Il s’agit de l’appareil appartenant à la compagnie Malu Aviation, qui a quitté décollé de l’aéroport de Goma, au Nord-Kivu pour Shabunda, en province du Sud-Kivu qui s’est écrasé vers Kalenga.
Selon les premières informations recoupées, qui ne donnent pas précisions sur le bilan officiel, l’on précise que ce bilan serait un peu lourd. Au total, 3 morts dont 2 membres de l’équipage et 1 passager sont enregistrés Des dégâts matériels sont également signalés.
S’agissant de la cause du drame, la fuite de carburant est mise en évidence.
Augustin Kabuya, secrétaire général du parti au pouvoir s’est une fois de plus prononcé au sujet du bilan de Félix Tshisekedi à la tête du pays depuis janvier 2019.
Pour le chef de l’administration de l’Union pour la démocratie et progrès social (Udps), positif ou négatif, le bilan de ce régime sera partagé avec les autres composantes politiques du pays.
Au cours d’une matinée politique tenue mercredi 22 décembre à Kinshasa, il a relevé que les partenaires du président de la République, ont jusqu’à ce jour des qoutas dans les institutions de l’Etat qu’ils gèrent. Une raison qui selon lui, suffit pour déduire que la gestion de la res publica est partagée.
» Le bilan de ce régime sera partagé avec nos partenaires (…), tous nos partenaires ont des quotas dans les différentes institutions « , avant de poursuivre que le bilan du chef de l’Etat Félix Tshisekedi, est également celui de leader politique, tels que Moïse Katumbi, Jean-Pierre Bemba, Modeste Bahati Lukwebo, Vital Kamerhe et tous les autres.
Dans son allocution devant les militants de son parti, Kabuya a également rebondi au sujet de l’affaire de Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo.
Pour lui, c’est grâce au chef de l’Etat Félix Tshisekedi que le Sénateur à vie circule librement. Il a affirmé que la place de Joseph Kabila serait actuellement en prison ou à la cour pénale internationale (CPI).
» N’eût été le président Tshisekedi, la place de Joseph Kabila serait soit à la prison de Makala, ou à la CPI… ».
Selon lui, l’arrestation de Joseph Kabila serait justifiée notamment suite aux nombreuses violations et crimes commis sous son régime.
Enfin, l’UDPS par la voix d’Augustin Kabuya dit soutenir les actions militaires conjointes, entre l’armée congolaise et ougandaise, de même la collaboration PNC et la police rwandaise.
Félix Tshisekedi a appelé les gouverneurs des provinces à appliquer la politique qui repose sur la cohésion nationale et au patriotisme, afin de voir le pays décoller dans un climat de paix et de sérénité.
En marge de la huitième session de la conférence des gouverneurs, ouverte mercredi 22 décembre au Palais du peuple, le chef de l’Etat a passé en revue la situation globale des provinces avec les hôtes de chaque province représentés à ses assises.
Relativement au climat conflictuel entre les Assemblées provinciales et les gouverneurs, une situation ayant conduit à la déchéance de plusieurs gouverneurs au cours de l’année 2021, le président congolais a insisté sur une collaboration plus étroite entre les gouverneurs de province et les assemblées provinciales dans l’exercice de leurs fonctions respectives.
Selon lui, cela permettra entre autre, de créer un climat de paix et d’harmonie, gage d’un développement intégral à même de favoriser l’attraction des investissements en République démocratique du Congo (RDC), car dit-il: » Je souhaiterais que cette conférence trouve des solutions viables et durables » .
Afin de suppléer aux maux qui touchent le climat politique au niveau provincial, il a demandé aux gouverneurs d’assurer pleinement la sauvegarde de l’intérêt national, et de veiller à la sécurité et à l’ordre public en provinces.
Ceci, entre selon lui, dans le cadre de pérenniser la continuité de l’Etat et du service public.
Pour prouver son désaccord à la démarche visant à amener des policiers rwandais sur le sol congolais et plus précisément dans la ville de Goma au Nord-Kivu, la société civile du Sud-Kivu a lancé un appel à la journée ville morte sur toute l’étendue de la province, en date du mardi 28 décembre prochain.
L’appel est du président du bureau de coordination de cette structure, au cours d’une conférence de presse, ce mercredi 22 décembre 2021, à Bukavu.
Adrien Zawadi a indiqué que cet événement sera tenu dans le cadre de la solidarité avec les populations de la ville de Goma, au Nord-Kivu voisin, qui s’opposent à la venue des éléments de la police rwandaise dans cette ville pour y rétablir la paix.
« Pour exprimer notre désaccord et solidariser avec les compatriotes de Goma, le société civile du Sud-Kivu appelle à une journée ville morte sur toute l’étendue de la province, le mardi 28 décembre, (…) le gouvernement national doit plutôt renforcer, équiper et encadrer nos FARDC et notre police pour qu’elles soient à mesure de nous sécuriser que de continuer à signer des accords qui nous humilient », a déclaré Adrien Zawadi.
Il a pour ce faire, invité les animateurs des noyaux, sous noyaux composante, les mouvements citoyens, les présidents des marchés, les taximans et motards de la ville comme des territoires à prendre des dispositions utiles pour la réussite de cet évènement.
Le comité provincial épidémiologique de lutte contre la Covid-19 a lancé, mardi 21 décembre 2021, la campagne de vaccination à Tshikapa, chef-lieu de la province du Kasaï, a appris cette structure dans un communiqué de presse le 19 décembre dernier.
Neuf sites ont été répartis dans les 3 collines de la ville de Tshikapa ont été choisis pour le bon déroulement de cette opération, a-t-on indiqué.
S’adressant à la presse locale, le médecin chef de zone de Tshikapa, Steve Mandala a déclaré que « 2 types de vaccins » sont concernés par cette campagne. Il s’agit du vaccin issu de la coopération germano-americaine Pfizer et du vaccin de la société pharmaceutique Johnson&Johnson.
Au premier jour de la campagne, 80 sur 120 volontaires inscrits ont reçu avec succès la première dose du vaccin.
« La vaccination contre la Covid-19 a bel et bien commencé. Nous avons commencé avec le site de l’Hôpital général de référence (HGR) de Tshikapa. Nous avons commencé avec le vaccin Pfizer qui a deux doses. Donc, 28 jours après, nous allons donner la seconde dose. Donc sur 120 inscrits, 80 personnes ont reçu la première dose », a déclaré le médecin.
« Il y’a beaucoup de cas confirmés positifs, plus de 60 cas pour la zone de santé de Tshikapa, la cible c’est les personnes âgées de 18 ans et plus, les femmes enceintes sont aussi éligibles à ce vaccin, aucune mesure interdit la vaccination aux femmes », a-t-il précisé.
Le chef de cette zone de santé a convié les habitants a s’engager dans ce processus, afin de renforcer leur immunité et à se protéger contre le coronavirus.
Le nombre de personnes ayant contracté le virus dans la province du Kasaï depuis la déclaration de la pandémie, a atteint le 299 cas dont 12 décès.
Pendant que ses amis de la même génération Biscotte Mbala, Matumona Zola et tant d’autres sont déjà dans les oubliettes, Trésor Mputu Mabi continue à faire parler de lui, en s’illustrant avec des très belles performances ces derniers temps en championnat, avec son club le Tout-Puissant Mazembe Englebert.
Auteur d’une prestation de haut niveau contre le Saint-Éloi Lupopo dans le derby Luchois, en distillant une passe décisive, les qualités techniques du milieu du terrain affectueusement appelé « Touré » n’ont pas laissé indifférent le sélectionneur national, Hector Cùper.
Pas très sollicité en début de saison, seuls deux matchs disputés en championnat d’élite nationale, équivalant à 100 minutes de temps de jeu ont suffi à Trésor Mputu pour fasciner les dirigeants du staff technique de l’équipe nationale et ainsi valider son ticket pour le stage des léopards prévu du 27 décembre 2021 au 8 janvier 2022 en Égypte.
Pour rappel, la dernière apparition de Trésor Mputu dans un match officiel des Léopards remonte aux éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN-Cameroun 2022) contre Gabon 3-0, Mputu avait débuté la rencontre à Libreville.
Les journalistes du Nord-Kivu, particulièrement ceux de la ville de Goma sont appelés à se faire vacciner en masse et en public pour prêcher par l’exemple, afin d’arriver à une immunité collective.
Cet appel est du docteur Stéphane Hans Batey, responsable du programme élargi de vaccination (PEV). Il l’a dit ce mercredi 22 décembre 2021, à l’occasion d’un briefing des médias en faveur de la vaccination contre la Covid-19, organisée par l’organisation MEDAIR à l’intention des journalistes de Goma.
Dans sa prise de parole, le responsable du PEV dit attendre des journalistes, une forte sensibilisation de la communauté à adhérer à travers leurs canaux respectif à l’appel à la vaccination
« Il sera un peu compliqué si on est pas soi-même vacciné, comment on pourra sensibiliser les autres à prendre le vaccin? D’où, il faut que les journalistes soient à la première ligne en recevant le vaccin » a-t-il fait savoir.
Par ailleurs, le docteur Hans Batey Stéphane fait savoir que le vaccin est parmi les derniers recours pour barrer la chaîne de contamination de Covid-19 et pour y arriver, il faut continuer à respecter les mesures barrières contre la pandémie.
Deux membres de l’opposition qui manquaient à la composition du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) seront bientôt complétés par la Chambre Basse du Parlement, au cours de la plénière prévu ce mercredi 22 décembre à l’hémicycle du Palais du peuple.
Le député Lembi Libula, rapporteur du bureau de l’Assemblée nationale a signalé que l’audition du Rapport de la commission paritaire sur la CENI et entérinement, sera à l’ordre du jour.
Dans l’entre temps, dans une frange de l’opposition, le Front commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila, président honoraire à qui revient ces postes, on ne parle pas même langage.
Un camp reste radical. Mené par le chef de la cellule de crise Raymond Tshibanda, cette aille persiste et signe qu’il n’enverra pas des délégués à la Ceni. Selon la famille politique de Joseph Kabila, la démarche est biaisée faute de consensus entre les confessions religieuses.
Mais dans l’autre camp dit «progressiste», il n’est pas question de faire la politique de la chaise vide. Deux non ont déjà été déposés sur la table du bureau de l’Assemblée nationale, et n’attendent que l’entérinement, afin que le bureau Kadima de la Ceni affiche complet.
Au total 6 rebelles du groupe Allied democratic forces (ADF) ont été neutralisés par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), la nuit de lundi 20 à ce mardi 21 décembre 2021, à Kikingi, territoire de Beni, en province du Nord-Kivu.
Annonce faite par le capitaine Anthony Mualushayi, porte-parole militaire des opérations sokola 1 Grand nord.
S’adressant à la presse locale, l’officier a présenté un bilan provisoire des représailles qui ont opposé les forces loyalistes à celles négatives.
« Après les affrontements entre les FARDC et les ADF à Kikingi, la nuit du lundi au mardi, le bilan provisoire fait état de 6 rebelles neutralisés, 2 armes PKM et une arme AK-47 récupérées par l’armée régulière », a-t-il indiqué.
La même source signale que sous la panique de détonation en arme lourde et légère, un exode massif des habitants des villages de la contrée s’est observé en direction des villages environnants, entre autres, Nobili et Kamango dans le chefferie de Watalinga.
Humilié samedi 18 décembre dernier, après son interpellation manu militari, il n’en est pas question pour l’ex-gouverneur de la province du Kongo Central Atou Matubuana, accusé de détournement et megestion, de poursuivre la démarche judiciaire avec le même juge instructeur.
Dans une correspondance adressée au procureur général, le chef du collectif des avocats du prévenu Matubuana indique que «l’attitude du magistrat instructeur porte un coup fatal au respect du droit à la défense et ne garantit aucunement le principe de l’impartialité auquel il est tenu dans l’exercice de son ministère».
Et d’ajouter que, «Mon client est dans l’obligation de solliciter le changement du magistrat chargé de l’instruction de la cause et de solliciter réattribution.»
«Contre toute attente en dépit des actes authentiques, jugement, arrêts et ordonnances dont il dispose, malgré les arguments de droit développés et au-delà des graves violations de ses droits que nous déplorons, c’est contre notre clients que les procédures viennent d’être lancées, au mépris total de ses immunités et des privilèges de poursuite dont-il doit bénéficier au regard de ses fonctions», déplore les avocats.
Destitué par l’Assemblée provinciale et réhabilité par le conseil d’Etat, Atou Matubuana est dans des sales draps avec la justice. Après avoir boycotté des invitations de la justice, il a été mené de force devant son juge instructeur avant d’être relaxé, pour revenir lundi devant le juge, chose qu’il n’a pas faite. À la place, il demande la réattribution de son magistrat.
La 4ème vague de la Covid-19 qui sévit en République démocratique du Congo continue à étendre ses horizons.
D’après le rapport épidémiologique du Secrétariat technique du comité multisectoriel de riposte contre la Covid-19, du 20 décembre dernier, le pays a recensé 842 nouveaux cas positifs.
Se basant sur les récentes données, la capitale congolaise demeure la zone épidémique la plus touchée avec 466 cas enregistrés en 24 heures seulement. Elle est suivie de la province du Nord-Kivu, avec 185 cas, 59 cas sont répertoriés au Kongo Central contre 46 cas au Haut-Katanga, 39 au Lualaba, 19 en Ituri, 18 cas enregistrés au Sud-Ubangi, 3 du Haut-Lomami, le Kasaï Oriental, le Nord-Ubangi et la Tshopo se partagent respectivement 3 et 2 cas.
L’on retiendra que depuis le 10 mars 2020, date à laquelle a été déclarée la Covid-19 en RDC, le cumul de cas s’élève à 70.900 cas dont 70.898 cas confirmés et 2 cas probables en observation.
7.447 cas de guérison ont été répertoriés contre 1.117 cas de décès.
Clôture ce mardi 21 décembre 2021, dans la ville de Goma, des travaux sur des états généraux de la presse en province du Nord-Kivu.
Ces assises de deux jours ont mis sur une même table les journalistes et tous les prestataires des médias en province pour repenser le travail de la presse face aux différents défis de la gouvernance et de paix dans cette partie du pays.
Conduite par le comité de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC), section du Nord-Kivu, ces assises ont été clôturées par les engagements et recommandations des professionnels des médias.
À l’issue desdits travaux, les journalistes du Nord-Kivu recommandent ce qui suit:
La radiation de la corporation, des confrères et consœurs qui « ne veulent pas se conformer aux normes professionnelles », devenus vedettes dans la médiocrité;
La mutualisation des efforts pour les regroupements des médias et la possibilité de « synchroniser les produits de presse;
L’assurance d’une formation régulière à l’endroit des journalistes, pour leur permettre de s’adapter aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, par l’échange des compétences notamment,
L’appui aux démarches collectives allant dans le sens de rendre possible le respect du code du travail par les promoteurs des médias;
Le renforcement des liens entre journalistes et institutions de formation universitaire en vue d’un échange permanent et accru d’expériences;
Le militantisme collectif pour l’acquisition des documents légaux des médias et l’obtention des allègements fiscaux, pesant sur les médias;
La promotion de l’émergence des femmes journalistes dans les postes de responsabilité et de commandement « surtout au sein des organes de presse »; et bien d’autres.
Les journalistes ont pris également différents engagements pour l’amélioration des conditions du travail en province du Nord-Kivu.
Les vagues de revendications contre la taxe RAM (Registre des appareils mobiles), la politisation de la Commission électorale indépendante (Ceni) sont loin de leur terme, en République democratique du Congo.
Dans une correspondance transmise au gouverneur de la ville de Kinshasa, le Comité laïc de coordination (CLC) a ténu à informer l’autorité urbaine de la marche pacifique qu’il organise le mercredi 22 décembre 2021.
« Se fondant sur les dispositions de l’article 26 de la Constitution de la République, le Comité Laïc de Coordination vous informe à cet effet, qu’il organise une marche pacifique, le mercredi 22 décembre, avec objectif d’exiger la cessation immédiate des prélèvements illégaux du RAM, ainsi que la dépolitisation de la CENI », écrit le porte-parole du CLC à Gentiny Ngobila.
Selon les organisateurs, cette manifestation va suivre l’itinéraire ci-après :
Points de rencontre: Lemba-Terminus. Rond-point Sakombi, Marché Selembao, Marché Pascal.
Les deux Chambres du Parlement congolais ont exigé après enquête, le retrait sans délai de la taxe controversée de RAM. Mais le gouvernement ne s’exécute toujours pas.
Le président de la République Félix Tshisekedi est annoncé dans les prochains jours à Mbuji-Mayi, chef-lieu du Kasaï Oriental, pour une visite de travail, confirment des sources proches de la présidence.
Ce mardi 21 décembre, Guylain Nyembo, Directeur de cabinet du chef de l’Etat a conduit une délégation pour préparer l’arrivée l’arrivée du chef de l’Etat congolais dans son fief électoral.
Au mois d’octobre dernier, le président était déjà annoncé pour sa toute première visite dans l’espace grand Kasai, ce, plus de deux ans après son arrivée au pouvoir.
L’Union pour la nation congolaise (UNC), parti cher à Vital Kamerhe a connu des moments de turbulences après l’arrestation de son président national, en avril de l’année dernière.
Des moments de tempête, auxquels plusieurs formations politiques, au Congo tout comme ailleurs, dans des circonstances similaires n’ont pu sortir la tête de l’eau. Avec le vagabondage politique, nombreuses organisations organisations politiques ont vu leurs membres fédérer d’autres structures, après l’emprisonnement ou le décès de l’Excellence Monsieur le président.
L’UNC du pacificateur Vital Kamerhe, après condamnation au second degré à 13 ans des travaux forcés, n’a pas échappé à ce vindicte de l’histoire. Ses fédéraux au Lualaba et Nord-Kivu ont quitté le bateau de l’ancien Directeur du président Tshisekedi, à la manière des deux disciples d’Emmaüs, rentrant chez eux, après la crucifixion, la mort et l’ensevelissement de Jésus Christ, le fils de Dieu. C’est vrai, les Saintes Écritures renseignent qu’ils ne l’ont pas reconnu en chemin lorsqu’il les leur est apparu, faisantcompagnie avec eux, seul au moment de la fraction du pain, alors qu’ils arrivent à Emmaüs, qu’ils s’en rendront compte, pour vite rentrer raconter l’apparition du Fils de l’homme au groupe de Pierre (…) Contrairement aux deux disciples, les fédéraux UNC eux, ne sont jamais rentrés.
Heureusement, Kamerhe ne manque pas d’hommes loyaux et fidèles à sa vision. Ceux qui l’ont soutenu pendant les durs moments de sa double vie: d’homme, leader politique et de père de famille, époux de son épouse. De Aimé Boji Sangara, ancien SG de cette formation et actuel ministre d’Etat au Budget, en passant par Billy Eraston Kambale, actuel SG, jusqu’à Ruphin Bin Balola, sans oublier Émile Ngongo Ilunga, l’actuel Coordonnateur Provincial du Grand Katanga, dans la Cellule de recrutement de ce parti, sont parmices fidèles et loyaux disciples de celui que l’on surnomme le faiseur de rois.
« J’ai l’honneur de vous notifier par la présente qu’il a plu au Président national de l’Union pour la nation congolaise (UNC) de vous nommer Coordonnateur Provincial du Grand Katanga, dans la Cellule national de recrutement et implantation par la Décision No 0023/PN/UNC/ du 28 juillet 2021(…), écrivait Billy Eraston Kambale à Émile Ngongo Ilunga et à tant d’autres membres du parti, qui se sont distingués dans leur engagement et attachement aux idéaux du parti, sous l’impulsion de son président libéré début décembre courant.
Constat des agents de la Régie de distribution d’eau, lors de leur descente au quartier Nyakaliba dans la commune de Kadutu le lundi 20 décembre dernier.
Torriceli Mushagalusa, chef de maintenance réseau de cette régie pense que , les constructions anarchiques au-dessus de ces tuyaux seraient à la base de l’endommagement.
« La grande conduite qui alimente le centre-ville est en détresse, et maintenant une fuite a surgi encore une fois. La conséquence est que le centre-ville va souffrir de manque d’eau, quand y a une fuite et puis sur une grande conduite comme celle-ci, nous sommes obligés d’isoler et de commencer à intervenir », a t-il indiqué.
Il a affirmé que son entreprise devra très bien farfouiller, afin de déterminer la quiddité de la fuite pour orienter les agents sur la manière d’intervenir.
« Vous voyez c’est une conduite qui avait été posée depuis plus de 30 ans mais il y a des constructions anarchiques dessus, à cela s’ajoute le fait que c’est un terrain qui est en mouvement tectonique chaque fois, et cela fait que quand il y a glissement de terrain, la conduite qui s’appuie sur le sol, doit connaître aussi le même mouvement », a-t-il dénoncé.
Il a ajouté que la durée des travaux, n’est pas encore déterminée.
« Ça ne peut pas prendre trois jours, je l’espère. Bon le message que je peux lancer à nos abonnés, c’est de les inviter à un peu de patience, nous sommes à la tâche, qu’ils soient de cœur avec nous, nous aussi nous sommes de cœur », a t’il ajouté.
Il sied d’indiquer que, les habitants de la commune d’Ibanda et d’une partie de Kadutu n’auront pas d’eau potable pendant plusieurs jours.
Attendu lundi 21 décembre au Parquet, Atou Matubwana, gouverneur de la province du Kongo Central a répondu aux abonnés absents.
Son conseil lui, a évoqué son état sanitaire pour justifier son absence. » Il est malade », ont affirmé les avocats qui l’ont représenté.
Et ce n’est pas tout. Dénonçant et condamnant le les manières cavalières de son interpellation samedi 18 décembre dernier, les avocat ont indiqué avoir rappelé au Procureur que leur client est toujours gouverneur.
Traîné et filmé comme un malfrat, avant d’être mis sur une moto pour le Parquet près la Cour de cassation le même jour, il été relâché quelques heures plus tard, après pressions d’un de la haute hiérarchie a-t-on indiqué. Il devait y retourner lundi dernier pour comparaître en homme libre.
Ferdinand Kambere, Secrétaire permanent adjoint du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) est transféré depuis le matin de ce mardi 21 décembre au Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa, ex prison centrale de Makala.
Ce, après sa première nuit au cachot du Parquet général de Kinshasa Gombe, où il a été placé, lundi soir sous mandat d’arrêt provisoire (MAP).
L’un des dirigeants du parti cher à Joseph Kabila Kabange, l’ancien président congolais, ce membre du PPRD est accusé des coups et blessures volontaires sur un des membres de cette formation, Ardent Kabambi Bukasa.
Les gouverneurs de 26 provinces de la République démocratique du Congo, sont attendus à Kinshasa pour participer à une conférence d’échange, qui se tiendra du 22 au 23 décembre 2021, sous le haut patronage du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi.
C’est sur invitation du Vice-Premier ministre, ministre en charge de l’Intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, Daniel Aselo, que cette édition aura lieu, afin que les chefs de corps de chaque ville, échangent durant deux jours sur les situations qui prévalent dans leurs villes respectives.
Avec pour thème: » La stabilité dans la gouvernance des provinces, gage de la réussite du programme de développement communautaire à la base de 145 territoires « .
Durant la précédente session, des recommandations ont été formulées pour l’amélioration des conditions de vie de chaque ville et les états des lieux de chaque province ont été faites.
La dernière en date a eu lieu en décembre 2020. Au terme de ces travaux, le président congolais avait promis de veiller à l’effectivité de la rétrocession au profit des provinces, en exigeant la mise en place de la chaine des dépenses.
Le gouvernement Congolais a démenti la rumeur relative à la présence de la police rwandaise à Goma, en province du Nord-Kivu, à l’est de la République démocratique du Congo (RDC).
Le porte-parole du gouvernement et ministre de Communication et médias, Patrick Muyaya, a affirmé qu’il s’agit non seulement d’une fausse rumeur, mais aussi d’une manipulation.
Pour le gouvernement, il n’y a aucune présence rwandaise en RDC. Il s’agit par contre d’une désinformation qui a suscité une forte tension dans la matinée du mardi 20 décembre, dans quelques grandes artères de Goma, paralysant ainsi les activités de la ville.
Au cours d’un briefing co-animé avec le Colonel Pierrot Mwana Mputu, le Général Léon Richard Kasonga, porte-paroles de la Police nationale congolaise (PNC) et des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), Patrick Muyaya, a déploré les actes ignobles observés au Nord-Kivu et en Ituri, à la suite de la journée ville- morte organisée par la Lucha et plusieurs mouvements citoyens de cette partie du pays.
Évoquant la manipulation, le ministre a insisté sur les lourdes conséquences qui peuvent découler des fausses informations.
» Les événements de Goma sont la preuve de la dangerosité des fake news. Aucune image, aucune preuve d’une quelconque présence policière rwandaise mais beaucoup de manipulation. Il est urgent de faire une large coalition contre les fake news, des vies seront protégées « , a-t-il décrié.
Les manifestations ont éclaté lundi 20 décembre à Goma, lors d’une journée ville morte organisée par quelques ONG de cette contrée, en vue de dire non à la récurrence de l’insécurité et aussi de la présence rwandaise dans le chef-lieu du Nord-Kivu.
À en croire le commissaire Pierrot Mwana Mputu, porte-parole de la PNC, 4 personnes ont trouvé la mort dont un policier, un motard, un bébé et un adulte non encore identifié. Dix-sept autres personnes ont été blessées.
Le ministre national de la jeunesse, initiation à la nouvelle citoyenneté et cohésion nationale, Yves Bonkulu Zola appelle les jeunes de la ville de Goma et du Nord-Kivu en général à ne pas céder aux différentes manipulations, surtout celles liées à la présence de la police rwandaise dans la ville de Goma.
Il l’a dit ce lundi 20 décembre 2021 lors d’un forum qu’il a animé à Goma après une journée très agitée sur toute l’étendue de la ville, suite à l’appelle des certains regroupements des jeunes appelant la population à observer une journée ville morte, situation qui s’est soldée en altercations entre les éléments de la police et les manifestants.
« Nous appelons les jeunes à ne pas céder contre tous vents et marins. Surtout que nous n’avons pas besoin d’autres manifestions qui visent d’endeiller la population. Manifester c’est un droit, mais elle doit être organisée dans le respect de la loi » a-t-il fait savoir.
Étant à même temps le premier défenseur des jeunes, Yves Bonkulu Zola appelle ces derniers au respect de la loi dans toutes ses dimensions.
A noter que 3 personnes ont été tué et 8 autres blessées gravas ce lundi au cours de la manifestation de certains jeunes en colère qui s’opposaient à l’entrée de la police rwandaise à Goma et dénonçait l’insécurité grandissante devenue monnaie courante dans la ville.
Le chef de l’Etat congolais, Felix Antoine Tshisekedi et son épouse viennent de regagner la capitale congolaise depuis la matinée de ce lundi 20 décembre 2021, après deux visites officielles de moins d’une semaine à Istanbul, en Turquie et à Bruxelles, en Belgique.
Apres avoir co-présidé avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, le Sommet sur le partenariat Turquie-Afrique, organisé du 16 au 18 décembre à Istanbul. Le président congolais a ensuite, rehaussé de sa présence à une réunion au Conseil européen dimanche 19 décembre, à Bruxelles, en Belgique sur invitation de son président, Charles Michel.
Ces échanges avec plusieurs hautes personnalités africaines et européennes interviennent peu avant le sommet UE-UA, qui rassemblera les chefs d’Etats de gouvernements de l’UE et de l’UA en février 2020 à Bruxelles.
Le Conseil de Sécurité de l’ONU à rallongé d’un an le mandat de sa mission en République démocratique du Congo (RDC). La résolution renouvelant le bail de la a été votée ce lundi 20 décembre 2021, suivant ainsi la recommandation faite par le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans son dernier rapport sur la RDC.
Par cette résolution, le Conseil de sécurité veut consacrer l’entrée du Congo dans une nouvelle phase de son histoire et marquer l’importance du partenariat entre l’ONU et la RDC, afin de contribuer de manière conjointe à la protection des civils et à la stabilisation du pays.
Au-delà de la MONUSCO, la RDC a devra bénéficier de l’aide de tous les partenaires de l’ONU pour mettre pleinement en œuvre les réformes nécessaires à une stabilisation durable du pays.
Il sied d’indiquer que, le programmes de développement portés par le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi et son gouvernement, qui visent à favoriser un accès plus équitable aux ressources disponibles comme aux services de base et réduire ainsi les tensions, notamment inter-communautaires. L’ONU, les institutions financières internationales, les partenaires bilatéraux et multilatéraux, tous doivent se mobiliser en appui à la RDC pour lui permettre d’atteindre ces objectifs.
Le commissariat provincial de la ville de Kinshasa déplore l’incident survenu, dimanche dernier pendant que le ministre des infrastructures et travaux publics, Alexis Gisaro ainsi que quelques députés nationaux étaient en tournée d’inspection de chantiers.
Dans un communiqué de presse de la police rendu public ce lundi 20 décembre, le General Sylvano Kasongo, commissaire Provincial de la police de ville Kinshasa, précise que ces éléments ont fait usage des gaz lacrymogènes et non d’une arme létale.
« La police n’a pas usé des armes létales. Les détonations entendues sont celles des bombes lacrymogènes assourdissantes condor GL-700 multiples coups, deux personnes ont été légèrement blessées », a-t-il fait savoir.
Et de renchérir « Les éléments de la police commis à la sécurité de la société IMMOTEX SA ex CPA ont été déployés sur place sur réquisition d’information numéro 6346/RI 9725/PG023/a/JML/2021 du parquet général près la cour d’appel de Kinshasa-GOMBE depuis le mois de novembre 2021 pour assister ladite société à reconstruire le mur d’enceinte de sa concession détruit plusieurs reprises par des individus qualifiés d’intrus et occupants illégaux ».
Le décès samedi après torture, du jeune Olivier Mpunga dans les locaux des services speciaux de la police, défraie la chronique. Politiciens, acteurs sociaux et activistes, tous exigent que les auteurs de cet acte odieux subissent la rigueur de la loi.
Martin Fayulu, chef politique de Lamuka, une frange de l’opposition décèle dans cet incident, une faille de l’état de droit que le président de la République prône depuis son ascension à la magistrature suprême.
«L’état de droit est en péril en RDC. Le jeune Olivier Mpunga est torturé et tué dans les locaux de la police dans une affaire purement privée. Sincères condoléances à sa famille. Nous exigeons une enquête sérieuse pour faire toute la lumière sur cet odieux assassinat» a-t-il écrit sur Tweeter.
Une vidéo devenue virale sur la toile, montre un jeune homme de 32 ans ligoté, dénudé et asséné par des agents de service spéciaux. Dans la nuit du vendredi à samedi, ce fils unique d’une veuve a été retrouvé mort.
La police a condamné, dans un communiqué, cet acte de torture et il indique que cet incident est un cas isolé et ne doit pas engager tout le corps de la PNC et il ajoute que les auteurs présumés sont appréhendés et déférés devant la justice.