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Kasaï Oriental : Arrivée à Mbuji-Mayi des investisseurs kenyans pour la foire commerciale

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Plus d’une centaine d’hommes d’affaires Kenyans sont arrivés dimanche 12 décembre à Mbuji-Mayi, en province Kasaï Oriental, où doit ouvrir ce lundi 13 décembre, le dernier round des travaux de la Foire commerciale République démocratique du Congo (RDC) et la République soeur du Kenya.

 » Nous venons d’atterrir à l’aéroport de Mbuji-Mayi. C’est la dernière étape de notre grande mission économique, que nous avons lancé depuis le 29 novembre de cette année. L’idée derrière est que nous avons voulu faire le tour du pays. Nous avons été à Kinshasa, à Lubumbashi, nous venons fraîchement de Goma et nous nous retrouvons à Mbuji-Mayi, c’est dans le but de faire voir aux différents investisseurs qui nous accompagnent, les différentes possibilités qu’il y a d’investir ici dans cette région », a expliqué Célestin Mukeba, Directeur général d’Equity BCDC.

Conduite par l’ambassadeur Kenyan en RDC, Georges Masafu,  cette délégation a été accueillie à l’aéroport par le ministre provincial de l’intérieur Dénis Kalombo. 
Après leur arrivée les délégations de Equity BCDC et celle de la République du Kenya ont été reçues au gouvernorat de province, par Madame le gouverneur ad intérim, Jeanette Longa.

Goma: Les étudiants dans la rue pour réclamer la libération de deux de leurs camarades kidnappés la semaine dernière

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Les étudiants de différents établissements universitaires et instituts supérieurs de la ville de Goma étaient dans la rue ce lundi 13 décembre 2021.

Ces derniers revendiquent la libération immédiate et sans condition des trois personnes kidnappées la semaine dernière, parmi lesquelles deux étudiants de deuxième licence sortant, de l’Université catholique la Sapencia, en ville de Goma.

Estimés à une centaine, les étudiants en colère ont manifesté pacifiquement, dans une marche partie de l’Institut de Goma pour chuter au cabinet du gouverneur de province.

Sur les calicots, on pouvait lire « Les kidnappings en ville de Goma, nous en avons assez. Nos camarades doivent être libérés dans l’urgence ».

Rappelons que c’est depuis 6 jours que les deux étudiants, une fille et un garçon avec le taximan qui les conduisait étaient kidnappés vers CCLK. Le assaillants auteurs de ce raft envoient déjà des images des tortures de leurs victimes pour exiger le payement de la rançon.

Discours sur l’état de la nation : Félix Tshisekedi est arrivé à l’Assemblée nationale

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Le chef de l’État Félix Tshisekedi vient d’arriver à l’Assemblée nationale, ce , pour son discours sur l’état de la nation.

Au total 397 députés et 91 sénateurs prennent part au congrès.

Signalons que, c’est la troisième que le Président de la République Félix Tshisekedi va s’adresser à la nation.

Littérature: La deuxième édition du prix Youve ouverte jusqu’au 23 janvier

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Les Éditions Mikanda et le Mouvement littéraire ENCR’AFRIK organisent, la deuxième édition du prix international de littérature francophone dénommée: « Prix Youve », dont la participation est ouverte jusqu’au 23 janvier 2022.

Ce prix est destiné à tout public amoureux de la poésie, quelle que soit la nationalité, quel que soit le lieu de résidence, qu’ils aient publié ou non, pouvant user de toute forme d’expression écrite, sans aucune limitation mis à part les 10 USD de participation.

Les participants sont invités à adresser uniquement un seul poème inédit écrit en prose ou en vers, sur un thème au choix, par l’adresse mail du prix Youve.

À l’issue des délibérations, les résultats seront proclamés et les noms des poètes lauréats seront connus le 20 février 2022. Les vainqueurs auront 500 000 FC (250 USD), pour le premier ; 250 000 FC (125 USD), pour le deuxième ; 150 000 FC (75 USD), pour le troisième. Les poèmes sélectionnés par le jury seront réunis au sein d’un recueil de poèmes publié par les Éditions Mikanda avec ENCR’AFRIK.

RDC : Le Nord-Kivu abrite la VIème édition du Forum national de mobilisation du monde travail contre le VIH/SIDA

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La VIème édition du forum national de mobilisation du monde du travail contre le VIH/SIDA, FONAST-6 en sigle sera lancée ce lundi 13 novembre 2021, dans la ville de Goma, en province du Nord-Kivu.

C’est ce qu’a annoncé dimanche 12 décembre 2021, le docteur Aimé Mboyo, coordonnateur national du FONAST à son arrivée dans le chef-lieu de du Nord-Kivu.

Dans une interview accordée à la presse locale, Aimé Mboyo a fait savoir que la nouvelle édition est organisée sous le thème: « Agir pour l’objectif 95-95-95, dans la riposte au VIH/SIDA, dans un contexte marqué par la Covid-19, les épidémies et crises humanitaires ».

Poursuivant, il a fait savoir la 6ème édition se distingue des précédentes, du faite que les parties prenantes vont ensemble réfléchir sur comment vaincre la maladie du SIDA, surtout en cette période de Covid-19.

“ Durant 5 jours, soit du 13 au 17 décembre, les participants et tous les partenaires devront réfléchir sur la stratégie de lutte contre le VIH et d’autres épidémies, suivant la réalité actuellement liée notamment au Covid-19 et la résurgence de la maladie à virus Ebola, dans la région de Beni, au Nord-Kivu”, a-t-il fait savoir.

« Il est possible que d’ici 2030, nous puissions vaincre le virus du VIH/SIDA. Après la province du Lualaba, le dévolu a été jeté sur la province du Nord-Kivu. pendant cinq jours, nous allons réfléchir sur différents mécanismes pour vaincre le sida, c’est possible. », a-t-il fait savoir

Il faut noter aussi que pendant les assisses, la gouverneure du Lualaba, madame Fifi Masuka devra passer le fanion de commande à son homologue du Nord-Kivu, le général Constant Ndima Kongba, qui devra alors conduire le FONAST à sa nouvelle destinée jusqu’en 2023.

Kongo Central: Mort de Monseigneur Daniel Nlandu Mayi, évêque émérite de Matadi

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L’annonce faite par la chancellerie de l’évêché de Matadi, dans un communiqué dimanche 12 décembre.

Âgé de 68 ans, il décédé à Matadi dans la province du Kongo Central, alors qu’il a officié, la veille aux côtés de Mgr Géraud Pindi, la messe d’action de grâce à l’occasion du centenaire de l’Institut Tumba Dia Zayi, une des écoles de la congrégation des frères des écoles chrétiennes.

Né en 1953, Daniel Nlandu Mayi a été nommé évêque du diocèse de Matadi le 21 septembre 2010, en remplacement de Mgr Gabriel Kembo Mamputu, et ce, après avoir travaillé pendant 2 ans en qualité d’évêque coadjuteur dans le même diocèse.

VL1: DCMP plus fort que Renaissance du Congo

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Le Daring Club Motema Pembe a réussi à faire la différence face au FC Renaissance du Congo, dans un derby kinois qui les a opposés dimanche 12 décembre, au stade des Martyrs de la pentecôte 2-0, c’est le score de cette rencontre, dans le cadre de la poursuite de la Vodacom ligue 1 (VL1).

Dans une première période maîtrisée, le DCMP a pu ouvrir le score à la 32ème minute grâce à Jimmy Bayindula, avant que Makusu Mundele ne donne l’avantage définitif au club Vert et Blanc, à la 72ème minute de jeu.

Difficile pour les « Bana fibo » de sortir la tête de l’eau à cette 27ème édition du championnat nationale. Depuis le début de la compétition, le club ne compte qu’une victoire et se positionne à la 13ème place au classement. Mais le DCMP se remet en marche de bataille, après deux victoires de suite, il compte 17 points et est 5ème.

Pollution de l’environnement: Glencore reconnu très impliqué dans les accidents au Lualaba, verdict du tribunal sur le Congo

Verdict symbolique, rendu par le jury du tribunal international et local sur le Congo. C’était à l’issue des audiences de Kolwezi, chef-lieu du Lualaba, le dimanche 12 décembre. Le géant minier Glencore a été fortement reconnu impliqué dans les graves accidents et pollution de l’environnement. Les victimes eux, espèrent réparation. 

« Il y a une forte implication de responsabilité des élites politiques, des entreprises multinationales et de la communauté internationale », a indiqué Me Sylvestre Bisimwa, président du tribunal sur le Congo, dans une série d’accidents, de cas de corruption et de pollution environnementale dans la région minière de Kolwezi. 

Comme pour le premier tribunal sur le Congo à Bukavu et à Berlin en 2015, Sylvestre Bisimwa, indique que, « ce jugement est symbolique, mais contient des éléments importants pour les victimes, la société civile, la République démocratique du Congo et la communauté internationale. Dans la mesure où il sanctionne les violations commises par Glencore, à travers les quatre cas examinés lors de ses audiences de Kolwezi », a souligné l’avocat .

« Le verdict est symbolique, parce qu’il porte sur un échantillon des victimes précises, comme nous l’avons eu à le constater lors des interviews et témoignages des victimes. Car les activités des entreprises multinationales au niveau de la RDC, causent des effets néfastes qui sont dramatiques. Nous estimons que ce jugement montre non seulement une petite partie de l’iceberg. Mais nous devons donc nous en approprier pour faire le plaidoyer (en particulier la société civile du Lualaba), pour dénoncer ce qui ne marche pas. Nous devons aussi nous approprier cette décision, pour dénoncer les crimes odieux, inadmissibles, contre l’humanité commis par les multinationales », a-t-il insisté. 

Les entreprises multinationales profitent de la faiblesse de l’Etat

Durant les audiences, le jury a examiné quatre cas, sur lequel il a répondu à 7 questions, à savoir: 

Les entreprises internationales ont-elles profité de la situation politique de l’après-guerre  et de la faiblesse de l’Etat pour s’accaparer des concessions minières ? 

Le Tribunal sur le Congo estime qu’elles ont profité des conditions particulières d’un pays post-conflit et d’un gouvernement particulièrement faible, issu d’un compromis politique et non d’élections démocratiques pour établir un régime fiscal avantageux. En outre, elles ont bénéficié de la libéralisation des actifs miniers.  

S’agissant des taxes et impôts qu’elles doivent à l’Etat congolais, le même tribunal reconnaît qu’elles payent ses droits et taxes, sauf une forte évasion fiscale et financière. 

« Elles paient des impôts qui représentent 30% des recettes de l’Etat. Cependant les entreprises étrangères mettent en œuvre des mécanismes d’optimisation fiscale,  favorisés par le fait que le siège social de la  plupart d’entreprises minières se trouve à l’extérieur de la RDC, ce qui permet à ces dernières de ne pas se sentir liées par le droit  congolais.  Il y a évasion fiscale et financière ».  

 L’Etat congolais prend-il ses responsabilités pour exiger à ces entreprises de s’acquitter des impôts et taxes et de respecter leurs obligations sociales et légales ?  

Oui, l’Etat congolais se comporte en rentier, il perçoit les impôts et les taxes, et s’il le faut, il multiplie les redressements fiscaux. Mais il y a eu insuffisance de suivi surtout entre 2002 et 2018. Par la suite, en 2018 les lois ont changé.  En ce qui concerne les obligations sociétales des entreprises, il y a une totale insuffisance de suivi. En outre, l’Etat congolais n’exige pas assez fermement le paiement des impôts de base. 

 Les victimes des accidents 

Le jury a constaté que les victimes d’accidents et de pollution créés par l’industrie minière n’ont jamais été indemnisées de manière adéquate et juste.   

Les entreprises n’assument pas leur responsabilité sociale et l’Etat est trop faible pour assurer cette protection à ses citoyens. Etat faible, ne prend pas ses responsabilités lorsqu’il s’agit de défendre ses citoyens.  

Les activités minières et les investissements des multinationales contribuent-elles au développement socio-économique des régions minières en permettant la construction d’infrastructures adéquates, en créant des emplois et en favorisant des branches  voisines de l’économie locale ?  

Le budget de l’Etat oscille entre 5 et 6 milliards de dollars et l’industrie minière y contribue pour  quelque 40 à 50%. Les entreprises minières ont créé quelque  30.000 emplois directs  et entraîné la construction de nouvelles infrastructures comme des barrages et des routes qui étaient nécessaires à leurs activités. 

Cependant, par rapport aux besoins des économies locales, ces infrastructures étaient insuffisantes et inadéquates. Dans le futur  cette situation pourrait changer si les lois découlant de la décentralisation étaient appliquées correctement.  

Les activités minières créent-elles des effets néfastes et des conflits qui mettent en danger le développement économique et le bien être des générations  futures ?  

Le Tribunal croît que l’avenir du Congo est hypothéqué car les lois qui existent actuellement sont insuffisantes et mal appliquées.  L’Etat congolais devrait prendre ses responsabilités et adopter de nouvelles dispositions juridiques. 

Adrien AMBANENGO

Claudel Lubaya exige des poursuites judiciaires réelles contre les auteurs de la taxe Ram

Quelques heures après que la Commission économique, financière et de contrôle budgétaire (ECOFIN) de l’Assemblée nationale ait présenté son rapport sur la taxe RAM (Registre des appareils mobiles), le député national Claudel Lubaya a fustigé l’application « illégale » de cette redevance, lors de sa communication via Twitter, le dimanche 12 décembre 2021.

L’élu de Kananga a aussi appuyer la décision de la commission ECOFIN qui a exigé depuis samedi dernier, la suppression pure et simple du RAM sur toute l’étendue de la République.

Claudel Lubaya appelle à des poursuites judiciaires contre les auteurs initiateurs de cette taxe qu’il qualifie « d’escroquerie ».

« Toute suppression du RAM sans remboursement des sommes indûment perçues, sans poursuites judiciaires réelles et sans sanctions négociées avec les auteurs de cette escroquerie serait une prime supplémentaire à l’impunité et tout le contraire de l’Etat de droit », a-t-il déclaré.

Notons que la proposition de supprimer la taxe RAM par la commission Ecofin est motivée par le fait que cette dernière est introuvable dans le budget général et dans les comptes spéciaux.

RDC: Tshisekedi fait le point sur la situation du pays ce lundi

Ce lundi 13 décembre 2021, le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi promoncera son discours sur l’état de la nation devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès.

À deux ans des prochaines élections, ce traditionnel discours devra aborder les questions liées aux panier de la ménagère, à l’état de siège, à la commission électorale nationale indépendante (CENI), à la gratuité de l’enseignement, à la lutte contre la corruption, à la lutte contre la Covid-19, ainsi qu’aux Finances publiques.

Cette année, ce discours se tient à deux jours de la clôture au Parlement, de session budgétaire dont le calendrier contient encore plusieurs matières importantes, jusqu’ici non examinées.

RDC: L’ACAJ appelle le gouvernement à supprimer la taxe RAM

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La question sur la taxe de Registre des appareils Mobiles ( RAM) n’est pas loin de trouver sa conclusion.

Après la demande de suppression de cette redevance par la Commission économique financière et contrôle budgétaire ( ECOFIN) de l’Assemblée nationale, c’est maintenant le tour de l’Association congolaise pour l’accès à la justice de donner sa voix.

Ce dimanche 12 décembre, l’ONG pilotée par Georges Kapiamba a exigé à son tour la suppression de celle-ci, ce, au regard des révélations faites par la chambre Basse du Parlement.

 » Au regard des troublantes révélations dans ce dossier, l’ACAJ appelle vivement le Gouvernement à sa suppression et rendre compte de l’affectation donnée aux recettes déjà collectées », a-t-on écrit via twitter.

Samedi dernier, lors de la présentation du rapport sur l’examen approfondi du projet de loi des Finances 2022 par le député Boris Mbuku, président de la commission ECOFIN à l’Assmnlee nationale, il avait indiqué que le RAM n’est ni dans le budget général, ni dans les comptes spéciaux.

« (…) Votre Commission a le regret de vous annoncer que le RAM n’est ni dans le budget général, ni dans les comptes spéciaux, même là où on ne peut pas le trouver dans les budgets annexes. Nous sommes allés jusque-là, on n’a pas retrouvé RAM », a-t-il déclaré.

Kinshasa: La RDC et la société DPWorld signent les accords de collaboration pour la construction du port de Banana

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C’était en présence du l’Etat congolais, Félix Tshisekedi qui a présidé cette cérémonie. La République démocratique du Congo (RDC) et la société DPWorld ont signé ce samedi 11 décembre, la convention de collaboration pour la construction de cet ouvrage d’importance economico-sociale.

Organisée à la Cité de l’Union africaine, les deux parties se sont accordées pour les travaux du port en eau profonde de Banana, en province du Kongo Central.

Deux documents, ont pour ce faire été signés. Notamment, le Pacte d’actionnaires entre les parties prenantes au projet, ainsi que le Contrat de concession dudit port.

D’après le service de communication de la présidence, le démarrage du chantier est prévu pour le 1er trimestre 2022.

Signalons que, le Premier ministre congolais Sama Lukonde, les ministres congolais du Portefeuille, des Transports, des Finances et du Budget ont pris part à cette cérémonie.

Mission commerciale Kenya-RDC: Fin de l’étape de Goma, cap sur Mbujimayi

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Clôture ce samedi 11 décembre 2021, l’étape de Goma, de la mission commerciale Kenya-République démocratique du Congo (RDC).

Après deux jours d’intenses travaux, les missionnaires et investisseurs kényans vont déposer leurs valises dans la ville diamantifère de Mbuji-Mayi, chef-lieu du Kasaï Oriental. C’est au centre du Congo.

Lors de la cérémonie de la clôture dans la salle des conférences de l’hôtel Serena, en ville de Goma, Equity BCDC, organisatrice de cette mission n’a pas manqué de remercier tous les investisseurs congolais, particulièrement ceux de Goma, qui participé activement aux travaux.

Dans sa brève prise de parole, la Représentante d’Equity BCDC, à à l’Est de la RDC a fait savoir que ces assises se sont clôturées par une note positive. Toute satisfaite, elle a appelé les participants à mettre en œuvre pratique les acquis de ces deux jours.

À l’étape de Mbuji-Mayi, les investisseurs de deux pays vont, de mardi 14 au 16 décembre, partager les expériences commerciales.

Notons que celle-ci sera la dernière étape de la mission, après Kinshasa, Lubumbashi et Goma.

Littérature : Parution du roman « voyage au pays de rêve », oeuvre de Tony Mandi

L’écrivain Guillaume Jean Pierre Apana Tony Mandi est l’auteur du roman « voyages au pays de rêve». de plus de 230 pages. Ce roman autobiographique est publié aux éditions Plumes Aiguisées à Kinshasa en République democratique du Congo.

Cet ouvrage est porté sur fonts baptismaux samedi 11 novembre au centre Wallonie Bruxelle par Richard Ali, secrétaire général de l’association des écrivains de la RDC.

Selon Christian Gombo, un autre auteur et écrivain congolais, qui faisait la recension de cet énième roman de Tony Mandi, il s’agit d’une image qui se passe dans la tête de l’auteur. Ce dernier a choisi une voix de Cédric Kanza pour relater cette histoire.

“Cet ouvrage présente une autre image de la ville de Kinshasa. mais raconté par un acteur congolais qui est né et vit à Chypre. Ce congolais rêve de faire un voyage dans la capitale congolaise. Cédric fait battre le cœur des gens pour Kinshasa. Un jeune homme qui n’a pas vu Kinshasa mais donne envie de le visiter.”, résume Christian Gombo.

Vendu sur un prix promotionnel, cette œuvre est le deuxième produit de l’écrivain Tony Mandi au cours de l’année 2021 apres le roman intitulé « Engrainage » publié en mars dernier.

Des faux contrats de concessions forestières : Ève Bazaïba déterminée à traquer les réseaux mafieux

«Un groupe d’individus non encore identifié, dans l’intention de saper l’image de la VPM Bazaiba se livre à confectionner des faux contrats de concessions forestières en imitant sa signature et le sceau du cabinet», alerte le conseiller en communication de Ève Bazaiba, madame le vice-Premier ministre en charge de l’environnement et développement durable.

Vendredi 10 décembre, plusieurs publications virales sur les réseaux ont crié à un scandale au sein du cabinet de la ministre Bazaiba. Selon ces publications, le directeur du Cabinet et son adjoint, la conseillère forêts et tourbières, le secrétaire général ont été arrêtés et conduits au parquet général de Kinshasa/Gombe pour faux en écriture, abus de confiance en imitant la signature de la VPM dans l’octroi d’autorisation de possession de concessions forestières.

« C’est moi-même qui ai enquêté au sujet de faux en écriture. J’ai personnellement appelé le parquet général de Kinshasa Gombe pour raison d’enquêtes, j’ai mis à sa disposition des gestionnaires des dossiers au Cabinet et à l’administration. Ne déformez pas l’information», précise la patronne de l’Environnement sur Twitter.

Dans un communiqué, le ministère de l’Environnement a appelé tous les détenteurs des contrats de concessions forestières, permis d’exportation des agrumes ou des bois d’œuvre portant la signature de la ministre Bazaiba de se présenter à toute urgence pour permettre à la justice de démanteler ce réseau des mafieux.

Enlèvement des chinois en Ituri : Daniel Aselo promet une collaboration avec la Chine pour renforcer la sécurité

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La problématique d’enlèvement des chinois en Ituri, à l’Est de la République démocratique du Congo préoccupe Le vice-Premier ministre de l’Intérieur, sécurité , décentralisation et affaires coutumières.

Vendredi 10 décembre, Daniel Aselo Okito a reçu en audience, dans son cabinet de travail, l’Ambassadeur de la Chine en RDC , Monsieur Zhu Jing. Occasion de lui promettre de renforcer la collaboration entre les deux pays, en matière sécuritaire. Car dit-il, « de près comme de loin , les deux pays resteront les partenaires fidèles de tous les temps ».

L’objet de cette visite était pour le diplomate chinois de dénoncer plusieurs cas d’enlèvements connus en Ituri , et solliciter l’appui du gouvernement congolais en vue de renforcer les mesures de sécurité pour qu’une paix durable règne dans cette partie du pays .

Pour le diplomate chinois, le souci majeur est de consolider la collaboration bilatérale entre la RDC et le pays de midi; et a réitéré l’accompagnement de son pays en matière de sécurité car, a-t-il souligné, la Chine est toujours un partenaire fidèle à la RDC, prête à contribuer au développement du pays dans le domaine de sécurité à tous les niveaux .

Quelque jours avant cette visite, l’ambassade de la Chine avait, dans un communiqué, lancé un appel à tous les chinois résident en Ituri de quitter en toute urgence la province, suite à une « recrudescence d’enlèvements des sujets chinois ».

Foire commerciale RDC – Kenya :Le gouverneur du Kasaï est arrivé à Mbuji-Mayi

Dieudonné Pieme, gouverneur de la province du Kasaï est arrivé vendredi 10 décembre 2021 à Mbuji-Mayi, en province du Kasaï Oriental, où il prend part à la foire qui aura lieu le lundi 13 décembre, dans le cadre de la clôture de la mission Commerciale RDC – Kenya.

« Je suis ici à Mbuji-Mayi, pour prendre part à la foire commerciale organisée dans le cadre du partenariat entre le gouvernement congolais et le Kenya, qui aura lieu ce lundi 13 décembre, et je profiterai également de mon séjour pour rendre visite aux éléments de la police de ma province qui sont en formation au centre de Cipuka », a confié le gouverneur du Kasaï.

Rappelons que, cette mission qui tire ses rideaux lundi à Mbuji-Mayi, a commencé la semaine dernière à Kinshasa, capitale congolaise, avant sa poursuite à Lubumbashi et Goma.

Covid-19 : 637 nouveaux cas confirmés en RDC dont 540 à Kinshasa

La pandémie à coronavirus a refait surface en République démocratique du Congo, depuis l’annonce par le gouvernement du nouveau variant « Omicron ».

Depuis le début de cette semaine, il a été constaté la résurgence des cas confirmés en ville province de Kinshasa.

D’après le bulletin du Secrétariat technique du Comité multisectoriel de riposte contre la Covid-19, du mercredi 8 décembre, rendu public ce vendredi 10 décembre, 637 nouveaux cas confirmés ont été enregistrés dont 540 cas sont recensés à Kinshasa.

La même source renseigne que, 54 cas ont été renseignés au Lualaba, 13 au Sud-Ubangi, 11 au Nord-Kivu, 9 dans le Haut-Katanga, 7 à l’Équateur, 2 au Sud-Kivu, et 1 seul cas dans la province du Kwango.

D’un côté, ajoute-t-on, sur la même période 17 nouvelles personnes ont été déclarées guéries.

Elections 2023 : La CENI s’emploie à rencontrer les parties prenantes au processus

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Reçu par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, jeudi 9 décembre dernier, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Dénis Kadima a émis le vœu d’organiser les élections prochaines dans le délai constitutionnel.

Dans cette perceptive, il a fait savoir que « la CENI s’emploie à rencontrer, pour des échanges, toutes les parties prenantes au processus électoral et les partenaires internationaux ».

Après sa rencontre avec le président de la République, dans le cadre des consultations de son bureau avec les institutions du pays, ainsi que des acteurs sociaux, Denis Kadima a affirmé que celui-ci rencontre les aspirations de son bureau.

« Le chef de l’Etat a été très réceptif, il tient à ce que nous puissions faire notre travail en toute indépendance et professionnalisme car le pays doit retrouver sa place dans le concert des nations par les élections », a-t-il déclaré.

Mise au point de la Présidence de la RDC:  » La personne qui manipule les espèces dans une vidéo n’est pas conseiller du chef de l’Etat »

Dans un communiqué ce vendredi 10 décembre, la Présidence de la République démocratique du Congo (RDC) a fixé l’opinion au sujet d’une vidéo devenue virale dans les réseaux sociaux, depuis la journée de jeudi 9 décembre.Selon la Cellule de communication du président congolais Félix Tshisekedi, « l’individu incriminé ne fait pas partie des Conseillers nommés par le président de la République« .Et de rassurer :  » S’il s’avère que l’incriminé a des liens, de quelque manière que ce soit, avec un service du cabinet présidentiel, des sanctions appropriées seront prises à son encontre, et ce, sans délais ni aucune forme de procès « 

Signalons que dans la vidéo largement relayée sur la toile, l’on sait facilement voir un homme de teint clair, en train de manipuler des espèces dans une chambre d’hôtel, avec en sourdine, la voix d’une dame qui jubile la fortune de celui qu’elle désigne comme son homme.

RDC : Jules Alingete note la nécessité de la création d’un parquet financier pour permettre un réel contrôle sur les finances

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Dans l’objectif d’avoir un réel contrôle sur les finances en République démocratique du Congo, Jules Alingete, Inspecteur général des finances chef de service, a noté la nécessité de la création d’un parquet financier

Il l’a dit lors d’une conférence débat organisée à Kinshasa jeudi dernier par Global Compact Network et l’ambassade des Pays-Bas à l’occasion de la journée internationale de Lutte contre la corruption.

« Il nous faut aujourd’hui un Parquet financier. Pourquoi ? Parce que ça va nous permettre tout d’abord d’avoir un réel contrôle sur les finances qui sera dans l’ordre judiciaire que nous avons actuellement. Mais nous aurons des magistrats qui sont formés dans les méandres des finances, de la comptabilité pour bien comprendre le problème de la corruption et de détournement des deniers publics », a dit Jules Alingete.

Il a tout de même noté la nécessité pour le magistrat de maitriser les notions de comptabilité et des finances lorsqu’il est appelé à traiter les dossiers liés au détournement des deniers publics.

« Aujourd’hui, quand vous regardez le profil au niveau de la magistrature, déjà au niveau des universités on a formé des magistrats avec une grande prépondérance de droit. Et les juristes, les vrais, avaient d’ailleurs horreur des chiffres, ils n’aiment pas la comptabilité. Ce qui fait que dans la pratique, quand nous amenons des dossiers de détournement auprès des magistrats, nous pouvons prendre une année à nous expliquer pour qu’on puisse très bien se comprendre parce qu’au finish, c’est le magistrat qui doit porter votre travail », a expliqué Jules Alingete

Et de renchérir « La Cour des Comptes est là. Mais ce que les gens ne savent pas, qui sont justiciables devant la Cour des Comptes ? La Cour des Comptes se limite à des sanctions pécuniaires, elle ne prononce pas des sanctions pénales, et ne sont justiciables devant la Cour des Comptes que les comptables, les ordonnateurs et les mandataires publics. Les ministres nationaux et provinciaux, les gouverneurs des provinces, là où aujourd’hui nous considérons que c’est là qu’il y a le problème important à résoudre, ces gens-là ne sont pas justiciables devant la Cour des Comptes »

Sud-Kivu : Dans la rue, les journalistes exigent la comparution des policiers auteurs des tirs sur leurs confrères le 2 décembre dernier

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C’est une véritable révolution journalistique au Sud-Kivu. Ce vendredi 10 décembre 2021, les journalistes de cette Province sont descendus dans la rue pour manifester leur indignation suite à l’agression policière dont ont été victimes 9 d’entre eux en date du 2 décembre 2021, devant l’Assemblée provinciale, lors du vote de la motion de censure contre le Gouvernement provincial du Sud-Kivu.

Tous habillés en noir, les chevaliers de la plume et du micro ont réaffirmé leur volonté de voir les policiers auteurs des tirs des balles et des bombes lacrymogènes qui ont atteint leurs confrères devant la justice.

« Le journalisme n’est pas un crime », tel est le message de ces professionnels des medias

Devant le Gouverneur a.i du Sud-Kivu, ces derniers ont exigé la prise en charge de leurs collègues qui suivent des soins dans des structures sanitaires.

Ils ont également exigé la garantie de non répétition des faits dont ils ont été victimes, qui selon le président provincial de la corporation et la condamnation des journalistes du Sud-Kivu, se traduit par la comparution des policiers auteurs de ces actes.

Darius Kitoka, président de l’UNPC Sud-Kivu a invité les autorités politico-administratives à s’employer activement dans la protection des journalistes.

Protection des finances publiques : Félix Tshisekedi adopte des nouvelles mesures contre la corruption en RDC

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Pour le moyen nécessaire devant conduire au développement social et économique de la population congolaise, le Président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi dit adopter des nouvelles mesures pour poursuivre son champ de bataille contre la corruption sous toutes ses formes en RDC.

Lors de son discours au sommet sur la démocratie organisé jeudi 09 décembre par le Président américain Joe Biden, le Chef de l’État Félix Tshisekedi a d’emblée indiqué qu’il s’est engagé dans une lutte sans merci contre cette gangrène de corruption en RDC, avant d’insister sur son engagement de poursuivre avec ferveur cette lutte.

Une raison, l’ayant motivé a adopté notamment 4 mesures de renforcement qui consistent à protéger la culture fiscale en vue de renflouer le Trésor public et financer de la République démocratique du Congo.

Il s’agit notamment, du renforcement de l’autonomisation de l’agence nationale de lutte contre la corruption ; renforcement de la cour de compte et les cours et tribunaux ; la réforme des lois anti-corruption ainsi que l’orthodoxie dans la gestion transparente de ressources publiques et les budgets de l’État.

Dans le même registre, il a loué le travail de l’inspection générale des finances (IGF), qui nage à contrecourant, contre le coulage des recettes de l’État qui permet un assainissement les finances du pays.

 » Le renforcement de l’inspection générale des finances, et la lutte qu’elle a mené sans désemparer contre les réseaux mafieux bien installés en RDC, ont permis à l’État de commencer à engager les dividendes de la lutte contre la corruption qui contribue à l’assainissement de nos finances publiques  » a noté Félix Tshisekedi.

Selon le projet de la loi de finances de l’exercice 2021, élaboré en octobre 2020, la République démocratique du Congo, compte un budget de 14.235,2 milliards de FC équivalant à 6,9 milliards USD.

Nord-Kivu : Le lieutenant général Constant Ndima lance à Goma les travaux de la mission commerciale RDC-KENYA

Le gouverneur Constant Ndima Kongba

Le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le lieutenant général Constant Ndima Kongba, représentant personnel du chef de l’État, a officiellement lancé ce vendredi 10 avril 2021 dans la ville de Goma, les travaux de la mission commerciale RDC-KENYA.

Devant près de 200 investisseurs Kenyans et congolais venus participer à cette conférence, l’autorité provinciale a mis l’accent sur l’importance de cette mission qui va regrouper plusieurs zones d’affaires tant Kenyanes que Congolaises aux fins d’une promotion des relations commerciales entre les deux pays.

« La tenue de ce forum vient donc à point nommé après celui de la deuxième semaine mondiale sur l’entrepreneuriat organisé à Goma. Cela traduit toute l’attention particulière que notre gouvernement accorde au développement et à la promotion du secteur privé dans notre pays en général et dans le Nord-Kivu en particulier. Pour dynamiser ce secteur et faire de la RDC destination privilégiée des investisseurs tant nationaux qu’étrangers, notre gouvernement a fait de l’amélioration de l’entrepreneuriat et de l’environnement global des affaires une de ses priorités en vue de consolider une croissance forte et durable » a-t-il déclaré.

Au cours de ces assises, il est prévu un cadre d’échanges pour offrir à toutes les parties prenantes l’occasion de connaître les potentialités que regorgent la province du Nord-Kivu et la RDC en général.

Par la même occasion, les investisseurs kenyans vont rencontrer et constituer des réseaux d’affaires avec leurs homologues congolais pour explorer les opportunités de débloquer le commerce, le tourisme et l’investissement en RDC et dans la région des Grands lacs.

Sur place, le groupe EquityBCDC, partenaire de ces travaux, a présenté aux invités l’essentiel de cette mission commerciale et les jeunes écoliers qui seront formés par la banque pour s’acclimater au mode du travail banquier.

Rappelons que, cette mission a commencé la semaine dernière à Kinshasa, capitale de la congolaise, avant l’étape de Lubumbashi et elle va se clôturer à Mbuji-Mayi.

RDC : Félix Tshisekedi réaffirme sa volonté d’organiser les élections dans le délai constitutionnel

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Le Président de la République démocratique du Congo Félix-Antoine Tshisekedi a réitéré sa volonté d’organiser les élections 2023 dans respect du délai constitutionnel

En marge du sommet sur la Démocratie organisé jeudi dernier par le Président Joe Biden, des États-Unis d’Amérique, le chef de l’État a présenté la situation globale de la République démocratique du Congo, abordant également l’organisation des élections présidentielles et législatives qui pointent à l’horizon.

Dans son exposé, il a indiqué que, la mise en place de la nouvelle équipe de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), s’inscrit entre autres dans ses efforts menés pour préparer la tenue des élections crédibles et transparentes en RDC.

 » La mise en place récente de la nouvelle équipe pour diriger la CENI, entre dans le cadre de mes efforts pour préparer la mise en place d’un cadre électoral crédible, transparent juste et libre  » a dit le chef de l’État Félix Tshisekedi.

À la lumière des élections présidentielles en RDC, les vagues commencent à bouger. En effet, l’opposition qui est menée par le bloc Front Commun pour le Congo (FCC), a boycotté sa participation au nouveau bureau de la CENI, pour raison de non consensus relativement à la désignation des animateurs de cette institution.

Le FCC, dit ne pas vouloir prendre part au nouveau bureau installé qui pilotera l’organisation des élections en 2023.