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RDC: Après la levée de mesure interdisant la diffusion des deux chansons, ne faudrait-il pas censurer la censure ?

L’interdiction de diffuser, sur toute l’étendue du territoire congolais, les deux chansons,  » Nini to sali te » du groupe MPR et « Lettre à ya Tshitshi », de Bob Elvis n’aura durée que quelques heures.

Jugeant illégale la décision et les contours qui ont motivé la Commission nationale de censure à censurer ces chansons, la ministre congolaise de la Justice, Rose Mutombo est allée puiser dans l’arsenal juridique pour exiger la levée de cette mesure qui, selon elle, a été prise en l’absence d’autres membres, de cette structure, police des spectacles et concerts, sous la tutelle de ce ministère.

Ainsi, les deux chansons peuvent à nouveau être rejouées sans procès aucun dans les médias audiovisuels, radiophoniques, dans des discothèques et bars, en République démocratique du Congo (RDC).

Et ce n’est pas tout. Dans son interpellation, la patronne de la justice a invité le président de cette Commission, de rapporter toutes affaires cessantes, sa décision.

Dans sa correspondance, mercredi 10 novembre, adressée au président de la Commission nationale de censure, elle a fait constater que la décision n° JUST &GS/CNCCS/CAB.PRES/BMM/DKS/027 portant interdiction de présentation et de diffusion à l’intention du public, du clip vidéo de la chanson » Nini tosali te » du groupe MPR, a été prise sur base du seul rapport de service adressé le lundi 8 novembre dernier au responsable cette structure. Ce qui est, aux yeux de la tutelle, une violation de l’article 9 du décret n° 003 du 21 février 1990, relative à la création de la CNCCS.

Autre c’est que, la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des sceaux a par la même occasion ordonné Bernardin Maindombe, président de la Commission de censure, de fournir toutes les explications au sujet de la procédure qui a motivé cette telle mesure.

Au regard de cette situation, nombre d’observateurs se posent la question de savoir s’il n’était pas venu le temps de censurer la censure, ou carrément, décider de sa dissolution définitive car, soutiennent les mêmes observateurs, à travers le monde, il n’existe ce genre de services.

Giscard Havril

VL1 : TP Mazembe s’impose face à US Panda (1-0)

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Déterminés à conserver la tête du classement du championnat national, les Corbeaux de Lubumbashi ne baissent pas les bras.

Ce mercredi 10 novembre au stade TP Mazembe, les hommes de Franck Dumas se sont montrés plus forts que la formation de US Panda en match comptant pour la septième journée de la ligue nationale.

Après une première mi-temps de 0 but partout, les Corbeaux sont rentrés avec des bonnes intentions offensives à la deuxième période.

A la 65e Kabaso Chongo reprend de la tête le coup-franc (non loin du corner) de Rainford Kalaba, et marque l’unique but de la partie.

Cinq minutes avant la fin du temps réglementaire soit à la 85e, Mazembe concède un penalty mais Christian Kouame manque la tentative.

Grâce à cette victoire, TP Mazembe conserve sa place de leader avec 19 points.

Goma: Des maisons parties en fumée au quartier Katindo

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Plusieurs maisons sont parties en fumée au quartier Katindo, vers trois paillotes en commune de Karisimbi.
Selon les témoins, le drame s’est passé aux environs de 15 h dont l’origine n’est pas encore connue.

Estimées à plus d’une dizaine, ces maisons se trouvant non loin de l’espace Bal’air ont toutes étaient ravagées par le feu avant d’être maîtrisé par les jeunes du milieu.

Sur place, une des victimes a indiqué que rien a été récupéré dans toutes les maisons touchées « tout a été réduit en cendres« 

Signalons qu’aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée. Le véhicule anti incendie de la mairie est arrivé tardivement sur le lieu et n’a pas réussi à intervenir faute de passage.

RDC : DRC-Africa Business Forum, Sama Lukonde et Pedro Antonio se penchent sur les préparatifs

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A quelques jours de DRC-Africa Business Forum, le Premier ministre Sama Lukonde a reçu mardi 9 novembre, le Secrétaire exécutif adjoint de la Commission Economique des Nations-Unies pour l’Afrique, Antonio M.A. Pedro, conduit auprès de lui par Julien Paluku Kahongya, ministre congolais de l’Industrie.

À cette rencontre, ils ont échangé sur les préparatifs de l’organisation dudit forum, placé sous le thème, « Développer une chaîne de valeur régionale autour de l’industrie des batteries électriques, du marché des véhicules électriques et des énergies propres ».

 » (…) Aujourd’hui, nous avons partagé sur les indicateurs très importants, qui confirment la position de la RDC, comme précurseur en ce qui concerne la production des batteries électriques. Selon les chiffres que nous avons déjà, qui seront partagés avec le gouvernement, lorsqu’on va faire la présentation du rapport de Bloomberg, la RDC peut produire des batteries trois fois moins chères que les USA et la Chine et deux fois moins chères que la Pologne. Donc ça veut dire que la RDC est stratégiquement bien positionnée pour la transition énergétique qui préoccupe tout le monde« , a déclaré Antonio Pedro.

D’après lui, pour parvenir à la concrétisation de cette ambition, le gouvernement congolais devra fournir des efforts supplémentaires notamment, en ce qui concerne le climat des affaires, a-t-il fait remarquer.

Prévu du 24 au 25 novembre prochain, ce forum vise à stimuler le développement d’une chaîne de valeur et d’un marché dynamique pour les batteries, véhicules électriques et énergies renouvelables en Afrique.

Mondial 2022 : H. Cuper sur le match Tanzanie –RDC « Nous ferons le maximum en évitant les erreurs afin de s’imposer »

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Il ne reste que plus quelques heures, pour la rencontre devant opposer les Léopards de la République démocratique du Congo (RDC), aux Taïfas Stars de la Tanzanie, match comptant pour la cinquième journée des éliminatoires mondial Qatar 2022.

Pour Hector Cuper, sélectionneur des Léopards, « le match que nous jouons ce jeudi 11 novembre contre la Tanzanie est considéré comme une finale », a-t-il déclaré en conférence de presse d’avant-match, tenue ce 10 novembre, au siège de la fédération tanzanienne de football.

« Il n’est pas facile mais nous allons mettre toutes les stratégies pour que nous gagnons cette rencontre de la cinquième journée, surtout que le dispositif tactique du match aller à Lubumbashi contre la même équipe sera quelque peu modifié », a-t-il ajouté.

D’un autre coté, l’argentin a rassuré que: « Nous ferons le maximum en évitant les erreurs afin de s’imposer à Dar-Es-Salaam ».

Troisième au classement, étalonnés par le Benin et la Tanzanie, les fauves congolais devront remporter ce match, afin de se repositionner pour la qualification.

RDC: Polémique autour du rapatriement d’un avion à Kinshasa

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Vive polémique dans les milieux politiques, après le rapatriement d’un avion Gulfstream IV, qui a atterri mardi 9 novembre, sur le tarmac de l’aéroport international de N’djili, à Kinshasa.

De retour au pays, cinq ans après avoir été confié aux techniciens espagnols pour son check-up, des
voix se lèvent, principalement dans l’entourage de l’ancien Président de la République démocratique du Congo (RDC), pour dénoncer ce qu’ils qualifient d’une récupération politique au sujet de cet appareil.

« Il ne s’agit pas d’un avion présidentiel. Mais plutôt d’un avion immatriculé 9QC-GC, acheté par le Premier ministre Augustin Matata Ponyo, pour le compte de la RDC. Cet avion était parti en Espagne pour un check-up fin 2017. Le dossier sur le paiement de son rapatriement au pays figure dans les pièces de remise et reprise entre l’ancien Directeur de cabinet du président Kabila, Néhémie et Vital KAMERHE », déclare une source proche du cabinet du Raïs.

Mardi dernier, après l’atterrissage de cet appareil, la presse du président Tshisekedi a appris qu’il s’agit d’un avion présidentiel, bloqué en Espagne pour insolvabilité. La même source a indiqué que l’affaire remonte depuis l’année 2016, lorsque le gouvernement de la République a envoyé l’aéronef en Espagne pour un entretien, afin de répondre aux normes techniques telles qu’exigées par l’OACI.

Et d’ajouter: « Sur instruction du président Félix Tshisekedi, le Directeur de cabinet, Guylain Nyembo Mbwizia a mis en place un groupe de travail incluant le service de la logistique présidentielle, qui a suivi de près le dossier et ramener au pays ce patrimoine de l’Etat.

«Toutes les factures de réparation ont été honorées en bonne et due forme et les pénalités accumulées pendant plus de 5 ans ont été épongées. Le groupe GESTAIR, centre de maintenance de renommée internationale a remis à neuf le GIV avec deux nouveaux moteurs Rolls –Royce », a encore expliqué la cellule de communication à la présidence congolaise.

Kinshasa: Bloqué, l’avion présidentiel congolais est arrivé au pays, plusieurs années après

Plusieurs années après, soit 5 ans le non paiement de la facture d’entretien en Espagne, l’avion Gulfstream IV, de la présidence congolais est rentré au pays le mardi 09 novembre.

C’est sur instruction du président Tshisekedi, en délégant son Directeur de Cabinet, Guylain Nyembo, en mettant en place un groupe de travail incluant la logistique présidentielle pour gérer ce dossier.
Les factures ayant été honorées, l’appareil a été rendu à la République démocratique du Congo, a appris la presse présidentielle.

L’intérieur du GIV présidentiel a été complètement rénové et l’avion a été ré-admis parmi les 3000 prototypes en état de navigation au monde et dont aucun n’a jamais connu un crash.

Le Directeur de Cabinet du chef de l’Etat s’est félicité de la décision présidentielle, de récupérer tous les patrimoines de l’Etat qui se trouvent dans un état d’abandon.

Kinshasa: Bloqué, l’avion présidentiel congolais est arrivé au pays, plusieurs années après

Plusieurs années après, soit 5 ans le non paiement de la facture d’entretien en Espagne, l’avion Gulfstream IV, de la présidence congolais est rentré au pays le mardi 09 novembre.

C’est sur instruction du président Tshisekedi, en délégant son Directeur de Cabinet, Guylain Nyembo, en mettant en place un groupe de travail incluant la logistique présidentielle pour gérer ce dossier.
Les factures ayant été honorées, l’appareil a été rendu à la République démocratique du Congo, a appris la presse présidentielle.

L’intérieur du GIV présidentiel a été complètement rénové et l’avion a été ré-admis parmi les 3000 prototypes en état de navigation au monde et dont aucun n’a jamais connu un crash.

Le Directeur de Cabinet du chef de l’Etat s’est félicité de la décision présidentielle, de récupérer tous les patrimoines de l’Etat qui se trouvent dans un état d’abandon.

Goma: 4 enfants de moins dix ans kidnappés à Ndosho

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Ils sont introuvables depuis le dimanche 07 novembre dernier. Il s’agit de 4 enfants, dont l’âge varie entre 5 et 10 ans, vivant dans le quartier Ndosho, dans la commune de Karisimbi.

Selon Claude Rugo, président du Conseil des jeunes dans cette commune, qui a livré l’information, les ravisseurs exigent la rançon d’une importante somme d’argent, afin de libérer leurs proies.

« Trop c’est trop. Nous alertons sur le kidnapping des 4 enfants de moins de 10 ans, depuis le dimanche à Ndosho. Les ravisseurs qui utilisent le numéro airtel 0997424258 exigent aux familles de leur envoyer de l’argent par ce numéro« , a-t-il dit.

Il appelle ainsi l’intervention des autorités compétentes pour que ces innocents soient libérés sains et saufs.

Notons qu’au quartier Ndosho et Mugunga, le kidnapping est récurrent.

Censure : L’Udps juge impopulaire la décision interdisant la chanson « Nini to sali te »

l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) a donné son point de vue après la décision interdisant la diffusion de la chanson  » Nini to sali te « , du groupe MPR, par la Commission nationale de censure.

Quelques heures après la publication de cette décision, le Secrétaire général du parti au pouvoir, Augustin Kabuya a jugé impopulaire telle mesure.

Sur son compte Twitter, il a affirmé que son parti n’est ni de loin ni de près concernée dans cette décision.

 » L’UDPS juge impopulaire la décision portant interdiction de la diffusion de la nouvelle chanson du groupe MPR et ne se sent nullement concernée par une telle prise de position de la Commission nationale de censure « , a écrit Kabuya.

Dans le même registre, le gouvernement renie toute responsabilité de cette décision.

 » La décision portant censure des chansons n’émane pas du gouvernement. Dans le changement de narratif que nous prônons, tout citoyen est libre d’exprimer son opinion sous réserve des dispositions légales « , a déclaré Patrick Muyaya, le porte-parole du gouvernement.

Sud-Kivu: 40 personnes tuées au courant du mois d’octobre, bilan sombre de SAJECEK

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Au moins 40 personnes ont été tuées au courant du mois d’octobre dernier. Bilan sombre, établi par la Synergie des Associations des jeunes pour l’éducation civique, électorale et la promotion des droits de l’homme au Sud-Kivu (SAJECEK-Forces vives) à travers son « Bulletin Surprise ».

Dans ce document, SAJECEK note que 51 maisons ont été attaquées par des bandits armés à la même période, alors qu’au moins 16 véhicules ont été braqués contre 42 cas d’enlèvements signalés et 19 cas de justice populaire.

« Quarante tueries ont été enregistrées pendant le seul mois d’octobre de cette année, une augmentation sensible par rapport au mois de septembre où 32 cas seulement avaient été enregistrés », fait observer l’organisation.
Cette dernière soutient que cette situation est aussi le résultat d’une augmentation nourrie par les activités des groupes armés dans la province du Sud-Kivu.

Dans le même ordre, elle explique que les villes de Bukavu, Uvira et le territoire de Fizi viennent en tête avec 7 cas chacun. Ces entités sont suivies du territoire de Shabunda avec six cas, le territoire de Kabare 5 cas, Walungu et Kalehe 3 cas, celui de Mwenga avec 2 cas.

Au courant du même mois, l’on fait état de la montée de de meurtre via la justice populaire, avec au moins 19 cas, en raison de 9 cas à Walungu contre 5 pour Shabunda. La ville d’Uvira elle, en a enregistré 4 contre 1 dans le territoire de Fizi.

« Les bandits armés ont aussi attaqué 51 maisons sur toute l’étendue de la province du Sud-Kivu. Soit une augmentation par rapport au mois de septembre, où 33 maisons avaient été répertoriées ».

Cependant, le bulletin note une diminution de braquage des véhicules. 16 cas ont été signalés contre 31 au mois de septembre.

42 enlèvements ont été enregistrés contre 27 enregistrés au neuvième mois de cette année. Le territoire de Fizi vient en tête avec 29 cas.

« Tous les signaux sont au rouge : des tueries, des attaques des maisons deviennent de plus en plus récurrentes malheureusement dans un silence et inaction des autorités de la province », indique cette structure, qui regrette les tueries des innocents et décrie la faiblesse des services de sécurité et défense.

Sud-Kivu: 40 personnes tuées au courant du mois d’octobre, bilan sombre de SAJECEK

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Au moins 40 personnes ont été tuées au courant du mois d’octobre dernier. Bilan sombre, établi par la Synergie des Associations des jeunes pour l’éducation civique, électorale et la promotion des droits de l’homme au Sud-Kivu (SAJECEK-Forces vives) à travers son « Bulletin Surprise ».

Dans ce document, SAJECEK note que 51 maisons ont été attaquées par des bandits armés à la même période, alors qu’au moins 16 véhicules ont été braqués contre 42 cas d’enlèvements signalés et 19 cas de justice populaire.

« Quarante tueries ont été enregistrées pendant le seul mois d’octobre de cette année, une augmentation sensible par rapport au mois de septembre où 32 cas seulement avaient été enregistrés », fait observer l’organisation.
Cette dernière soutient que cette situation est aussi le résultat d’une augmentation nourrie par les activités des groupes armés dans la province du Sud-Kivu.

Dans le même ordre, elle explique que les villes de Bukavu, Uvira et le territoire de Fizi viennent en tête avec 7 cas chacun. Ces entités sont suivies du territoire de Shabunda avec six cas, le territoire de Kabare 5 cas, Walungu et Kalehe 3 cas, celui de Mwenga avec 2 cas.

Au courant du même mois, l’on fait état de la montée de de meurtre via la justice populaire, avec au moins 19 cas, en raison de 9 cas à Walungu contre 5 pour Shabunda. La ville d’Uvira elle, en a enregistré 4 contre 1 dans le territoire de Fizi.

« Les bandits armés ont aussi attaqué 51 maisons sur toute l’étendue de la province du Sud-Kivu. Soit une augmentation par rapport au mois de septembre, où 33 maisons avaient été répertoriées ».

Cependant, le bulletin note une diminution de braquage des véhicules. 16 cas ont été signalés contre 31 au mois de septembre.

42 enlèvements ont été enregistrés contre 27 enregistrés au neuvième mois de cette année. Le territoire de Fizi vient en tête avec 29 cas.

« Tous les signaux sont au rouge : des tueries, des attaques des maisons deviennent de plus en plus récurrentes malheureusement dans un silence et inaction des autorités de la province », indique cette structure, qui regrette les tueries des innocents et décrie la faiblesse des services de sécurité et défense.

RDC: Patrick Mundeke qualifie l’Union sacrée d’une aventure sans lendemain

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L’un des conseillers de Moïse Katumbi, Patrick Mundeke pense que l’Union sacrée est une pire aventure sans lendemain.

Ce, après des échanges, avec le président du parti politique Ensemble pour la République, dans le cadre des consultations initiées par lui.
Dans un entretien avec la presse, de retour à Goma, il a affirmé que quitter le bateau Union sacrée sera une décision salutaire pour le parti Ensemble pour la République et pour tout le peuple congolais.

 » Ma position est de quitter cette Union sacrée. Et puis, je ne suis pas le seul à l’avoir dit au président. Il a consulté les autres mandataires du parti à tous les niveaux et je crois que tous de vive voix, nous le lui avons dit. On connaît tous que Moïse Katumbi est démocrate, nous croyons qu’il suivra les voix issues des consultations. Surtout que les coordinations provinciales du parti ont été notifiées sur la poursuite de ces consultations à leur niveau, afin de dégager un point de vue concerté « , a-t-il dit.

Soulignons que les consultations se poursuivent et la grande décision du directoire du parti sera connue les jours à venir.

Nord-Kivu: Nouveau meurtre à Goma, un autre cambiste tué au centre Birere

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L’insécurité se porte bien en ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, où un nouveau meurtre vient de se commettre.

Il s’agit d’un cambiste ( changeur de monnaie) vient d’être tué dans la soirée de mardi 9 novembre, au quartier Mapendo, au centre commercial de Birere près de la mairie de Goma.

Des sources ont affirmé que c’était aux environs de 18 heures locales, que le nommé Byamungu a été fusillé de 5 balles dans la tête avant de rendre automatiquement l’âme.

C’était non loin d’une église. Le crépitement des balles a fait fouir tous ceux qui étaient là. Nombreux se sont abrités dans cette église craignant la situation sécuritaire devenue précaire dans la ville

Pendant ce temps, durant la même soirée, un autre cas d’assassinat a été enregistré au centre ville, où un commissionaire très célèbre venait aussi d’être la cible des bandits armés non autrement identifiés.

A noter que ce cas vient de s’ajouter à d’autres changeurs de monnaie lâchement tués dans la ville de Goma depuis le début de l’année en cours.

Haut Katanga: Redevance à la Ruashi, des mouvements citoyens dans la rue pour exiger la transparence

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Des mouvements citoyens Lutte pour le changement (LUCHA), Filimbi et la Voix du peuple, annoncent descendre dans la rue mercredi 10 novembre, pour protester contre l’affectation et la gestion d’une redevance minière.

Dans une lettre d’information adressée au maire de la ville de Lubumbashi, le 8 novembre,
les 3 mouvements exigent « la transparence de la gestion de la redevance minière mise à la disposition » de la commune de la Ruashi, par l’entreprise minière « Ruashi Mining ».

D’après les organisations pros démocratie, il n’existe de transparence dans les travaux exécutés dans cette commune. Ils exigent au bourgmestre de cette municipalité, à respecter le « Plan de développement local et de procédure de passation des marchés publics ».

Dans leur lettre au maire Ghislain Robert Buluma Lubaba, ils expliquent que c’est pour permettre à tout citoyen, de s’assurer que les revenus issus de la redevance minière sont bien gérés et affectés aux projets prioritaires, définis dans le Plan de développement local (PDL). 

Rappelons que depuis son installation en République démocratique du Congo en 2006, Ruashi Mining Sas a déjà alloué plus de 24 millions Usd sur les projets socio-communautaires.

Adrien AMBANENGO

RDC: Des voix s’élèvent, après l’interdiction de diffusion des chansons « Nini to sali te et lettre à ya Tshitshi »

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En République démocratique du Congo (RDC), des voix s’élèvent pour soutenir ou condamner la décision de la Commission nationale de censure, interdisant la diffusion de deux chansons:  » Nini tosali te et Lettre à ya Tshitshi » du groupe musical MPR et de l’artiste Bob Elvis.

La première de cette série est de Steve Mbikayi, ancien ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire. Pour lui, la chanson Nini tosali te, est un cri d’alarme, résultat d’une mégestion de plus d’une décennie.

 » Nini to sali te » a comme toile de fond le chômage des jeunes. Résultat d’une gabegie de plusieurs décennies. Que même les ténors des anciens régimes s’en servent pour dresser les jeunes contre l’actuel, c’est une récupération politique que je condamne et j’assume! « .

De son côté, le député national Claudel Lubaya a martelé sur le fait que la censure est une pratique contraire à l’Etat de droit.

« La censure est une pratique contraire à l’Etat de droit. Elle viole la liberté d’expression et rappelle les pratiques de type stalinien « , a-t-il déclaré.

D’un ton fort, le président de l’Association africaine de défense des droits de l’homme (ASADHO), Jean-Claude Katende parle d’une décision sans raison fondée.

 »Pourquoi on n’interdit pas les chansons où on voit des jeunes femmes qui dansent presque nues ? Sachez que la chanson » Nini to sali te » sera écoutée  ailleurs. Il n’y a aucune raison d’interdire ladite chanson » dit-il.

Le directeur général du vrai journal, Peter Tshani s’interroge sur la motivation ayant conduit la Commission de censure de prendre cette décision.

 » Grosse bourde. Le régime vient de frapper encore dans la mauvaise direction. Interdiction de la chanson « NINI TOSALI TE » du MPR et « Lettre à Ya Tshitshi » de Bob Elvis. Question : Qu’est-ce qui est outrageant dans ces chansons ????  » s’est-il interrogé.

Pour justifier cet interdit, l’inspecteur de la Commission de censure Didi Kelo Kelo, a déclaré que l’interdiction de cette chanson ne relève pas de son contenu, mais plutôt d’une procédure illégale, ne respectant pas la loi.

 » Ce n’est pas par rapport au contenu de la chanson du MPR. Ils ne sont pas à leur premier forfait. La loi exige un dépôt préalable de la chanson à la censure pour vérifier avant de se prononcer sur le contenu « , a-t-il soutenu.

RDC: L’Assemblée nationale reporte sa plénière consacrée ce mardi à l’examen de loi de finances

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La séance plénière prévue ce mardi 9 novembre, consacrée à l’examen et au vote de loi de finances exercice 2021 est reportée, indique un communiqué de cette institution, adressé aux députés nationaux.

Des sources à l’hémicycle ont néanmoins indiqué que, nombreux députés ont été présents dans la salle de congrès, et aucune raison n’a été avancée pour justifier ce report.

La plénière de ce jour devait également porter sur l’adoption des 7 PV des séances plénières, ainsi que l’examen et vote du projet de loi portant reddition des comptes.

Dossier Chebeya : Un autre complice présumé de l’assassinat aux arrêts 

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Jeancy Mulanga c’est le nom du nouveau inculpé dans l’affaire du double meurtre de l’activiste de droit de l’homme Floribert Chebeya et son assistant Fidel Bazana. Il a été appréhendé dans l’ex-province du Katanga où il se cachait, avant d’être transféré à Kinshasa.

D’après les sources judiciaires, ce policier était chargé de faire disparaître les traces des deux victimes avant de quitter l’inspection générale de la police, le dernier lieu où les deux victimes avaient été aperçues avant leur disparition.

D’autres sources indiquent que Jeancy Mulanga est le policier qui a assuré le protocole de Chebeya à son arrivée et l’a conduit le chef du commando. Il a aussi été chargé d’arracher les pages du registre des visiteurs où figuraient les noms des deux défenseurs des droits de l’homme.

le proces sur l’assassinat du fondateur de la Voix de Sans Voix (VSV) est en cour au tribunal militaire de Ndolo. plusieurs révélation ont été faite deja faite sur l’assassinat de ces deux hommes depui le en Juin 2010.

RDC: Lutte contre la corruption, « Il faut générer le même esprit de combativité à travers les provinces  » (Georges Kapiamba)

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Dans un atelier organisé par l’Association congolaise d’accès à la justice (ACAJ), lundi 08 novembre à Lubumbashi, en vue du renforcement des capacités des acteurs de la société sur les techniques d’enquête, du monitoring et plaidoyer en matières des crimes liés à la corruption et les faits assimilés, son président pense qu’il faut maintenant asseoir cette dynamique de lutte contre la corruption dans les provinces.  

Au regard des deux cas illustrés présentés au cours de l’atelier, sur lesquels Justicia Asbl a travaillé notamment, le crime environnemental, cas des parcs Upemba/Kundelundu et sur le contrat des concessions portant construction de la route Kasumbalesa-Sakania, considérés par ACAJ comme un contrat léonin, ont démontré le besoin d’intensifier la lutte contre la corruption dans les provinces. 

 » Nous avons participé à beaucoup d’enquêtes qui ont permis de poursuivre plusieurs responsables de l’Etat, devant les cours et tribunaux. Il y a eu beaucoup de condamnations, et nous en sommes fiers d’avoir apporté notre pierre à cet édifice de la lutte contre un Etat de droit », s’est félicite Me Georges Kapiamba de ACAJ

 » Maintenant, nous pensons qu’il faut ramener cet esprit à l’arrière pays, c’est-à-dire dans les provinces. Tout ce travail qui se fait à Kinshasa puisse aussi générer le même esprit de combativité à travers les provinces, puisque si nous ne le faisons pas, nous risquons d’avoir un pays avec deux niveaux des combats », a-t-il dit.

Cependant, ACAJ croit que l’atelier en faveur des acteurs du terrain est important pour cette catégorie. « Parce que nous pensons qu’ils sont des acteurs importants dans la lutte contre la corruption dans toutes ses formes. Nous les avons initiés au moins les fondamentaux qui peuvent leur permettre de faire du travail de monitoring, produire les rapports qui pourront contribuer à la lutte efficace contre les auteurs et les complices de ces crimes qui constituent le fléau qui empêche les congolais et congolaises de jouir pleinement de leurs droits fondamentaux ».

Adrien AMBANENGO

Koffi Olomidé célèbre les 35 ans de Quartier Latin à Goma

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé est attendu en ville de Goma au Nord-Kivu pour un grand concert à l’occasion du 35ème Anniversaire de son orchestre Quartier Latin International.

L’artiste congolais va devoir effacer de sa mémoire le sombre épisode de son périple à Paris. En plus de son concert annulé, le patron du quartier a comparu devant le juge devant le juge pour un dossier de 2003.

Selon Richard Bongania, manager de Koffi Olomide ces deux concerts seront à caractère humanitaire et les 30% des fonds perçu seront alloués à la banque des sangs au département de santé des FARDC.

De retour à Kinshasa, le Grand Mopao a dû faire un tour dans les Congo profond notamment à Nkamba, pour s’en passer de ces événements.

Bukavu : Le gouvernement lance les consultations pour stabiliser la situation sécuritaire

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En séjour à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, le vice-Premier ministre, ministre de l’intérieure, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, a amorcé ce mardi 9 novembre des consultations pour évaluer la situation sécuritaire jugée préoccupante après l’attaque rebelle maîtrisée par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC).

C’est le gouverneur de province Théo Ngwabidje qui a ouvert cette longue série de consultations, avec différentes personnalités et couches sociales. Les deux hommes ont eu des échanges à huis clos sur la situation sécuritaire .

Le ministre Daniel Aselo a également accordé une audience ce même jour au président de l’Assemblée provinciale du Sud Kivu, Lwahamira Zacharie à la tête d’une délégation, élargie à la commission de défense et de sécurité de cet organe délibérant.

Le chef de la territoriale et les représentants du peuple Nord-Kivu se sont attardés aux événements de la nuit du mardi 02 au mercredi 03 novembre dernier, survenus en ville de Bukavu.

Enseignement supérieur: Dans un partenariat éducatif, la Zambie lance le E-campus en RDC

Dans le cadre du partenariat éducatif entre Etats, la Zambie vient de lancer les cours à distance de ses universités en République démocratique du Congo (RDC), par l’interface de l’Internet.

Dans une cérémonie officielle, mardi 9 novembre, au Pullman hôtel de Kinshasa les autorités zambiennes, ensemble avec les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire de la RDC ont officialisé ce partenariat.

À en croire la partie zambienne, sans une union des forces dans l’éducation et les recherches, aucune solution ne sera trouvée, pour améliorer les performances et talents bilatéraux.

Pour ce faire, le directeur des enseignements de l’université Copperberlt, Donald Chungu a soutenu que la mise en oeuvre de ce partenariat, nécessite la coopération des professeurs locaux de la RDC pour réussir ce projet.
 » Il sera nécessaire de travailler avec les universités et les professeurs locaux, pour partager et réussir de manière efficace ce partenariat « .

Dans le même registre, le chargé d’affaires de l’Ambassade Zambienne en RDC, a relevé que ce projet a l’opportunité de changer beaucoup des vies, dans la mesure où celui-ci, apporte et étend la connaissance en tout lieu et à tout moment.

L’ubiquité de cette information, représente également un moyen de partage de culture et de changement de mentalité grâce à l’accès d’une manière formelle et informelle à l’éducation.

Côté congolais, le délégué du ministre de l’enseignement supérieur et universitaire, Mwengwe Muhongo Yvon, voit dans ce projet, un intérêt particulier pour le gouvernement congolais, car il permet une mutualisation d’efforts, à même de permettre aux deux Etats, de trouver les solutions aux différents problèmes éducatifs qui minent ce secteur.

 » Ce projet m’intéresse au plus haut point, d’abord en tant que professeur d’université. Cet intérêt pour moi est celui de voir les enseignements mutualiser les efforts, pour trouver les solutions à nos différents problèmes « , a-t-il souligné.

Au-delà de tout cela, il a fait savoir que c’est une occasion pour la RDC, d’ouvrir les portes de réformes par le biais des institutions de deux pays, afin de parfaire le système éducatif niveau de l’ESU.

Signalons que lors de cette cérémonie, la Zambie était représentée par le chargé d’Affaires de l’ambassade de la Zambie en RDC, ainsi que quelques autorités de l’université Copperberlt, qui ont présenté les bases dudit partenariat.

Zongo: Le HCR boucle les opérations de rapatriement des réfugiés centrafricains

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Depuis le vendredi 5 novembre dernier, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) procède au bouclage des opérations de rapatriement des réfugiés centrafricains (RCA) installés à zongo.

Ces réfugiés font partie de la première vague de plus de 1700 réfugiés qui vivaient au camp Mole, situé à 35 km de la ville de Zongo. Ces derniers avaient manifesté l’intention de retourner dans leurs pays cette année, a appris le HCR.

La même opération va se poursuivre jusqu’au 12 novembre, cette fois-là au Camp de Boyabu, dans le territoire de Libenge, dans la même province. Ceux du Camp Inke, situé à 45 km de Gbadolite, dans le Nord-Ubangi, quitteront le territoire congolais le 15 novembre, a-t-on encore indiqué.

Attaque de Rutshuru : « Le Rwanda ne participe, ni ne soutient le M23 » (communiqué RDF)

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Après l’attaque de plusieurs villages du territoire de Rutshuru, en province du Nord-Kivu, par les rebelles du M23 (selon l’armée loyaliste), l’armée rwandaise nie toute collaboration avec le Mouvement du 23 mars.

Dans un communiqué ce mardi 09 novembre,, les Rwanda defenses forces ( RDF) affirment n’avoir une quelconque collaboration avec les rebelles qui ont attaqué la République démocratique du Congo (RDC).

Dans un document de mise au point, les RDF ont officiellement réagi aux propos des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), selon lesquels les auteurs des attaques de quelques villages de Rutshuru sont venus du Rwanda.

La veille, dans une déclaration à la presse, le chef du groupement Jomba avait confirmé que les rebelles qui ont attaqué ces localités sont venus du Rwanda et parlaient le kinywarwanda.

Une information confirmée également par le général de brigade Sylvain Ekenge, porte-parole du gouverneur militaire du Nord-Kivu, au cours d’une communication qu’il a faite, la soirée du lundi précisant que c’étaient des rebelles M23.

Analyse : La RDC en tant que nation est-elle stable ?

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En sciences politiques, la stabilité d’un pays s’analyse selon des termes empruntés à une autre science, la physique en l’occurrence. En effet, la physique parle de la notion des forces centrifuges et des forces centripètes.

Les forces centrifuges sont celles qui ont tendance à fuir le centre et s’orienter vers la périphérie. C’est ce que votre corps ressent lorsqu’un taxi aborde un virage à 80 km/h vers votre gauche. Vous avez l’impression d’être coincé vers votre droite. En fait, vous êtes en réalité coincé vers votre droite par la force centrifuge.

Les forces centripètes, elles, tirent de la périphérie vers le centre. Un exemple concret est la gravitation universelle qui fait que si vous sautez d’un immeuble sans parachute, votre destination inéluctable sera le sol.

Revenons à l’adaptation de ces notions en sciences politiques et leur application à la RDC. Tout événement ou toute action qui unit un peuple ou qui renforce la cohésion nationale est considérée comme force centripète alors que tout facteur de désunion ou de fragmentation nationale est une force centrifuge.

Un pays stable est un système où les forces centripètes l’emportent sur les forces centrifuges.

La force centripète majeure de la RDC est l’héritage d’un fort sentiment d’unité nationale bâtie et léguée par Mobutu. Où qu’on se trouve, un congolais chérit l’unité nationale de son pays et ne conçoit pas du tout voir la RDC dépecée un jour.  L’autre force centripète du pays est la concentration de l’administration à Kinshasa et dans les chefs-lieux des provinces. La notion de la rétrocession des 40% des recettes aux provinces ou celle de la caisse de péréquation participent de cet effort de maintenir l’intégrité du pays. L’utilisation ou du moins la compréhension du lingala (comme lingua franca) dans quasiment toutes les provinces du pays constitue une autre force centripète, même si cette langue est controversée dans les parties non lingalaphones du pays.  La religion chrétienne importée au pays par les colons et que plus de 50% des congolais pratiquent, notamment sous le label du catholicisme, constitue une autre force centripète majeure en RDC.

Cette énumération des forces centripètes est non-exhaustive, car il en existe d’autres.

Les forces centrifuges en RDC sont, elles, multiples et multiformes. L’inexistence d’infrastructures qui rend le pays quasi impossible à parcourir est la première force centrifuge. Elle empêche une cohésion matérielle et physique du territoire, donnant ainsi l’impression que le centre (Kinshasa ou chefs-lieux) a abandonné la périphérie. Le rétablissement partiel de l’autorité de l’état sur chaque parcelle du territoire national constitue une autre force centrifuge, car tout l’Est de la république est depuis des décennies sous le contrôle effectif des forces négatives. La mosaïque ethnoculturelle qu’est la RDC constitue également un élément de fragmentation, avec plus de 250 groupes ethniques dénombrés.

Le tribalisme tous azimuts, en particulier sous sa forme institutionnalisée et caustique connue sous le concept de « géopolitique » constitue un grand commun diviseur.

L’absence d’un déterminant unificateur (à l’instar du génocide au Rwanda ou du vin en France) constitue une autre force centrifuge qui prive les congolais d’un imaginaire d’union.

Cette litanie de forces centrifuges est tout aussi non-exhaustive.

La question que tout analyste politique se posera est celle de savoir si la RDC, dans son contexte d’aujourd’hui et à l’aune des forces centrifuges et centripètes en présence, est ou restera stable.

L’avènement de chaque président au pouvoir polarise automatiquement la RDC entre les ressortissants de la tribu présidentielle et le reste de la république. Aucune présidence depuis l’indépendance du pays n’a dérogé à cette constante politique en RDC.

Aujourd’hui, si la RDC ne prête pas attention aux effets pervers de certaines des forces centripètes, le pays court le risque de dislocation lente mais certaine. L’instabilité chronique à l’est du pays a cristallisé dans les cœurs des compatriotes qui y habitent un sentiment d’abandon qui les détournent économiquement (d’abord) et politiquement (en cours) de Kinshasa et du reste de l’ouest. Le sentiment d’unité nationale en sera entamé et avec lui l’intégrité territoriale.

Quelles seraient les pistes de solution ?

J’y reviendrai dans une autre analyse.