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Nord Kivu: Les pétroliers entrent en grève

L’association des pétroliers du Nord Kivu (APENOKI) est entrain en grève sèche à partir de ce jeudi 16 mars 2023.C’est à travers une lettre adressée au gouverneur militaire du Nord Kivu et dont une copie nous est parvenue que ces opérateurs économiques décident d’observer une grève sèche pour, selon eux, faire attendre leurs voix.

Sans pour autant donner plus des précisions sur les raisons de leur décision, les pétroliers du Nord Kivu réunis au sein de l’APENOKI déplorent la lourdeur administrative à laquelle ils font face dans l’harmonisation du prix des produits pétroliers à la pompe dans la province du Nord Kivu.

Une situation qui intervient pendant que la ville de Goma fait aussi face à une pénurie alimentaire depuis la détérioration de la situation sécuritaire et l’occupation des plusieurs villages dues notamment à la guerre du M23 sous couvert du Rwanda et les forces armées de la Rd Congo.

Goma: Pour Stéphane Miruho, il est temps d’offrir à la population un environnement pacifique

Le sénateur Stéphane Miruho Murongozi dénonce de toutes ses forces l’agression dont la République démocratique du Congo est victime de la part de l’armée rwandaise sous couvert de la rébellion du mouvement du 23 mars (M23). Celui-ci l’a fait savoir ce jeudi 16 mars 2023 lors de son arrivée dans la ville de Goma pour s’acquitter de son devoir patriotique, celui de s’enrôler.

Pour lui, il est vraiment grand temps que la population du Nord Kivu qui n’exerce même plus toutes ses activités agricoles bénéficie d’un environnement pacifique pouvant le permettre de reprendre le cours normal de la vie.

Aussitôt arrivé dans son fief, ce digne fils du quartier populaire de Birere s’est accompagné par sa base au centre d’identification de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) pour se faire enrôler.
Au sortir du centre d’enrôlement, Stéphane Miruho a salué la décision de la CENI d’avoir ajouté 15 jours supplémentaires au processus d’identification des électeurs, il estime que ceci permettra à une grande partie de la population d’avoir de carte d’électeurs.

« Avant toute chose, je tiens à remercier et à féliciter la population de la ville de Goma et ses environs pour l’accueil chaleureux réservé à ma modeste personne et pour avoir répondu positivement à mon appel citoyen par un enrôlement massif. Je suis venu accomplir aujourd’hui mon devoir citoyen, celui de me faire enrôler, mais aussi me tenir au chevet de cette population patriotique et meurtrie par la guerre injuste imposée par l’agression Rwando-ougandaise que je condamne» a-t-il fait savoir.

Il recommande à la CENI d’augmenter le nombre des machines compte tenu du volume du travail par rapport au temps imparti. Il invite aussi la population de la ville de Goma de soutenir les vaillants FARDC sur les fronts, tout en reconnaissant les efforts du Chef de l’Etat Félix-antoine Tshisekedi Tshilombo de ramener la paix en RDC.

Le Système des Nations-Unies et la RDC tablent sur la mise en œuvre du cadre de coopération 2023

Il s’est ouvert ce jeudi 16 mars un atelier réunissant le Gouvernement congolais et les agences des Nations-Unies dans le cadre de la mise en œuvre du cadre de coopération de 2023.

Aboubakri Diawa, Chef de bureau du coordonnateur résident, a indiqué que ce cadre d’échanges de deux jours sera également l’occasion de faire le point sur les activités réalisées et non réalisées en 2022 mais aussi les actions prévues en 2023.

« Ce qu’on va faire, c’est une mise à jour par rapport aux activités qui avaient été prévues ces deux années, ce qu’on a pu réaliser en 2022, ce qu’on n’a pas pu réaliser qu’on voudrait reporter en 2023, et quelles sont les nouvelles activités qu’on va rajouter en 2023 pour nous assurer que la mise en œuvre de ce cadre de coopération va être effective et permettre d’atteindre les objectifs que nous poursuivons », a-t-il fait savoir devant la presse.

A l’en croire, l’idée est de voir « comment se réajuster en fonction des différents changements qui ont pu apparaître et s’assurer qu’en 2023 on va faire des activités qui vont permettre de faire accélérer les actions qu’on voudrait dans le cadre de l’atteinte des objectifs de développement durables ».

Lors de la revue annuelle 2022, Bruno Lemarquis, coordonnateur résident du SNU avait révélé que, les agences des Nations-Unies avec l’appui des partenaires et leurs bailleurs de fonds ont délivré plus d’un million de dollars américains pour le programme de développement en RDC pour 2022.

C’est depuis 2019 que, le Gouvernement congolais a signé un cadre de coopération avec le Système des Nations-Unies (SNU) en RDC. Ce cadre couvrant la période 2020-2024 vise 3 axes principaux notamment la consolidation de la paix, le respect des droits humains, la protection des civils, la cohésion sociale et la démocratie.

Enrolement/Sud Kivu : La police reconnaît les allégations de monnayage dans l’opération

L’inspection provinciale de la Police nationale congolaise (PNC) au Sud-Kivu reconnaît les allégations portées à charges de ses éléments faisant état de monnayage dans l’opération d’enrôlement des électeurs dans plusieurs centres de la CENI.

Dans un communiqué mercredi 15 mars courant, le commissaire provincial de la police au Sud-Kivu a mis en garde les agents de l’ordre qui « rançonnent » la population dans les centres d’enrôlement en exigeant de l’argent pour accéder aux bureaux d’inscription et d’enrôlement.

« Les informations à notre possession font état du monnayage d’enrôlement par les agents de l’ordre commis aux différents centres d’identification, inscription et enrôlement des électeurs. Cette pratique est strictement interdite ainsi, je demande à toute la population de dénoncer tout agent de l’ordre qui se livrerait à cette pratique de monnayage et de non-respect de l’ordre d’arrivée pour qu’il subisse des sanctions exemplaire », promet Jean Bernard Bazenge, commissaire provincial de la PNC au Sud-Kivu.

Il faut dire que, depuis le début de l’opération d’enrôlement des électeurs au Sud-Kivu, plusieurs cas de monnayage des jetons d’accès aux bureaux de la CENI ont été rapportés.

Les éléments de la police sont les plus cités dans cette opération de monnayage des jetons. Ces derniers exigent une somme allant de 100 francs congolais jusqu’à 5000 Francs congolais de la part des requérants, a-t-on appris.

Bertin Bulonza

15 jours de prolongation pour l’enrôlement au Sud-Kivu : La Société civile parle d’un délai irréaliste et injuste

Les 15 jours de plus accordés à la troisième aire opérationnelle pour la poursuite de l’opération d’enrôlement des électeurs sont mal vus par la société civile du Sud-kivu. Cette dernière estime que, le délai de 15 jours est non seulement irréaliste mais également injuste.

« 15 jours de prolongation pour l’inscription des électeurs au Sud-Kivu c’est irréaliste et injuste. Dans les aires opérationnelles 1 et 2 on avait prolongé de 25 jours et puis 10 jours alors que ces aires opérationnelles présentaient moins de défis logistiques que l’aire opérationnelle 3 », fait observé Me Néné Bintu, Vice-présidente du bureau de coordination de la Société Civile du Sud-Kivu.

Elle évoque des spécificités pour le Sud-Kivu qui lui seul compte 29 sites additionnels contrairement à d’autres zones qui en comptent moins de 10.
Au-delà de cette réalité, la Vice-présidente du bureau de coordination de la Société civile du Sud-Kivu évoque également la question liée au paiement des agents commis dans les centres d’inscriptions et la réparation des machines en panne.

« Il ne suffit pas seulement de rallonger, il suffit de motiver les MCI et réparer toutes les machines et ça ira mieux », préconise Me Néné Bintu. Il y a lieu de signaler qu’à deux jours de la date initialement prévue pour la fin de cette opération, la CENI a indiqué qu’au Sud-Kivu seuls 36% des électeurs attendus étaient déjà enrôlés.

Bertin Bulonza

Football : Gianni Infatino réélu président de la FIFA

La Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) et les autres Fédérations du monde entier ont réélu par acclamation, pour un second mandat, Gianni
Infatino ce jeudi 16 mars. C’était lors du 73e congrès de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) à Kigali (Rwanda).

Sous un tonner d’applaudissements, Giovanni Vincenzo Infatino, dit Gianni Infatino est porté de nouveau pour les 4 prochaines années à la tête de cette transnationale qui collabore avec 211 nations notamment la République démocratique du Congo.

Après sa réélection le 26 février 2016 au second tour avec 115 voix, celui qui a travaillé au département juridique et commercial de l’Union Européenne de Football Association (UEFA) en 2000 est parti pour devenir le 4e président de l’histoire de la FIFA qui a plus duré à la tête de cette fédération sportive internationale de football.

Comptant 7 années depuis son élection en 2016, plus les 4 prochaines années à la présidence de cette institution créée le 21 mai 1904, celui qui a fait passé le nombre des équipes participantes à la Coupe du monde à 48 pour 2026 contre 32, est sur la voie de régner d’office pendant 12 ans.

Ainsi, il sera derrière le français, Jules Reimet (33 ans) le brésilien, Joao Havelange (23 ans) et Sepp Blatter (17 ans).

Nommé en janvier 2004 directeur de la division des affaires juridiques des licences de clubs à l’UEFA, celui-ci a plusieurs défis à relever notamment l’organisation de la prochaine Coupe du monde qui engagera 48 pays. Ce challenge émane d’un laborieux travail de toute son équipe entérinée mardi 14 mars dernier au Rwanda.

Imbroglio administratif au Sud-Kivu : Deux ministres provinciaux disputent l’intérim

C’est du veritable imbroglio administratif qui se vit dans la province du Sud-Kivu ce dernier temps. Ceci après l’éviction de Théo Kasi Ngwabidje à la tête de cette province par l’assemblée provinciale.

Quelques jours après le départ de celui-ci, le Vice-premier ministre et ministre de l’intérieur Daniel Aselo est loin de laisser cette province jouir de son autonomie administrative. Alors que la paix et la stabilité s’installaient déjà au Sud-Kivu, D. Aselo a sorti un télégramme convoquant pour des consultations à Kinshasa le Vice-Gouverneur qui assumait déjà l’intérim.

Dépêché d’urgence pour la capitale congolaise Kinshasa, le Gouverneur a.i Marc Malago a confié à son tour l’intérim au ministre provincial de l’agriculture Robert Byacanda ; comme l’on peut le lire dans une correspondance lui adressé le 13 mars de l’année en cours.

Une décision que ne digère pas le ministère de l’intérieur Théophile Kiluwe et qui s’est auto-proclamé Gouverneur a.i de la province du Sud-Kivu.

Kiluwe n’a pas caché son ras le bol au cours d’un point de presse organisé à son cabinet de travail où il s’est déclaré « être le Gouverneur intérimaire de la province » car il estime que, les dispositions légales ont été violées.

Evoquant la préséance graduelle, le ministre provincial de l’intérieur a considéré que son collègue Robert Byacanda occuperait la septième place et lui la première.

A ce jour, deux gouvernements parallèles sont en fonction au Sud-Kivu. D’une part, le ministre de l’intérieur avec comme alliés les proches de l’ancien Gouverneur Théo Ngwabidje et d’autre part, le ministre de l’agriculture qui travaille provisoirement dans l’enceinte du gouvernorat de province.

Cette situation divise plusieurs camps politique et sème la cacophonie auprès des partenaires de l’exécutif provincial car ils ne savent plus à qui s’adresser.

Plusieurs observateurs au Sud-Kivu indexent le VPM de l’intérieur Daniel Aselo comme auteur de cet imbroglio administratif dans une province qui semblait recouvrer une stabilité politique depuis que le Vice-Gouverneur Marc Malago était reconnu comme Gouverneur ad intérim.

Ces observateurs regrettent que le ministre Daniel Aselo s’ingère activement dans la gestion du Sud-Kivu en convoquant une fois de plus un Gouverneur qui semblait déjà être accepté par la Société Civile et l’assemblée provinciale. Ils appellent ce membre du Gouvernement central à la retenue et à retirer sa main de la gestion de cette province « pour que celle-ci s’aligne sur la voie de développement».

Bertin Bulonza

Comité de normalisation de la Fecofa, le flou s’installe autour de la nomination des animateurs

Fin mandat depuis décembre 2021, le Comité en place de la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) devrait organiser des élections afin d’élire des nouvelles têtes au sein de cette instance. Mais après plusieurs reports, la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) avait décidé de mettre en place son Comité de normalisation qui va enfin conduire la FECOFA aux prochains scrutins. En revanche, un imbroglio s’annonce tout autour de cette question.

Soit Véron Mosengo Omba, Secrétaire général de la Confédération Africaine de Football (CAF), soit la FIFA, on ne sait plus qui est à la base de la nomination de ce bureau qui devrait être mise en place afin de gérer les affaires courantes de l’organe technique qui gère le football de la République démocratique du Congo jusqu’aux élections.

D’après certaines sources, Donatien Tshimanga et les siens disent que l’idée de donner place à cette commission de normalisation pour assurer la tenue de la prochaine Assemblée générale élective émane de celui qui fut le Directeur de la division des Associations membres de la FIFA, Véron Mosengo. Les mêmes sources ont fait savoir que l’établissement dudit Comité n’aura plus lieu suite à une décision prise par les fédérations du monde à l’issue du congrès de la FIFA tenu à Kigali au Rwanda.

Par contre, Léopard Sport Afrique qualifie ce qui précède de « l’intox ». La même source fait savoir que l’initiative de placer ce bureau qui sera chargé de baliser le chemin des prochains scrutins découle de la propre volonté de Gianni Infantino et son Comité. Celle-ci apprend également que cette mesure n’a jamais été rejetée. En revanche, le 73e congrès de la FIFA va être tenu ce jeudi 16 mars 2023. Les réponses à ses questions pourraient être trouvées dans ces assises.

L’ECC-CENCO exigent à la CENI de publier les statistiques des enrôlés par centre d’inscription

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Dans une déclaration mercredi 15 mars, la Mission d’observation électorale de la CENCO et de l’ECC a exigé à la CENI de rendre public les statistiques des personnes enrôlées par chaque centre d’inscription.

Cette mission a également demandé à la centrale électorale de clarifier la question des centres d’inscription non retrouvés sur terrain, documentés par cette mission.

Elle lui demande aussi d’organiser en toute urgence et à tous les niveaux, des inventaires des matériaux sensibles commis à l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs.

Les données collectées et analysées sur base des formulaires conçus par cette mission d’observation ont porté sur les thématiques relatives à l’Administration électorale, à l’Education civique et parties prenantes, à l’Inscription des électeurs dans les Centres d’inscriptions et aux incidents constatés pendant la période.

Au gouvernement, l’ECC et la CENCO plaident pour un décaissement systématiquement des fonds destinés aux opérations électorales conformément au plan de décaissement convenu avec la CENI afin d’éviter de compromettre la mise en œuvre du calendrier électoral et occasionner ainsi le report des élections dont, auquel cas, seul le Gouvernement en portera toute la responsabilité.

Et de « renforcer la sécurité dans les zones de conflit, en particulier dans les provinces de l’Ituri, du Nord-Kivu et de Mai-Ndombe (territoire de Kwamouth), afin de permettre aux citoyens congolais de participer à l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs dans la quiétude et éviter de compromettre la mise en œuvre du calendrier».

Elle a par ailleurs appelé le gouvernement à assurer la sécurité du matériel électoral sensible.

Aux cours et tribunaux, l’ECC et la CENCO ont demandé d’organiser des procès publics voire des audiences foraines afin que les citoyens et les partenaires internationaux soient éclairés sur les conditions dans lesquelles les matériels électoraux sensibles se sont retrouvés entre les mains des individus n’en ayant pas qualité.

Le gouverneur C. Ndima reprend le commandement des opérations militaires au Nord Kivu

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Le Gouverneur militaire du Nord-Kivu, le lieutenant-général Constant Ndima Kongba est réhabilité dans toutes ses fonctions, notamment dans celle de la conduite des opérations militaires où les Forces armées de la République démocratique du Congo font face à l’agression rwandaise, menée sous le label des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23).

Cette réhabilitation de l’autorité provinciale est contenue dans un document de notification du Chef d’état-major général des FARDC du mercredi 15 mars.

Dans ce document, le lieutenant-général Tshiwewe Songesa Christian, alors ChefEMG des Forces armées de la République démocratique du Congo, fait mention d’un arrêté du Ministre de la défense nationale et anciens combattants (MIDNAC), qui avait réhabilité le lieutenant-général Constant Ndima Kongba dans ces fonctions.

« Le MIDNAC vous a réhabilité dans l’intégralité de vos fonctions et attributions du ProGouv Mil NK telles que spécifiées par les prescrits de l’ordonnance 21/016 du 03 mai 2021, portant mesures d’application de l’état de siège sur une partie du territoire de la RDC, notamment en son article 5 qui stipule que « pendant toute la durée de l’état de siège, le ProGouv Mil a la conduite des opérations », indique ce document.

Le Chef d’état-major général demande alors au gouverneur militaire de donner le meilleur de lui-même dans la conduite des opérations militaires afin de pouvoir mériter la confiance de sa hiérarchie.

Rappelons ici que, le lieutenant-général Constant Ndima Kongba a été dépouillé de ses fonctions du Commandant des opérations lors de la nomination du lieutenant-général Yav Philémon à ce poste. Celui-ci a alors été accusé de trahison et se trouve à ce jour détenu à la prison de Makala dans la capitale Congolaise.

Boxe : Après 10 mois, Martin Bakole livrera enfin un combat en avril

Après un long passage à vide durant 10 mois depuis son succès en 2022 face au français, Tony Yoka, Martin Bakole va enfin monter sur le ring.

Le boxeur congolais va en découdre samedi 22 avril 2023 à Pologne avec l’ukrainien, Ihor Shevadzutskyi. Une annonce faite mercredi 14 mars 2023 par son partenaire Boxxer, une grande société de promotion basée en Ecosse.

À l’instar d’ Alen Babic, boxeur d’origine croate et Caroline Dubois, la boxeuse française, Martin Bakole sera le troisième pugiliste à boxer pour le compte de cette maison de promotion écossaise à Rzeszow en Pologne.

Lui qui compte 19 succès dont 13 par KO en 29 combats en professionnel, le petit frère du poids lourds-legers, Junior Ilunga Makabu livrera pour la première fois un combat pour le compte de son actuel partenaire, Boxxer, après leur accord eu au mois de février dernier.

À cette occasion le congolais 29 ans défiera un adversaire qui n’a jamais affroté le top 100 et qui accuse un palmarès de 10 victoires dont 8 par KO.

D’après certaines sources, cette opposition permettra à celui qui mesure 1, 99 m de taille d’être prêt afin de livrer un combat plus prestigieux en fin de cette année 2023. Le numéro de World Boxing Association (WBA) souhaite affronter Daniel Dubois, actuel détenteur de la ceinture mondiale régulière de la division reine.

Éliminatoires CAN 2024: Ruddock Mpanzu, le huitième dans la liste des forfaits

Pelly Ruddock Mpanzu, milieu offensif de Luton Town doit encore attendre avant d’enfiler pour la 3e fois le maillot de l’équipe nationale de la République démocratique du Congo. Après ses deux sélections en juin 2021 lors d’un stage à Tunisie, le sociétaire du club de la division 2 anglaise, est déclaré forfait contre la Mauritanie. Une annonce faite par la Fédération congolaise de Football Association (FECOFA) mercredi 15 mars dernier via ses réseaux sociaux.

L’un des 29 hommes idéales convoqués par Sébastien Desabre, sélectionneur national, ne pourra pas monter sur la pelouse du stade Tout Puissant Mazembe le 24 mars et le 28 au stade de la capitale à Nouakchott.

L’international congolais Pelly Ruddock n’est pas apte physiquement pour en découdre avec la Mauritanie à l’occasion de la 3e et 4e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024, suite à une entorse au genou qu’il a contracté le week-end dernier.

Celui qui a enfilé les couleurs de West Ham de 2011 à 2014 s’ajoute dans la liste des 7 Léopards déclarés forfait pour la prochaine double confrontation de la RDC contre les Mourabitounes. Ainsi, il devient le huitième joueur à jetter l’éponge.

Dans cette liste nous pouvons citer, Neeskens Kebano, Nathan Idumba Fasika, Gédéon Kalulu, Ben Malango, Edo Kayembe, Grady Dingana, Rocky Bushiri.

Lui qui était absent en début de cette saison (2022-2023) au Championship suite à une blessure, est obligé de se retirer de la pelouse pour la 7e fois depuis 2020. Le natif Hendon, ville d’Angleterre dans la banlieue de Londres, a été renvoyé à l’infirmerie une fois en 2020, pendant 8 jours, en 2021 un également une fois pendant quasiment 3 semaines en 2022 trois fois.

La CENI prolonge de quinze jours l’opération d’enrôlement dans la 3ème aire opérationnelle

La CENI a accordé ce mercredi 15 mars, une période de rattrapage de quinze jours, s’étendant du 18 mars au 1er avril 2023 dans la troisième aire opérationnelle.

Les provinces et les pays concernés par ce rattrapage sont les suivants: Bas-Uélé, Haut- Uélé, Ituri, Maniema, Nord Kivu, Sud Kivu, Tshopo, le Canada et les États-Unis d’Amérique. Cette opération devait s’arrêter ce vendredi 17 mars selon le calendrier électoral.

La CENI justifie ce prolongement « afin de permettre à toute congolaise et à tout congolais remplissant les conditions requises d’obtenir la carte d’électeur et de figurer sur la liste électorale », indique le communiqué de la centrale électorale.

Et d’inviter les requérants de cette aire opérationnelle à saisir cette opportunité leur offerte pour se rendre dans les centres

d’inscriptions les plus proches de leurs résidences, à l’intérieur de leurs groupements ou communes, pour ceux résidant sur le territoire national, d’une part, et aux ambassades pour les congolaises et congolais résidant à l’étranger, d’autre part.

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a déclaré déjà enrôlé 70% d’électeurs sur 49 millions 382 mille 552 d’électeurs attendus, soit 34 millions 445 mille 251 déjà enrôlés, sans compter les congolais de la diaspora. Parmi eux, 17 millions 672 mille 618 hommes enrôlés et 16 millions 772 mille 633 des femmes enrôlées.

Devant les députés, C. Mboso montre son ouverture au dialogue avec le M23

Le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, n’a pas écarté, lors de son discours d’ouverture de la nouvelle session parlementaire ce mercredi 15 mars, l’option d’une nouvelle négociation avec les rebelles de M23.

« La République Démocratique du Congo n’entend s’engager dans un processus de ce genre que si l’agresseur occupant rwandais retire ses troupes et ses exécutants du M23 de notre territoire », a-t-il insisté.

Le speaker de la chambre basse du parlement a expliqué que « procéder autrement serait légitimer l’agression et l’occupation, les massacres, les tueries, les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité ainsi que toutes les autres indicibles souffrances infligées à notre peuple ».

Et de marteler : « Qu’il soit bien entendu que l’attachement de la RDC aux vertus du dialogue ne constitue ni un signe de faiblesse, ni un acte de lâcheté, mais plutôt une attitude responsable justifiée par le souci d’éviter l’embrasement de toute la région d’Afrique centrale »

Christophe Mboso a dénoncé le régime de terreur mis en place par Paul Kagame.

« Il est aujourd’hui évident que Monsieur Kagame a mis en place un régime de terreur, un État voyou, qui vit des richesses du sang du peuple congolais, se faisant même classer, sans honte ni vergogne, parmi les producteurs du meilleur coltan du monde, alors qu’il n’y a pas ce type de minerais sur son territoire ! », a-t-il souligné.

Pour C.Mboso, Paul Kagame défie toute la communauté internationale en dépit des condamnations verbales des Etats Unis d’Amérique, de la Belgique, de la France, de l’Italie, de l’Allemagne, de l’Espagne et de bien d’autres partenaires de notre pays.

L’intégrité de la RDC est de plus en plus menacée par l’expansion des rebelles du M23 et l’activisme des groupes armés locaux et étrangers. La RDC continue d’accuser le Rwanda de soutenir les rebelles du M23.

Kinshasa compte sur la mise en application des résolutions prises au niveau de la sous région à savoir le retrait des zones occupées, le retrait et le cantonnement des troupes du M23 sans lesquelles aucun dialogue n’est envisagé.

Le Sénat veut voir le gouvernement réaliser des avancées sur la dégradation du franc congolais

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Le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo, a procédé, ce mercredi 15 mars au Palais du Peuple, à la cérémonie d’ouverture de la première session ordinaire de 2023, conformément aux dispositions de l’article 115 de la Constitution et de l’article 82 du Règlement intérieur du Sénat.

« Je ne saurais passer sous silence, la surchauffe du taux de change du dollar américain par rapport au Franc Congolais, observée après les festivités de fin d’année 2022 », s’est plaint le président du Sénat congolais.

En effet, explique-t-il, la loi des Finances de l’exercice 2023 a fixé le taux de change moyen à 2.021,94 FC pour 1 dollar américain et le taux de change fin période à 2.034,84 FC pour 1 dollar américain. « Malheureusement, le Franc Congolais, à ce jour, se change à un taux supérieur à celui prévu pour la fin de l’exercice budgétaire » a-t-il constaté.

Pour pallier à cette situation, Bahati Lukwebo a recommandé au gouvernement d’user de ses instruments pour stabiliser le Franc congolais, « pour autant que la stabilité de la monnaie nationale par rapport à la devise est corollaire à l’offre des biens et services sur le marché et impacte directement sur le panier de la ménagère », a-t-il souligné.

« Je constate que le problème de chômage, de l’emploi, de la pauvreté des ménages, d’accès à l’eau potable, à l’électricité et au service de santé de qualité, etc. restent des défis qu’il faudrait relever. », a dit M. Lukwebo.

Le speaker du Sénat a également recommandé au gouvernement de faire diligence pour déposer au Parlement le « Projet de loi relatif à la répartition des Sièges », avant la fin de cette session, afin de permettre son examen et adoption par les deux Chambres à temps utile.

Il a par ailleurs encouragé la mise en œuvre du partenariat stratégique et historique signé le 14/11/22 par la RDC, l’Indonésie et le Brésil. Bahati Lukwebo a ainsi salué les efforts diplomatiques de la RDC qu’il qualifie de « proactive ».

Concernant la situation sécuritaire dans l’est du pays, le speaker de la chambre haute du parlement a déclaré qu’il s’agit tout simplement d’une diversion, parce que ce mouvement terroriste, comme vous le savez tous, a ouvert un autre front vers le Masisi avec comme objectif d’asphyxier économiquement la ville de Goma.

En outre, il a évoqué avec regret la résurgence du conflit intercommunautaire entre les Hema et les Lendu dans les Territoires de Djugu, Irumu, Mambasa et de Mahagi. « J’en appelle ainsi à la coexistence pacifique entre les deux Communautés. », a-t-il déclaré.

Chancel Mbemba, l’homme providentiel à tous les coups ?

Arrivé libre de tout contrat à l’Olympique de Marseille (OM) au mercato d’été dernier, Chancel Mbemba est toujours dans les bons coups cette saison. Grâce à son apport défensif et offensif lors de ses prestations, le défenseur d’origine congolaise paraît l’un des hommes providentiels du technicien croate, Hugor Tudor.

Charnière centrale dans l’animation défensive et comme latéral droit dans l’animation offensive, tel est le rôle de l’ancien sociétaire d’Anderlecht dans le plan tactique d’Hugor Tudor depuis l’arrivée d’Éric Bailly, le défenseur d’origine ivoirienne et ancien de Manchester United.

L’homme qui est l’auteur de 6 buts cette saison toutes compétitions confondues, a inscrit des buts qui s’avèrent décisifs pour tirer d’embarras les Phocéens. L’ancien de Newcastle a été le premier à marquer pour son équipe à 5 reprises afin de débloquer la situation. L’un en exemple remonte récemment, soit dimanche 12 mars dernier. C’était lors du match nul qu’ils ont concédé contre Strasbourg (2-2). Celui qui a évolué au FC Porto (2018-2022) a ouvert le score à la 49e avant qu’Alexis Sanchez l’imite à la 76e.

Chancel Mbemba un des atouts offensif énorme pour Tudor

Troisième meilleur buteur de l’OM en ligue 1 avec 4 unités, Chancel Mbemba apporte énormément des solutions sur le plan offensif à l’image de ses statistiques. À 28 ans, le congolais a été capable de marquer tous ses buts à l’intérieur de la surface de réparation dont 3 du pied droit et 1 du gauche ainsi 2 de la tête. Une performance énorme pour un joueur de son âge à l’instar d’être le troisième joueur à avoir réussi à toucher plus de ballons avec 1611 cuires touchés, l’auteur de 18 tirs dont 9 cadrés ainsi qu’avoir réussi 9 dribbles.

Chancel Mbemba l’un des meilleurs défenseurs de la mi-saison en Ligue 1

Avec une monumentale maîtrise, justesse et puissance, Chancel Mbemba est devenu plus encore l’un redoutable défenseur de l’élite française cette saison en concurrence avec Marquinhos, Sergio Ramos et autres. Le vainqueur de la Coupe de Portugal avec le FC Porto en 2020 et 2022, a été retenu dans l’équipe type de la mi-saison du championnat français de la division 1. Un mérite à juste titre à l’image des ses prouesses.

Le médaillé de bronze en Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2015 avec la sélection de la République démocratique du Congo (RDC), a gagné 104 duels dont 50 duels aériens et 54 au sol. Il a également réussi 21 tacles, 34 interceptions, 133 ballons récupérés, 12 tirs contrés et 1 sauvetage de ballon en ligne de but.

C’est dans cette allure, que Chancel Mbemba s’annonce comme une des pièces maîtresses pour Sébastien Desabre, sélectionneur national de la RDC lors de la prochaine double confrontation contre la Mauritanie le 24 et 28 mars prochain.

Elections 2023 : 70% des électeurs enregistrés par la CENI

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La Commission électorale nationale indépendante (CENI) affirme avoir déjà enregistré 70% de ses 49 382 552 électeurs attendus. Ce lot compte 17 672 618 des hommes enregistrés et 16 077 633 femmes, a déclaré Mardi 14 mars Didi Manara, le deuxième vice-président de la CENI.

La même source a indiqué que ces statistiques préliminaires datent du début du processus d’identification et d’enregistrement jusqu’au lundi 13 mars 2023.

Didi Manara a précisé que dans la première zone opérationnelle 1, le nombre d’électeurs attendus est de 18 millions 694 mille 542, alors que le nombre d’enrôlés à ce jour est de 18 millions 969 mille 826, soit 101% ; Hommes : 9 millions 745 mille 629, Femmes : 9 millions 224 mille 200.

Dans la deuxième aire opérationnelle par contre le nombre d’électeurs attendus est de 15 millions 381 mille 709. Le nombre d’enrôlés à ce jour est de 10 millions 996 mille 980 soit 71%. Hommes : 5 millions 578 mille 153, femmes : 5 millions 418 mille 827.

« Dans l’AO3: Nombre d’électeurs attendus : 15 millions 214 mille 539, Nombre d’enrôlés : 4 millions 478 mille 445 soit 29%. Hommes : 2 millions 348 mille 839, Femmes : 2 millions 129 mille 606 », a-t-il détaillé.

Concernant la critique des chiffres présentés par son institution, Didi Manara a déclaré que ces statistiques représentent des données brutes et que l’obtention de données exactes nécessite la clôture des enregistrements pour faciliter la consolidation des données.

Selon son calendrier électoral, les deux chambres du parlement doivent voter une loi sur la répartition des sièges lors de la session parlementaire de mars, qui débute ce mercredi. Le 20 décembre, les Congolais organiseront un vote pour élire leurs dirigeants pour les cinq prochaines années.

Kinshasa : L’opération Coup de poing se poursuit ce 16 mars à Matete et ses environs

Après plusieurs coins de la ville de Kinshasa, l’opération Coup de poing va poursuivre son chemin ce jeudi 16 mars dans la commune de Matete et ses environs, renseigne un communiqué du commissariat de l’environnement et aménagement de la ville.

Ainsi, la population est appelée à prendre des dispositions nécessaires afin de se conformer aux prescrits de l’édit du 9 septembre 2022 relatif à l’assainissement et à la protection de la ville de Kinshasa.

« Les contrevenants s’exposent aux sanctions et mesures contraignantes applicables par l’unité spéciale pour la protection de l’environnement », peut-on lire dans un communiqué signé par Laetitia Bena Kabamba.

Dans ce document, cette dernière rappelle que cette opération consiste à dégager les emprises publiques, éradiquer les marchés pirates, enlever les épaves et véhicules abandonnés, évacuer les kiosques et terrasses de fortune.

Bien plus, cette opération vise également à évacuer les garages pirates, interpeller les vendeurs d’eau conditionnée dans des sachets plastiques communément appelée « Eau pure », ainsi qu’évacuer les points noirs ou décharges pirates des déchets pour assurer l’assainissement des lieux.

Loi Tshiani : Une structure américaine s’étonne que ce projet soit porté par « l’américain Noël Tshiani »

L’observatoire américain pour les élections libres et transparentes (AOFFE) se dit inquiet de ce qu’il qualifie de la rhétorique discriminatoire contenue dans le projet de loi dit «Tshiani ».

Cette structure américaine se dit étonnée que ce projet soit incarné par un citoyen américain, Noël Tshiani Muadiamvita. Aussi, l’AOFFE estime que cette idée s’oppose aux fondements de la démocratie: égalité entre tous les citoyens et reconnaissance du mérite et de l’effort.

« Il est déplorable de constater que ces idées à caractère discriminatoire soit portée par un américain. Elles ne représentent pas notre conception de la démocratie », a déclaré Covino, chargée de presse pour l’AOFFE.

Ce dernier renchérit qu’un tel projet, serait également injuste envers les migrants congolais et leurs enfants qui constituent une immense diaspora et soutiennent économiquement la RDC.

« Au regard des dangers que cette rhétorique peut faire naître en RDC, nous venons de prendre des dispositions pour que Noël Tshiani s’en explique devant la justice américaine et nous avons également interpellé le département américain à ce sujet et attendons une réaction ferme », a fait savoir Covino.

En réaction, Noël Tshiani juge « ridicule que le soit disant Observatoire Américain pour les élections libres et transparentes publie un chiffon écrit en Zambie tout en oubliant qu’aux USA, plus de 100 millions d’américains ne sont pas éligible pour la présidence. La discrimination à corriger aux USA », a-t-il écrit via son Twitter.

Dans sa démarche à travers la loi Tshiani, ce candidat à la présidentielle de 2018 veut que les fonctions de souveraineté de la République démocratique du Congo ( RDC) ne soient réservées qu’aux congolais de père et de mère.

Restructuration de la sélection nationale, Desabre est-il sur une meilleure dynamique ?

Sébastien Desabre est un homme qui connaît le football africain pour avoir participé à sept championnats avec sept clubs différents. C’est dans cette optique qu’il a reçu un engagement en 2022 avec la République démocratique du Congo. Mais dans son contrat, l’ancien entraîneur de Chamois niortais doit remplir deux conditions dont l’une d’eux est de restructurer la sélection congolaise de football. Un objectif qui semble être sur la bonne voie.

Avec le gouvernement congolais, par le biais du ministère des Sports et loisirs, et la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA), le technicien français s’était engagé pour une durée de trois bonnes années, soit jusqu’à 2025 afin d’atteindre l’un de ses cibles.

Pour ce faire, contrairement aux précédents sélectionneur de la RDC, celui qui dirigeait le banc de Wydad Athletic Casablanca en 2016-2017 et 2020 avait obtenu un élargissement de son rôle à la tête de cette équipe nationale congolaise. Le vainqueur de la Coupe de Côte d’Ivoire avec ASEC Mimosas en 2011, assume non seulement le rôle du sélectionneur, mais également de manager.

Ainsi, dans cette casquette, ce dernier a suivi de près la sélection A’ lors de la préparation et pendant la phase finale du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) en Algérie. Il a également assisté aux prestations des clubs congolais aux interclubs de la Confédération Africaine de Football (CAF) ainsi qu’à sillonner l’Europe pour enfin convaincre les binationaux et d’autres anciens de revenir service le Congo. Un plan qui paraît quasiment réussi.

Avec tout cela, le 08 mars dernier, Sébastien Desabre a rendu public une liste de 29 Léopards convoqués dont l’âge varie de 22 à 28 ans. Cette liste a été publiée pour le prochain défi de l’équipe nationale aux éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024.

Dans cette liste, les publics congolais ont eu constaté le retour des autres anciens et l’arrivée de 7 nouveaux dont 1 défenseur, deux milieux de terrain et 4 attaquants.

Tenant compte de ce qui précède, l’ancien entraîneur de Coton Sport du Cameroun en 2012-2013 semble se retrouver dans une très bonne dynamique de réorganiser cette sélection avant d’assurer les résultats, notamment la qualification à la prochaine phase finale de la CAN et Coupe du monde 2026.

À titre de rappel, Sébastien Desabre compte une victoire contre la Sierra Leone et une défaite devant le Burkina Faso depuis son arrivée à la tête de l’équipe nationale de la RDC. Ces résultats ont été enregistrés lors du stage des Léopards au Maroc en septembre 2022.

Loi Tshiani : Une structure américaine s’étonne que ce projet soit porté par « l’américain Noël Tshiani »

L’observatoire américain pour les élections libres et transparentes (AOFFE) se dit inquiet de ce qu’il qualifie de la rhétorique discriminatoire contenue dans le projet de loi dit «Tshiani ».

Cette structure américaine se dit étonnée que ce projet soit incarné par un citoyen américain, Noël Tshiani Muadiamvita. Aussi, l’AOFFE estime que cette idée s’oppose aux fondements de la démocratie: égalité entre tous les citoyens et reconnaissance du mérite et de l’effort.

« Il est déplorable de constater que ces idées à caractère discriminatoire soit portée par un américain. Elles ne représentent pas notre conception de la démocratie », a déclaré Covino, chargée de presse pour l’AOFFE.

Ce dernier renchérit qu’un tel projet, serait également injuste envers les migrants congolais et leurs enfants qui constituent une immense diaspora et soutiennent économiquement la RDC.

« Au regard des dangers que cette rhétorique peut faire naître en RDC, nous venons de prendre des dispositions pour que Noël Tshiani s’en explique devant la justice américaine et nous avons également interpellé le département américain à ce sujet et attendons une réaction ferme », a fait savoir Covino.

En réaction, Noël Tshiani juge « ridicule que le soit disant Observatoire Américain pour les élections libres et transparentes publie un chiffon écrit en Zambie tout en oubliant qu’aux USA, plus de 100 millions d’américains ne sont pas éligible pour la présidence. La discrimination à corriger aux USA », a-t-il écrit via son Twitter.

Dans sa démarche à travers la loi Tshiani, ce candidat à la présidentielle de 2018 veut que les fonctions de souveraineté de la République démocratique du Congo ( RDC) ne soient réservées qu’aux congolais de père et de mère.

What Kills Long Relationships?

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What kills long-distance connections?

One of the important reasons for romance breakups is disbelief. In such a scenario, the companions are unable to understand each other and small problems grow into big ones.

Relationships are usually about interaction and when there exists no physical contact, there is a huge gap in the conversation procedure. So , it is vital that the couple tries to talk as far as possible and share all their feelings with one another.

Nevertheless , sometimes, the couple becomes and so comfortable with being apart that they can lose their excitement about discussing to one another and they conclude ignoring their very own partner’s information or perhaps calls.

The best way to cures this is to make sure that you are always conntacting your partner. This includes sending them photographs of your self doing issues that you like or posting your thoughts about your day.

This will provide you with a chance to bond together with your partner and it will also be an opportunity for you to get better.

You should also take those time to meet your partner’s family and friends. Observing their reactions to your marriage will assist you to feel certain about how you feel about them.

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A long relationship can be hard, but it may be valued at the effort in the event that it is very meant to be. Therefore , if you’re considering https://hbswk.hbs.edu/item/how-gender-stereotypes-less-than-br-greater-than-kill-a-woman-s-less-than-br-greater-than-self-confidence about going in because of this type of ohheyladies.com/icelandic-women/ commitment, it is best to hold these tips in head so that you can benefit from the ride.

Retrait du M23 dans certaines zones dans le Nord Kivu: Stratégie, accords ou défaite ?

Depuis la fin de la semaine dernière, les rebelles du M23 se retirent de plusieurs entités qu’ils occupaient dans le territoire de Masisi. Une situation à la base d’une accalmie totale observée sur différentes lignes de front dans le territoire de Masisi notamment autour de Sake, depuis lundi 13 mars 2023.

Des sources locales confirment que, les rebelles commencent à quitter certaines entités qu’ils avaient déjà occupées dans ce territoire.

Des retraits diversement commentés

Vers minuit, le dimanche 12 mars, les rebelles du M23 ont volontairement quitté la cité de Mwesso. Des sources hospitalières confirment que, lors de leur départ, ces assaillants ont emmené avec certains malades avec la morphologie Tutsi qui étaient internés à l’hôpital général de Mwesso ainsi que quelques membres des communautés civiles dévoués à leur cause.

Plusieurs voies estiment que ces terroristes abandonnent des entités jugées moins importantes pour se concentrer sur des zones stratégiques. D’autres personnes estiment qu’ils sont sous pression de la communauté régionale qui les pousse à quitter des zones qu’ils occupent.

Par ailleurs, des Congolais dit “patriotes” estiment que c’est sous pression de la puissance du feu des FARDC que ceux-ci abandonnent ces entités.

Abandon stratégique ?

À Bunagana, des sources dignes de confiance affirment l’arrivée la nuit du lundi 13 mars dernier de plus de 10 camions plein des éléments armés du M23 en provenance du Rwanda.

Les uns disparaissent sur des positions et dans des villages pendant que d’autres arrivent. Certains se dirigent vers Goma, des jeunes sont amenés à Chanzu pour formation pendant que dans le Rutshuru, des prisonniers ont été libérés étant armés après une formation accélérée dans la manipulation des armes.

D’autres éléments seraient positionnés à Muongozi, Busumba et Kirumbu, aux alentours de Mweso, affirment des sources dans le territoire de Masisi.

Les accords avec les dirigeants régionaux

Un accord a été trouvé à l’issue du sommet qui s’est tenu en Angola, en présence de Félix Tshisekedi mais en l’absence de Paul Kagame, représenté par son ministre des Affaires étrangères. En présence du facilitateur kényan Uhuru Kenyatta, les parties se sont accordées pour exiger le retrait des rebelles du M23 « des zones occupées » et leur « repli dans leurs positions initiales », a précisé le ministre angolais des Affaires étrangères Tete Antonio.

Au début du mois de mars, sur invitation du Président angolais Joao Laurenço, une délégation du M23 s’est rendue à Luanda en Angola. 

Après des discussions, la Présidence angolaise a annoncé avoir convenu avec la rébellion d’une cessation immédiate des hostilités dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) dès le 07 mars.

Dans un communiqué publié samedi 11 mars, ces rebelles soutenus par le Rwanda annonçaient leur retrait de ces villages pour permettre aux troupes burundaises de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) de s’y déployer.

Des sources au sein de l’EACRF affirment aussi que ce déploiement des Burundais n’est pas encore fait, mais est en cours de planification. Toutefois, des sources civiles dans la région redoutent une reprise des hostilités dans ces villages abandonnés par les rebelles M23 et, du coup, préoccupés par les groupes armés locaux. Ces derniers ne sont aucunement liés par le cessez-le-feu impliquant les belligérants directs dans ce conflit.

Coupe du monde 2026: Une indigestion de football en vue ?

Le nouveau format de 48 équipes devrait être entériné ce mardi 14 mars 2023, à Kigali (Rwanda) lors d’une réunion du conseil d’administration de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA). Cette nouvelle taille de la 23e édition de la compétition la plus prestigieuse au monde pourrait conduire à une indigestion de football.

Les États-Unis, le Canada et le Mexique, comme pays hôtes, pourront savourer pour la première fois une ambiance de football spectaculaire du 21e siècle. Ces pays du nord d’Amérique offriront conjointement leurs hospitalité à 48 équipes en phase finale de la Coupe du monde 2026.

Ainsi donc, avec 48 pays qui seront répartis à 12 groupes de 4 équipes, le calendrier de cette grande messe du football mondial paraît monumental en termes des affiches dans l’ensemble et par jour. Avec ce quota, les amoureux du football seront gâtés pendant plus d’un mois, soit durant 39 jours à suivre 104 matchs. Ce nombre représente une augmentation significative au regard du plan précédent qui prévoyait 80 rencontres ou 40 matchs de plus que la dernière édition tenue au Qatar en 2022.

Tenant compte de ce qui précède, les amateurs du football pourraient assister à 6 matchs par jour. Un chiffre qui semble encore énorme quant aux heures des diffusions, notamment en mettant un accent sur les fuseaux horaires américains.

Corneille Nangaa et la CENI se regardent en chiens de faïence

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Devant la presse ce mardi 14 mars, Didi Manara, le deuxième vice-président de la Commission électorale nationale Indépendante (CENI) a fustigé les récentes déclarations de l’ancien Président de la centrale électorale, Corneille Nangaa.

Pour lui, Corneille Nangaa ne peut en aucun cas se comparer à Denis Kadima. Car, il n’a pas été « le produit d’une compétition à la désignation comme président de la CENI ».

« Autrement dit, son profil n’a jamais été confronté à d’autres profils pour prétendre être le meilleur et donneur des leçons. Nous savons tous comment ce monsieur a été placé à la tête de la CENI », a dit Didi Manara.

Le deuxième vice-président a fait savoir que, l’ancien patron de cet organe d’appui la démocratie a laissé plusieurs arriérés des loyers des bâtiments de la CENI. Et même « l’immeuble abritant le siège national de la CENI est dans un état de délabrement très avancé avec des installations sanitaires dégradantes », a-t-il regretté.

Dans une déclaration lundi 13 mars, Corneille Nangaa a accusé Denis Kadima d’être à la hauteur des graves erreurs techniques à la tête de la CENI. Il a également dénoncé ce qu’il a qualifié d’amateurisme et l’idée d’offrir un glissement à Félix Tshisekedi.