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Kasai Oriental : 22 cas de choléra détectés et 8 morts enregistrés

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La maladie du choléra refait surface dans la province du Kasai Oriental. En l’espace d’une semaine, 22 cas détectés dont 8 décès enregistrés au mois de juillet courant.

D’après le chef de Division provinciale de la Santé, le docteur Nestor Tshiteku, l’épidémie touche actuellement les zones rurales de santé situées le long des rivières. Il confirme par ailleurs, la prise en charge des malades grâce à l’appui de l’organisation Médecins sans frontières (MSF).

« Nous avons le choléra qui refait surface, nous avions eu à notifier 22 cas dont 8 décès. Nous avons quand même quelques intrants, il y a aussi MSF qui est avec nous, nous avons pris en charge les cas qui étaient disponibles et aujourd’hui même, nous allons lancer avec le ministre provincial de la Santé la campagne de vaccination circonscrite dans les zones de santé de Bonzola et Lukalenga » a t’il fait savor.

La maladie réapparaît quelques jours après la déclaration du gouverneur a.i du Kasaï Oriental, Jeannette Longa Musuamba, affirmant la fin de l’épidémie de choléra sur l’étendue de la province.

Sylvano Kasongo tire les oreilles de motards

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Dans un face-à-face de sensibilisation ce jeudi 28 juillet à Kinshasa, le général Sylvano Kasongo a tempêté sur le comportement insupportable des conducteurs des motos.

Le chef de la Police nationale congolaise en ville de Kinshasa a instruit que soit filmé tout acte d’incivisme de la part des motocyclistes, “pour permettre à la police de les poursuivre”, soutient-il.

Pour ce qui est des tracasseries à l’encontre des motocyclistes, Sylvano Kasongo dit être opposé à cette pratique.

Sans plaque d’immatriculation et sans casque de protection, les motards font objet de plusieurs critiques à Kinshasa. Le gouvernement provincial multiplie les stratégies pour réduire les cas d’incivisme dont ils sont auteurs dans la plupart des rues de la capitale.

Les membres du Conseil de sécurité condamnent les attaques contre la Monusco

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Les membres du Conseil de sécurité ont condamné les attaques et provocations récentes contre Mission de l’organisation des Nations-Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO).

Lesquelles attaques ont entraîné plusieurs blessés et la mort de trois soldats de la paix originaires de l’Inde et du Maroc.

À l’issu de la dernière réunion du Conseil de sécurité, les membres de cet organe de l’ONU ont souligné que les attaques délibérées visant les soldats de paix peuvent constituer des crimes de guerre au regard du droit international. Et de demander aux autorités congolaises d’enquêter rapidement sur ces attaques, et de traduire les auteurs en justice.

Dans le même ordre d’idées, ils ont demandé à toutes les parties de coopérer pleinement avec la Monusco et de rester attachées à la mise en œuvre complète et objective du mandat de la Mission, conformément à la résolution 2612 du Conseil de sécurité et à l’accord sur le statut des forces conclu avec la MONUSCO.

Les membres du Conseil de sécurité ont réaffirmé leur ferme attachement à la souveraineté, l’indépendance, l’unité et l’intégrité territoriale de la RDC, tout en réitérant leur plein soutien au Représentant spécial du Secrétaire général, Bintou Keita, et à l’action stabilisatrice de la MONUSCO.

Kinshasa: La Police arrête plusieurs personnes à l’arrivée de Jean-Marc Kabund à la Cour de cassation

Parmi celles-ci, l’on cite les militants du parti politique Alliance pour le changement (A.Ch), cher à Jean-Marc Kabund, a observé le journaliste de Kt.cd sur place au Parquet près la Cour de cassation où l’ancien président a.i de l’Udps est arrivé ce jeudi 28 juillet pour répondre à la convocation.

Aussi, quelques journalistes présents sur le lieu ont subi des menaces de la Police, avec comme conséquence la perte des matériels, a-t-il encore constaté.

Pendant ce temps, plus de 30 minutes déjà, l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale est devant les juges qui sont en train de le questionner, a-t-il indiqué.

Un mouvement de panique a gagné les esprits, alors que la police et les militants de A.Ch étaient dans cette ambiance de tension.

Plusieurs interpellations avant l’entrée de Jean-Marc Kabund à la Cour de cassation

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Plusieurs personnes dont les militants du parti politique Alliance pour le changement (A.Ch), cher à Jean-Marc Kabund, ont été interpellés ce jeudi 28 juillet après leur résistance face au force de l’ordre devant le parquet de près la Cour de cassation ou leur leader est convoqué. C’est le constat fait par un reporter de Kt.cd sur place.

Aussi, quelques journalistes présents sur le lieu ont subi des menaces de la Police, avec comme conséquence la perte des matériels.

Pendant ce temps, plus de 30 minutes déjà, l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale est devant les juges qui sont en train de le questionner.

Un mouvement de panique a gagné les esprits, alors que la police et les militants de A.Ch étaient dans cette ambiance de tension.

 

 

 

 

Franck Diongo prévoit de rencontrer les leaders de l’opposition

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Après s’être déclaré de l’opposition contre le régime en place, Franck Diongo, président du Mouvement Lumumbiste progressiste (MLP) « ira à la rencontre de ceux qui s’opposent à la dictature Tshisekediste » a t-il annoncé à la presse ce jeudi 27 juillet.

« Je veux tracer un calendrier pour aller auprès de ceux qui sont contre la nouvelle dictature », a-t-il affirmé

Dans sa démarche, l’opposant congolais promet de rencontrer entre autres, Martin Fayulu, Joseph Kabila, Adolphe Muzito, Moïse Katumbi, etc. Pour lui, « l’objectif est de contrer la dictature de Félix Tshisekedi ».

Réagissant aux propos de Peter Kazadi qui, au lendemain de la sortie médiatique de Diongo, avait fait des affirmations selon lesquelles « Franck Diongo était allé le voir pour lui soumettre ses désidératas. Et qu’il devait amener à la table du président de la République afin que solution soit trouvée ».

La réponse du patron du MLP est claire comme l’eau du roche « Je ne suis pas à la recherche du boulot. Je n’ai remis mon CV à personne pour être engagé ».

Au sujet de sa sortie en prison par grâce présidentielle, l’ancien collaborateur de Tshisekedi dit n’avoir reçu aucune faveur quant à ce. « Le président Tshisekedi ne m’a pas accordé une faveur. Il était obligé de le faire. C’était l’application d’une résolution de l’accord de la Cenco », a-t-il expliqué.

Et d’ajouter : « cette grâce présidentielle ne me rendait pas éligible. Aujourd’hui, j’ai obtenu la révision de mon procès. Je suis blanchi ».

Elim CAN 2023: La CAF renvoie au mois de Mars 2023 toutes les rencontres de septembre

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Toutes les rencontres prévues en septembre de l’année en cours vont se jouer en mars de l’an prochain. C’est ce qu’a annoncé un communiqué de la Confédération africaine de football (Caf) paru mercredi 27 juillet.

Cette mesure concerne les différentes confrontations de la 3eme et 4eme journées. Cette décision est justifiée par une question de favoriser une bonne organisation des ambassadeurs africains au Mondial Qatar 2022.

Ce rapport tombe quelques semaines après le report par l’organe faîtier du football de la CAN Ivoirienne de 2023 en Janvier 2024 suite aux raisons climatiques.

Deux fois perdant en deux sorties dans ces éliminatoires, les Léopards de la RDC vont profiter de ce décalage pour se refaire après le départ acté de leur entraîneur Hector Cuper, avant de se relancer dans la course vers la Côte d’Ivoire.

la RDC est dernière au classement dans le groupe I après deux journées le tableau se présente comme suit :

1. Mauritanie 4 points (+3)
2. Gabon 4 points (+1)
3. Soudan 3 points (-2)
4. RDC 0 point (-2)

Beach volley : Les Léopards s’imposent devant les Seychelles

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Les léopards messieurs de beach-volley ont battu les seychellois sur une note de 2 set contre contre rien, le mercredi 27 juillet dernier à Agadir, au Maroc.

Cette confrontation entre dans le compte de la coupe d’Afrique des nations du Beach-volley qui se tient depuis le mardi 26 juillet à Agadir. La République démocratique du Congo était représentée au cours de cette rencontre par la paire Guelord et Moïse.

Logés dans le groupe C avec le Mozambique et les Îles des Seychelles, les fauves congolais n’ont fait qu’une bouchée de la paire seychelloise, en les dominant respectivement (21-15) lors du premier set et (21-17) lors du second set.

Il convient de noter que, la RDC est représentée également par une double paire des dames en l’occurrence Biyela et Mpeti ainsi qu’avec la paire de Mianda et Bénédicte. Toutes les deux équipes entreront en lice ce jeudi 28 juillet.

Noël Tshiani tire une sonnette d’alarme sur l’insalubrité des rivières Gombe, Kalamu et Ndjili à Kinshasa

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L’état des rivières Gombe, Kalamu et Ndjili situées en ville province de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC) préoccupe l’acteur politique, Noël Tshiani.

Dans un message lancé sur twitter, M. Tshiani indique que l’insalubrité de ces rivières dans la capitale congolaise constitue la principale source des moustiques propagateurs de la malaria.

Pour lui, « Le nettoyage de ces rivières devrait figurer parmi les priorités de la Ville de Kinshasa et des Communes pour la santé et le bien être de la population », a-t-il indiqué.

Ces trois communes de Kinshasa font partie des coins quotidiennement fréquentés par un bon nombre de la population, notamment pour des activités commerciales.

RDC : Reçue par le Haut représentant du chef de l’État, Pathy Kalanga explique la mission du RFUS

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Le docteur Claude Ibanlaky, Haut représentant du chef de l’État a accordé une audience mercredi 28 juillet dernier à Madame Pathy Kalanga, coordinatrice du Regroupement des femmes politiques de l’Union sacrée ( RFUS).

A l’occasion, la coordinatrice nationale du RFUS a fait part de l’objectif poursuivi par ce regroupement qui est celui de soutenir la vision du chef de l’État Félix Tshisekedi.

Un satisfecit, selon elle, pour le Haut représentant du chef de l’État, Claude Ibanlaky qui s’est également dit fier de ces femmes politiques membres de l’Union sacrée.

« J’ai été reçue ce jour, par le haut représentant du chef de l’État, Monsieur Claude Ibanlaky question de lui parler du Regroupement des femmes de l’Union sacrée dont je suis la coordinatrice. Très satisfait, il s’est dit fier nous » a-t-elle fait savoir à l’issue des échanges.

Le RFUS composé des femmes des partis politiques membres de l’Union sacrée a été officiellement lancé le samedi 16 juillet de l’année en cours avec pour missions d’accompagner le président de la République, de militer pour leur participation dans les instances décisionnelles ainsi qu’aux prochaines échéances électorales.

Insécurité à l’Est: La Cenco préconise des concertations Gouvernement – Monusco- société civile pour rétablir la paix

Des réactions se multiplient après les manifestations anti Monusco organisées lundi et mardi derniers en villes de Goma et Butembo dans la province du Nord-Kivu.

La Confession épiscopale nationale du Congo ( CENCO) qui a dit suivre ces manifestations avec regret et tristesse, craint que celles-ci s’étendent sur d’autres villes du pays.

Dans ce cadre, elle encourage le gouvernement congolais à organiser les concertations avec la Monusco et les organisations de la société civile aux fins d’établir un diagnostic sur les interventions des uns et des autres portant sur le retour de la paix dans sa partie Est.

« Elle encourage l’Etat congolais et la MONUSCO à diligenter une enquête conjointe afin que les conditions dans lesquelles les scènes de violence et des pillages se soient exercées soient mises en lumière et que leurs auteurs soient traduits en justice», peut-on lire dans un document de cette confession rendu public mercredi 28 juillet.

Par ricochet, cette dernière a affirmé que le gouvernement congolais et la Monusco ont montré leurs limites dans leur mission de sécuriser les populations exposées aux attaques des groupes armés.

Dans un autre volet, la Cenco a condamné  » fermement » toute la violence qui a prévalu pendant ces manifestations, ce, avant d’appeler la population à exercer son droit de manifester pacifiquement conformément aux lois.

Amical : La RDC fait jeu égal avec le Congo Brazzaville

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Les Léopards A’ de la République démocratique du Congo et les Diables rouges du Congo Brazzaville se sont quittés par un score nul d’un but partout (1-1) à l’issue d’une rencontre amicale a ce mercredi 27 juillet au stade Massamba-Deba à Brazzaville.

 

Cette rencontre entre en compte des préparatifs des éliminatoires du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) qui se tiendra au mois d’août prochain.

 

Ce derby du fleuve-Congo a été sanctionné par des buts de Lilepo Makabi de la part de la RDC à la 23e minute et celui de Ossete aux ultimes minutes de la confrontation, permettant ainsi aux brazzavillois d’arracher à l’in extremis un précieux match nul.

 

Il faut noter que, les deux sélections sont engagées aux éliminatoires du CHAN au mois d’août. La phase finale se tiendra au mois de janvier en Algérie.

« Le gouvernement doit annoncer la date du retrait définitif de la Monusco de la RDC » ( Noël Tshiani )

L’acteur politique Noël Tshiani exige que le gouvernement congolais annonce la date du retrait définitif de la Mission de l’organisation des Nations-Unies pour la stabilité au Congo ( Monusco).

Après deux jours de violentes manifestations dans la province du Nord-Kivu pour exiger le départ de la Mission onusienne, celui-ci trouve inutile de réprimer les manifestations par la violence et dans le sang.

« On ne peut plus continuer à justifier la présence de la Monusco en RDC après ces manifestations meurtrières dans le Kivu. Le Gouvernement doit annoncer la date du retrait définitif de la Monusco de la RDC», a-t-il écrit sur sol Twitter.

Une dizaine de morts et au moins 50 blessés ont été enregistrés à la suite de la hargne de la population du Nord-Kivu contre la mission onusienne en RDC depuis plus de 20 ans maintenant.

Lors d’un briefing mardi dernier, Khassim Diagne, Représentant spécial adjoint pour la protection et les opérations à la Monusco a affirmé que ce n’est pas la Monusco qui a tiré sur les civils.

Kinshasa: Mise en place de la gratuité d’accouchement dans neuf zones de santé

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Il s’agit des zones de santé de Kingasani, kikimi, Biyela Masina I, Masina II, N’sele, Maluku I, Maluku II, et Kisenso, qui sont touchés par la mise en place œuvre de la gratuité d’accouchement

Ce, dans le cadre du projet de programme de développement de système de Santé (PDSS) financé par la banque mondiale.

Le Ministère provincial de la Santé publique, hygiène et prévention a indiqué que le projet touchera toutes les zones de santé et maternités de la ville de Kinshasa.

L’accès gratuit aux soins prénatals, aux accouchements et aux soins néonatals sont des éléments constituant ce projet dans le cadre du développement du système de santé, et devant s’étendre partout.

Avant de rappeller qu’il tient son fondement de la vision du Chef de l’État de la République démocratique du Congo , tel qu’il a annoncé dans son discours traditionnel du 30 juin.

Annoncé partant du gouvernement, Tony Mwaba réaffirme sa loyauté à Tshisekedi

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Étiqueté pro-Kabund Jean-Marc, nombreux sont ceux qui ont annoncé dans les réseaux sociaux son départ du gouvernement Sama Lukonde, auquel il assume les fonctions du Ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST).

En réaction à ce qui parait comme une rumeur des rues de Kinshasa, Tony Mwaba vient de trancher et jette son dévolu sur Félix-Antoine Tshisekedi, le président congolais à qui il a renouvelé sa loyauté. « C’est Félix Tshisekedi qui m’a nommé et c’est à lui que je dois loyauté », a-t-il affirmé dans les médias.

Et de justifier que tout ce qui se raconte « ce sont des bêtises ». L’entrée au gouvernement étant lié au quota des regroupements et partis politiques, le ministre de l’EPST dit être arrivé à l’exécutif par le quota UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social ), alors que Jean-Marc Kabund y assumait la présidence ad intérim.

« Pour entrer au gouvernement, nous sommes venus dans le quota de l’Udps. Nous étions proposés par Jean-Marc Kabund et Augustin Kabuya (…). J’étais sur la liste et le chef de l’Etat m’a nommé. Ce n’était que des propositions, certaines ont été rejetées », a-t-il expliqué.

Et de marteler: « je ne sers pas deux maîtres. À l’Udps j’avais adhéré individuellement (…). L’actuel chef de l’Etat alors président du parti, connaît bien l’histoire de mon entrée à l’Udps. Le président Tshisekedi me connaît mieux », a-t-il insisté.

Giscard Havril

Hargne contre la Monusco : Le gouvernement soupçonne l’infiltration des miliciens Mai-Mai

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Plusieurs congolais et soldats de la paix de l’ONU ont succombé lors de la marche populaire au Nord-Kivu, laquelle s’est soldée par des violences occasionnant d’énormes pertes matérielles pour la MONUSCO, voire la mort de quelques casques bleus.

Le gouvernement congolais dit avoir reçu de la première enquête, des informations qui montrent que les rebelles du groupe armé étaient impliqués dans toutes les violences commises à l’endroit de la mission onusienne.

S’agissant spécialement de la ville de Butembo, des miliciens Maï-Maï se sont infiltrés avec l’objectif de s’attaquer aux casques bleus, a-t-on indiqué.

Le gouvernement a signalé que d’autres enquêtes seront conjointement diligentées pour découvrir tous les auteurs qui sont derrière ces manifestations pour cibler les casques bleus de la Monusco.

Jackson Muleka buteur face à Alaves

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L’international congolais, Jackson Muleka a ouvert son compteur face au club espagnol, Deportivo Alavés mardi 26 juillet dernier lors d’une rencontre amicale.

Titulaire dans cette rencontre qui a opposé son club, Besiktas contre Deportivo Alaves, Jackson Muleka s’est illustré dès la 2e minute en marquant un but qui a permis à son équipe de mener face au club de la première division espagnol.

À la deuxième période, l’ancien attaquant de Kisimpasa et ses coéquipiers ont vécu un calvaire en encaissant deux buts successifs en 12 minutes et ont perdu (2-1) après le coup de sifflet final.

Toujours en rodage, le congolais, Jackson Muleka et toute son équipe ont encore le temps de soigner dans les moindres détails leur système de jeu.

Signalons que, le championnat Turc dénommé, Super lig donnera son coup d’envoi vendredi 5 août prochain.

Les attaques contre les Nations Unies sont des crimes internationaux imprescriptibles (BCNUDH)

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Le Bureau Conjoint des Nations Unies pour les Droits de l’Homme n’est pas resté silencieux après deux jours d’intenses violences sur la MONUSCO par la population dans la province du Nord-Kivu.

D’emblée, il a rappellé que la liberté de manifestation pacifique est un droit fondamental consacré par la Constitution et reconnu à tout citoyen qui l’exerce librement dans le cadre strictement défini par la loi.

Pareillement, le bureau de droits humains de l’ONU a mis en garde les auteurs de ces actes qui, aux yeux de la communauté internationale sont tributaires des discours de haine et message incitant à l’hostilité, à la violence contre la MONUSCO ainsi que son personnel.

L’organe onusien des droits humains souligne clairement que les actes précités sont des crimes internationaux imprescriptibles et exposent leurs auteurs et instigateurs, quel que soit leur statut officiel, à des poursuites judiciaires.

« La violence, quelle que soit la forme est inacceptable et est incompatible avec les buts légitimes poursuivis dans le cadre d’une manifestation», insiste le BCNUDH.

Ce faisant, il appelle les autorités à prendre des mesures diligentes et efficaces pour remplir leurs obligations de protection du personnel et des bâtiments des Nations Unies dans le strict respect des droits de l’homme.

L’ex Haut commissariat des droits de l’homme invite aussi les organisation de la société civile, leaders communautaires, religieux, politiques et influenceurs à sensibiliser les populations à la non-violence, à exercer de la retenue et à se distancier des discours de haine et messages incitatifs à la violence et l’hostilité.

Goma: Retour au calme ce mercredi après deux jours des violentes manifestations contre la MONUSCO

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Il s’observe une situation d’accalmie dans la ville de Goma au Nord-Kivu ce mercredi 27 juillet après deux jours de violentes manifestations organisées par les mouvements de pression pour exiger le départ de la MONUSCO.

Selon un constat fait par la rédaction de kt.cd ce mercredi matin, la circulation est normale n’en déplaise certains axes de la ville, les pierres sont toujours entreposées pour barricader la route.

Les éléments des FARDC font le tour pour empêcher toute éventuelle manifestation et réouvrent toutes les artères bloquées depuis deux jours par les manifestants en colère.

Vers trois paillotes Katindo sur la route Goma-Sake où sont parties les manifestations de la vieille, la route est opérationnelle au trafic grâce à l’intervention de l’armée.
Même situation à Majengo, à Katoyi et à Ndosho qui étaient considérés comme bastion des manifestations anti-Monusco.

Un communiqué des autorités de l’Etat de siège met en garde toute personne qui va tenter d’entrer dans les rues pour manifester.

Il sied de rappeler qu’au moins 5 personnes ont été tuées dans ces manifestations, plus de 50 autres ont été gravement blessées et plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés.

Jean Marc Kabund attendu ce jeudi à la Cour de cassation

Livré par la Chambre basse du Parlement, Jean Marc Kabund, ancien président du parti au pouvoir va comparaître devant la Cour de cassation après son diatribe contre le chef de l’Etat, son ancien collaborateur, lors de sa toute première sortie médiatique six mois après sa radiation à l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS).

Paru dans les médias, un mandat de comparution lui est adressé par l’officier du ministere public pres la Cour de cassation. Ce dernier oblige l’ancien premier vice-président de la Chambre basse à se présenter devant son cabinet les avant midi de ce jeudi 28 juillet.

A défaut de se présenter, poursuit ce mandat de comparution, M. Kabund sera contraint de le faire conformément à la loi. Le nouveau président du parti Alliance pour le Changement, parti de l’opposition, est accusé d’Injures publiques, imputations dommageables, outrages envers les autorités publiques, offenses envers le Chef de l’Etat et propagation des faux bruits.

L’Assemblée nationale avait annoncé quelques jours après le coup de gueule de leur collègue, d’ouvrir à sa charge une action disciplinaire pour des propos injurieux et diffamatoires qu’il aurait tenu à l’endroit du chef de l’Etat.

Mais le camp de cet habitué au combat de l’opposition accuse le régime en place d’instrumentaliser des institutions du pays contre lui.

Répression contre la Monusco: Bahati Lukwebo veut laver son image

Bahati Lukwebo, président du Sénat, est pointé du doigt au sein de l’opinion comme l’un des auteurs intellectuels de la violente répression contre la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco) à Goma dans le Nord Kivu. il a déclaré lors d’un meeting que cette mission devrait quitter la RDC. 

Après violentes manifestations qui ont conduit à une dizaine de mort et au pillage des locaux de la monusco à Goma, le président regroupement politique Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés, (AFDC-A)dit regretter « le fait que certaines personnes mal intentionnées déforment et décontextualisent ses propos, quant à la demande du retrait de la MONUSCO »dit-il dans un communiqué de son regroupement politique mardi 26 juillet.

D’après lui, ce départ « a été sollicité massivement par la population faute des résultats en termes de neutralisation des forces négatives qui sèment la terreur dans l’Est de la RDC, notamment dans le Grand Nord (Ituri, BéniI), mais pas par la violence. “Cette question doit être réglée pacifiquement, et de manière progressive par des canaux politiques et diplomatiques appropriés », ajoute-t-il.

Le senateur Bahati Lukweba a interdit et condamne « avec la dernière énergie » tout acte de violence perpétré contre les installations des Nations Unies, plus précisément au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. « Il interdit formellement les membres de sa famille politique et toute personne qui s’identifie à lui et en ses actions, de faire recours à la violence pour solliciter le départ de la MONUSCO », conclut le camp politique de M. Bahati.

Nord-Kivu : Denis Mukwege appelle à la cessation de la violence

Le prix Nobel de la paix a exprimé sa désolation face aux actes de vandalisme contre la mission des Nations-Unies en RDC (Monusco) dont les bureaux de Goma, au Nord-Kivu ont été attaqués par des populations hostiles à la présence onusienne dans ce coin. Le Dr Denis Mukwege a lancé un message pour une cessation des violences.

Dans un communiqué, relayé ce mardi 26 juillet, le fondateur de l’Hôpital de Panzi, au Sud Kivu a également déploré la répression violente des contestataires, lors de ces manifestations.

« Bien que la frustration de la population de Goma soit compréhensible parce qu’elle vit au quotidien des conséquences horribles de cette guerre que nous imposent certains pays voisins. Cette frustration devrait s’exprimer dans la non-violence », a dit le gynécologue.

Il conclut son message par un mot de compassion avec l’infortune de la MONUSCO et a condamné avec fermeté l’usage disproportionné de la force qui a causé des morts et de nombreux blessés parmi les manifestants.

Des sources ont annoncé au moins onze décès dont huit manifestants et trois casques bleus après des échauffourées qui ont pris deux jours de suite à Goma, chef-lieu de la province du Nord Kivu.

Goma: Hargne contre la Monusco, le gouverneur militaire appelle à l’apaisement

Les manifestations de la population de Goma en province du Nord-Kivu, suivent leur cours. Hier lundi 25 tout comme ce mardi 26 juillet, le bilan tant humain que matériel est revu à la hausse. L’on note 5 morts et une cinquantaine des blessés.

Le Gouverneur Militaire de cette province sous état de siège, le Lieutenant général Constant Ndima dit continuer à lancer un appel au calme et l’apaisement.

 » C’est depuis hier que je ne cesse de lancer un appel au calme pour toute la population, quoique la situation se dégénère à ce niveau, cela ne nous arrange pas », a t-il lancé à la télévision nationale.

Il interpelle la population gomatracienne en particulier, celle nord-kivutienne en général, pour ce qui est des actes de vandalisme qui conduisent à de dégâts matériels et humains, en rassurant que le gouvernement a déjà compris le message.

 » Nous population, nous n’avons pas à nous prendre comme ça en charge, en s’en prenant aux Nations-Unies », a-t-il dit.

UPF: Ouverture à Benguerir, au Maroc, des 49ème assises internationales de la presse francophone

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La presse francophone a ouvert le lundi 25 juillet les 49e assises à l’Université Mohammed VI Polytechnique de la ville de Benguerir, devant notamment un panel d’invités et d’autorités marocaines.

Organisées par l’Union de la presse francophone (UPF), ces assises qui se poursuivent jusqu’au 27 juillet courant ont pour thème: « Leadership féminin au sein des médias : rôle des médias dans le renforcement du leadership des femmes ». Elles invitent les femmes leaders, ainsi que les experts au débat, aux témoignages et à l’échange d’expériences sur cette question.

Pour sa part, la présidente de la section UPF-Maroc, Mme Meriem Oudghiri, a indiqué que le thème revêt une très grande importance parce qu’il y a encore de grands défis à relever dans ce domaine. « Justement ces assises vont nous permettre de discuter et de partager toutes les expériences de plus de 200 professionnels de médias venus d’une quarantaine de pays francophones, dont une grande majorité d’Afrique« .

Par ailleurs , les femmes congolaises invitées à ces assises, ont partagé leur expérience des femmes et des dirigeantes des médias, s’agit de la députée et rapporteuse adjointe de l’Assemblée nationale, Colette Tshomba Ntundu, et la présidente du conseil d’administration de l’Agence congolaise de presse (ACP).

Toute deux ont retracé, leur parcours journalistique jusqu’à leurs postes respectifs actuels.

Nord-Ubangi : La Cour d’appel confirme l’élection de Malo Mobutu

Dans un arrêt rendu mardi 26 juillet, la Cour d’appel du Nord-Ubangi a confirmé l’élection du gouverneur Malo Mobutu à la tête de cette province. C’était lors d’une audience publique présidée par Franck Habimana, président de cette juridiction.

Par ailleurs, aucune requête en annulation de l’élection du gouverneur n’a été enregistrée dans cette province après la victoire du candidat de l’Union sacrée.

Malo Mobutu, a été élu avec 11 voix sur 18 votants lors des élections des gouverneurs organisée le 12 juillet par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).