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Attaque de l’avion de chasse congolais par le Rwanda: « la RDC devrait réagir », (Charly Bayila)

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La RDC devrait répondre au Rwanda au principe de la réciprocité après l’attaque de son avion de chasse, confie à Kt.cd M. Charly Bayila analyste politique. D’après lui, ces derniers temps, la RDC riposte face au Rwanda sur le plan économique.

« En relations internationales, il y a un principe qu’on appelle la réciprocité. Lorsqu’un pays pose un acte hostile, il faut riposter par rapport à ce principe. Il faut toujours chercher à établir le rapport de force dans les relations entre les Etats. Ce rapport peut ou ne pas être militaire », laisse-t-il entendre.

Pour cet analyste congolais, « c’est une action de dissuasion que le Rwanda a faite pour que la RDC m’intimide plus son pays. Mais, nous congolais, nous devons le considérer comme un acte de guerre », analyse-t-il.

Ce chercheur pense que le Rwanda ne peut pas affirmer qu’il a délibérément attaqué un avion de guerre d’un pays voisin, surtout sur son espace aérien. « Le Rwanda confirmerait d’avoir violé intentionnellement la souveraineté de la RDC », explique-t-il.

Un acte volontaire

A propos de la présence des avions de chasse sur le sol rwandais, l’analyste Charly Bayila parle d’une crainte de la part du gouvernement rwandais.

« Le gouvernement rwandais a une crainte actuellement, vis-à-vis de nos avions de guerre. Et du fait que l’avion avait atterri précédemment à Rubavu, le Rwanda a cette fois-ci interprété le fait que l’avion a survolé son espace aérien. Pour intimer le champ congolais, le Rwanda a tiré sur l’avion de guerre de la RDC », poursuit-il.

Il considère l’acte posé par le Rwanda d’une action volontaire. « Nous savons tous que le Rwanda l’a fait volontairement pour attaquer la RDC. Vous vous souvenez, il y a deux mois, un de nos avions de guerre avait atterri dans un village rwandais (Rubavu) et cela avait suscité une grande panique au Rwanda », argumente-t-il.

Mardi 24 janvier, le Rwanda a accusé une nouvelle fois l’un des avions d’attaque congolais de type Sukhoi-25 d’avoir violé son espace aérien, menant à une réponse militaire. Sans plus de détails, Kigali affirme qu’il a pris des mesures défensives à la suite de ce qu’il qualifie de « troisième acte du genre ».

De son côté, Kinshasa a rejeté toutes les accusations de survol de l’espace aérien rwandais. Le gouvernement congolais parle d’« une énième attaque du Rwanda et d’une action délibérée d’agression qui équivaut à un acte de guerre ».

Nord-Kivu : l’explosion d’une bombe fait dix-sept blessés dans un petit marché à Beni

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Près de dix-sept personnes ont été blessées dans la soirée du mercredi 25 janvier à la suite de l’explosion d’une bombe dans un petit marché de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC).

Selon Tharcisse Katembo, chef de ce quartier populaire de Beni, province du Nord-Kivu, « la bombe a explosé dans la soirée dans le petit marché « Macampagne » du quartier Kalinda, « au moins 17 personnes ont été blessées et admises dans des structures médicales », a-t-il indiqué à l’AFP.

« Un jeune homme a déposé un sac en plastique de couleur verte dans le moulin, en promettant de revenir le récupérer. Environ trois minutes plus tard, ce sac a explosé, faisant des blessés dont moi-même et les clients venus faire moudre leur manioc », a expliqué Dany Siauswa, gestionnaire du moulin, alité à la clinique la Prospérité.

Un correspondant de l’AFP a vu au moins huit blessés dont trois fillettes pris en charge dans la clinique la Prospérité. Les victimes sont blessées aux pieds, d’autres aux bras et même au niveau de la tête, selon ce correspondant.

Joseph Kakule, un responsable de la société civile locale a avancé un bilan d' »au moins 19 personnes blessées, en raison des « éclats ». La région de Beni est l’une des zones les plus instables de l’est de la RDC, en proie à l’insécurité depuis près de 30 ans.

Le 15 janvier, un attentat attribué aux Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe affilié aux jihadistes de l’État islamique a fait une quinzaine de morts dans une église protestante évangélique à Kasindi, à la frontière avec l’Ouganda.

Ces miliciens sont accusés d’avoir tué au moins 23 villageois lundi, une nouvelle tuerie revendiquée par l’EI. Depuis fin 2021, une opération militaire conjointe congolaise-ougandaise ciblant les ADF dans cette région est en cours. Mais des attaques continuent d’être rapportées.

« Ils ont peur du silence de Joseph Kabila », (Olive Lembe)

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L’ex première dame de la RDC, Olive Lembe a démenti, mercredi 25 janvier à Kinshasa, le salaire de 680 000 USD attribué à son époux, l’ancien président Joseph Kabila. D’après elle, c’est du mensonge. « Mon mari n’a jamais touché le salaire de 680 000 dollars», dit-elle.

« C’est par manque de se justifier que tout le monde se penche sur le président Kabila comme si c’était une marchandise à vendre », a-t-elle déclaré lors d’une cérémonie d’échange des vœux dans son Centre hospitalier Initiative Plus (CHIP).

Olive Lembe demande des preuves où ces salaires ont été reçus. « Je mets quiconque au défi de me prouver que depuis 2020, Joseph Kabila touche 680.000$. Depuis quand ce salaire a été signé. Produisez-moi un document qui atteste de ce salaire », a ajouté l’épouse de Kabila.

Elle estime qu’elle devrait faire des recherches cette année pour savoir où passait les salaires de son époux pendant toutes ces années. « Vous imaginez la magie que je peux opérer pour le bien être de la population si j’ai 680 000 dollars tous les mois ? », s’interroge-t-elle.

Agenda sombre derrière la séparation Tshisekedi-Kabila

« Ça ne sert à rien d’étaler tout le temps nos divisions qui nous affaiblissent. D’ailleurs, je peux dire que ceux qui ont travaillé dans l’obscurité pour séparer mon époux et le président Félix avaient commencé à préparer un agenda sombre pour nous affaiblir », a poursuivi l’ex première dame.

Elle dénonce par ailleurs la guerre, la famine en République démocratique du Congo. « Il faut mieux produire des preuves d’amour », a-t-elle lancé en appelant à l’amour pour mieux soutenir le pays.

Suspension du président du CNJ: Guy Kibira fixe l’opinion ( Interview)

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La suspension de William Mukambila à la tête du Conseil national de la jeunesse (CNJ), par le ministre de la Jeunesse, Yves Bunkulu pour insubordination défraie la chronique. Si certains ne sont pas du même avis que le ministre, d’autres par contre pensent que le ministre est dans ses prérogatives de suspendre un président du CNJ.

Guy Kibira Ndoole, président de la commission électorale ayant conduit à la mise en place du bureau actuel du CNJ, est du même avis que le ministre Bunkulu. Pour cet ancien président du Conseil provincial de la jeunesse et chef de division de la jeunesse du Nord Kivu, le ministre national a plein droit de suspendre le président du CNJ. Répondant aux questions de kt.cd, Guy Kibira indique que cette mesure peut être définitive ou d’ordre, pour remettre le train sur la raille. Interview.

Kt.cd: Estimez-vous que le ministre est habilité à suspendre un président élu dans l’assemblée générale du CNJ ?

Guy Kibira: Affirmatif. Un président élu par les jeunes à l’assemblée générale peut être suspendu ou même destitué par le ministre ayant la jeunesse dans ses attributions. Être élu par les jeunes ne rend pas supérieur au ministre de tutelle. Rappelez-vous que même l’arrêté qui régit le CNJ est aussi signé par le ministre de la jeunesse. Donc, c’est net et clair que le ministre soit habilité à prendre des mesures contre ou pour la jeunesse, ça dépend dans quelle situation il se trouve. Et pour le cas précis, il a pris une décision responsable qui entre dans ses attributions.

KT: Que dit la loi lorsque le président est suspendu à mi-mandat ?

GB : Les textes régissant le CNJ prévoient qu’il y ait le président et ses collaborateurs directs, dont le vice-président. De manière hiérarchique, le vice-président remplace le président. Or nous sommes ici dans une situation où le président est empêché eu égard à l’arrêté du ministre l’ayant suspendu. Alors, la loi prévoit que l’un des vices présidents le plus actif et il se fait que le vice-président en charge des Finances soit le plus actif et s’est beaucoup impliqué dans les questions des jeunes. Nathanaël Atibu, c’est quelqu’un qui a de l’expérience et de tous les membres de l’actuel bureau il est le seul issu d’un organe statutaire de part notre arrêté. La plupart des membres de ce bureau sont venus des structures membres et non des conseils. Et pour son cas, avant d’être vice-président du CNJ, il était président du conseil provincial de la province du Maniema. Voilà pourquoi je dis qu’il est bien indiqué pour faire l’intérim. Ça sera pour lui une routine parce qu’il a eu à le faire au niveau de sa province, maintenant il le fera qu’au niveau national et pour celà, il a l’avantage d’avoir cette proximité avec tous les présidents de toutes les 26 provinces.

KT: Que sera la suite pour le président en suspension ?

GB : En attendant que le ministre de la jeunesse lève les mesures disciplinaires contre William Mukambila, nous pensons que son intérimaire a beaucoup de chances d’aller jusqu’à la fin du mandat puisque là aussi il y a deux possibilités: soit si les moyens les permettent et que le contexte est favorisant, on peut convoquer une assemblée générale dès lors que l’action disciplinaire contre le président suspendu est jugé avérée et qu’il ne peut pas être réhabilité à défaut de celà, le vice-président intérimaire peut aller jusqu’à fin mandat. Et je vous précise que le président suspendu a déjà fait la remise et reprise avec son intérimaire, c’est pourquoi j’estime qu’il y a lieu que ce dernier aille jusqu’à la fin de ce mandat et nous osons croire qu’il va éviter de tomber dans les erreurs reprochées au président en suspension.

Il sied de rappeler que le président William Mukambila wa Mukambila a été suspendu le 20 janvier dernier pour plusieurs griefs à sa charge, notamment pour faux et usage de faux, pour opacité dans la gestion financière et pour tant d’autres.

Choléra/Nord-Kivu: le site de Kanyaruchinya atteint la barre de 3.876 cas

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Depuis la déclaration de l’épidémie de choléra dans la province du Nord Kivu, au total 3.876 cas ont été répertoriés dans le site d’accueil des déplacés de Kanyaruchinya, au nord de la ville de Goma.

A ceci s’ajoutent 222 décès dont 16 attribués à cette même maladie. Ces chiffres ont été révélés ce mercredi 25 janvier 2023 lors du lancement de la campagne de vaccination contre choléra dans les zones de santé de Karisimbi et Nyiragongo dans la province du Nord-Kivu.

Selon le représentant du chef de division provinciale de la santé et expert en vaccination, cette campagne va durer 6 mois et concerne toute personne dont l’âge varie entre une année et plus.

De son côté, le gouverneur militaire le lieutenant général Constant Ndima fait savoir que sur les 34 zones de santé que compte la province, 7 sont déjà infectées par l’épidémie. Il appelle donc la population à se faire vacciner auprès de relais communautaires pour vaincre cette pathologie.

L’’autorité provinciale demande aux habitants de sa juridiction de continuer à respecter scrupuleusement les mesures nécessaires pour contenir la propagation de cette épidémie qui a déjà endeuillée plusieurs familles dans la province du Nord Kivu.

Profitant de l’occasion, le ministre des Affaires sociales Modeste Mutinga qui a procédé au lancement de cette campagne a fait savoir que le cadre d’accueil des déplacés de Kanyaruchinya sera désengorger pour éviter la contamination.

« L’homosexualité n’est pas un crime », (Pape François)

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À quelques jours de son arrivée à Kinshasa, le Pape François s’est exprimé lors d’une interview accordée à l’AFP sur la question qui touche de sensibilité. Pour le souverain pontife, les lois pénalisant l’homosexualité à travers le monde sont « injustes », dit-il.

« Être homosexuel n’est pas un crime. Mais c’est un péché. D’abord faisons la distinction entre un péché et un crime ». « C’est aussi un péché de manquer de charité les uns envers les autres », a-t-il ajouté.

Interrogé sur l’attitude des prêtres qui soutiennent les discriminations envers les personnes LGBT, le pape François a estimé qu’ils devaient plutôt engager « un processus de conversion » et avoir « de la tendresse ».

En 2021, l’institution du Vatican chargée de dire et préserver le dogme catholique, la Congrégation pour la doctrine de la foi, avait déjà souligné que l’homosexualité était considérée comme un « péché » par l’Église.

Le Pape François est attendu à Kinshasa, capitale congolaise le 31 janvier pour un séjour de trois jours, puis à Djouba, capitale du Soudan du Sud. Après une annulation en juin 2022 pour des raisons de santé, le souverain pontife se rendra finalement en RDC. Il a tout de même annulé l’étape de Goma comme c’était prévu dans son programme d’avant.

Le Gouvernement congolais a de sa part pris toutes les dispositions pour que cette visite papale se passe dans des conditions idoines.

Massacre à Kishishe : l’heure des enquêtes sérieuses a sonnée (Jean-Baptiste Kasekwa)

«Il est temps qu’une mission d’enquête indépendante soit dépêchée à Kishishe. Que le gouvernement mette tout en œuvre pour que ces enquêtes soient menées pour que les responsabilités soient établies» déclare Jean-Baptiste Kasekwa, député national élu de Goma, au cours d’une interview exclusive accordée à kt.cd ce mercredi 25 janvier.

24 heures après la libération de la localité de Kishishe par l’armée congolaise, Jean-Baptiste Kasekwa exige que les enquêtes ne tardent plus pour répertorier toutes les fausses communes annoncées par le gouvernement congolais appuyé par le bureau conjoint des Nations unies il y a quelques mois.

Ce membre de l’ECIDé de Martin Fayulu a, par la même occasion, fustigé le « silence » du gouvernement après le découvert d’autres fosses communes à Djugu, en Ituri et sur le massacre des civils qui se font aussi à Beni.

Il demande au bureau conjoint de l’ONU de redescendre sur le terrain après avoir publié son premier rapport préliminaire qui confirmait déjà la commission des massacres et la présence des fausses communes à Kishishe.

« Avec la libération de Kishishe, les populations sont disposées à donner des témoignages de manière libre. C’est pourquoi tous les partenaires soucieux de la justice à descendre sur le lieu pour que les responsabilités soient établies en bonne et due forme et que les coupables soient punis pour servir de leçon » a-t-il conclu.

La localité de Kishishe a été récupérée entre les mains des rebelles du M23 après d’intenses combats dans la journée du mardi 24 janvier 2023. Fin novembre, le gouvernement congolais avait dénoncé le massacre de plus de 131 personnes, parmi la population, perpétré par les rebelles M23. Ces derniers avaient captivé cette cité.

Elections en RDC : Début de l’enrôlement des congolais vivant en France, Afrique du Sud et Belgique

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L’opération d’identification et d’enrôlement des congolais résidant en France, Afrique du Sud et Belgique a été lancée ce mercredi 25 janvier.

En France, 4 machines sont disponibles pour la réussite de cette opération. C’est ce qu’a fait savoir Bienvenu Ilanga, premier vice-président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui a procédé au lancement.

En Afrique du Sud et Belgique, l’enrôlement de la diaspora a été respectivement lancé par le rapporteur de la Centrale électorale, Patricia Nseya et Didi Manara, deuxième vice-président de cette institution d’appui à la démocratie.

En RDC, la CENI a lancé ce même mercredi 25 janvier, l’enrôlement des électeurs dans la deuxième aire opérationnelle. Cette dernière est composée de 9 provinces dont celles du Grand Kasaï et le Haut-Katanga.

Tension Rwanda-RDC : Uhuru Kenyatta invite à la cessation de toutes les hostilités

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Uhuru Kenyatta, facilitateur désigné de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Est (EAC) pour la paix dans l’Est de la RDC a appelé, dans un communiqué ce mercredi 25 janvier, à l’apaisement alors que les tensions entre la RDC et le Rwanda monte d’un cran.

Profondément préoccupé par la détérioration rapide de la situation dans la région du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, où des combats entre divers groupes armés ont éclaté, l’ancien président du Kenya appelle toutes les parties à cesser les hostilités.

Les tensions ont également redoublé entre le gouvernement de la RDC et son voisin rwandais.

Mardi 24 janvier, Kigali a affirmé avoir tiré sur un avion de chasse congolais qui, selon lui, avait violé son espace aérien. Kinshasa a démenti toute intrusion et dénonce cette « attaque » rwandaise qui équivaut, selon elle, à « un acte de guerre ».

Félix Tshisekedi à Dakar pour le sommet sur l’Agriculture et l’agroalimentaire

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Le Président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi est arrivé ce mercredi 25 janvier, à Dakar, la capitale sénégalaise où il va prendre part à la 2ème édition du Sommet sur l’Agriculture et l’agroalimentaire qui se tient du 25 au 27 janvier 2023.

Ces assises qui se tiendront au Centre international de Conférence Abdou Diouf (CICAD), à Diamniadio, ont comme thème : « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience ». Elles sont organisées par la Banque africaine de développement (BAD), sous la présidence de Macky Sall.

Plus de 1 500 personnes sont attendues, dont une vingtaine de chefs d’État et de gouvernements, des ministres chargés de l’économie et des finances, des ministres de l’agriculture et des secteurs connexes, des gouverneurs de banque centrale ainsi que des acteurs du secteur privé, des organisations multilatérales, des organisations non gouvernementales, des universitaires et des scientifiques de premier plan.

Les organisateurs ont indiqué qu’à cette occasion, les dirigeants africains chercheront à mobiliser les ressources du gouvernement, des partenaires au développement et des financements du secteur privé pour exploiter le potentiel de l’agriculture et les réalités salariales de l’Afrique, transformant ainsi les efforts de plaidoyer en actions concrètes.

ESU : Muhindo Nzangi lance ce jeudi à Kisangani la formation paramilitaire des étudiants

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La cérémonie officielle du lancement de la formation paramilitaire des étudiants aura lieu ce jeudi 26 janvier en ville de Kisangani dans la province de la Tshopo.

D’après un communiqué de la conférence des chefs d’établissement de la Tshopo, cette cérémonie sera présidée par le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire ( ESU), Muhindo Nzangi.

« Initialement prévue ce mercredi 25 janvier 2023, la cérémonie du lancement officiel de la formation paramilitaire des étudiants de la Tshopo aura lieu le jeudi 26 janvier 2023 à l’esplanade du bâtiment administratif de l’université de Kisangani », lit-on dans ce document.

D’après les sources sur place, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire Muhindo Nzangi séjourne déjà dans cette partie du pays.

C’est au mois de novembre de l’année dernière que les responsables d’universités et instituts supérieurs avaient proposé à Kinshasa, l’introduction dès cette année académique une formation à la préparation militaire des étudiants et étudiantes.

Élections 2023: L’enrôlement des électeurs lancé au Kasaï

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C’ést ce mercredi 25 janvier que la Commission électorale nationale indépendante ( CENI), a lancé l’enrôlement des électeurs dans la province du Kasaï.

Cette province fait partie de la deuxième aire opérationnelle. Elle est prévue pour une durée d’un mois, soit jusqu’au 25 février de l’année en cours.

Le gouverneur de province Dieudonné Pieme, premier à obtenir sa carte à l’école primaire Somba Ne Lutulu, située dans la commune de Kanzala, a invité la population à emboîter le pas.

« J’invite donc toute la population du Kasaï à suivre cet exemple. Le président de la République avait déjà lancé à Mbandaka et aujourd’hui nous lançons dans la province du Kasaï », a-t-il dit.

Signalons que, dans la première aire opérationnelle composée de 10 provinces notamment kinshasa, Kongo Central, Kikwit et bien d’autres, cette opération a été prolongée de 25 jours.

Kinshasa: le gouverneur annule les démolitions le long de la rivière Funa

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Le gouverneur de la ville de Kinshasa Gentiny Ngobila a décidé de ne pas démolir, ce mercredi 25 janvier, les constructions anarchiques érigées au long de la rivière Funa.

« J’ai décidé de surseoir à la démolition de toutes les constructions anarchiques érigées sur le lit de la rivière FUNA et ce, en vue de se conformer aux normes environnementales et sociales applicables audit Projet »,a indiqué M. Ngobila dans un communiqué rendu public mardi 24 janvier.

D’après lui, le gouvernement va incessamment élaborer et mettre en œuvre un plan d’action pour permettre l’exécution de ces travaux à travers le Projet KIN ELENDA, ce dernier aboutira notamment à l’indemnisation et à l’expropriation aux propriétaires des maisons obstruant l’écoulement des eaux de la rivière FUNA entre l’avenue Lwambo Makiadi (ex Bokasa) et l’avenue des Poids lourds.

Par ailleurs, il est demandé à toutes les personnes ayant entrepris de nouvelles constructions aux alentours du Poste Funa de la SNEL de les interrompre immédiatement.

Réclamations pour annulation de résultats du match Ranger vs V Club : La CoGes tranche en faveur de Vclub

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La Commission de Gestion (CoGes) de la Ligue nationale de football (Linafoot) a rendu, mardi 24 janvier dans un communiqué, son verdict sur l’affaire confrontant l’Association Sportive Vita Club et l’Académie Club Ranger.

Le club cher du président Lambert Osango avait formulé une réserve contre les Dauphins noirs. Se demandait l’annulation de résultats de sa rencontre contre le vert et noir de Kinshasa. Il lui reprochait d’aligner des joueurs non en règle dans leur confrontation au stade des Martyrs.

Ces réserves ont été jugées recevables mais non fondées par la Commission de Gestion de la Linafoot après délibération. La CoGes valide le résultat de la rencontre qui a mis au prise les deux équipes le 24 octobre 2022. Cette opposition s’est soldée en faveur des Moscovites (1-0).

Elle affirme qu’« Aucune preuve n’a été déposée et celles apportées ultérieurement n’ont pas emporté la conviction nécessaire de pertinence » lit-on dans ce document.

Pour rappel, V Club est largement leader au classement général avec 31 points talonné par FC Saint Eloi Lupopo et Maniema Union qui occupent respectivement la 2e et 3e place. l’AC Ranger est très loin à la 10e position avec 11 points.

Basket-ball Mondial 2023(Q): Les Léopards au bord d’un forfait ?

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À 30 jours, soit un mois du début de la 5e fenêtre des éliminatoires de la Coupe du monde de Basketball zone Afrique, la Sélection congolaise semble se diriger vers une crise. Certains joueurs exigent le paiement de leurs primes avant de prendre part dans cette dernière étape des phases qualificatives.

C’est ce qu’a fait savoir le président de la Fédération de Basketball du Congo (FEBACO), Paulin Kabongo lors d’une sortie médiatique.

« Sur le plan administratif, nous avons débuté les instructions des membres de la délégation dans le MAP, pour être répertorié par FIBA Afrique. Mais nous rencontrons quelques réticences de certains joueurs qui ne sont pas sûrs, qui nous ont dit : « on ne va pas venir tant qu’on n’a pas payé nos arriérés » fait-il savoir.

Quasiment au bord du gouffre dans le groupe F, à la 5e place avec 13 points en 4 succès et 5 défaites, cette équipe nationale de Basketball de la République démocratique du Congo est attendue au tournant pour remonter la pente. Pour ce faire, elle aura un stage de préparation prévu à Monastir (Tunisie) du 12 au 17 février 2023.

Mais malheureusement toute cette sélection ne pourra effectuer ce déplacement si le gouvernement congolais n’intervient pas à temps. La FEBACO dit avoir un souci avec les agences de voyages qui leur livre les billets à crédit.

« C’ est vrai que nous, nous allons commencer la préparation. Mais cette fois-ci, si nous n’avons pas les moyens du gouvernement à temps, nous n’allons pas voyager parce que les agences qui nous cèdent les billets à crédit, nous leur devons de l’argent depuis très longtemps. Donc elles ne sont pas disposées à nous aider encore une fois »regrette-t-il.

Le numéro de la FEBACO espère un meilleur traitement de la part du gouvernement. « C’est quand même triste pour nous mais nous osons croire que cette fois-ci le ministre des Finances mettra quand même à notre disposition tout ce que nous avons dépensé d’abord pour l’Egypte où nous nous sommes qualifiés pour la Coupe du monde » a expliqué

Cette dernière étape de cette phase qualificative au mondial 2023 se tiendra à Alexandrie (Égypte) du 24 au 26 février. La RDC entamera la compétition contre le Cameroun avant de défier le Soudan du Sud, leader de ce groupe, ainsi qu’elle achèvera contre la Tunisie.

Faux, l’avion congolais n’a pas survolé l’espace rwandais

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Après l’attaque contre un avion congolais Shukhoï-25 par l’armée rwandaise, le gouvernement de la RDC vient de briser le silence. Pourtant dans son communiqué ayant suivi l’attaque, le gouvernement de Kigali a annoncé que l’appareil avait violé son espace , Kinshasa rejette en bloc ces allégations jugées fausses.

Dans son communiqué rendu public la soirée du 24 janvier 2023, le gouvernement congolais dénonce et condamne l’attaque de son avion de chasse par le Rwanda.

Dans le même communiqué Kinshasa promet de ne pas se laisser faire et se réserve le droit de défendre son intégrité territoriale.

«Le gouvernement congolais considère cette énième attaque du Rwanda comme une action délibérée de l’agression qui prévaut à un acte de guerre ayant pour objectif de saboter les efforts en cours dans la mise en œuvre des actions convenus dans le cadre des processus de paix de Nairobi et de Luanda pour la restauration de la paix à l’est de la RDC » lit-on dans ce communiqué.

Urgent : Un avion de chasse congolais loupe de nouveau une artillerie venue du Rwanda

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Une psychose totale est signalée du côté de la paroisse Saint Esprit en ville de Goma après l’explosion d’une bombe en provenance du Rwanda voisin.

Selon une vidéo virale sur la toile, il s’agit d’un tir qui visait l’avion de chasse congolais qui a loupé à cette explosion. Aucune source officielle n’a encore confirmée le fait.

Il sied de rappeler que, ceci est le deuxième cas en l’espèce de quelque temps après celui survenu il y a peu où encore un autre avion de chasse avait loupé un tir.

RDC : Sous Félix Tshisekedi le parti socialiste a instauré le totalitarisme (Lucha)

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Le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (Lucha) affirme que, la gouvernance politique du président Félix Tshisekedi, a été caractérisée les 4 dernières années par la dégradation de l’espace politique et civique avec des formes de répression politique variées. La Lucha l’a dit dans son rapport dénommé « Fatshimetrie » sur les 4 ans de gestion du pays par l’actuel président de la RDC.

Dans ce rapport, le mouvement cite par exemple l’acharnement contre les supposés adversaires politiques du président avec à la tête la saga dans l’affaire Bukanga Lonzo de Matata Ponyo, ancien premier ministre, l’acharnement fiscal à l’encontre de l’hôpital Panzi du prix Nobel de la paix, Dr Denis Mukwege à Bukavu, l’arrestation des militants de LUCHA et des artistes engagés, des militants politiques, des journalistes muselés et contraints à quitter le pays (l’expulsion de Sonia Rolley de Reuters ou la clandestinité de Steve Wembi, etc.), de l’assassinat du militant de LUCHA, Mumbere Ushindi, tué le 24 janvier 2022 à Beni lors d’une manifestation non-violente pro-paix, et plusieurs autres.

En outre, la Lucha note que la police congolaise continue à perpétrer des actes de répression sanglante ressortant d’un régime « totalitaire » en connivence avec la Monusco.

« Le 25 et le 26 juillet 2022, les jeunes sont sortis manifester contre l’inaction et l’inefficacité de la MONUSCO et la dégradation de la sécurité en exigeant le retrait de cette force onusienne la plus coûteuse au monde mais aux résultats médiocres. Ces manifestations ont été réprimées dans le sang conduisant ainsi à la perte de 10 manifestants à Goma et à des blessés. Alors qu’à Butembo, les infiltrés dans les manifestations ont causé la mort d’un casque bleu et deux membres de la police des Nations unies. Un autre casque bleu a été grièvement blessé. En revanche, le président Tshisekedi a exigé des enquêtes au sein de la police et à la Monusco pour juger les responsables de ces répressions mais force est de constater que 6 mois après, aucune enquête n’a abouti et aucun procès n’a été organisé, ce qui peut paraître comme s’il tolère cette pratique anti- droit-de- l’homme », déplore ce mouvement citoyen.

Par ailleurs ce dernier a indiqué que, les arrestations « non éclairées » et « non élucidées » de François Beya, ancien conseil spécial en matière de sécurité et de Jean Marc Kabund Wa Kabund, ancien vice-premier président du bureau de l’Assemblée nationale sont aussi inquiétantes et révélatrices du totalitarisme qui se construit au grand dam de la démocratie et de l’état de droit.

« Ce rétrécissement de l’espace politique et civique laisse présager à une volonté du président actuel à construire un totalitarisme politique au détriment de la démocratie pour laquelle, les Congolais y compris lui-même et sa formation politique, l’UDPS, se sont dressés avec acharnement contre les dictatures de Mobutu et de Kabila », regrette la Lucha

Sama Lukonde à Lubumbashi pour lancer l’enrôlement des électeurs dans la 2ème aire opérationnelle

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Le Chef du gouvernement congolais Sama Lukonde est arrivé à Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga ce mardi 24 janvier. Dans cette partie du pays, il va procéder au lancement officiel de l’enrôlement dans cette deuxième aire opérationnelle.

A 24 heures du coup d’envoi de cette opération, Sama Lukonde a appelé la population à l’appropriation du processus électoral.

Lors d’une conférence de presse lundi 23 janvier, secrétaire exécutive provinciale de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dans le Haut-Katanga, Mymy Fabienne Mukulu Meya a assuré que, tous les matériels sont déjà déployés dans les centres d’inscription.

« Nous avons formé plus de huit cents personnes, en commençant par les formateurs des formateurs. Nous avons fini la formation de ceux-là qui vont travailler dans les centres d’inscription. Et voilà on peut vous dire qu’on est prêt pour le 25. Le 25, nous allons lancer au niveau de la province dans 551 centres d’inscription qui sont programmés pour cette opération. Dans la ville de Lubumbashi nous avons 118 centres d’inscription. Contrairement aux 90 centres d’inscription qui ont fonctionné lors de l’opération passée », a—t-elle indiqué.

Rappelons que, l’enrôlement des électeurs dans la première aire opérationnelle composée de dix provinces a été lancé par le président de la Centrale électorale, le 24 décembre de l’année dernière.

4 ans de Tshisekedi : « le pays est animé par des personnalités sans éthique pour gérer la chose publique » ( Nouvel Élan)

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Le chef de l’État Félix Tshisekedi, a totalisé ce mardi 24 janvier 2023, 4 ans depuis sa prise de pouvoir à la tête de la République démocratique du Congo ( RDC) à l’issue de la présidentielle de 2018.

En cette date, Nouvel Élan, un des partis politiques de l’opposition affirme que le régime en place n’était pas préparé à gérer l’État. Pour ce parti cher à Adolphe Muzito, la RDC est animée par des personnalités sans éthique pour gérer la chose publique.

« Aucun programme, pas de fil conducteur. Chaque ministre tente de faire ce qu’il pense. La preuve c’est qu’on a déploré des violations de texte par-ci par-là, des détournements des deniers publics. Nouvel Elan note 4 années d’improvisation. Pratiquement tous les hommes forts de ce régime, des proches collaborateurs de monsieur Félix Tshisekedi se sont retrouvés en prison. Ce n’est pas un acte qui doit enchanter un régime, c’est une preuve que l’improvisation caractérise ce régime», a dit Blanchard Mungomba, Secrétaire général de ce parti politique.

Il estime qu’il est de la responsabilité de la population « de faire en sorte que le processus en cours soit sauvé pour éviter une autre crise de légitime en janvier prochain ».

A ce jour, contrairement à d’autres formations politiques, Nouvel Élan de Muzito ne s’est pas toujours prononcé sur son candidat à l’élection présidentielle prévue en décembre 2023 selon le calendrier de la Commission électorale nationale indépendante ( CENI ).

Incendie à la prison de Goma: L’urgence d’un désengorgement s’impose

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Un incendie s’est déclaré la nuit du hier lundi à ce mardi 24 janvier 2023 à la prison centrale de Gona communément appelé Munzenze.

Au début, on parlerait d’un incendie criminel mais l’hypothèse a été rejetée par les autorités compétentes. À l’heure actuelle, l’origine du feu n’est pas encore connue mais les enquêtes ont été amorcées.

Des dégâts majeurs ont été enregistrés après ce drame, c’est notamment l’infrastructure qui a perdu la majeure partie des tôles. Pour éviter des éventuelles évasions qui pourront surgir, la réhabilitation des parties touchées s’avère urgemment importante.

Patrick Mukendi, directeur de cette maison carcérale confirme le fait et rassure la population de Goma qu’au cours de cet incendie aucun cas d’évasion n’a été signalé. Il a fait savoir que, lors du drame, tous les services de sécurité se sont activés pour empêcher que les détenus ne s’échappent.

Poursuivant, Patrick Mukendi demande aux autorités de réhabiliter en toute urgence cet établissement pénitentiaire.

De son côté, le gouvernement provincial annonce une réparation urgente des parties affectées pour régler cet autre problème qui s’ajoute à celui de surpeuplement. S’étant rendu sur le lieu, le gouverneur Constant Ndima a aussi annoncé pour bientôt le début du processus de désengorgement.

Construite pour 500 personnes, la prison centrale de Goma regorge actuellement plus de 3.000 détenus.

Quatre ans de Tshisekedi : Chantal Faida dresse un bilan mitigé

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Quatre ans après l’accession du Président Tshisekedi à la tête de la magistrature suprême, le 24 janvier 2019, la situation des femmes à accèder aux instances de prises de décision est restée statique comme pour le pouvoir passée.

Ces dires sont de Chantal Faida, activiste pour la démocratie et activiste sociale au cours d’une interview accordée à kt.cd ce mardi 24 janvier 2023. Pour elle, seuls 27% de femmes ont accès aux institutions pendant que la constitution parle de 50%.

Par ailleurs, elle note que, durant les 4 ans quelques avancées ont été enregistrées entre autres, la diplomatie agissante du chef de l’état et la volonté d’organiser les élections dans le délai constitutionnel.

A ceci, Chantal Faida parle aussi des autres points qui méritent une amélioration, notamment dans le secteur de l’emploi chez les jeunes.

Cet activiste deplore aussi la situation sécuritaire devenue volatile sous Tshisekedi avec notamment l’occupation des plusieurs villages dans le territoire de Rutshurunpar les terroristes du M23.

4 ans de Tshisekedi : « le pays est animé par des personnalités sans éthique pour gérer la chose publique » ( Nouvel Élan)

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Le chef de l’État Félix Tshisekedi, a totalisé ce mardi 24 janvier 2023, 4 ans depuis sa prise de pouvoir à la tête de la République démocratique du Congo ( RDC) à l’issue de la présidentielle de 2018.

En cette date, Nouvel Élan, un des partis politiques de l’opposition affirme que le régime en place n’était pas préparé à gérer l’État. Pour ce parti cher à Adolphe Muzito, la RDC est animée par des personnalités sans éthique pour gérer la chose publique.

« Aucun programme, pas de fil conducteur. Chaque ministre tente de faire ce qu’il pense. La preuve c’est qu’on a déploré des violations de texte par-ci par-là, des détournements des deniers publics. Nouvel Elan note 4 années d’improvisation. Pratiquement tous les hommes forts de ce régime, des proches collaborateurs de monsieur Félix Tshisekedi se sont retrouvés en prison. Ce n’est pas un acte qui doit enchanter un régime, c’est une preuve que l’improvisation caractérise ce régime», a dit Blanchard Mungomba, Secrétaire général de ce parti politique.

Il estime qu’il est de la responsabilité de la population « de faire en sorte que le processus en cours soit sauvé pour éviter une autre crise de légitime en janvier prochain ».

A ce jour, contrairement à d’autres formations politiques, Nouvel Élan de Muzito ne s’est pas toujours prononcé sur son candidat à l’élection présidentielle prévue en décembre 2023 selon le calendrier de la Commission électorale nationale indépendante ( CENI ).

Football: Yannick Bolasie retrouve son rythme de croisière

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Après un long passage à vide durant les dernières années, Yannick Bolasie retrouve bien plus son rythme normal après une longue période d’adaptation. Le congolais a inscrit son 8e but cette saison lors de la large victoire (3-1) de Rizerspor devant Denizlispor lundi 23 janvier dernier.

C’était à l’occasion de la 21e journée de la division 2 Turque que l’attaquant de 33 ans a crevé à nouveau l’écran. Il était le premier à montrer la voie à ses coéquipiers en envoyant le ballon au fond de filet à la 4e minute. Ensuite E. Altintas l’imite à la 20e avant la réduction du score de Denizlispor (2-1) qui réveille Keser de sceller la victoire de son équipe à 89e minute.

C’est le 8e but en 15 matchs de l’ancien sociétaire de Crystal Palace toutes compétitions confondues présage bien son statut quo et sa meilleure saison de l’histoire de sa carrière en terme de but après plusieurs années.

Celui qui mesure actuellement 188cm n’a plus atteint la barre d’au moins 7 buts après 11 saisons sportives. Ses meilleures statistiques remontent il y a 12, 7 et 4 ans.

Il s’agit notamment vers la saison 2010-2011. L’ailier gauche de Rizerspor a inscrit 7 buts avec Plymouth Argyle en 3e division anglaise avant de revoir sa meilleure performance en baisse lors de son passage en Crystal Palace en 2015-2016 et à Anderlecht en 2018-2019. Il a marqué respectivement 6 buts avec ces deux clubs.

Grâce à ce succès contre Denizlispor, Y. Bolasie et Rizerspor se pointent à la 6e position avec 34 points à 7 longueurs de moins du leader, Eyupspor (41 points).

ESU : Des nouveaux animateurs nommés à la tête de l’ISC et ISP de Kisangani

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Les professeurs Isaac Bandombele et Lofemba Boningoli Batita Jacques – Riverain, sont nommés respectivement Directeur général à l’Institut supérieur pédagogique et Directeur général à l’Institut supérieur de commerce de Kisangani.

C’est ce qui est contenu dans un arrêté signé le 20 janvier dernier, par le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire ( ESU), Muhindo Nzangi et rendu public ce mardi 24 janvier.

Dans ce document, le ministre Nzangi a également nommé les professeurs Dhedya Lonu Marie – Bernard et Lipipa Posho respectivement , Secrétaires général académique et secrétaire chargé de recherche à l’ISP Kisangani.

A l’Institut supérieur de commerce Kisangani, le professeur Grison – Trésor est nommé Secrétaire général administratif et le professeur Mosisi Moleka occupera le poste de Secrétaire général chargé de la recherche.

Aussi, Osako Longongo Willy et Jeannot Nzanzu Lusenge sont respectivement nommés Secrétaires général administratif et Administrateur de Budget dans cet établissement supérieur.

Le Secrétaire général au ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire ( ESU) est appelé à l’exécution de cette décision qui est entrée en vigueur en date de sa signature.

Arrête de nomination