Centre de recherche forestière internationale (CIFOR), la société R&SD et l’École régionale post-universitaire d’aménagement et de gestion intégrés des forêts tropicales (ERAIFT), en partenariat avec l’Institut national d’études et de recherches agronomiques (INERA), la tour à flux de carbone de Yangambi est opérationnelle depuis début octobre 2020.
« Nous sommes honorés de la visite de la vice-Premier ministre et nous sommes encouragés dans notre démarche qui s’inscrit dans la contribution à la valorisation du potentiel forestier de la RDC et du Bassin du Congo » se félicite le Professeur Pascal Boeck de l’université de Gand en Belgique.
Prenant part à cette randonnée dans la tour à flux de Yangambi, Maurice Abibu, le Gouverneur a.i de la Tshopo indique « qu’Il faut protéger jalousement cet investissement » lance pour sa part à sa population.
Mike Hammer, l’ambassadeur des États-Unis en République démocratique du Congo (RDC) est accusé de plusieurs griefs, depuis son accréditation à Kinshasa, sous le régime Kabila. Dans une publication, mercredi 19 janvier, nos confrères d’Opinion Infos ( un des médias en ligne en RDC) ont étayé les raisons de l’acharnement du diplomate américain contre certaines personnalités congolaises. Ce journal est allé plus loin pour dévoiler le plan mis en place par l’ancien militaire américain, pour éliminer Joseph Kabila, ancien président congolais et quelques-uns de ses collaborateurs. Ci-dessous l’intégralité de l’article du journal Opinion-infos. Le chapeau et le titre sont de Kt.cd.
Il ne se passe plus une semaine en République Démocratique du Congo sans un tweet de l’ambassadeur américain, Mike Hammer, qui se fait appeler Nzita pour marquer son attachement à la RDC, en rappel permanent de sa narrative sur un certain Partenariat Privilégié entre les USA et la RDC.
Encore un dont les combattants de l’UDPS, « les talibans » tel qu’on les surnomme sur les réseaux sociaux, en ont marre des promesses fallacieuses faites au Président de la République, Félix Tshisekedi. Les combattants de l’UDPS qui depuis le début de cette année ont décidé de régler des comptes à tous ceux qui sont, par leurs incapacités, promesses, courses à l’enrichissement et au vedettariat, en train de saper le mandat du Président Tshisekedi.
Le mandat de « Nzita » Hammer est de 3 ans, mandat au cours duquel il a, dans plusieurs de ses tweets, promis des investisseurs américains à la RDC, des signatures de MOU avec General Electric dont on n’a jamais vu un dollar ($) d’investissement depuis ladite cérémonie, des visites de grosses délégation militaires de l’armée américaine pour mettre fin à l’insécurité à l’Est en soutien à l’armée congolaise, mais rien de concret depuis !
Cependant c’est le même ambassadeur que tout le monde a été surpris de voir aller assister à l’installation d’un bourgmestre à Minembwe qui n’est pas un territoire !
Hammer n’a même pas été capable de réussir de finaliser la réciprocité sur l’allongement des durées des visas à plus de 3 mois pour les visas accordés aux ressortissants des deux pays, ce qui aurait pu être le basique d’un partenariat privilégié… Bref, de nombreuses promesses pour très peu de choses livrées.
Mais l’homme s’est donné une mission à la manière de la série américaine intitulé «Mike Hammer », celle de couler le nom de l’ancien président Kabila et celui de certains de ses anciens collaborateurs.
• Pourquoi un tel acharnement sur ces personnalités ?
L’affront majeur de ces nationalistes est le fait d’avoir trouvé les moyens d’organiser les élections de 2018 sans financements extérieurs, afin d’éviter tout contrôle par les puissances étrangères, élections qui ont vu Félix Tshisekedi être élu comme Président de la République non sans surprises de toute la communauté internationale, convaincue, nous le savons tous, de la victoire de Martin Fayulu, dont ils avaient organisé la candidature à Genève.
La real politik américaine faisant, cet ambassadeur arrivé quelques mois avant l’élection et qui s’était opposé aux premières heures, à la victoire de Felix Tshisekedi, s’est finalement aligné en cherchant très vite à faire de Félix son allié, en lui promettant investisseurs, visite à la Maison Blanche et accès aux services d’intelligence américaine.
Déjà arrivé en fin mandat, Hammer devrait quitter la RDC avant Juin 2022. Mais il ne souhaiterait pas partir sans régler ses comptes, alors qu’il ne peut plus engager l’ambassade des USA.
La dernière grosse campagne de Congo Hold Up, qu’il n’a pas hésité à relayer, était censée être sa dernière arme pour justifier différentes actions contre Kabila et certains acteurs du monde politique et économique de la RDC.
Les bras choisis pour accomplir la mission étaient des ONG, et un conglomérat de journalistes, qui ont malheureusement été surpris par l’honnêteté intellectuelle et la dignité de dernière minute de Jules Aligente Key, l’inspecteur général chef de service de l’inspection générale des finances, qui après avoir recadré les choses lors de son interview avec Alain FOKA (qui a fait couler beaucoup d’encre), en disant que « Les médias et ONG, derrière cette enquête ont insisté pour qu’on oriente les conclusions de différentes investigations, d’une certaine manière précisément en portant des affirmations contre certaines personnes, sans des évidences, nous ne pouvons pas les suivre, eux ils avaient leur agenda qui n’etait pas le nôtre », et il a renforcé cette pensée à travers un tweet le 14 janvier 2022 dernier, ce qui suit :
• Les raisons de l’acharnement
Mike Hammer qui n’a pas pu obtenir de placer certains congolais sur la liste des sanctions intervenues vers décembre 2021 (il se promenait aux USA, avec une liste de 11 personnes ciblées en RDC à sanctionner !), a lancé une dernière stratégie pour clouer ses cibles.
Pour ce faire, il faut encercler celui qui a montré du sérieux depuis sa prise de fonction, Jules Alingete, en le mettant en contact avec des services d’intelligence et de traque financière américaine pour l’impressionner et le conditionner avec plusieurs promesses. « Nzita » a mis en place une tactique que nous allons dévoiler dans cet article, mais avant cela, voici les raisons de l’acharnement d’Hammer contre certains nationalistes qu’il considère proches de Joseph Kabila;
1- Ces patriotes, hommes politiques et mandataires de certaines entreprises publiques, avaient la confiance du gouvernement, l’appui de l’ancien Chef de l’État, pour mobiliser les moyens pour organiser les élections de 2018.
2- Certains d’entre eux, selon les indiscrétions nous lâchées par un sénateur américain qui a préféré garder l’anonymat, avaient refusé l’offre de Mike Hammer consistant à devenir informateurs pour des services d’intelligence américaine ou pour leur équipe de lobbying. Offre faite en pleine transition pacifique du pouvoir 2018-2019.
Ces refus n’ont jamais été digérés par ce dernier qui a promis de leur faire payer !
3- Le combat pour le nouveau Code minier a dérangé plusieurs grosses sociétés minières et plusieurs gros intérêts d’investisseurs institutionnels américains.
Des avocats congolais ayant défendu des sociétés minières ont reconnu lors de notre investigation que « Malgré que nous avions comme clients des multinationales, nous étions étonnés et fiers du courage de certains de nos frères aux commandes de cette réforme, qui se battaient réellement pour les intérêts du pays».
4- FREEPORT, société minière américaine, depuis toujours protégée par l’ambassade américaine en RDCongo, a fait perdre beaucoup d’argent à la RDC. L’opinion sait que très tôt, des Congolais ont dénoncé les méfaits de FREEPORT, qui notamment lors de la vente de TFM à CMOC, avait sous-évalué les actifs miniers, n’avait pas respecté les procédures, et n’a pas payé à l’Etat congolais tout son dû. FREEPORT a fait perdre ÉNORMÉMENT d’argent à l’État congolais.
Mike Hammer a été questionné par Christian Lusakueno, propriétaire de la première radio congolaise Top Congo, à ce sujet lors de la journée mondiale de la lutte contre la corruption, et en regardant la vidéo disponible sur Youtube, vous pouvez voir et lire le malaise de « Nzita » qui a balbutié sans répondre à la question !
L’ASSAUT FINAL
Dans sa démarche, Mike Hammer a mis en place un plan pour « tuer » Joseph Kabila et certains responsables d’entreprises du portefeuille nommés sous sa gouvernance.
« Tout doit passer par Jules Aligente, qui a initié depuis plusieurs mois une enquête sur la gestion de plusieurs entreprises du portefeuille ».
brandir fièrement le drapeau de la communauté homosexuelle dans un pays qui désapprouve coutumièrement, culturellement et religieusement ce genre de pratiques ) organisent depuis plusieurs semaines pour le Congo N’est pas à Vendre ( qu’on a jamais entendu sur les révélations faites contre des entreprises chinoises ni américaines, ni même sur le reportage réalisé à l’Est de la RDC par Alain FOKA qui avait pourtant choqué tous les congolais ) des rencontres avec plusieurs autorités gouvernementales où ils peuvent porter leur narrative accusatrice et négative sur les congolais nationalistes.
À croire que cet ONG, qui est en réalité l’œuvre d’Elisabeth Caessens et Ida Sawyer, n’utilise que des Congolais, tel que Jean Claude Mputu, pour être leur bras agissant, afin de tirer sur leurs cibles. Ils pondent des documents avec dénonciations non prouvées ou en manque de pièces pour que l’Inspecteur Général des Finances puisse les intégrer dans le rapport d’audit final lancé dans plusieurs entreprises publiques depuis des mois.
Or, ce rapport qui doit être contradictoire doit pouvoir insérer les réponses et explications des mandataires concernés, sur toutes formes d’accusations ou incompréhensions. NE PAS LE FAIRE PROUVERAIT LA VOLONTÉ ORGANISÉE EN
IlBANDES DE SIMPLEMENT NUIRE ET MANIPULER L’OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE, pour le plaisir d’un ambassadeur plutôt rancunier.
Le président congolais Félix Antoine est depuis le mercredi 19 janvier, nouveau président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).
La cérémonie du passage de témoin a eu lieu à Brazzaville, capitale de la République soeur du Congo. Dans son discours d’acceptation, le chef de l’Etat congolais a martelé sur la quête du progrès et du développement en Afrique Centrale. Ce, avant de clôturer son propos par la reconnaissance de la Rumba congolaise (RDC et République du Congo) comme un patrimoine immatériel de l’UNESCO.
Placée sous le thème de « l’éducation, la santé et la culture » ; et ayant comme sous thème : « former pour rendre autonome », le nouveau président s’est visé plusieurs objectifs à poursuivre et/ou à atteindre, parmi lesquels :
Réaliser l’autonomie collective, la stabilité économique, contribuer au progrès du continent africain ;
Faire de l’Afrique centrale une région réellement autonome ;
La transformation positive de notre société.
Au total 5 chefs de l’Etat sur les 11 qui constituent la CEEAC ont pris part à ce 20ème sommet, les 6 autres pays membres ont envoyé des hauts représentants au Centre International de conférence de Kintele, dans la périphérie de Brazzaville, où s’est tenue cette rencontre.
Le ministre de la communication et médias, porte-parole du gouvernement de la RDC, Patrick Muyaya a annoncé que plusieurs réunions sont étendues pour une exécution plus adaptée du projet de développement de 145 territoires.
L’annonce a été faite ce mercredi 19 janvier au sortir d’une réunion du comité de pilotage stratégique dudit projet.
Après deux réunions successives conduites par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a présidé à son tour, une nouvelle réunion avec le comité de pilotage stratégique du projet à l’Hôtel du Gouvernement.
« Il étaitt normal de tenir cette réunion du comité stratégique, après avoir reçu les orientations du Président de la République, pour voie dans quelle mesure mettre en œuvre ce projet, voir dans quelle mesure vont se dérouler les travaux », a déclaré Patrick Muyaya.
A l’en croire, Il y aura des réunions qui vont se tenir au niveau du comité de pilotage opérationnel qui, à son tour, versera les données ou propositions au comité de pilotage stratégique avant la prochaine réunion avec le comité politique autour du Chef de l’État. Le souci est de réaliser ce projet dans un bref délai, a-t-il souligné.
Signalons que, le comité de pilotage stratégique s’occupe de la mise en œuvre du projet de développement à la base de 145 territoires et il s’agissait ce jour de sa toute première réunion à laquelle ont pris part quelques membres du Gouvernement notamment les Ministres d’État en charge du Plan, du Budget et bien d’autres.
Face à l’insécurité grandissante devenue monnaie courante dans la ville de Goma, des tueries, des kidnaping, des assassinats ciblés et des enlèvements ; le député national Josué Mufula propose le retour de la peine de mort à tous les auteurs de ces actes.
Celui-ci l’a dit après l’assassinat de trois jeunes en ville de Goma en l’espace de trois, dont un musicien révolutionnaire enlevé depuis vendredi dernier et retrouvé mort, son corps flottant sur les eaux du lac Kivu, le jeune étudiant finaliste assassiné un jour seulement après la soutenance publique de son mémoire de licence et enfin ce corps sans vie retrouvé sur le lac Kivu ce mercredi tôt le matin non loin de l’hôtel Barbecue.
Pour ce parlementaire, durant ce régime spécial de l’état de siège, dirigé par les militaires ; tous les criminels devront être arrêtés et exécuter en plein Afia pour, selon servir d’exemple pour ceux qui voudront bien insécuriser la population de sa base.
Tout en dénonçant la montée de la criminalité urbaine dans le chef lieu de la province du Nord-Kivu ces derniers jours, l’élu de Goma
Cet élu du peuple fait savoir que si la peine de mort sera appliquée, l’insécurité et la criminalité dans la ville de réduiront et ça sera la satisfaction de la population de Goma.
A noter qu’au regard du contexte post-conflit du pays, cette décision valait bien une palme surtout dans la partie Est, un moratoire sur l’abolition de la peine de mort a été signée par la RDC en 2003 sans qu’elle ne formellement retiré dans sa législation.
L’espoir est né lorsque, à partir de cette année, sur décision du gouvernement de l’époque sous l’autorité du président Joseph Kabila, les exécutions des condamnés à mort n’allaient plus avoir lieu.
Les travaux débuteront avant la fin du mois de janvier en cours. Telle est l’essentiel de la puce que le ministre des Transports, voies de communication et désenclavement, Chérubin Okende, a mis mardi 18 janvier, à l’oreille de Félix Antoine Tshisekedi, le président congolais. C’était au cours de la cérémonie de remise du lot des bus aux étudiants de Kinshasa, pour leur mobilité.
Le projet de construction du port en eaux profondes de Banana, au Kongo Central, qui évolue à pas de géant et dont la signature de deux contrats entre le chef de l’Etat congolais, Félix Tshilombo et le directeur général de la société DP World a eu lieu le 11 décembre 2021, devrait voir la pose de la première pierre avant le 31 janvier 2022.
« Il me revient ici, Son Excellence monsieur le Président de la République, chef de l’Etat, de saluer la dextérité avec laquelle vous avez entouré les démarches pour la construction du port en eaux profondes de Banana. Je suis comblé de vous annoncer déjà qu’avant la fin de ce mois, j’aurai encore l’insigne honneur d’inviter votre haute autorité à poser la première pierre pour la construction du port en eaux profondes de Banana », a indiqué Okende
L’occasion faisant le larron, Chérubin Okende a saisi l’opportunité de la cérémonie du lancement du Trans Academia, pour dévoiler de façon solennelle, le coup d’envoi imminent, à Kinshasa, d’autres projets, dans le même cadre d’améliorer et moderniser le secteur de transport dans la ville haute de la République démocratique du Congo (RDC). Notamment le Metroskins.
« Vous nous avez déjà instruits pour arriver au désengorgement de nos routes. Sans voie ferrée, sans le train urbain, il nous sera difficile de pouvoir relever ce défi », a-t-il soutenu.
La construction des infrastructures du transport aérien est également dans le viseur du Ministre Okende. Et ce, dans le cadre du projet de développement à la base, avec la modernisation des 145 territoires de la RDC. Le ministre Okende a mis un accent particulier sur le plan sur lequel son ministère et le cabinet Tshisekedi travaillent, en vue de la modernisation future de quelques aéroports à travers le pays.
Selon lui, ce plan prévoit au moins deux aéroports pour chaque province de la RDC. Soit 52 aéroports à l’échelle nationale.
350 millions de dollars pour l’érection du quai
C’est ce qui a été révélé au mois de décembre dernier, lors de la signature des deux contrats entre les deux parties.
Cet ouvrage, rappelle-t-on, tient à favoriser l’accostage de grands navires et d’autres porte-conteneurs. Ainsi, les travaux en plusieurs phases consistent à construire un quai de 600 m2 et de 25 hectares d’espace de stockage pour un coût de 350 millions USD.
Une autre construction, c’est celle de la route Banana-Matadi. Pour celle-ci, il est prévu que les travaux s’exécutent en quatre phases, et l’investissement et lui, est estimé à hauteur d’un milliard de dollars américains.
Félix Tshisekedi a eu un entretien téléphonique, mardi 18 janvier, avec le Prince Héritier des Emirats Arabes Unis, le Sheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane.
Les discussions entre les deux personnalités ont tourné autour de la coopération bilatérale entre la République Démocratique du Congo et les Emirats Arabes Unis.
Les deux hommes ont noté avec satisfaction l’évolution positive de cette coopération, avant d’appeler à sa consolidation et son intensification.
Le chef de l’Etat congolais a saisi l’occasion pour condamner le récent attentat qui a eu lieu à Abu Dhabi, la capitale des Emirats Arabes, il a présenté ses condoléances au peuple émirati.
Joli coup de filet pour les services de sécurité de la province du Nord-Kivu. Ces derniers ont annoncé avoir mis la mains sur les présumés assassins de l’ambassadeur de l’Italie en RDC, Monsieur Luca Attanacio ,tué dans une embuscade tendue par les hommes armés sur la route Goma- Rutshuru, en février 2021.
L’information a été confirmée par le commandant de la Police nationale congolaise au Nord-Kivu ,le commissaire divisionnaire adjoint Aban Van Ang François-Xavier.
Lors de la présentation mardi 18 janvier 2022 de ces criminels au gouverneur militaire de province, il a révélé que ces rebelles appartenaient au groupe armé de Balume Bakulu qui est en fuite.
” Aujourd’hui nous avons procédé par la présentation des bandits criminels auteurs de plusieurs cas des morts en ville de Goma , également l’assassinat de l’ambassadeur de l’Italie en RDC, Monsieur Luca Attanacio , ces gens ici appartiennent au groupe armé de Balume Bakulu qui est en fuite, nous allons le rechercher partout où il se cachera nous appelons la population à rester très vigilante car nos éléments sont en pieds d’œuvre pour le dénicher ,” insiste cet officier.
Décédé le 27 décembre dernier à Douala (Cameroun), l’artiste chanteur congolais Lulendo Matumona dit Défao sera inhumé ce samedi 22 janvier au cimetière Nécropole « Entre terre et ciel » à Kinshasa.
C’est ce que relève le programme rendu public par le gouvernement, mardi 18 janvier, via un communiqué signé par la ministre de la culture, arts et patrimoines.
La même source précise que, vendredi 21 janvier, veillée mortuaire (sans la dépouille) dans la salle la Grâce, située sur l’avenue Victoire A 51, commune de Kalamu sous la supervision de la famille biologique.
Samedi 22 janvier, hommage au Musée national (Site Tembe na Tembe) dont les hommages se feront sous la supervision du ministère, ce, avant l’enterrement au cimetière Nécropole « Entre Terre et Ciel ».
Le président honoraire Joseph Kabila ne comparaîtra pas devant les juges au cours du procès sur le double meurtre en juin 2010 de l’activiste des droits de l’homme Floribert Chebeya et son assistant Fidels Bazana.
Au cours d’une audience foraine tenue ce mercredi 19 janvier à la prison militaire de Ndolo. Le juge président de la Cour a rejeté la demande des avocats des parties civiles exigeant la comparution moralement du président de la république honoraire Joseph Kabila.
« La cour a estimé que cette demande avait comme soubassement légal, l’article 249 qui confère au président de la chambre un pouvoir discrétionnaire pour l’audition des témoins à titre des renseignements lequel n’ont pas été notifié aux parties. », indique le colonel Ekofo président de la Cour. Pourtant les avocats ont « malencontreusement » fondé leur demande sur l’article 253 du code de procédure pénale.
Et d’ajouter « Ainsi donc en vertu de ce pouvoir, le président que je suis estime qu’il ne peut pas faire droit à cette demande pour le maintien de l’ordre dont le procédure pénale est tenue », renchérit-il.
Le collectif des avocats de Floribert Chebeya jugent que cette décision n’engage pas la Haute Cour. « C’est un point de vue du juge président » confie à KT.cd Me Richard Bondo le coordonnateur du collectif des avocats de Floribert Chebeya et fidèle Bazana.
Par conséquent, le juge a renvoyé les parties à la semaine prochaine pour les plaidoiries.
Le chef de l’État congolais Félix Tshisekedi prend la présidence de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) pour une durée d’une année.
La cérémonie prévue ce mercredi 19 janvier, il succèdera au Congolais Denis Sassou Nguesso au cours de la XX eme session de la conférence des chefs d’Etats et de gouvernement de l’organisation sous-régionale qui s’ouvrent ce jour à Brazzaville.
C’est depuis mardi soir que le Chef de l’Etat congolais (RDC) séjourne à Brazzaville, en République du Congo.
L’ancien ministre de l’Enseignement Primaire Seconde et Technique est désormais membre de l’Union sacrée de la Nation, quelques mois après sa sortie de prison. Il quitte donc officiellement le PPRD, parti de l’ancien Président de la République, Joseph Kabila.
Au travers une note circulaire, Willy Bakonga a confirmé son adhésion dans la plate-forme unificatrice de tous les partis politiques de la République démocratique du Congo, qui ont accepté d’accompagner sans détours la vision du chef de l’état, Félix-Antoine Tshisekedi.
La raison de cette transhumance politique de l’ex membre du PPRD, n’a pas été mise en évidence.
L’ex-ministre de l’Enseignement de la République démocratique du Congo Willy Bakonga, condamné en mars dernier à trois ans de prison pour blanchiment d’argent a été libéré à la faveur d’une grâce présidentielle au mois de septembre 2021.
Il n’a écopé que 7 mois de prison avant de bénéficier de ladite grâce présidentielle.
Sauf que pour la ministre de la Justice congolaise, Willy Bakonga ne pouvait pas relever des conditions de la grâce collective prononcée par Félix Tshisekedi le 28 juillet dernier. Pour elle, le condamné devrait donc retourner en prison.
« Les personnes condamnées par la Cour de cassation doivent être ramenées dans l’état où elles étaient, avant sa lettre, à la prison centrale de Makala », avait-elle ordonné.
Jusqu’à l’heure de l’annonce de son adhésion à l’Union sacrée de la Nation, la missive de la ministre de la Justice est restée sans effet.
La haute Cour militaire va se prononcer ce mercredi 19 janvier sur la nécessité d’entendre l’ancien Président de la République démocratique du Congo Joseph Kabila cité dans l’affaire de double assassinat en 2010 des défenseurs des droits de l’homme Floribert Chebeya et Fidèle Bazana.
Siégeant en second degré, Joseph Kabila et d’autres ont été citées par le policier Paul Mwilambwe comme participants à ce double meurtre.
Plusieurs policiers ont comparu devant la haute Cour militaire depuis le début dudit procès. Des déclarations et des accusations ont entraîné plusieurs cadres de la Police nationale congolaise du régime Kabila dans ce dossier. Cas du policier Paul Mwilambwe alors proche du général John Nimbu qui est toujours en cavale.
Paul Mwilambwe commis à la garde de John Numbi, l’ancien inspecteur général de la police a dans sa récente comparution, cité le nom de Joseph Kabila comme un des principaux acteurs de double meurtre.
De ce fait, les parties civiles exigent la comparution et l’audition de ces personnalités dont les noms reviennent régulièrement, à savoir l’auditeur général des FARDC de l’époque, le bourgmestre de la commune de Limete, à Kinshasa, le directeur de cabinet de John Numbi, et celui de l’ancien chef de l’état congolais.
Les avocats de la partie civile, ont exigé que les personnes citées dans cette affaire considérée comme un crime d’état puissent être confrontées à Paul Mwilambwe afin de sortir toute la vérité relative à ce double assassinat.
Un lot de 100 bus vient d’être mis en service en faveur des étudiants des universités et institutions d’enseignement supérieur et universitaire de la ville de Kinshasa.
Félix Antoine Tshisekedi, le président congolais a remis de manière symbolique les bus à cette catégorie, lors d’une cérémonie qui a eu lieu à l’esplanade du palais du peuple en présence de plusieurs personnalités dont le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU) Muhindo Nzangi.
« Ce lancement marque la concrétisation de l’engagement du chef de l’Etat pris face aux étudiants de Kinshasa, en mai 2021, lors de la visite des campus universitaires de l’UPN et l’INBTP, pour résoudre leur problème de mobilité », a indiqué la presse présidentielle.
Les 100 bus seront complétés les jours à venir par 500 autres, qui seront déployés dans toutes les grandes villes du pays.
Après les groupes parlementaires de l’Union sacrée, les députés nationaux de l’Union pour la démocratie et le progrès social ( UDPS ), réitèrent leur soutien au chef de l’Etat Félix Tshisekedi.
Dans une déclaration ce mardi 18 janvier, ces élus disent désavouer Jean-Marc Kabund et prennent acte de sa décision de démissionner au poste du premier vice-président de l’Assemblée nationale.
» Nous désavouons notre collègue Jean-Marc Kabund-à-Kabund et prenons acte de sa décision de démissionner des fonctions du premier vice-président de l’Assemblée nationale, qu’il occupait au nom de l’UDPS et non à titre personnel et de ses autres fonctions au sein du parti que nous devons continuer à consolider ensemble pour les intérêts de notre peuple », a-t-on lu.
Les signataires de cette déclaration demandent aux structures compétentes de l’UDPS d’intervenir sans délai, afin de tirer les conséquences qui s’imposent pour la bonne marche du parti.
« Son excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République, chef de l’Etat est l’unique autorité de référence de l’UDPS et de l’Union sacrée de la nation », ont-ils insisté.
En outre, ils réaffirment également leur soutien aux forces armées de la République, à la police et aux services de sécurité pour la protection de l’intégrité du territoire national.
Notons que, l’annonce par Jean-Marc Kabund, via son compte twitter, de sa décision de démissionner au poste du premier vice-président de l’Assemblée nationale, suscite beaucoup de réactions au sein du parti au pouvoir.
Eve Bazaiba, la vice-Première ministre de l’Environnement et développement durable passera un séjour d’au moins dix jours pour une mission commando d’inspection et de contrôle dans différents territoires de la province de la Tshopo.
A la tête d’une forte délégation essentiellement composée des membres de son cabinet, Ève Bazaiba va premièrement visiter la Tour à flux de Yangambi, Aménager l’environnement du Site des chutes Wagenia à Kisangani; révoir des contrats des concessions forestières et La pollution de la rivière ARWUMI, à la suite de l’exploitation minière, en vue des décisions idoines. C’est ce qu’a indiqué sa cellule de communication.
Signalons que, la ville de Kisangani et les territoires de Banalia, Isangi et Basoko seront visités pour la première phase de cette mission.p
le parti politique « Nkita » cher à Jerry Lubala annonce un sit-in ce jeudi 20 janvier à 8 heures devant la Primature pour exiger la démission sans délai du Premier ministre de la RDC, Sama Lukonde Kyenge et de son gouvernement.
« Ceci fait suite à la dernière sortie médiatique du President national Jerry Lubala le 8 décembre 2021 où il annonçait les actions de terrain pour réclamer les droits les plus élémentaires notamment l’eau, l’électricité, hôpitaux, écoles, des infrastructures adéquates, dénoncer un état de siège mal pensé où la population est meurtrie, renseigne un communiqué de ce parti ce mardi 18 janvier.
L’autorité morale du parti politique Nkita déplore la gestion du gouvernement qu’il juge « démagogique et hasardeuse », ce, avant d’insister que, « le gouvernement Sama Lukonde est en perte de vitesse et sans boussole d’où il n’y a aucune assurance du bien-être de la population ».
« Jerry Lubala invite la population congolaise à prendre part à ce sit-in ce jeudi 20 janvier 2022 à Kinshasa à partir de 8h, car, « trop c’est trop ! Fermer les yeux à la gestion démagogique et hasardeuse et ne pas réclamer les droits les plus élémentaires, fait de nous des complices », ajoute ce document.
Le tribunal militaire de garnison de Goma vient de condamner à 10 ans de prison ferme le policier Fikiri, auteur des tirs sur un motard à l’entrée du marché de Virunga, le samedi dernier.
A cette condamnation s’ajoute le payement d’une amande de 10.000$ à la partie civile et au payement des frais du tribunal.
Ce policier qui ne s’exprime qu’en kinyarwanda a réussi à réunir sa défense ainsi que son interprète.
Les taximen moto venus nombreux pour suivre cette audience publique de sont dit satisfaits de ce jugement « exemplaire contre les éléments en uniforme à la gâchette facile ».