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Mercato: Marcel Tisserand dans le viseur d’ Udinese Calcio

Le défenseur congolais évoluant à Fenerbahçe (D1) en Turquie, Marcel Tisserand (29 ans) serait tout proche de s’engager avec le club italien Udinese Calcio.

Selon la presse italienne, l’Udinese Calcio classé 12e de la Série A suit de près la situation délicate du capitaine de la sélection nationale de la République démocratique du Congo.

L’administration du club Udine aurait d’ores et déjà enclenché les pourparlers avec le joueur. Les accords pourraient être signés dans les prochaines heures, renseigne la même source.

Passé par Toulouse, Wolfsburg ou encore Fenerbahçe, Marcel Tisserand est sur le point d’embrasser une nouvelle aventure avec son quatrième championnat en Europe, après la Bundesliga, Ligue 1 et süper lig.

La saison 2021-2022, l’international congolais formé à l’As Monaco a disputé 26 matchs toutes compétition confondues (Süper lig 19 matches,ligue Europa 5 matchs et Lig conférence 2 matchs)

RDC-Rwanda: André Alain Atundu s’oppose à la rupture des relations diplomatiques des deux pays

Pour cet acteur politique et PCA de la Société nationale d’électricité ( SNEL), “rompre nos relations diplomatiques avec le Rwanda n’est pas nécessairement un signe de force”.

À la même occasion, il
se pose la question de l’intérêt de cette rupture? “Quel est l’intérêt pour la République démocratique du Congo de rompre nos relations avec le Rwanda dans les circonstances actuelles? Si nous rompons nos relations diplomatiques, cela veut dire que les gens du Kivu ne pourront plus aller au Rwanda pour leurs besoins, et vice-versa”, estime-t-il.

L’ancien membre de la MP (Majorité présidentielle sous Kabila) est explicite sur la question des relations entre les deux Etats : « nos relations datent d’avant le conflit ». Il demande cependant que l’on évite des réactions émotionnelles. Pour lui, « la dimension tout comme l’immensité d’un territoire n’est forcément pas une présomption de puissance ».

Giscard Havril

Est de la RDC: Uhuru Kenyatta appelle au déploiement immédiat de la Force régionale de l’EAC

« J’appelle à mobiliser la Force régionale de l’Afrique de l’Est, sous les auspices de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) », a déclaré dans un communiqué mercredi 15 juin, le président kenyan Uhuru Kenyatta.

Dans ce contexte, les responsables de sept pays membres de l’EAC doivent se rencontrer la journée de dimanche 19 juin, afin de préparer le déploiement de cette force, a précisé le même communiqué. « Elle doit-être déployée immédiatement dans les provinces d’Ituri, du Nord-Kivu et Sud-Kivu afin de stabiliser la région et rétablir la paix », a-t-il fait entendre.

Le communiqué du chef de l’Etat kenyan intervient alors qu’en République démocratique du Congo (RDC), le président Tshisekedi a présidé la réunion du Conseil supérieur de la défense tard dans la soirée de la même journée du 15 juin. À l’issue de cette réunion, plusieurs décisions ont été prises, parmi celles-ci, le Conseil supérieur de la défense a demandé au gouvernement de la RDC, de suspendre toutes les conventions et tous protocoles d’accords signés avec le Rwanda. Il a en outre, exigé au Rwanda de retirer ses troupes sur le sol congolais.

Il faut dire que, lundi dernier, les terroristes du M23 soutenus par le pays de milles collines ont récupéré la cité de Bunagana, frontalière avec l’Ouganda, avant que les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ne la récupèrent ce jeudi 16 juin.

Une attitude belliqueuse que Kinshasa a dénoncé. Soutenant qu’il défendra son territoire et qu’aucun centimètre carré n’irait aux mains des envahisseurs.

« Cette attitude belliqueuse du Rwanda procède d’une stratégie annoncée et programmée de troubler une nouvelle fois la paix et perturber la quiétude de nos paisibles et innocentes populations. La République démocratique du Congo est déterminée à défendre chaque centimètre carré de si territoire », a fait savoir le Conseil supérieur de la défense.

Giscard Havril

Jazz kif donne le go du grand show de ce week-end

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Des partenaires du festival Jazz kif, ses sponsors, organisateurs, journalistes et artistes en l’honneur se sont réunis tous, ce jeudi en conférence de presse à l’hôtel Clé de château avant de donner le go de la 15eme édition de ce festival qui démarre demain le 17 juin 2020.

Deux ans après l’arrêt de dudit festival en raison de la pandémie, cette grande messe panafricaine réunissant les artistes de renommée internationale, verra la participation du Cap Vert, de la République du Congo, du Nigeria et de la République démocratique du Congo le pays hôte.

 

Ces pays vont étaler leur mosaïque culturelle à la grande halle de la Gombe à Kinshasa, capitale de la RDC.

Keziah Jones du Nigeria et le groupe Cersaria Evora Orchestra du Cap vert feront leurs toutes premières prestations à Kinshasa déjà ce week-end.

Triomp la star en vogue, gagnant du concours MTN 2021 à Brazzaville va ouvrir le bal dans ce grand festival. Kingongolo KINIATA et Joyce Kaj vont faire flotter le drapeau de la RDC sous l’ambiance du DJ Khalisto et Guets.

Les billets sont en vente à Kembo Café à l’institut Français, Clés de Châteaux, chop de vodacom.

Claude Makelele se propose entraîneur des Léopards de la RDC

 

La sélection nationale de la République democratique du Congo attire le regard de plusieurs entraîneurs après l’annonce de la volonté de la RDC de résilier le contrat avec Hector Cuper, l’actuel sélectionneur qui a presque failli à sa mission.

Se confiant à la presse française, le technicien Français d’origine congolaise Claude Makelele nourrit des ambitions de prendre la tête du staff technique des Léopards senior.

« Personnellement, je suis prêt à diriger l’équipe nationale de la RDC. On veut tous s’asseoir pour restructurer le football en République démocratique du Congo»,, a-t-il déclaré.

Mais du côté de la RDC, aucune démarche ne semble être entreprise pour le remplacement de Hector Cuper.

La MONUSCO invite les groupes armés à participer au Programme Désarmement, Réintégration communautaire et Stabilisation

Il s’est tenu en date du 15 juin dernier une conférence de presse « ONE UN » en RDC, Cette conférence essentiellement axée sur la situation sécuritaire à l’Est du pays.

La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies et cheffe de la MONUSCO, Mme Bintou Keita a réitéré son appel à la cessation des hostilités, à la désescalade et à la retenue dans l’Est de la République démocratique du Congo.

Elle a, par cette même occasion invité les différents acteurs du conflit à la compassion pour que cessent les massacres des personnes civiles, surtout des femmes et des enfants.

Madame Bintou Keita a appellé aussi les groupes armés congolais à donner une chance à la main tendue par les chefs d’Etats Felix Tshisekedi Tshilombo et Uhuru Kenyatta à travers le processus de Nairobi.

Sur les incidents frontaliers entre le Rwanda et la RDC, les Nations Unies n’ont pas manqué de saluer la nomination par l’Union africaine du président angolais João Lourenço pour désamorcer les tensions et appuient pleinement ces efforts politiques.

Les Nations Unies sont par ailleurs profondément préoccupées par le nombre de rapports faisant état d’une augmentation des discours de haine dans le pays contre certaines communautés, notamment dans le contexte de la résurgence du M23.

Pour ce qui est du programme désarmement, démobilisation, réintégration communautaire et stabilisation (PDDRCS), La MONUSCO invite à cet effet les autorités à intégrer les femmes et les jeunes dans les différentes initiatives en cours, notamment les consultations de Nairobi et l’opérationnalisation de ce PDDRCS.

Suspension de tout accord avec le Rwanda : Noël Tshiani recommande l’annulation pure et simple


Le conseil supérieur de la défense appelle le gouvernement à suspendre tout accord, protocole d’accord et convention signé avec le Rwanda de Paul Kagame.

Cette décision est consécutive au soutien de ce pays frontalier à la République démocratique du Congo (RDC) aux terroristes du Mouvement du 23 mars (M23) qui massacrent la population à l’Est.

« Le conseil supérieur de la défense demande au gouvernement congolais de suspendre tout accord, protocole d’accord et convention signé avec le Rwanda et exige le retrait des troupes Rwandaises sur le sol congolais sous couvert du Mouvement terroriste M23 », a rappelé le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya à l’issue de cette réunion présidée par Félix Tshisekedi.

Une décision qui a été saluée par l’acteur politique Noël Tshiani, recommdant ainsi l’annulation pure et simple de tout accord avec le Rwanda

« Je salue à sa juste valeur la décision du conseil supérieur de la défense qui demande au gouvernement congolais de suspendre tout accord, protocole d’accord et convention signé avec le Rwanda. Mais la suspension est très molle. Je recommande l’annulation pure et simple », a-t-il écrit via son compte Twitter.

Il y a lieu de signaler que, le vice-Premier ministre en charge de l’intérieur Daniel Aselo et le commissaire général de la police nationale ont été chargés à prendre des dispositions requises pour faire face à tout acte visant à troubler l’ordre public, l’unité et la cohésion nationale.

« Le conseil supérieur de défense a réaffirmé de la République démocratique du Congo de poursuivre le processus de paix de Nairobi pour la pacification de l’Est du pays et de toute la sous-région», a conclu Patrick Muyaya.

Assemblée nationale : 5 députés nationaux invalidés suite à l’absentéisme

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Adolphe Muzito, Henry Mova, Papy Niango, Luc Mulimbalimba et Marie-Ange Mushobebekwa, tels sont les députés qui ont subi la sanction lors de la plénière tenue mercredi 15 juin 2022.

Cette invalidation intervient à la suite de la commission spéciale temporaire chargée de statuer sur les cas des députés absentéistes non justifiés dont le rapport a été présenté devant la chambre basse du Parlement.

Ladite commission découle de la motion incidentielle initiée par le député national Paulin Odiane, élu d’Isiro, conformément à la constitution dans son article 110 et puis le règlement intérieur à son article 95.6

Parmi les députés qui ont été auditionnés à la commission spéciale et temporaire qui statuait sur le cas des absentéistes, il y a entre autres Néhémie Mwilanya, Boniface Balamage, Papy Niango, Jeanine Mabunda, Henri Mova, Nanou Memba, Fofo Konzi, Aubin Minaku, Marie-Ange Mushobekwa, Jean Kimbunda.

Il est à noter que ces députés dont les absences n’ont pas été justifiées seront remplacés par leurs suppléants et ce, conformément au règlement intérieur de cet organe délibérant.

Urgent : La cité de Bunagana enfin récupérée par les FARDC

Après plus ou moins trois jours d’occupation par les terroristes du M23, la cité frontalière de Bunagana est enfin entre les mains des vaillants militaires FARDC.

Ce, après des violents combats depuis tôt le matin de ce jeudi 17 juin 2022 que ces rebelles et leurs alliés de RDF ont été défait et pour l’heure ils sont en débande totale ne sachant sur quel saint se vouer.

Selon des sources locales recoupées, ces derniers sont en fuite et actuellement ont pris toutes les directions notamment l’Ouganda et le Rwanda.

VL1: Face à face DCMP – st Eloi Lupopo ce jeudi

la 27e championnat d’élite de la RDC (vodacom ligue 1) va se poursuivre ce jeudi 16 juin au stade Kibassa Maliba, dans le face à face entre la formation de St Eloi Lupopo et celle du Daring club Motema Pembe.

Après deux revers, dont une défaite et un nul respectivement contre Groupe Bazano et l’Us Tshinkunku, les immaculés vont tenter de sortir la tête de l’eau et renouer avec la victoire.

Mais en face, les Kinois vont retrouver une équipe lushoise qui se pointe comme sérieux prétendant au titre.

Depuis la reprise, les coéquipiers de Youssouf Mulumbu en sont à leur première rencontre, avant de s’envoler pour kindu à la rencontre de Maniema Union, une autre équipe phare dans cette compétition.

Agression de la RDC par le Rwanda : Retour sur la marche des forces vives organisée à Goma

Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu a vécu une ambiance particulière le mercredi 15 juin 2022. Il s’agit de la marche pacifique de soutien aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC ), engagées dans plusieurs fronts pour combattre les forces négatives à l’Est de République démocratique du Congo (RDC), parmi lesquelles les terroristes du M23 dans le Rutshuru.

À l’issue de cette manifestation, un mémorandum a été lu devant le représentant de l’autorité provinciale. Dans leur mémo, les manifestants des diverses couches de la population ont affirmé apporter leur soutien aux forces loyalistes engagées aux combats contre les terroristes du M23 qui ont récupéré depuis quelques jours la cité de Bunagana. Ils ont dit non à l’agression de leur pays par des Etats voisins.

À ce sujet, les forces vives ont accusé et cité nommément le Rwanda, tel que l’ont fait autorités nationales. Pour ces manifestants, le pays de milles collines est bel et bien la base arrière du M23, et l’Ouganda joue au chaud et froid. Tantôt allié de la lutte contre les ADF dans le territoire de Beni et à Rutshuru, alors qu’il aide les terroristes à atteindre leur objectif.

Ces citoyens congolais exigent vivement la rupture des relations diplomatiques avec les deux pays, et que l’armée soit dotée des moyens nécessaires, qui lui permettront de faire face à toute sorte d’agressions contre la Nation.

Le représentant de l’autorité provinciale, le général Sylvain Ekenge, a de son côté rassuré que les FARDC et la Police feront tout ce qui est de leur pouvoir, pour protéger le territoire national. Elles ne laisseront aucun centimètre aux mains des ennemis.

Alors que la RDC accuse le Rwanda de soutenir toutes les actions la déstabilisant, Kigali de son côté joue la même carte pour la RDC devant les instances internationales.

C’est que, dans une lettre adressée adressée par le Rwanda au conseil de sécurité des Nations-Unies, il se dit être victime de la situation actuelle sur le sol congolais et par ricochet, il demande la protection de ses habitants. Pour corroborer sa thèse, Kigali met en évidence quelques tirs d’obus qui seraient tombés sur son territoire, la suspension des vols de Rwandair sur l’espace aérien congolais et la convocation de son ambassadeur par les autorités congolaises.

Pendant que les deux pays s’accusent mutuellement, les populations subissent les plus durs des représailles. « Quand deux éléphants se battent, ce sont les herbes qui subissent les conséquences », dit-on.

Invalidée à l’Assemblée nationale, Marie-Ange Mushobekwa voit l’ombre de l’entourage de Tshisekedi

Marie-Ange Mushobekwa, figure parmi les députés nationaux jugés absentéistes dont l’Assemblée nationale a invalidé, mercredi 15 juin. En réaction, cette élue pointe du doigt la présidence.


« On me dit que l’ordre est venu du cabinet de la présidence», déclare l’élue de Kabare dans le Sud Kivu. Elle a même rendu publiques ses autorisations de sorties obtenues de la Chambre basse du Parlement pour notamment se faire soigner.


« Mes trois derniers voyages où j’étais en soins médicaux, ont été totalement payés par l’Assemblée nationale. Quelle contradiction ? », s’interroge-t-elle sur Twitter.

Mais son collègue député national Eliezer Ntambwe s’inscrit en faux dans ces accusations portées contre la présidence. il affirme « qu’il y avait dans cette commission aucun membre de la présidence de la République».

Outre Marie-Ange Mushobekwa, 4 autres élus nationaux se sont vus être invalidés par l’Assemblée nationale, il s’agit des députés Henri Mova, Adolphe Muzito, Papy Niango et Luc Mulimbalimba.
Outre Marie-Ange Mushobekwa, 4 autres élus nationaux se sont vus être Invalidés par l’Assemblée nationale, dont Henri Mova, Adolphe Muzito, Papy Niango et Luc Mulimbalimba.

Agression de la RDC par le Rwanda : Retour sur la marche des forces vives organisée à Goma



Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu a vécu une ambiance particulière le mercredi 15 juin 2022. Il s’agit de la marche pacifique de soutien aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC ), engagées dans plusieurs fronts pour combattre les forces négatives à l’Est de République démocratique du Congo (RDC), parmi lesquelles les terroristes du M23 dans le Rutshuru.

À l’issue de cette manifestation, un mémorandum a été lu devant le représentant de l’autorité provinciale. Dans leur mémo, les manifestants des diverses couches de la population ont affirmé apporter leur soutien aux forces loyalistes engagées aux combats contre les terroristes du M23 qui ont récupéré depuis quelques jours la cité de Bunagana. Ils ont dit non à l’agression de leur pays par des Etats voisins.


À ce sujet, les forces vives ont accusé et cité nommément le Rwanda, tel que l’ont fait autorités nationales. Pour ces manifestants, le pays de milles collines est bel et bien la base arrière du M23, et l’Ouganda joue au chaud et froid. Tantôt allié de la lutte contre les ADF dans le territoire de Beni et à Rutshuru, alors qu’il aide les terroristes à atteindre leur objectif.

Ces citoyens congolais exigent vivement la rupture des relations diplomatiques avec les deux pays, et que l’armée soit dotée des moyens nécessaires, qui lui permettront de faire face à toute sorte d’agressions contre la Nation.



Le représentant de l’autorité provinciale, le général Sylvain Ekenge, a de son côté rassuré que les FARDC et la Police feront tout ce qui est de leur pouvoir, pour protéger le territoire national. Elles ne laisseront aucun centimètre aux mains des ennemis.

Alors que la RDC accuse le Rwanda de soutenir toutes les actions la déstabilisant, Kigali de son côté joue la même carte pour la RDC devant les instances internationales.



C’est que, dans une lettre adressée adressée par le Rwanda au conseil de sécurité des Nations-Unies, il se dit être victime de la situation actuelle sur le sol congolais et par ricochet, il demande la protection de ses habitants. Pour corroborer sa thèse, Kigali met en évidence quelques tirs d’obus qui seraient tombés sur son territoire, la suspension des vols de Rwandair sur l’espace aérien congolais et la convocation de son ambassadeur par les autorités congolaises.

Pendant que les deux pays s’accusent mutuellement, les populations subissent les plus durs des représailles. « Quand deux éléphants se battent, ce sont les herbes qui subissent les conséquences », dit-on.

Nyiragongo : Plus de 1000 personnes adhèrent à la Génération Aimé Boji Sangara G-ABS

Ils étaient au total 1200 personnes venues de plusieurs horizons du territoire de Nyiragongo en province du Nord-Kivu qui ont accepté volontairement d’adhérer à la Génération Aimé Boji Sangara.

C’était au cours d’une séance de sensibilisation et de vulgarisation organisée le samedi 11 juin 2022 à l’école primaire La Promesse en territoire de Nyiragongo, organisée par la coordination provinciale de la Génération Aimé Boji Sangara ( G-ABS).

Pendant plusieurs minutes, ces habitants ont été outillé suffisamment sur la vision de cette association qui vise notamment à encadrer les milliers de personnes et ceux qui adhèrent à sa vision dans l’entrepreneuriat et autres activités génératrices de revenus pour leur autonomisation financière.

Selon madame Solange Nzigire coordinatrice provinciale de la G-ABS, cette initiative n’était qu’une introduction. Pour elle, l’objectif est d’implanter cette association dans tous les ménages de la province pour bénéficier aussi de la générosité de Aimé Boji Sangara, ministre congolais de budget.

Poursuivant, Solange Nzigire appelle la population, particulièrement les jeunes du Nord-Kivu à adhérer massivement dans cette association sans but lucratif pour bénéficier aussi de l’incubateur qui sera créée en leur faveur et jouir aussi de plusieurs autres avantages, notamment l’encadrement de la jeunesse dans l’entrepreneuriat, l’agriculture, l’élevage, le gardiennage, l’appuis aux femmes dans les associations villageoises de crédits (AVC).

A noter que l’activité a été clôturée par l’assistance des personnes de troisième âge et des veuves qui ont reçu de la part de la G-ABS du sel, du salon et d’autres produits de première nécessité.

Voulant apporter le sourire à cette population, la Génération Aimé Boji Sangara a aussi amenée un citerne de plusieurs mètres cubes d’eau pour le desservir de leurs besoins vitaux.

Kinshasa : JEFIA célèbre la journée mondiale contre la faim avec les personnes vulnérables



À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre la faim célébrée chaque 15 juin, la structure Jeunes Filles en Action (JEFIA) a ouvert en cette date, la deuxième édition de la « Foire de la Bouffe » qui va se dérouler pendant trois jours soit du 15 au 17 juin, dans l’enceinte de la Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN)

Le thème retenu pour cette deuxième édition est : « Agir toujours, pour taire la faim ». Avec sa coordinatrice nationale Ruth Nguanza, l’asbl JEFIA a offert un repas à une centaine de personnes vulnérables (les handicapés, les aveugles, et les enfants en rupture familiale) qui ont répondu à son invitation ainsi qu’à d’autres personnalités présentes à la cérémonie d’ouverture.


L’objectif général de cette campagne est de permettre aux personnes vulnérables et démunies de partager un repas de cœur avec ceux qui ont des moyens et de réfléchir ensemble sur les stratégies à mettre en place pour que cette lutte ne soit pas un mythe.

Créée depuis décembre 2016 à l’Institut facultaire des sciences de l’information et de la communication (IFASIC), l’ASBL ‘’Jeunes filles en action’’ est à sa 5ème édition de campagne dénommée « Stop nzala », laquelle, au-delà de simple recréation est devenue une foire, un cadre d’échanges, des propositions, des solutions efficaces et un programme de lutte contre la faim.

Sénat: Percutant dans ses réponses aux représentants de provinces, les sénateurs satisfaits du passage du VPM Daniel Aselo à la chambre haute

À la suite des questions orales lui adressées par les sénateurs Ilunga Civuila Auguy, Isabelle Kabamba Wa Umba et Denis Kambayi Cimbumbu, sur la gestion de son Ministère, Daniel Aselo Okito Wa Koy, Vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières est revenu, mardi 14 juin devant les sénateurs, après avoir sollicité et obtenu, vendredi 11 juin, le délai de 48 heures, afin d’éclairer la religion des représentants de provinces sur les questions liées aux problèmes liés à la sécurité, la gestion de la territoriale, la gouvernance politique des provinces, ainsi qu’aux affaires coutumières et conflits intercommunautaires.

S’agissant des questions sécuritaires ( Ndlr: crimes et banditisme urbains tracasseries de certains services, etc.), le VPM a rassuré aux sages de la République d’avoir pris soins de considérer cette situation comme inquiétante et ce, en vue de lutter contre la recrudescence du phénomène Kuluna en ville de Kinshasa et dans d’autres grandes villes du pays, par des mesures opérationnelles, en collaboration avec le Commandement de la Police nationale congolaise (PNC), pour mettre en place des stratégies pouvant endiguer durablement ces phénomènes.

De même au sujets des tracasseries occasionnées par quelques services. À ce sujet, le VPM Aselo a affirmé que son itinérance sur la route Nationale n°1 lui a permis de démanteler toutes les barrières illégales. Dans ce même ordre, son vice-ministre en a assuré le suivi il y a à peine une semaine entre Kinshasa et Tshikapa, à l’aller et au retour. Aussi, de temps en temps, les autorités provinciales et urbaines sont instruites pour lutter contre cette mendicité.

L’autre question c’est celle de la réforme de la PNC, où il a rappelé que nombre dispositions légales fixent les missions dévolues à cette institution, notamment l’article 182 et suivants de la Constitution de la République. Le patron de la sécurité a pour ce faire, mis en évidence le Plan national stratégique de développement (PNSD), qui prévoit une série de réformes autour de cinq grandes orientations parmi lesquelles le renforcément de la bonne gouvernance, la restauration de l’autorité de l’Etat, la consolidation de la paix. Pour la dotation des moyens de mobilité à la PNC, Daniel Aselo a rassuré du processus en cours pour l’acquisition d’un lot de 625 véhicules pour les unités de celle-ci. Il s’agit là d’un nombre arrêté pour l’année 2022. Des motos et hors-bords pour la police des frontières n’ont pas été oubliés.

À la question de la sénatrice Francine Muyumba, relative au mouvement incontrôlé des policiers, le VPM a fait noter qu’une commission est mise en place pour non seulement identifier ces policiers, mais aussi déterminer les raisons de leur déplacement.

Concernant la gestion de la territoriale, il a indiqué qu’il s’agit bel et bien de la responsabilité du pouvoir central de résoudre le problème de manque de mobilité des Administrateurs de territoires (AT) et chefs de secteurs, ce, en coordination avec les Ministères concernés. Et d’expliciter que le Projet 145 territoires prévoit entre autres axes de doter nos entités déconcentrées des infrastructures administratives et d’utilité socio-économiques, à même de palier à cette difficulté. Pour ce qui est des irrégularités des salaires des AT, il a indiqué que le gouvernement s’active actuellement pour y répondre utilement.

Répondant à la préoccupation relative à l’opérationalisation des nouvelles Villes et Communes, la deuxième personnalité du gouvernement Sama Lukonde a fait part aux représentants de provinces, de l’existence d’une Commission chargée de la mise en place de la cartographie des entités érigées en Villes et Communes, qui est à pied d’œuvre afin de finaliser le processus d’installation.

Autre point, c’est celui de la gouvernance politique. Ici, il a martelé sur les dernières élections des gouverneurs et/ou vice-gouverneurs de provinces. Notant que la liste établie s’est fondée sur la loi électorale, en son article 160, les alinéa s 1 à 5, ainsi que les décisions judiciaires rendues en premier et der nier ressort par la Cour constitutionnelle.

Enfin, au sujet des conflits coutumiers dans l’espace Kasaï et le conflit intercommunautaire dans le territoire de Katanda, au Kasaï Oriental, il a soutenu la mise en place de la redynamisation des commissions consultatives de règlement des conflits.

Satisfait des réponses du Vice-Premier ministre Daniel Aselo, très respectueux des lois, le président du Sénat, le professeur Modeste Bahati Lukuebo a clos le débat.

Assemblée nationale: Au moins 200.000 USD mobilisés pour soutenir les FARDC


A l’issue d’une plénière dédiée à la situation sécuritaire à l’Est de la République democratique du Congo, tenue mardi 14 juin dernier, les élus nationaux ont cotisé une somme de plus de 200.000 dollars américains pour soutenir les Forces armées congolaises engagées au front pour combattre le M23 soutenu par le Rwanda.

D’après le rapporteur de la chambre basse, “cette somme sera mise à la disposition des forces armées de la RDC (FARDC)”, a-t-il affirmé sur Twitter

Après un débat houleux des députés à l’hémicycle de l’Assemblée nationale sur la situation qui prévaut à l’Est du pays, plusieurs décisions ont été annoncées outre cette cotisation.

Certains médias affirment que, le speaker de la Chambre basse a même exiger l’arrestation des certaines autorités qui seraient en conivance avec les rwandais pour semer l’instabilite dans cette partie du pays, c’etait lors d’un huis clos qu’il aurait décrété selon la meme source. .

RDC : les USA préoccupés de l’insécurité qui prévaut dans le Nord-Kivu

L’Ambassade des États-Unis d’Amériques en République démocratique du Congo, se dit préoccupée de l’insécurité qui prévaut dans la partie Est du pays, depuis les attaques du mouvement M23 en début de semaine.

La représentation diplomatique des USA en RDC a soutenu que la présence Rwandaise est observée dans cette zone de la RDC, comme l’a confirmée le gouvernement du pays depuis plusieurs semaines.

« Nous sommes extrêmement préoccupés par les récents combats dans l’est de la RDC et par la présence signalée de forces rwandaises sur le territoire de la RDC », a écrit l’Ambassade des États-Unis sur Twitter.

Dans son élan, elle a fustigé l’attitude du Rwanda, déclarant que « Les comportements provocateurs et les propos incendiaires doivent cesser », a-t-on poursuivi.

Pour cette puissance mondiale, de telles actions augmentent le risque de violence et de destruction dans l’Est du Congo et nuisent à tous les habitants de la région.

Les tensions ont ressurgi entre les deux pays à la suite des nouveaux affrontements entre les rebelles du Mouvement du 23 Mars (M23), et l’armée congolaise qui ont déplacé des dizaines de milliers de personnes à l’Est du Congo.

Ce dernier pic de tension est dû aux allégations de la RDC, selon lesquelles le Rwanda soutiendrait les rebelles du M23. Dans un communiqué, l’armée congolaise accuse Kigali d’avoir déployé 500 soldats en appui au M23.

Soutien aux FARDC : Goma en ébullition avec des manifestations

Des milliers de personnes sont descendues dans les différentes rues de la ville de Goma le matin de ce mercredi 15 juin en vue de contester l’agression de la RDC par le Rwanda sous couvert du M23.

Tous les âges confondus ont répondu présent à cette activité qui est partie de l’endroit communément appelé entrée présidentielle suivant l’itinéraire prévu par le maire policier de la ville de Goma, suivant l’itinéraire de la société civile urbaine.

Avec des calicots porteurs de messages appelant les dirigeants du Rwanda et Ouganda à « revenir à la raison » ont été visibles aux mains des manifestants encadrés par les éléments de la police nationale congolaise.

Au gouvernorat de la province du Nord-Kivu, les manifestants ont été reçus par le porte-parole du gouverneur militaire du Nord-Kivu le général Sylvain Ekenge Bomusa qui leur a encouragé pour la bravoure promettant ainsi une bonne suite des opérations de traque des mouvements rebelles qui écument la partie Est du pays en l’occurrence le M23.

Comme dans la ville de Bukavu la semaine dernière, ces manifestants portant les calicots de Poutine se dirigent vers la grande barrière avec plusieurs risques de déborder la frontière rwando-congolaise.

Insécurité à l’Est : La RDC plaide pour l’instauration d’une diplomatie régionale

Instaurer une diplomatie dans l’extrême urgence pour notamment mettre fin à l’insécurité qui prévaut dans la partie Est de la République démocratique du Congo, est un besoin urgent du gouvernement congolais selon son communiqué signé le 14 juin en rapport avec les attaques du M23.

Après la visite du couple royal belge en RDC, le gouvernement congolais a appelé le roi Philippe de la Belgique et la communauté internationale à jouer un rôle important dans ce processus d’instauration de la diplomatie régionale, laquelle apportera la paix dans la sous région et principalement dans cette partie de la RDC.

Dans ce même document, le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya a rapporté les propos du médecin gynécologue, et prix Nobel de la paix 2018 Dénis Mukwege, qui devant le roi Philippe a indiqué que c’est l’impunité qui nourrit le cycle des violences dans cette contrée du pays.

« c’est cette impunité garantie aux auteurs qui nourrit le cycle des violences dans cette région et les multiples agressions dont est victime notre pays », a déclaré Dénis Mukwege au roi belge.

Le Premier Ministre belge, Alexandre De Croo, a, quant à lui, fait savoir que la RDC a le droit d’exiger de ses voisins que son territoire soit respecté. Quant à l’apport de son royaume, il a ajouté que la Belgique tient au respect strict de l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo.

Relativement au soutien du Rwanda aux terroristes du M23, le gouvernement congolais a martelé sur la défense de son territoire, sans concession d’aucun centimètre de sa terre.

« Nous défendrons chaque centimètre de notre territoire » a conclu le communiqué du gouvernement daté du 14 juin 2022.

RDC : Adoption de la loi électorale au Sénat

La chambre haute du Parlement a adopté depuis lundi 13 juin, la proposition de loi modifiant et complétant la loi de 2006 portant organisation des élections à tous les niveaux en RDC.

Après son adoption par l’Assemblée nationale, et examen en première lecture, le Sénat a finalement décidé à l’unanimité d’adopter cette loi proposée par les députés congolais du groupe G13.

Plusieurs réformes sont proposées par ce groupe parlementaire, parmi lesquelles, obtenir un processus transparent et garantir la traçabilité des résultats. L’objectif de la publication des résultats bureau par bureau, l’une des propositions du groupe parlementaire.

Au-delà d’autres modifications apportées par cette nouvelle loi, l’innovation ajoutée par le Sénat, c’est l’introduction de l’article 13 bis en vue d’inciter les femmes à se représenter en attendant la mise en œuvre effective du principe de la parité.

Du coté Front Commun pour Congo (FCC), le boycotte demeure toujours. Pour cette plateforme de l’ancien Président Kabila, ce manque du consensus va permettre de duper les électeurs et de choisir des dirigeants sans légitimité.

Malgré leur recul, cette loi adoptée par le Sénat, modifiant l’organisation des élections en République démocratique du Congo, avec comme l’un des objectifs spécifiques l’exclusion de toutes formes de critiques liées à cette organisation, sera d’application dès les élections 2023 en RDC, après promulgation de cette celle-ci par le Président de la République Félix Tshisekedi.

À noter qu’elle était parmi les principales matières inscrites à l’ordre du jour de la session de mars qui se clôture aujourd’hui mercredi 15 juin 2022.

VL1: Le match TP Mazembe vs RCK reprogrammé au 17 juin prochain


Initialement prévue ce mardi 14 juin, la rencontre qui va opposer le club Lushois du Tout Puissant Mazembe face au Racing club de Kinshasa est reprogrammé au 17 juin prochain.

Dans un communiqué de Ligue nationale de football ( Linafoot) de ce mardi , ce match se jouera au stade Mazembe à partir de 15h30, heure locale.

Ce report fait suite à la section des joueurs du TP Mazembe à la sélection nationale A’ qui ont pris part à un tournoi organisé en Algérie.

RDC: Serge Nkonde dément la nouvelle de sa démission

Suite aux rumeurs évoquant sa démission du gouvernement, le ministre des sports et loisirs Serge Chembo Nkonde a apporté, ce mardi 14 juin, un démenti subtil en indiquant que: »Je ne sais pas où ces personnes de mauvaise foi ont entendu que j’allais démissionner”

Dans une interview téléphonique accordée au média non-aligné, Serge Nkonde a fait savoir que les auteurs de cette information délibérément biaisée sont des personnes mal intentionnées qui travaillent manifestement pour la déstabilisation du Gouvernement Sama dont il est membre.

“Les captures qui circulent sur les réseaux sociaux faisant état de ma prétendue démission sont des FakeNews. Il s’agit des niaiseries fabriquées dans les laboratoires haineux qui ont toujours combattu le Régime. Je suis présentement au bureau, concentré sur les dossiers concernant mon secteur » a-t-il fait savoir.

Il circule depuis tôt ce matin, une capture d’écran visiblement truquée avec le logo et design du média français RFI, faisant part de la démission du ministère des sports et loisirs. Le média français RFI s’est indigné contre cet acte qui entache sa réputation et promet des enquêtes à ce sujet et poursuite judiciaire à leurs auteurs.

Goma: Le maire de la ville autorise la marche des forces vives pour soutenir les FARDC

Face à l’agression dont sont victimes les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) par les rebelles du M23 et ses alliés du Rwanda et de l’Ouganda ; la société civile forces vives de la ville de Goma appelle toute la population de Goma et ses environs à participer à une marche pacifique qu’elle organise ce mercredi 15 juin 2022.

Une marche qui, selon le communiqué dûment signé par Marion Ngavo président urbain de cette structure citoyenne, partira de l’entrée président jusqu’au rond-point Rutshuru, en passant par le gouvernorat ( Musée), le rond-point Instigo et le rond-point Chukundu.

Une demande approuvée par l’autorité urbaine. Dans un communiqué rendu public ce mardi, le maire de Goma, le commissaire supérieur provincial François Kabeya Makosa a autorisé cette initiative afin de soutenir l’armée régulière au front dans le territoire de Rutshuru depuis plusieurs jours.

Cependant, le maire de Goma appelle les organisateurs à encadrer des manifestants pour éviter tout dérapage. Il a chargé les services de l’ordre et de sécurité d’assurer l’encadrement de la marche suivant l’itinéraire approuvé.

Rutshuru : La radio communautaire la voix de Mikeno vandalisée par le M23 à Bunangana



Les terroristes du Mouvement du 23 mars (M23,) ont vandalisé lundi 13 juin dernier la station de la radio communautaire la voix de Mikeno, émanant depuis Bunangana, situé à 100 km de la ville de Goma, territoire de Rutshuru.

La structure Journaliste en Danger ( JED), qui a confirmé cette information, a précisé que ce forfait a eu lieu aux environs de 17h heure locale.

Sur place, tous les matériels de haute et basse fréquence ont été emportés pendant l’occupation de la cité, a ajouté la même source.

« Je deviens muet et ne saurais plus par où commencer si l’accalmie revenait, car ils ont saccagé ma radio, emportés l’émetteur, le mixeur, les microphones. Ils ont également détruit l’acoustique du studio avant de laisser les tables du studio cassées », a confié le directeur de la RACOM à JED.

Pendant ces temps, le personnel de ladite radio est en refuge en Ouganda et dans les autres agglomérations riveraines de Bunangana.

« Pour l’instant, seuls les dictaphones portables ont été sauvés par nos collègues et nous », a martelé le numéro 1 de cette station radio.