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Graham Zebedee: « Un jour la destinée du Congo en tant que grande nation sera réalisée »

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Graham Zebedee clôture son mandat en République Démocratique du Congo (RDC) en caressant le rêve de voir le pays affranchi de la pauvreté, de la corruption, de l’instabilité et de la dépendance de l’aide internationale. Le représentant de Sa Majesté la Reine d’Angleterre l’a exprimé lors de sa quatrième et dernière fête nationale britannique de son mandat en RDC.  

Le diplomate britannique a émis le vœu de voir la pauvreté extrême qui affecte  50 millions congolais ou plus être éradiquée. Ce qui ne pourra se concrétiser, a souligné l’Ambassadeur, que si davantage des ressources provenant des richesses de la RDC servent à l’intérêt général de la population.

« Un jour, la Grande Bretagne ne devra plus, par exemple, fournir de soins de santé primaires à neuf millions de Congolais, parce que, un jour, plus des richesses naturelles de cette grande nation couleront dans les caisses du trésor public, et la corruption qui mine tous les efforts de développement trouvera des solutions », a noté le diplomate britannique.

Revenant sur l’instabilité dans les Kasaï, les sanctions sur les autorités congolaises et le rôle des Nations-Unies en RDC, Graham Zebedee a poursuivi son rêve d’un Congo vivant en bonne intelligence avec ces partenaires internationaux.

« Un jour, on ne parlera plus à New York et à Genève des massacres, fosses communes et répressions. Un jour, on parlera plutôt du départ des casques bleus de la RDC parce qu’ils ne seront plus nécessaires, comme cela va se passer en Côte d’Ivoire dans exactement une semaine. Et un jour, les échanges entre le gouvernement et ses partenaires porteront plus sur la coopération, plutôt que sur les sanctions, résolutions, accusations d’ingérence et de refus de visas. » a noté l’ambassadeur.

Et de conclure que l’avenir du Congo est beau et le pays doit actualiser tout son potentiel.

« Un jour, bref, la destinée du Congo en tant que grande nation sera réalisée. »

Le Royaume-Uni est l’un des bailleurs bilatéraux les plus importants de la RDC avec une contribution annuelle se chiffrant à 500 millions de dollars, notamment dans le secteur de l’éducation.

RFI déplore le retard de renouvellement de l’accréditation de son envoyée spéciale à Kinshasa

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La direction de Radio France internationale (RFI) a à travers un communiqué parvenu à la rédaction de KINSHASATIMES.CD déploré que près de trois mois après l’introduction d’une demande de renouvellement d’accréditation de son envoyée spéciale permanente à Kinshasa, Sonia Rolley, la requête est restée sans suite.

«La demande de renouvellement avait été faite cinq semaines avant la date d’expiration, début mai, de l’autorisation. Le 1er juin, après plusieurs engagements oraux du ministère congolais des médias, la direction de RFI a réitéré cette demande par un courrier qui reste à ce jour sans réponse», indique le communiqué.

Pour RFI ce mutisme des autorités congolaises, ne peut être interprété autrement que comme un refus, décision que regrette la radio française.

«La direction de RFI appelle les autorités congolaises à remédier sans tarder à cette situation afin que la liberté d’informer soit préservée», conclu le communiqué.

 

Examen d’Etat : fin des épreuves sous haute sécurité à Beni comme à Kinshasa

Les «quatre jours» d’épreuves de la 51 ème édition des examens d’Etat, épreuves marquant la fin d’études secondaires a pris fin ce jeudi 22 juin en République démocratique du Congo. Ce dernier jour a été particulière par rapport aux années antérieures connaissant  un affrontement militaire à Beni, à l’Est de la RDC et une présence remarquée des forces de l’ordre à Kinshasa.

Tôt, dans la matinée de ce jeudi, un groupe d’hommes armés non identifiés a attaqué la ville de Beni, perturbant le déroulement  des examens dans plusieurs écoles de la ville de Beni. L’Institut Bungulu, un centre accueillant les finalistes venus de plusieurs écoles de Beni a été la cible d’un tir à l’arme lourde, faisant quelques blessés parmi les candidats à ces épreuves.

La situation maitrisée vers la fin de la matinée par  l’armée régulière et les éléments de la Mission onusienne, a permis aux futurs lauréats de passer leur examen. Les élèves touchés par les éclats du tir à l’arme lourde ont regagné le centre après des premiers soins reçu aux centres où ils ont été acheminés.

Festivités interdites à Kinshasa

La capitale, Kinshasa habituée depuis quelques années à la fête des «bleu blanc» (couleurs d’uniforme des écoliers) à ce jour sanctionnant la fin d’un cursus, comme pour dire au revoir à l’école, l’aire n’était pas  propice aux folie. L’autorité provinciale de la police, le général Celestin Kanyama avait prévenu la veille de la fin des épreuves qu’aucune réjouissance publique des finalistes ne serait autorisé, ni tolérée.

Pour étouffer les réjouissances qui vont des concerts de klaxons (véhicules, motos) sur la voie publique, aux rejouissances dans les débits de boissons en plein journée, les éléments de la police nationale ont été déployé dans plusieurs coins de la capital pour décourager les gens qui «poseraient des actes barbares sur la voie publique».

Dura lex sed lex

Résignés et démotivés, quelques élèves rencontrés dans les rues de Kinshasa ont dit avoir annulé leur déplacement au concert d’une vedette de la rumba congolaise, sponsorisé par une entreprise de télécom, prévu « en leur honneur » dans la commune de Lingwala, au centre de Kinshasa, où des agents de la police étaient postés prêts à en découdre à qui ira à l’encontre de la loi. Dura lex, sed lex (la loi est dure mais reste la loi, NDLR).

Plusieurs finalistes se sont aussi précipités (comme d’habitude) dans les églises où des cultes ont été organisés afin que chacun se confie à Dieu selon son désir, qui est le plus souvent pour la circonstance, celui d’implorer la miséricorde de Dieu afin de décrocher cette palme, le diplôme d’Etat.

Loin de se rendre compte de ce qui s’est passé à dans la matinée à Beni pour plusieurs finalistes à Kinshasa, et vice-versa pour ceux de Beni, on peut dire que l’Exetat (Examen d’Etat, NDLR) 2017 n’a pas connu un «happy ending» pour les uns comme pour les autres mais aussi tous les finalistes de la RD Congo, par solidarité à ceux de Beni. 2018 est une autre année, et connaitra une fin en beauté, peut-être.

 

Foot: Radiation à vie de l’arbitre du match Sanga Balende vs. Don Bosco

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Dans une décision prise le jeudi 22 juin, la Fédération congolaise de football association (FECOFA) a radié à vie l’arbitre Azanga Kalamba Justin, qui a officié mercredi le match Sanga Balende contre Don Bosco (1-1). Il est interdit de toutes les activités liées au football.

C’est le troisième arbitre radié en moins d’une semaine, après les sanctions contre Claude Kamulete et de Bremer Engbanguku.

Par ailleurs, M. Delphin Kikuni, 3e vice-président de la LINAFOOT [qui assure l’intérim du président au moment de désignation des officiels] et M. Jose Konde, secrétaire national  sont également suspendus de leurs fonctions pour une durée de 6 mois.

Il leur est reproché la légèreté dans le mode de désignation des officiels pour le match Sanga Balende contre Don Bosco dont la prestation de l’arbitre central a été caractérisée par une faute technique intentionnellement grave, ayant influé sur le résultat final de la rencontre.

Lors de sa réunion du 19 juin dernier, un blâme sévère a été administre à l’endroit du comité exécutif de la LINAFOOT, concernant l’arbitrage pour le reste des rencontres du play-off.

Retrait du projet d’enquêter dans le Kasai : Le Gouvernement s’en félicite

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Le Gouvernement congolais se félicite du retrait du projet de résolution au Conseil des droits de l’homme à Genève demandant une enquête internationale sur les violences survenus dans la province du Kasaï, située au centre de la RDC.

«Nous n’attendions pas à une autre décision en réalité. Parce que tel est le droit international en réalité. Je ne sais pas pourquoi beaucoup de Congolais  trouvent normal que l’on viole tous les principes du droit international lorsqu’il s’agit de leur pays. Donc,  nous n’avons fait qu’exiger que le même traitement qui est réservé à tous les pays qui sont sur la planète, nous soit appliqué.  Nous nous félicitons de ce que tout le monde ait retrouvé la raison à Genève du moins la grande majorité des Etats membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unie,  et même si tel n’avait pas été le cas, nous aurions refusé  qu’on traite notre pays comme un non Etat »,  a déclaré le ministre congolais des Médias, Lambert Mende Omalanga, Porte-parole du Gouvernement, réagissant au téléphone de KINSHASATIMES.CD, après que le Conseil des Droits de l’hommes des Nations Unies a décidé de retirer son projet d’envoi d’une mission d’enquête internationale dans le Kasai, meurtri par des violences .

Le retrait de ce  projet de résolution passe pour une victoire diplomatique pour la République démocratique du Congo, qui ne compte pas s’arrêter à mi chemin pour ce qui est de la défense de ses droits.

«Nous sommes des dirigeants responsables d’un pays qui existe et qui est indépendant depuis 57 ans. Nous aurions failli à notre devoir si nous n’avions pas pu faire respecter ce principe là », a renchéri le ministre congolais des Médias.

Rappelons que le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a décidé de retirer aujourd’hui son projet d’envoyer une mission d’enquête internationale sur les violences au Kasaï. L’enquête continuera à être menée par  les instances congolaises, auxquelles seront joints les experts onusiens.

Beni : les assaillants repoussés par les FARDC et les casques bleus

Les hommes armés qui ont attaqué ce jeudi 22 juin dans la matinée la ville de Beni ont été repoussé par les Forces Armées de la RDC(FARC) et les casques bleus de la Monusco.

Le commandant de la 34e région militaire et des opérations Sokola 1 Sud, le général Fall Sikabwe a affirmé que la situation était sous le contrôle de l’armée. Selon lui, une dizaine d’assaillants ont été tués et les autres sont pourchassés au Nord-Est de la ville de Beni.

Selon des sources sécuritaires, il était 6 heures, heure locale, quand les assaillants ont attaqué la position des FARDC située à Kalau, localité située à environ 15 Km au Nord-Est de la ville de Beni avant de progresser dans la ville.

Leur objectif renseignent les mêmes sources, libérer des présumés responsables et collaborateurs des rebelles ADF détenus dans les cachots des services de sécurité.

Les Nations Unies ne mèneront pas d’enquête internationale sur les massacres dans les Kasaï

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Le projet de résolution introduit au Conseil des droits de l’homme, à Genève et visant l’envoie d’une mission d’enquête internationale de l’Onu sur les massacres aux Kasaï a été retiré. La République démocratique du Congo gardera la direction de ces investigations.

Kinshasa avait déjà brandit la menace de ne pas donner accès aux enquêteurs dans son territoire  en cas de vote de la résolution déposée par plusieurs pays, majoritairement ceux de l’Union européenne, en vue de faire la lumière sur les violences ayant fait plusieurs morts et déplacés.

Le gouvernement congolais avait promis d’accueillir «une équipe d’enquêteurs des Nations Unies, venant en appui à la Justice Congolaise», précisant que cet appui sera «technique et/ou logistique», et la justice congolaise gardera le leadership de ces enquêtes.

Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Zeid Al-Hussein  avait diligenté une mission de monitoring pour entendre les réfugiés de la province du Kasaï dans les pays frontaliers de la RDC. Les conclusions de cette mission envoyée la semaine dernière mettait en cause les autorités congolaises, accusées d’avoir armé une milice à l’origine d’attaques ethniques dans le Kasaï.

Par ailleurs à la clôture de cette 35è session des droits de l’homme, ce vendredi 23 juin, il sera question de tabler sur l’envoie d’une équipe d’experts qui sera envoyé dans les jours à venir aux Kasaï pour des investigations et devront remettre leurs conclusions aux autorités judiciaires congolaises.

ONU : les sanctions contre la RDC reconduites jusqu’au 1er juillet 2018

Le Conseil de sécurité des Nations Unis a décidé à travers la résolution 2360 voté à l’unanimité mercredi 21 juin de reconduire jusqu’au 1er juillet 2018 les sanctions concernant la République démocratique du Congo (RDC) et de proroger jusqu’au 1er août 2018 le mandat du Groupe d’experts du Comité 1533 chargé de surveiller l’application des sanctions imposées.

Toutes fois, le conseil décide  de « réexaminer les dispositions de la présente résolution le 31 octobre 2017 au plus tard », une fois que le rapport final du Groupe d’experts aura été présenté.

Concernant l’assassinat, en mars, de deux experts qui surveillaient l’application du régime de sanctions dans le Kasaï central, Le texte adopté apporte aussi une réponse.

L’ONU a aussi décidé que le fait de « planifier, diriger ou commanditer des attaques contre des soldats de la paix de la MONUSCO ou des membres du personnel des Nations Unies, notamment les membres du Groupe d’experts, ou d’y participer » entrerait désormais dans le cadre des mesures soumises à sanctions au titre de la résolution.

Les habitants de Ngaba se plaignent du mauvais déroulement de l’enrôlement

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Les habitants de la commune de Ngaba dans le district du Mont-Amba se plainent du retard et aussi des machines qui tombent tout le temps en panne. Ce qui rend l’opération d’enrôlement très lourde et fatigante, depuis le samedi 10 Juin dernier.

Le constat est amer au centre, situé dans l’enceinte de l’école les « Elites » sur l’avenue Gungu à Ngaba. Ici, c’est autour de 10 heures que les chefs des bureaux et ses collaborateurs débarquent, alors que l’heure du début des opérations est prévue à 7 heures. Ces trois heures de retard, se fait malheureusement sentir pour le reste de la journée.

Outre le non respect de l’heure, le manque de l’électricité, la lenteur des agents chargés d’enregistrement ainsi que la fermeture des centres plutôt que prévue rend encore plus difficile cette opération.

« Moi je ne sais pas si je vais encore m’enrôler, parce que, ce que je vois ici me décourage beaucoup. On vient ici très tôt le matin et les agents de la Commision Electorale Nationale Indépendante(CENI) de leur coté ne font pas la même chose. Ils sont toujours en retard, ils ferment leurs bureaux quand ils veulent et moi ça me fatigue », a déploré Martine Kayaya, habitante de Ngaba, rencontrée dans ce centre d’enrôlement cité un peu plus haut.

Deux semaines après, ce centre situé sur l’avenue Gungu patauge encontre les mêmes difficultés et aucun effort n’est déployé au niveau de la CENI pour parvenir à une amélioration.

« On ne comprend pas comment les machines qui viennent à peine d’être achetées peuvent tomber en panne. Moi, je pense que ce sont des machines déjà utilisées qui sont envoyées ici pour enrôler les électeurs et ça, c’est un manque de respect à notre population », s’est indigné un agent de la Ceni travaillant dans l’un des bureaux de Ngaba.

Les centres sont bien repartis dans les quatre coins de la commune. Mais chose déplorable est que les agents de la sécurité en profitent pour se faire de l’argent, en laissant entrer par moment, des gens qui arrivent en retard, moyennant un peu d’argent (500, 1000 FC ou plus), pendant que d’autres qui sont venus avant, trainent dans une interminable queue.

« L’enrôlement a commencé, mais nous ici nous avons de sérieux problèmes. Il y a plein de gens dans des centres. Vous allez voir dans un centre où il n y a qu’une seule machine. Il y a du désordre, des disputent, les agents de l’ordre vous demandent parfois de l’argent, et si vous n’avez rien, ils vous font attendre jusqu’à ce que vous soyez fatigué et si vous avez de la chance vous pouvez vous enrôlez parmi les derniers, sinon, vous allez tenter votre chance le lendemain », a déclaré Willy Banza, électeur, habitant de la commune de Ngaba.

Cette situation pas du tout appréciable, doit interpeller la Centrale électorale congolaise afin qu’elle puisse améliorer son travail pour ne pas connaitre un enrôlement biaisé.

Fighting Pits Government Troops Against Armed Men in Beni

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Fighting has flared up in the early hours of the morning in Beni, in eastern DRC, where unidentified armed men are said to have attacked the city, said local sources contacted by KINSHASATIMES.CD. 

Heavy gunfire was heard in the neighbourhood of Rwangoma where assailants believed to be from the Mai-Mai armed group haved attacked government troops (FARDC) positions.

A school which where students were about to take their secondary school leaving exam (EXETAT) was hit by a bomb, leaving scores wounded.

Most Beni inhabitants, who were just starting to go about their businesses this morning, have hurriedly vacated the city, fearing for their lives.

Beni, which experienced a few months of peace recently, had previously been the epicentre of violence which claimed many lives. The city was repeatedly attacked by ADF-NALU rebels from Uganda. The violence this time round is reportedly caused by Mai-Mai, a local armed group.

Beni : Affrontements entre FARDC et un groupe armé

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De violents affrontements opposent depuis tôt le matin de ce jeudi 22 juin des militaires des Forces Armées de la RDC(FARDC) et un groupe d’hommes armés non autrement identifiés à Beni dans la province du Nord-Kivu.

Selon des sources locales, il était 6 heures locales quand les assaillants ont attaqué la position des FARDC située à Kalau, localité située à environ 15 Km au Nord-Est de la ville de Beni.

Environ 45 minutes après, des tirs se sont fait entendre au quartier Rwangoma, c’est un autre groupe d’assaillants qui attaquent la position des FARDC dans ce quartier populaire de Beni. Les assaillants seraient des miliciens Mai-mai.

Une bombe serait tombé sur l’institut Bungulu qui abrite un centre d’examen d’Etat. Plusieurs blessés graves ont été évacués d’urgence.

Les élèves et quelques habitants qui sortaient de chez eux ont été vus en train de se diriger vers d’autres coins de la ville.

ACB dément l’arrêt des transactions en dollars avec les banques congolaises

L’Association congolaise des banques (ACB) dément l’information selon laquelle il y aurait un arrêt de toutes les transactions en dollars américains avec les banques congolaises.

Dans un communiqué parvenu à KINSHASATIMES.CD, l’ACB affirme qu’il n’existe aucune directive des Etats-Unis qui auraient imposé aux banques congolaises des restrictions sur les opérations en dollars américains, comme l’aurait fait savoir une certaine opinion dans la ville.

acb

Grogne à la Scpt, les agents appellent au départ de leur Directeur général

Les agents de la société commerciale des transports et des ports(SCTP) ,Ex Office National des Transports(ONATRA) en grève depuis, appellent au départ de leur Directeur Général, qu’ils accusent de megestion.

Ils étaient nombreux ce mercredi 21 juin devant le grand batiment administratif de l’Ex Onatra sur le Boulevard du 30 juin à Gombe. Femmes et hommes scandant des cris,  des couvercles en mains claquant de toutes leurs énergies  pour exiger la paie de 6 mois d’arriérés, pendant qu’une petite portion d’agents se retrouvait le long  du boulevard observant leurs collègues de loin après  que l’accès leur soit refusé.

«  Nous exigeons  le payement de nos salaires et le départ de l’actuel  comité de gestion, qui détourne les fonds de l’entreprise pour leur propre profit. Les agents n’ont rien et l’entreprise se meurt à petit feu », a lâché un agent d’une cinquantaine révolue, ayant recquis l’anonymat, alors que  l’entrée principale de la Scpt était baricadée par ses gardes. Pas d’entrée et de sortie pour ceux qui se trouvaient à l’intérieur du bâtiment.

Du côté du comité de gestion, pas de son de cloche. Personne ne s’est pretée au micro de KINSHASATIMES.CD , alors que  la tension était forte déhors, et oblige une attention particulière du Gouvernement afin de remettre ces agents dans les droits qui sont les leurs.

Kiaku  Prisca

Processus électoral : les droits de l’Homme et les élections au centre des consultations interinstitutionnelles

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Dégager des directives claires pour un processus électoral apaisé et sans violation des droits de l’homme en République Démocratique du Congo(RDC), tel est l’objectif des Consultations Interinstitutionnelles sur les Droits de l’Homme et les Elections en RDC entamé mardi 20 juin par Le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH) en collaboration avec la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) ainsi que la commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH).

Prenant la parole le Coordonnateur du Bureau d’équipe de terrain à Kinshasa pour le BCNUDH, Monsieur Halidou, s’est appesantie sur la situation des droits de l’homme à la veille de l’organisation des élections en RDC. Pour lui, l’élection des animateurs des Institutions au niveau local et national constitue un fondement solide pour la consolidation de l’Etat de droit et de la paix.

A son tour le Rapporteur de la CE NI Jean Pierre KALAMBA a planché sur la protection des droits humains dans les processus électoraux. A l’en croire , en procédant à l’identification et à l’enrôlement des électeurs à travers la Révision du Fichier Electoral , la CENI s’est placée en ligne droite dans la promotion et la protection des droits civils et politiques des citoyens ainsi que des libertés fondamentales garantis par la Constitution en ses articles 11 à 33 et les
instruments internationaux auxquels la RDC a souscrit.

Pour sa part, le président du CSAC Tito Ndombi a rassuré que son institution en tant qu’autorité administrative indépendante constitue une réponse originale des pouvoirs publics au besoin de régulation et de protection des libertés et de promotion des libertés individuelles et publiques dans le secteur des médias.

Violences dans le Kasaï : le gouvernement congolais accepte un appuis technique ou logistique de l’ONU

Le gouvernement congolais a renouvelé sa volonté de poursuivre sa collaboration avec les Nations Unies au sujet de l’enquête sur les violences dans les provinces du Kasaï et Kasai-central. C’est la ministre congolaise des Droits, Marie-Ange Mushobekwa qui l’a dit lors de l’ouverture de la 35e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève.

« Le gouvernement congolais accepte d’accueillir sur son sol une équipe d’enquêteurs des Nations Unies, venant en appui à la Justice Congolaise», a déclaré la ministre des Droits humains, avant d’ajouter que «cet appui sera technique et/ou logistique, et la justice congolaise gardera le leadership de ces enquêtes».

Selon Marie-Ange Mushobekwa, la justice congolaise poursuivra à l’issue de cet enquête conjointe, les présumés coupables et les jugera conformément au code pénal en vigueur en République Démocratique du Congo.

Le haut-commissaire des droits de l’homme souhaite quant à lui une enquête internationale pour faire la lumière sur les violences qui ont endeuillé RDC causant ainsi la mort de plus de 3 000 morts, selon l’Eglise catholique.

Le vote sur la nécessité de mettre en place une enquête internationale doit avoir lieu jeudi 22 juin au sein du conseil des droits de l’homme de l’ONU.

 

CAF-C1 : Vclub enregistre sa première victoire en battant Saint Georges (2-1)

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L’AS Vclub de la RDC a battu Saint Georges de l’Ethiopie par deux buts à un, en match de la 4e journée de la phase de poule de la Ligue des champions. C’est la première victoire des Moscovites dans cette compétition. Taggy Agiti Etekiama a réalisé un doublé à la 7’ et à la 26e minute (penalty).

La réduction de score des Ethiopiens est intervenue à la 65’ par Said. L’autre match de groupe C, aura lieu demain mercredi entre Esperance Sportive de Tunis et Mamelodie Sundowns.

Au classement de ce groupe C, les Tunisiens de l’Esperance de Tunis mènent la danse avec 7 points (+3). Ils sont suivis des Ethiopiens avec 5 points, en troisième position nous avons les Sud-Africains de Mamelodie Sundowns avec 4 points (+1).

Malgré sa victoire, Vclub reste au bas du classement avec 3 points (-3).

Pour le G7, le Rassemblement devrait mettre le cap sur les élections, «mais pas dans n’importe quelles conditions»

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A travers un point de presse tenu ce mardi 20 juin, le G7 a donné sa position quant à la situation politique qui prévaut actuellement en République démocratique du Congo.

Le président de ce regroupement des partis politiques de l’opposition, membres du Rassemblement des forces acquises au changement, Pierre Lumbi, a dans son discours de circonstance indiqué que la Majorité au pouvoir est «déterminée» à faire obstacle à la tenue des élections à travers notamment la signature le 27 avril dernier d’un arrangement particulier «inachevé et dénaturé», en l’absence du Rassemblement et de la CENCO.

Selon ce dernier, cela ne devrait pour autant pas décourager les forces de l’opposition à se mettre en ordre de bataille pour les échéances électorales à venir.

«Le G7 considère que tout en cherchant la mise en œuvre intégrale de l’Accord du 31 décembre 2016, le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement devrait mettre le cap sur les élections».

Élections à quelques conditions

Le regroupement politique soutenant la candidature à la présidentielle de Moise Katumbi précise par contre qu’elle plaide pour les élections mais «pas dans n’importe quelles conditions», estimant qu’il ne peut y avoir des élections crédibles et véritablement démocratiques que dans les conditions et avec les garanties prévues par l’Accord du 31 décembre 2016.

Il exige entre autre ; l’application des toutes les mesures de décrispation politique (avec le retour au pays sans condition de Moïse Katumbi) ; la clôture des opérations et d’enrôlement des électeurs au 31 juillet 2017 ; la publication du calendrier électoral par la CENI avant le 31 juillet 2017 ; la redynamisation de la CENI afin de renforcer son indépendance et son impartialité et le déploiement plus large des troupes de la Monusco à travers le pays pour sécuriser les opérations électorales et les candidats aux côtés de la Police Nationale.

Mobilisation populaire

«Le G7 n’acceptera pas un troisième dialogue car il n’y a plus rien à négocier. Dépassée la date du 31 juillet 2017 sans, d’une part, que la CENI n’ait clôturé les opérations d’identification et d’enrôlement, ni publié le calendrier électoral ; et, d’autre part, sans que le Gouvernement n’ait mis en œuvre les mesures de décrispation, le G7 lancera avec l’ensemble des organisations politiques et sociales des actions de mobilisation populaire et de désobéissance civique conformément à l’Article 64 de la Constitution», prévient le G7.

Sanctions de l’UE contre les officiels congolais : L. Mende s’en moque…

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Le ministre congolais des Médias, Lambert Mende, Porte-parole du Gouvernement, lors d’un point de presse tenu ce mardi dans son cabinet de travail s’est exprimé sur les sanctions imposées par l’UE et les USA. Il s’est particulièrement attardé sur la Belgique, siège des institutions européennes, et pays qui vient d’ouvrir un procès contre le Ministre congolais de la Justice. 

«Je pense que je suis très fier d’avoir été épinglé de manière tout à fait illégitime par des gens dont je critique les méthodes, qui sont des méthodes d’une autre époque. Je me sens fier d’être dans la lignée de ceux de nos héros que nous vénérons aujourd’hui, parce qu’ils ont subi ce que nous sommes en train de subir aujourd’hui. Je me sens fier d’être un des exemples de ces Congolais, qui résistent à la tentation impériale, à la tentation néocoloniale de certains milieux nostalgiques, qui opèrent à partir de la capitale belge, qui est en même temps la capitale de l’Europe »

Quant aux sanctions, il a dit n’avoir pas été secoué par leurs effets.

« Je n’ai moi, aucune inclinaison particulière à visiter les pays européens. Croyez-le. J’y suis allé dans les années 80, contraint et forcé, parce que fuyant la dictature qui était ici dans ce pays. J’y ai passé dix ans de ma vie. Je pense que j’en ai soupé et quand je suis revenu, c’était volontairement ».

Avant de poursuivre qu’il se passerait de quelques avoirs qu’il aurait encore en Belgique.

« Si j’ai des avoirs en Belgique, dans une banque ou quoi, j’en fais cadeau à ceux qui ont émis ces sanctions… . Si j’ai un mètre carré, un compte en banque qu’ils le prennent. Je ne me sens pas du tout inquiété, parce que je n’ai même pas des comptes. J’ai fermé tous mes comptes quand je suis revenu. Je n’ai plus rien avoir avec ces pays où des gens croient qu’ils peuvent continuer à nous considérer comme des esclaves des temps modernes. Et donc, voilà, sur le plan de la pénibilité de la sanction, c’est nul », déclarant que son travail est d’exécuter les lois.

Et au regard des griefs, qui lui sont reprochés par l’UE, Lambert Mende brandit la loi, qu’il a appliquée.

« (…) on veut changer une loi, on va au Parlement. Ce n’est pas en sanctionnant un ministre que vous allez changer une loi. Et donc, j’ai pris un arrêté ’application de la loi 96 dans son article 61 ».

Rdc: 3383 personnes mortes depuis le début des violences aux Kasaï, indique un document de l’Eglise catholique

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3.383 personnes sont mortes depuis le début des violences survenues dans toute l’espace de la province du Kasai,
situé au centre de la République démocratique du Congo, a appris il y,a peu, KINSHASATIMES.CD de la nonciature de l’église catholique.

« Au moins 3700 maisons détruites et 20 villages, dont 10 par les éléments des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc), 4 par les miliciens Kamuina Nsapu », a renseigné le nonce, Luis Mariano, précisant qu’en dehors de ce bilan, 60 paroisses et 141 écoles catholiques seraient également détruites ou fermées dans la province du Kasai, où les deux experts onusiens dans le cadre de leur mission d’inspection dans cette partie de la Rdc, ont été d’abord portés disparus, puis retrouvé mort avec leur collaborateurs congolais, parmi lesquels il y avait des traducteurs et conducteurs de moto.

Outre ces incidents, des milliers de populations civiles, victimes de ces violences, orchestrées par les éléments des Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc) et les miliciens Kamuina Nsapu, ont fui vers l’Angola et d’autres provinces de la Rdc, dont notamment le Katanga, le Bandundu et le Maniema.

Violences dans le Kasai : La RDC publie « Livre blanc » sur le phénomène Kamuina Nsapu

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Le Gouvernement congolais présente ce mardi 20 juin, au Conseil des Droits de l’homme à Genève en Suisse,  un document expliquant l’origine et le déroulement de toutes les violences survenues dans les provinces de Kasai, Kasai-central et certains territoires de la province de Lommi avec le phénomène Kamwina Nsapu.

Intitulé « Eléments d’information liés au phénomène Kamwina Nsapu », a dit le ministre Lambert Mende, Porte-parole du Gouvernement ce matin lors d’un point de presse, cette compilation balaye les différents aspects de ce phénomène depuis la localisation du groupement rural Kawmina Nsapu dans le secteur de Dibataie en territoire de Dibaya au Kasaï-central, l’identité et la situation administrative de la personne qui lui a donné naissance jusqu’aux remèdes politiques institutionnels apportés par le gouvernement.

Selon Lambert Mende, ce livre a pour objectifs de rétablir la vérité sur ces atrocités d’une part et rendre justice à toutes les victimes de ces violences d’autres part.

« Il s’agit de réaffirmer à la fois la souveraineté de la RDC et la volonté de l’Etat congolais de poursuivre et juger tous les acteurs quels qu’ils soient, des crimes allégués en rapport avec ce phénomène à travers des enquêtes transparentes, impartiales et crédibles conduites par les instances judiciaires congolaises avec la collaboration ou l’appui de toutes les bonnes volontés à l’intérieur du pays ou à l’étranger y compris les Nations Unies, dont deux enquêteurs ont trouvé la mort en faisant leur travail », a souligné Lambert Mende.

Cependant le Gouvernement congolais refuse le déploiement sur son territoire d’une commission d’enquête internationale qui travaillerait à vase clos. Par contre, l’Etat congolais a dit attendre une collaboration, un travail d’ensemble avec cette commission internationale, qui ne viendra pas se substituer à la justice congolaise.

Le premier café « Arabica » produit en RDC apprécié sur les marchés internationaux

Le directeur général de l’Office national de café (ONC), Augustin Bompate Bo-Lounda, a indiqué au cours d’un entretien lundi 19 juin 2017 avec l’ACP, que le café « Arabica » produit pour la première fois en RDC est prisé sur les marchés internationaux.

Selon M. Bompate Bolounda ce café de première qualité est vendu à 10 dollars/kg et fait actuellement l’objet des sollicitations sur ces marchés. Il a attribué cette performance à l’esprit managérial du comité de gestion de l’ONC et sa détermination à réhabiliter, à promouvoir et à revaloriser le café Congolais sur le marché international.

Ce café est produit au bord du Lac dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Le Directeur général a rappelé que de 1948 à 1960, le café congolais a connu des années de gloire. C’est ainsi qu’il était acheté sur base de la confiance (par télex) et non sur base d’un échantillon.

Grâce aux services de vulgarisation bien outillés de l’ONC, la qualité de café avait augmenté et les exportations étaient passées de 23.459 tonnes à 93.412 tonnes en 1959. De 1960 à 1965, à cause des tribulations postindépendances, la production du café a connu une baisse à la suite de l’abandon des plantations et de l’insuffisance de la main d’œuvre.

C’est ainsi que la vente du café à l’extérieur a commencé à s’opérer sur échantillons, et non par confiance. A l’en croire, son comité de gestion est en train de fournir des efforts en vue du redressement du secteur caféier en RDC.

Ce qui explique l’installation en décembre prochain à Kinshasa, d’une machine de torréfaction de café acheté sur fonds propre en Espagne pour la transformation du café moulu de bonne qualité destiné à l’exportation. Il a annoncé aussi l’acquisition de la deuxième machine qui sera installée à bord du Lac Tanganyika à Kalemie dans la province de Tanganyika pour les transactions commerciales du café et de cacao à partir de ce port.

A propos de Kalemie, le DG de l’ONC a dit avoir effectué dernièrement une mission de travail dans cette ville où sera ouvert bientôt, le nouveau bureau de représentation de l’ONC et un champ d’expérimentation de culture de café et de cacao.

Il sera installé aussi à Kinshasa, un laboratoire moderne pour le traitement de café et de cacao, a-t-il fait savoir, sans oublier l’installation dans plusieurs provinces des pépinières sous l’encadrement des agronomes de l’ONC pour la distribution des plantules aux paysans.

M. Bompate a lancé un message à la population et surtout aux jeunes et aux femmes pour qu’ils s’adonnent à la culture de café sous l’encadrement des agronomes de l’ONC afin de combattre le chômage et la pauvreté dans leurs milieux. Pour lui, la culture de café, de cacao et d’autres plantes pérennes va leur procurer de l’argent. Aux autorités, il a demandé de soutenir l’ONC dans ses efforts de relance et de la revalorisation de la culture pérenne.

Il a fait remarquer que le café implique 800.000 ménages, soit 4.800.000 personnes et permet aux populations d’accéder aux services sociaux de base, notamment l’éducation, la santé, l’eau et l’assainissement ou d’investir dans l’habitat.

KINSHASATIMES.CD/ACP

Mende: « Le gouvernement congolais mène une réflexion sur l’attitude hostile de la Belgique »

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La RDC réfléchit sur une riposte contre les sanctions imposées à certains hauts cadres gouvernementaux congolais par l’Union Européenne et les Etats-Unis.  Lambert Mende, Ministre des Médias et Porte Parole du gouvernement, l’a annoncé  lors d’une conférence de presse tenue cet avant-midi. La Belgique serait ciblée en premier lieu en raison, selon Mende, de l’hostilité de ce pays contre la RDC. 

« Le gouvernement de la république est train de mener une réflexion sur la manière de riposter aux sanctions imposées par l’union Européenne et les États-Unis » a déclaré Mende.

Une fois que la réflexion aboutit, certains diplomates européens pourraient voir leur accréditation en RDC momentanément suspendue ou être expulsés du pays. Il s’agirait d’une application du principe de réciprocité par Kinshasa en représailles à ce resserrement de l’étau contre les autorités congolaises.

Figurant lui-même sur la liste des cadres sanctionnés par l’Union Européenne, Mende a dit n’avoir pas été secoué par ces sanctions.

Martin Fayulu : « M. Kabila doit partir à la fin de cette année »

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Dans une interview diffusée ce Mardi 20 juin sur la Radio France Internationale (RFI) le président du parti d’opposition Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECiDé) et cadre du rassemblement Matin Fayulu a déclaré que le président de la République Démocratique du Congo Joseph Kabila doit quitter le pouvoir à la fin de l’année 2017.

«Nous avons voulu éviter le bain de sang, mais Monsieur Kabila n’a pas compris. Maintenant nous avons décidé que Monsieur Kabila doit partir à la fin de cette année», a déclaré Martin Fayulu.

Selon Martin Fayulu, le Rassemblement tiendra bientôt un conclave afin de réfléchir sur la manière de faire partir Joseph Kabila du pouvoir.

Par ailleurs, l’opposant congolais a reconnu que le Rassemblement s’est affaibli après le décès le 1er février dernier du chef de l’opposition Etienne Tshisekedi.

« Nous sommes affaiblis, il faut se le dire. On ne remplace pas Etienne Tshisekedi par un coup de baguette magique. On n’était pas préparé pour le remplacer. On a fait une restructuration précipitée qui a causé des dégâts au sein du rassemblement. Mais nous allons bientôt entrer en conclave et au sortir il y aura des résolutions fortes pour rédynamiser le peuple congolais», a-t-il souligné

La Primature : « Le français est la seule langue de travail », instruit le Dircab

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Le Directeur de cabinet du Premier ministre, Bruno Tshibala, a dans une note d’instruction, publiée il y a peu, rappelé les membres du cabinet, le personnel entrant ainsi que sortant à la primature, que le français est la seule langue officielle sur le site de la Primature.

Michel Nsomue a dans cette note, parvenue à KINSHASATIMES .CD, indiqué que le français est la langue officielle de travail.
La note du Directeur de cabinet ne donne pas d’autres détails que cette obligation qui, estime-t-on, vise à lutter contre le tribalisme, qui aurait élu domicile à la Primature.

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