Alerte d’une ONG. Ils meurent à petit feu dit-elle. » Pas d’eau, pas de médicaments ni de nourriture. Ils sont mourants », a dit la coordinatrice de l’ONG NED.
Daniela Adèle ajoute que « 261 prisonniers sont entassés dans une petite cellule vétuste, sous la surveillance de se ou trois policiers seulement », indique-t-elle, avant de souligner que ces détenus ont la possibilité de s’évader, mais ils sont très affaiblis et sont peu violents.
Les réactions tombent de partout après l’annonce par Jean-Marc Kabund, de sa démission au poste de 1er vice-président de l’Assemblée nationale.
Peter Kazadi, député provincial et cadre de l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), est parmi ceux qui ont réagi quelques heures après l’annonce de cette nouvelle.
Il s’est interrogé sur le pourquoi des agitations des uns et des autres, alors que Jean-Marc Kabund, président intérimaire du parti présidentiel n’a pas annoncé son départ du parti présidentiel.
Pour Peter Kazadi, l’Udps a connu plus d’un départ en son parcours, ce qui n’a pas mis fin à son existence. » Nous avons connu beaucoup de départs, d’éminentes personnalités qu’après eux , ça serait la mort de l’UDPS ».
Et d’ajouter » Encore que M. Kabund n’a pas annoncé son retrait de l’Udps, pourquoi les gens s’agitent ? Nous demeurons unis et indivisibles derrière le chef de l’État ».
D’après lui, le parti ayant plusieurs députés, ils vont combler ce poste et la vie va continuer. « C’est ça la liberté. C’est en toute conscience qu’il a pris sa décision, qu’il n’a pas motivé du restéme. Je constate et je m’incline », a-t-il dit.
Le Daring Club Motema Pembe n’a pas fait la dentelle face à la Jeunesse Sportif de Kinshasa, en s’imposant largement sur le score de quatre buts à zéro (4-0).
C’était ce vendredi 14 janvier au stade des Martyrs en match comptant pour la poursuite de Ligue nationale de football (LINAFOOT).
Mal embarquée, la défense fébrile de JSK concède tôt un penalty à la 7e minute transformé par Borel Tomanzoto(1-0). Kati Katulondi va à son tour tromper le gardien adverse pour le deuxième but des imaculés à la 38e minute(2-0) puis Mbomba Motu Dezy amplifie le score avant la pause soit à la 43e minutes. Trois à zéro (3-0), score à la pause
En seconde période, la machine imanienne revient à la charge et enchaîne les offensives jusqu’à trouver de nouveau le chemin du filet grâce à Kati Katulonda à 61e minute (4-0).
La formation de la Jeunesse Sportive de Kinshasa affiche une contre-performance notamment en encaissant 15 buts en 6 matchs disputés et fait du surplace à la 17e position avec 10 unités. Le DCMP fait un saut en avant et occupe désormais la 6e place avec 21 points à son effectif sur 11 matches joués.
24 heures seulement après l’instruction du chef du gouvernement Sama Lukonde, l’Office de Voirie et Drainage ( OVD) a lancé les travaux de réhabilitation d’une section de la route Cecomaf en état de délabrement
Lancés ce vendredi 14 janvier, ces travaux visent à rendre praticable ce tronçon d’une importance capitale pour les populations des communes de Ndjili, Kimbaseke, Mont-Ngafula, et de la N’Sele.
« Nous sommes à pied d’œuvre. Alors ici, il s’agit des travaux d’assainissement. On a constaté qu’il y a un collecteur qui est à 100% bouché, il ne fonctionne plus. Les travaux pour le moment consiste à déboucher le collecteur en question. Curer les caniveaux et ramener les eaux qui stagnent sur la chaussée dans le collecteur. Sur la route, il y a les travaux d’assainissement dont je viens de parler. Il y a aussi les travaux de chaussée. Nous avons prévu carrément le bétonnage. Puisque le schéma hydraulique a complètement changé. La traversée qui ramenait les eaux vers l’exutoire qui est à ma droite ne fonctionne plus. Alors nous sommes obligés de refaire un autre schéma hydraulique qui va prendre en charge les eaux qui stagnent ici », a expliqué l’ingénieur Julio Kisoso, Sous Directeur technique OVD/DPK.
Présent sur le lieu, le Bourgmestre de la Commune de Ndjili, Moussa Abdoul, a salué l’implication du Premier Ministre pour la réhabilitation de cette artère.
Un sentiment de joie également pour les habitants de ce coin de la capitale, qui ont témoigné leur gratitude au Chef du gouvernement pour avoir porté à cœur leurs doléances.
Le gouvernement congolais s’apprête à mettre sur pied par décret, 5 structures importantes d’appui à la mise en œuvre de la couverture santé universelle sur l’ensemble du territoire national.
C’est ce qui ressort de la réunion de la grande commission d’harmonisation des vues tenue ce vendredi 14 janvier, pour valider les différents projets de décret portant création des structures d’appui à la mise en œuvre de la couverture santé universelle.
L’exécution de ces projets permettront la mise en place de 5 structures importantes à savoir : l’autorité de régulation et de contrôle de la couverture santé universelle, le Fonds de solidarité de la santé, le Fonds de promotion de la santé, l’Institut national de santé publique et enfin l’Agence nationale d’ingénierie unique de l’information et de l’informatique de santé.
« Sur pied de l’ordonnance numéro 21/032 du 1er juin 2021, portant création, organisation et fonctionnement du Conseil national de la couverture santé universelle et conformément à la feuille de route de la mise en œuvre qui prévoit le démarrage effectif des activités de la couverture santé universelle en RDC en janvier 2022, son Excellence Monsieur le Premier Ministre, chef du gouvernement est appelé à créer par décret, cinq structures d’appui à la mise en œuvre de la couverture santé universelle. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les travaux de cette grande commission. Cette commission a été précédée par la commission juridique mise en place par le coordonnateur du comité technique de coordination. », a déclaré Valérie Mukasa Mwanabute, Directeur de cabinet du chef du gouvernement qui préside ladite réunion.
Il s’est dit tout de même persuadé que les échanges qui vont suivre tout au long de cette grande commission permettront d’harmoniser les vues sur fond d’un consensus en vue d’une appropriation par toutes les parties prenantes.
Signalons que, le Secrétaire Général à la Primature, plusieurs experts notamment ceux, ceux de la Primature, des ministères du Plan et bien d’autres services de l’État font partie de cette grande commission d’harmonisation.
Plus de 110 présumés bandits arrêtés au cours d’une opération de bouclage la nuit de jeudi 13 janvier dernier, ont été présentés ce vendredi au Gouverneur intérimaire du Sud-Kivu par le commissaire provincial de la police nationale congolaise Christian Kongolo.
A l’occasion, ce dernier a rappelé que ces présumés bandits ont été arrêtés lors d’un bouclage organisé dans différents coins de la ville de Bukavu dans l’objectif de lutter contre l’insécurité.
Parmi ces personnes interpellées, l’on retrouve au moins 20 filles et femmes, ainsi que 89 garçons dont 3 mineurs, précise le commissaire provincial de la police.
Dans son mot, Théophile Kiluwe, ministre de l’intérieur assurant les fonctions du gouverneur intérimaire de la province a salué la prouesse de la police dans la traque des malfrats qui perturbent la quiétude des paisibles citoyens.
Par conséquent, Il a instruit à la police de débuter les auditions de ces présumés malfrats et de le déférer devant les instances juridiques compétentes afin que chacun d’entre eux puissent répondre de ses actes.
Le gouvernement congolais a disponibisé près de 450 millions de dollars américains pour la matérialisation du projet de développement de 145 territoires.
L’annonce a été faite à l’issue de la réunion des membres du comité politique de pilotage de ce projet, présidée par le président de République.
Il a été question à cette réunion, de lever des grandes options d’orientation, afin de son démarrage.
L »objectif de cette initiative est de réduire la pauvreté et les inégalités sociales, particulièrement à l’intérieur du pays.
Ce, notamment la construction des routes de desserte agricole, l’aménagement des centres de santé, ainsi que la revalorisation du tissu économique.
Par la même occasion, le ministre d’Etat au Plan qui pilote le projet a présenté au Comité politique de pilotage, la matrice du projet. Ce, après avoir reçu les représentants de chaque territoire du pays, afin d’apporter des amendements et réajustements.
C’est Marquise Pafua, la présidente de Femme en palpables (F.A.P), ONG/ASBL qui l’a déclaré à l’ouverture de l’atelier de « renforcement des capacités des personnels judiciaires, sur la protection des droits de l’enfant ».
Les travaux initiés par elle se tiennent pendant deux jours, soit du 14 au 15 janvier 2022, dans la salle Kahuzi Biega, de l’immeuble dite de la Territoriale (ex Tembe na Tembe), en diagonale du Palais du peuple, sur le boulevard Triomphal à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Ils seront sanctionnés par la remise des brevets aux participants, a affirmé l’initiatrice.
Orateur principal et formateur, Maître Alain Nsele, avocat au barreau de Kinshasa/Matete, a entretenu son auditoire (les participants), sur la loi n° 09001 de 10 janvier 2009, portant sur la protection de l’enfant.
L’avocat s’est largement étendu sur les principes fondamentaux qui régissent les droits de l’enfant, tels soutenus par la convention des Nations-Unies et la Charte africaine sur les droits de l’enfant. Des textes qui ont été ratifiés depuis 20009 par la RDC, et qui ont conduit à la mise en place du Tribunal pour enfant. Une juridiction spécialisée dont l’une des missions consiste à ré-socialiser dans son milieu naturel.
« La place de l’enfant est en son milieu naturel, c’est-à-dire la famille. L’enfant a droit à la vie et au développement. La communauté, la famille sont appelées à respecter l’opinion de l’enfant. Il jouit de la présomption de responsabilité », a-t-il soutenu.
Et d’ajouter : » l’enfant est l’avenir d’une nation. Les parents doivent participer à l’épanouissement de l’enfant, en lui donnant des moyens qui lui permettent d’atteindre les objectifs de devenir un bon citoyen ».
Alain Nsele a mis à profit la vitrine lui offerte par ces assises, pour appeler les professionnels judiciaires et toutes les personnes qui participent dans la protection de l’enfant, de tenir chaque fois compte des intérêts supérieurs de l’enfant dans chaque action posée en sa faveur. Il a également invité les journalistes, les autorités gouvernementales, à promouvoir la loi sur la protection de l’enfant, laquelle n’est encore très connue par la grande majorité des congolais.
Créée en juin 2018, à Kinshasa, la capitale de la RDC, F.A.P est née du souci de contribuer aux efforts d’amélioration des conditions sociales des personnes humaines vulnérables, en vue de leur épanouissement économico-social harmonieux, durable à travers des mécanismes et mesures adaptés à leurs milieux respectifs, a indiqué Marquise Pafua sa fondatrice.
Cette dernière a expliqué qu’à ce jour, son ONG mène plus de 28 activités dans les différentes structures d’encadrement et d’hébergement en ville de Kinshasa. Fidèle à son acronyme, F.A.P s’efforce à poser des actions palpables, afin de protéger, d’encadrer et de former les vulnérables avec comme objectifs de permettre la mise en œuvre des conditions à même de permettre aux personnes vulnérables de s’adapter à la réinsertionsociale.
L’autre objectif c’est la création d’encadrement des peuples autochtones au niveau local, consistant à leur offrir un appui technique et une formation dans le domaine de l’agriculture, élevage, pisciculture et autres activités agroalimentaires, pour leur garantir une autosuffisance alimentaire. F.A.P veille et porte également son appui aux orphelins, leur offrant l’opportunité d’apprendre les métiers. Elle s’active aussi dans l’alphabétisation des filles mères, des enfants dits de rue ou abandonnés, des personnes handicapées et les vieillards, sans oublier la promotion des droits, l’assistance juridique.
La démission de Jean-Marc Kabund, de son poste du premier vice-président de l’Assemblée nationale a suscité des vives réactions au sein de la classe politique congolaise.
Quelques instants seulement après l’annonce de celle-ci via Twitter, Christophe Mboso, président de la chambre Basse du Parlement a donné de sa voix.
Dans une interview accordée à un média local, il a déclaré qu’une « démission ne se présente pas dans les réseaux sociaux ».
Et de préciser: « le vice-président que j’ai rencontré ce matin ne m’a pas fait part de son intention de démissionner « .
Plusieurs sources renseignent que des cris des pleurs se font entendre à la résidence de Jean-Marc Kabund, après cette annonce. Ses partisans lui demandent de revenir sur sa décision.
Jean Marc Kabund,Président intérimaire de l’union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) vient de démissionner de son poste de premier vice-président de l’assemblée nationale.
» En ce jour je prends la décision de démissionner de mes fonctions du 1er VP de l’AN. Ainsi s’ouvre une nouvelle page de l’histoire, qui sera écrite avec la sueur de notre front, qui coulera chaque jour qu’on affrontera les brimades, humiliations et tortures… » Peut-on lire sur son compte Twitter .
« Il y a des problèmes de ressources. On ne peut pas organiser les élections sans ressources, sans argent. Nous avons pris des contacts avec les autorités gouvernementales et nous attendons qu’ils nous financent », a déclaré le nouveau président de la Commission électorale nationale indépendante. C’était en marge de la prestation de serment des délégués de l’opposition qui ont été dernièrement notifiés par le président Tshisekedi.
Il pense qu’avec son équipe affiche complète, il peut maintenant se mettre au travail. « Nous sommes maintenant au complet et nous pouvons nous mettre au travail. C’est un plaisir pour moi de leur souhaiter la bienvenue parmi nous ».
De son côté, l’expert électoral, Jérôme Bonso parle de 7 mois de retard, et à ce jour la centrale électorale devrait premièrement commencer à faire les opérations pré-électorales. Malheureusement, elle manque les moyens de ses actions.
C’était le jeudi 13 janvier, lorsqu’il est descendu sur le site où s’effectuent les travaux à Lemba Imbu, dans la commune de Mont Ngafula.
Accompagné du ministre des Ressources hydrauliques, de quelques membres de son cabinet et de toute l’équipe de la Regideso, le chef du gouvernement a reçu tous les détails possibles sur l’exécution des travaux avant de procéder à la visite du site et de ses installations.
« Ici, nous sommes là dans un secteur social dans lequel pour cette année, nous avons reçu des instructions claires de son Excellence Monsieur le président de la République. Nous sommes avec le ministre des Ressources hydrauliques ainsi que toute l’équipe de la Regideso pour nous assurer de l’avancement des travaux ici au site Lemba Imbu et nous assurer également que la desserte en eau, qui viendra de ces installations pourra se faire le plus rapidement possible. Nous avons constaté que les travaux sont bien avancés et que d’autres phases restent. Dans le cadre de la première phase, d’ici à trois mois, nous pourrons avoir l’électrification du site et ça devrait permettre de faire les premiers essais. Nous allons rester derrière les équipes en vue, bien sûr, de pousser pour que les choses se fassent le plus rapidement possible et que tous les moyens soient mis à sa disposition de sorte à permettre à cette partie de la zone de Kinshasa de bénéficier de l’eau qui est tant attendue », a-t-il dit.
Il sied d’indiquer que, l’objectif est d’améliorer le plus rapidement possible l’accès à l’eau potable pour les habitants de ce coin la capitale.
Accompagné du ministre de la santé, le Premier ministre a apprécié jeudi 13 janvier, l’évolution des travaux de modernisation de l’hôpital général de référence de Kinshasa, ex Maman Yemo.
« Nous sommes heureux de voir que la première phase a bien débuté depuis deux mois et demi, et que comme c’est un projet sur 20 mois, on devrait très vite voir les bâtiments montés et avoir dans le temps, d’après les explications du Maître d’ouvrage délégué, les bâtiments fonctionnels dans ce laps de 20 mois qu’on a donné. On a pu aussi visiter d’autres parties de l’hôpital qui sont réhabilitées et nous sommes heureux d’avoir été ici avec les représentants du ministère de la Santé. Nous partons mais nous reviendrons pour nous assurer que ces travaux aboutissent et arrivent à leur fin », a-t-il dit devant la presse.
Satisfecit également pour le ministre de la santé publique, hygiène et prévention, Jean-Jacques Mbungani, qui a exprimé sa détermination d’assurer le suivi régulier desdits travaux.
Ces derniers ont pour maitre d’ouvrage le Bureau central de coordination ( BCECO) et sont financés à 100% par le gouvernement de la République, qui a déjà mis tous les moyens en jeu, rassure la Primature.
D’après le service de communication du ministère de la santé, plusieurs autres projets à impact visible dans le secteur de la santé sont en cours d’exécution à travers le pays.
Le Commissaire général de la Police nationale ville de Kinshasa, le Général Sylvano Kasongo vient de siffler la fin de la récréation pour tout non respect des gestes barrières, pour lutter contre la maladie à Coronavirus.
Dans une communication, l’officier de police a tapé du poing sur la table pour dire: « trop c’est trop ». Pour lui, tout doit s’arrêter à l’heure du début du couvre-feu. « Tout doit s’arrêter à 23 heures, sauf les hôpitaux et les pharmacies.
Constatant la faiblesse côté ses pairs dans sa mission de veiller à l’exécution des édits de l’autorité urbaine, il affirme sans ambages que certains commandants sont complices de ce relâchement. » Ce sont nous les commandants qui sommes faibles et complices. Finie la récréation », gronde-t-il avant d’annoncer le déploiement des éléments de la PNC sur toute l’étendue de la ville province de Kinshasa.
» Police arrêtera toute personne qu’elle trouvera dans un bar pour violation de la loi. Si ces mesures ne sont pas de stricte application, certains commandants seront relevés de leur fonction », averti-t-il.
L’autre message est envoyé à l’endroit des Églises et tenanciers des salles de fête qui doivent à leur tour de se conformer à la loi. « Les églises et salles de fête doivent également s’y également s’y conformer. À défaut, référez-vous au gouverneur pour une dérogation ».
Sylvano Kasongo prévient que tout non port du masque est passible d’une amende de 10.000 CDF.
Le coordonnateur du secrétariat technique de riposte contre la Covid-19, le docteur Jean-Jacques Muyembe a, au cours d’une entrevue ce jeudi 13 janvier 2022, reconnu qu’il y a encore des hésitations au sein de la population pour se faire vacciner, et recommandé que l’on y mette fin, car des personnes qui ont reçu le vaccin continuent de vivre.
« Il y a encore beaucoup d’hésitations au sein de la population, mais je pense qu’il est temps de rompre avec cette hésitation parce que tout ceux qui ont été vaccinés sont toujours vivants », a-t-il indiqué.
S’agissant du quatrième vague, le virologue congolais a rassuré que le pic est déjà atteint. Il a été atteint très rapidement. Maintenant nous constatons que le nombre des cas commencent à diminuer progressivement, a-t-il expliqué.
Pour lui, il est important de continuer à observer les gestes barrières et poursuivre la vaccination. La mollesse dans les deux cas peut coûter s’avérer dangereux pour pays.
Les journées du samedi 15 et lundi 17 janvier sont déclarées chômées et payées sur toute l’étendue du territoire congolais.
Le communiqué de la ministre congolaise de l’emploi, travail et prévoyance sociale est relatif aux journées du 16 et du 17 janvier, dédiées respectivement aux héros nationaux M’zee Laurent Désiré Kabila et Patrice Emery Lumumba.
» Je rappelle au public, en général et aux organisations professionnelles d’employeurs et de travailleurs en particulier, que les journées du 16 et du 17 janvier dédiées respectivement aux héros nationaux M’zee Laurent Désiré Kabila et Patrice Emery Lumumba sont chômées et payées sur toute l’étendue du territoire national », a-t-elle indiqué.
Et de préciser que la journée tombant un dimanche, celle du samedi 15 janvier 2022 est retenue comme journée chômée et payée.
Ils ont brûlé des pneus et érigé des barricades sur l’avenue Lomami, ruelle où est située la résidence de Jean-Marc Kabund, le président a.i de l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), leur parti.
L’avant-midi de ce jeudi 13 janvier, ces combattants (militants du parti au pouvoir) ont interdit toute circulation des véhicules (taxi ou bus) et les populations de ce coin de la capitale congolaise ont été contraints à faire le piéton. Curieusement, il n’y a eu aucune présence des forces de l’ordre, ont affirmé des témoins.
Dépouillée de ses gardes la veille, la résidence du leader de l’Udps est restée comme celle d’un citoyen ordinaire. Les partisans eux, ont décidé de monter la garde, en remplacement des policiers désarmés et conduits la nuit précédente par les éléments de la Garde républicaine.
Mercredi 12 janvier, la résidence du député Kabund, 1er vice-président de l’Assemblée nationale était la cible d’un spectacle d’un film de western, alors que la GR et la police s’affrontaient à ce lieu.
Des citoyens habitant ce quartier ont affirmé que les militaires de la GR ont imposé la loi sur leurs collègues de la police nationale, commis à la garde de la deuxième personnalité de la chambre Basse du Parlement, au motif d’avoir humilié l’un des leurs et lui avoir retiré l’arme, sur le boulevard de poids lourds. Ce dernier, indique-t-on, assurait à son tour la sécurité d’une des sœurs du chef de l’Etat, qui aurait pris le sens unique.
Un acte inadmissible aux yeux de la sécurité de Kabund laquelle se distingue depuis un certain temps, par une pratique négative de crevaison des pneus des véhicules des tiers.
Au cours de l’audience de ce mercredi 12 janvier 2022, la partie civile a exigé l’audition d’un certain nombre de personnalités citées dont l’ancien Président de la République Joseph Kabila, avant la poursuite de la procédure en cours.
Pour Rostin Manketa, directeur exécutif de l’ONG des droits de l’homme fondée par Floribert Chebeya, la voix de sans voix, les personnes citées doivent comparaître afin de rendre le verdict qui répondra à un procès juste et équitable.
« Toutes ces personnes doivent, en principe, être invitées et confrontées à Paul Mwilambwe pour que la haute Cour militaire puisse avoir toute la lumière sur l’assassinat de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, afin de rendre le verdict qui répondra à un procès juste et équitable », a-t-il dit.
Dans ce cadre, la Haute Cour militaire a décidé de renvoyer l’affaire au 19 février prochain, pour donner une réponse à la demande des parties civiles, de la comparution de certaines hautes personnalités telles que l’ancien Inspecteur Général des FARDC, John Numbi, l’ancien auditeur général des FARDC, le Général Ponde et l’ancien Chef de l’Etat Joseph Kabila.
Pour rappel, le 8 décembre de l’année dernière lors de sa première comparution, le policier Paul Mwilambwe, ex-Chef du Protocole et de sécurité des installations de l’inspection générale de la police avait affirmé que c’est l’ex Chef de l’État qui avait donné l’ordre de l’assassiner de Floribert Chebeya.
Annoncé en tout début de saison, l’ancien entraîneur du DCMP Otis Ngoma signe enfin avec la formation du Football club Renaissance du Congo.
Selon les dirigeants du club orange de la capitale, il s’agit d’un contrat de six mois avec une option. Aucun chiffre n’a été avancé pour ce transfert
A la tête du staff technique d’une équipe en difficulté en championnat national cette saison, le technicien congolais a pour mission de remporter la coupe du Congo pour une qualification aux interclubs de la CAF mais aussi maintenir les Oranges en championnat national pour la saison prochaine d’autant plus que les chances de remporter le titre cette saison sont moindre.
C’est sous un climat de tension que le nouvel entraîneur prend les commandes du club. Après avoir remercié Papy Kimoto pour manque de résultats, le club n’a pas pu relever la tête. Conséquence : guéguerre entre responsables.
En treize sorties, les Bana fibo ont enregistré six défaites, cinq matches nuls et deux victoires. Ils sont classés en 13e position avec 11 points.
La dépouille mortelle de l’artiste musicien, chanteur et compositeur Lulendo Matumona alias Général Defao est arrivée à Kinshasa le mercredi 12 janvier 2022.
Initialement prévu pour le 4 janvier 2022, la date du rapatriement a été modifiée pour des raisons administratives et logistiques.
En attendant le programme des obsèques, le corps le corps immatériel de l’illustre disparu est gardé à la morgue de l’hôpital du Cinquantenaire.
La descente musclée de la Garde Républicaine (GR), mercredi 13 janvier, au domicile de Jean-Marc Kabund, 1er Vice-président de l’Assemblée nationale, divise l’Udps (l’Union pour la démocratie et le progrès social) le parti du président Tshisekedi.
Gecko Beya, un des cadres de ce parti, s’oppose à la manière d’agir de Kabund et des éléments de la police nationale congolaise, commis à sa sécurité. Ce membre du parti au pouvoir pense que nul n’a le droit de toucher à la garde du président de la République.
Pour lui, l’acte posé par la garde de Kabund est un manque de respect au chef de l’Etat.
“ Nous ne sommes pas d’accord avec ce qui vient de se faire. Aucune personne ne peut toucher à la garde du président, si tu touches à la garde du président cela veut dire que tu as touché au président lui-même. Nous demandons un minimum de respect à l’endroit du président”, a-t-il dit.
Pour ce faire, il appelle aux sanctions à l’endroit desdits policiers, afin qu’ils subissent la rigueur de la loi.
Rappelons que, mercredi dernier, la GR est descendue au domicile du 1er Vice-président de la chambre Basse, situé au quartier Kingabwa, dans la commune de Limete, où elle a tout saccagé, avant d’arrêter et amener les policiers commis et personnel civil.
» Nous avons réussi à débloquer le processus électoral. La révolution que nous avons créée en interne permettra d’avoir des élections crédibles et transparentes en 2023″, soutient le président du Nogec (Nouvelle génération du Congo).
Il souligne qu’il y aurait des candidatures individuelles qui auraient été envoyées par les caciques du FCC, si jamais son camp n’avait pas envoyé officiellement ses listes.
» Si nous n’avions pas envoyé officiellement une liste, il y aurait eu des candidatures individuelles », qui seraient sous le contrôle des caciques.
Rappelons qu’après leur notification par le Président Tshisekedi, 3 délégués des transfuges du FCC prêtent serment ce jeudi 13 janvier.
Libération la nuit du 12 janvier 2022, de trois agents de l’Ong Concern, kidnappés le 7ème jour du même mois à Luhonga, groupement Kamuronza, sur l’axe Sake-Kitshanga, teritoire de Massissi, en Nord-Kivu.
Cité par lapriorite.net, le Directeur Pays de cette organisation humanitaire salue l’implication de tout celui qui s’est donné de prêt ou de loin pour la libération effective de ses collègues.
Russell Gates, directeur pays de Concern worldwide, ne précise pas les circonstances de leur libération mais réaffirme l’engagement de son organisation, à répondre aux besoins humanitaires dans ce coin de la République démocratique du Congo.
Il sied de rappeler que, des cas de kidnappings sont régulièrement enregistrés sur ce tronçon routier. Bien avant le kidnapping du 7 janvier dernier, des agents du CICR ont connu la même situation sur la route Goma-Sake, alors qu’ils se rendaient à Masisi.
Bureau, salle de sports et différentes pièces de la maison saccagées, des meubles sens dessus dessous, documents et ouvrages éparpillés. La résidence du premier vice-président de l’Assemblée nationale Jean Marc Kabund a été la cible d’un sabotage la soirée de mercredi 12 janvier.
D’aucuns pointent du doigt à la garde Républicaine comme auteurs de ces actes de vandalisme. Selon les sources concordantes, ces actes seraient une punition de la GR contre le garde du président ai du parti au pouvoir, UDPS.
Bien avant, confie les mêmes sources, un membre de la Garde républicaine a été interpellé par la garde rapprochée du Président ai de l’UDPS Jean-Marc Kabund pour avoir roulé à contresens.
Ces actes qui se sont produits quelques jours après la décision de Jean Marc Kabund suspendant un des conseillers du président de la République, a éveillé des soupçons sur la personne qui pouvait en vouloir au président ai de l’UDPS.
Tôt ce jeudi 13 janvier, un groupe de combattants du parti au pouvoir se sont mobilisés pour apporter leur soutien à leur leader. Mais plusieurs questions restent pendantes. Depuis lors, aucune source officielle ni la police n’a communiqué sur la situation.
Le virologue congolais, Jean-Jacques Muyembe a de nouveau évoqué la question relative à la persistance de la pandémie à Covid-19 en RDC. Il a ainsi affirmé une dissipation progressive du variant Delta sur toute l’étendue du pays.
Le responsable du comité d’experts chargé de la riposte nationale, a au cours d’un point de presse tenue mercredi 12 janvier, noté l’évolution fulminante dudit variant en RDC, et aussi celui de Omicron qui est le plus contaminant, selon le dernier constat de la cellule de riposte dans le pays.
En prévention des contaminations, , Jean-Jacques Muyembe recommande la vaccination, le lavage des mains et le port des masques ainsi que la mise en application des gestes barrières pour maintenir le cap même face à la 4è vague sur l’ensemble de la République Démocratique du Congo.
« Toujours observer les gestes barrière, le port correcte des masques et de se faire vacciner (…) pour ceux qui ont encore des hésitations sur les vaccins, il est temps de rompre ces hésitations parce que, tous ceux qui ont été vaccinés sont toujours vivants, vous qui hésitez, vous pouvez toujours être surpris de l’infection un jour», a-t-il martelé.
Dans ses propos, Muyembe a néanmoins parlé d’une légère baisse de transmission du virus dans la ville de Kinshasa par rapport à d’autres provinces du pays.
Il a annoncé pour bientôt les actions sur terrains notamment, la descente à l’intérieur du pays, dans le but de renforcer le secrétariat technique de riposte en province dans la sensibilisation de la lutte contre la Covid-19.