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Le gouvernement compte se défaire de la dépendance minière en diversifiant l’économie

Le ministre de l’Economie nationale, Vital Kamerhe a assuré, mercredi 05 mars au sortir d’une réunion du Comité de Conjoncture économique dirigée par le premier ministre Sama Lukonde, que le gouvernement s’est donné comme mission, de diversifier l’économie nationale, fortement indépendante du secteur minier.

« Nous avons aussi abordé la problématique du secteur minier. Les recettes, certes, sont en hausse. Nous l’avons constaté aujourd’hui, à la suite du rapport présenté par Madame la ministre des Mines, mais nous allons les augmenter davantage. Mais l’option qui est levée aussi, c’est la diversification de l’économie. Nous ne voulons plus être dépendant totalement des Mines », a déclaré Vital Kamerhe.

Il a ajouté que ce travail a été confié à l’écofin, « Ce travail a été commencé et il est fait par le ministre du Commerce extérieur, qui va nous le présenter très prochainement pour des décisions au niveau du gouvernement », a-t-il poursuivi.

Le ministre de l’Economie a également laissé entendre « qu’il y a une accalmie relative au niveau du marché de change et des biens et services », laissant la voie à l’espoir, « malgré les moments difficiles », a-t-il dit.

Pour ce qui du secteur pétrolier, il a rassuré l’opinion de voir qu’aucune station n’a été brûlée en RDC, malgré le choc pétrolier dû à la guerre en Ukraine.

« Les gens n’ont pas senti la hausse des prix, parce que le gouvernement a pris la politique de protéger le pouvoir d’achat. C’est que le gouvernement a subventionné ces produits-là ici chez nous. C’est qui est un effort que les gens doivent retenir. Et nous allons, bien sûr, ouvrir les yeux pour savoir comment encadrer toutes les exonérations qu’on accorde à gauche, à droite, que ce soit dans le secteur pétrolier ou dans tous les autres », a-t-il déclaré.

Sur la question du maïs dans le Katanga, Vital Kamerhe a rassuré que le gouvernement va le résoudre avec avec le ministre du Commerce extérieur et beaucoup d’autres intervenants.

Élections 2023 : Lamuka accuse Denis Kadima de produire un fichier électoral « corrompu »

La plateforme Lamuka à travers la Coordination des opérations électorales ( COEL) accuse le président de Commission électorale nationale indépendante (CENI) Denis Kadima de produire un fichier électoral « totalement corrompu » afin de faciliter la fraude électorale en faveur du chef de l’État actuel.

Selon elle, au vu de ce que la CENI a réalisé depuis son installation, rien ne rassure qu’elle soit capable d’organiser en RDC les élections transparentes, impartiales et apaisées. « M. Kadima crée un doute dans les esprits des congolais quand il affirme avoir affecté les fonds prévus pour les scrutins dans les opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs et n’avoir reçu l’argent de la part du gouvernement depuis octobre 2022», dit la COEL.

Ce faisant, cette dernière exige le plus urgemment possible une réunion entre parties prenantes y compris la Commission électorale nationale indépendante ( CENI), notamment pour évaluer le travail effectué et décider de manière consensuelle des mesures correctives.

A cette réunion, la COEL exige également, la présence d’observateurs de l’Union africaine, ceux de l’Union européenne et ceux des États-Unis d’Amérique pour s’assurer de la neutralité ou non de la CENI.

Cette structure de Lamuka, dit constater avec consternation que la CENI a fait du processus électoral son affaire privée. « Cette dernière multiplie en effet des déclarations sans toutefois prendre en compte les tares relevées par la COEL et les différentes organisations de la société y compris les églises catholique et protestante afin d’y apporter des correctifs attendus . Bien au contraire, elle ignore tout, continue son bonhomme de chemin en faisant miroiter à l’opinion nationale et internationale l’illusion des élections crédibles», a-t-on ajouté.

Jusqu’à ce jour, la centrale électorale continue de réaffirmer sa détermination d’organiser les élections présidentielles et législatives en décembre de l’année en cours. Les opérations d’identification et d’enrôlement se poursuit actuellement dans la troisième aire opérationnelle.

Coupe de Suisse : Buteur face au FC Bâle, Mechack Elia se rapproche du sacre

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L’international congolais, Mechack Elia est sur le point de remporter pour sa première fois, avec le Young Boys, un titre de vainqueur de la Coupe de Suisse. L’attaquant de 25 ans a été l’auteur du 4e but lors du succès de son équipe devant le FC Bâle (2-4) hier mardi 04 avril 2023 en demi-finale de cette compétition organisée par la Fédération suisse de football.

Débarquant chez BSC Young Boys le 18 février 2020 en provenance du Tout Puissant Mazembe, l’ancien de CSC Don Bosco n’a jamais réussi à soulever cette Coupe nationale du pays de l’Europe centrale à la suite de ses 4 saisons évoluant sous les couleurs du club des jaunes et noirs de Berne.

Mais cette saison, celui qui pèse 67 Kg est tout près de briser cette malédiction après avoir décroché une qualification en finale en battant le FC Bâle. Comptant déjà 1 but dans cette compétition, Mechack Elia a marqué son deuxième but à la 68e minute dans ce choc et améliore son compteur à but à 11 unités au total cette saison.

Cette Coupe de Suisse est le deuxième titre que le buteur du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2016 avec 4 réalisations et son club s’illustrent comme prétendants. Ils courent également derrière le titre du Championnat auquel ils sont leaders avec 54 points après 26 journées.

Ferre Gola révèle les couleurs de son concert prévu au stade des Martyrs

Les rideaux sont tombés. Ferre Gola semble emprunter le chemin du non retour pour livrer son grand show au stade des Martyrs de la Pentecôte le 24 juin prochain.

L’affiche de ce grand concert est déjà publié sur ses pages réseaux sociaux, la star a même indiqué qu’une part de recettes sera mise à la disposition des forces armées, une façon pour lui de les soutenir face à cette guerre injuste d’agression dont le pays est victime.

Dans la publication de cette affiche qui peint en couleur de forces armées de la République, le commandant des Golois a illustré une séquence de l’hymne nationale.

Depuis cette annonce, ses fans, ses collègues musiciens, des mécènes et ses administrateurs font preuve du soutien à l’artiste et promettent de contribuer à la réussite de cette événement test au grand Libumu.

Mission de l’EAC : une question d’actualité adressée à Jean-Pierre Bemba

Le député national Claudel Lubaya a adressé une question orale au vice-Premier ministre, ministre de la Défense Jean-Pierre Bemba sur le statut juridique, politique des zones cédées par le M23 aux troupes de la force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est ( CAE).

Cet élu veut avoir du ministre de la Défense nationale l’éclairage sur le fondement légal de la cession de ces zones à la force régionale, le rôle des FARDC, de la Police nationale congolaise et des autorités politico-administratives locales dans les zones cédées et la gouvernance de la frontière nationale dans les zones cédées.

Aussi, C. Lubaya veut connaître la liste complète des entités placées sous contrôle de la force régionale, la superficie de chacune d’elles et la superficie totale de la partie concernée mais également l’échéance précise du retrait effectif et définitif de la force régionale en vue du transfert du contrôle de ces zones aux FARDC et aux autorités civiles congolaises.

« Je tiens à vous faire remarquer qu’à défaut par vous d’apporter des réponses suffisantes à l’ensemble de ces préoccupations, je me réserve le droit conformément au règlement intérieur de l’Assemblée nationale de transformer la présente initiative en interpellation », a-t-on lu dans un document signé par le président du parti politique Envol.

Lundi dernier lors du briefing, le ministre de la communication et des médias Patrick Muyaya a souligné que, « la Force régionale est une force d’appui aux forces armées de la RDC et toutes ces troupes qui sont actuellement sur le sol congolais, y sont sur invitation du gouvernement congolais dans l’objectif de travailler pour le retour de la paix. Cela ne doit donc pas être interprété comme une quelconque forme de balkanisation d’autant plus que l’objectif recherché est de parvenir à la fin des hostilités ».

Ituri : 31 civils tués en deux jours entre Irumu et Mambasa

L’organisation de défense des droits de l’homme Convention pour le Respect des Droits humains (CRDH/ Irumu), alerte sur la tuerie de 31 civils par les hommes armés entre les territoires de Mambasa et Irumu, dans la province de l’Ituri (RDC).

A en croire Christophe Munyanderu, coordonateur de cette structure, ces civils ont été exécutés à l’espace de deux jours, soit du lundi 3 au mardi 4 avril 2023 dans la zone Tampon qui sépare les deux territoires, du côté Nord de la route nationale N°4.

Parmi ces civils tués figurent deux filles d’au moins 14 ans, qui ont été exécutés après s’être fait violer par ces hommes armés. La CRDH croit tout de même à un revirement de la situation vécue en 2022, où les membres de la communauté Nande avaient été pris pour cible par des miliciens du mouvement « Chini ya Tuna », une milice en caractère tribal œuvrant dans la zone.

« Ces civils ont été tués entre lundi 3 et mardi 4 avril 2023. A la même date du 3 avril, 5 autres civils ont été tués près de Komanda, dans la chefferie de Basili, dans le groupement Bandiamusu. Parmi ces 5 civils tués figurent 2 enfants filles d’environ 12 et 14 ans qui avant d’être tuées ont été violées” indique la CRDH

La même source, précise que « les auteurs de ce crimes ne sont pas encore connue, mais ceux qui sont pointés sont les miliciens du mouvement Chini ya Tuna, une milice à caractère Tribal qui s’attaque aux membres de la communauté Nande Yira, vivant dans la chefferie de Walese-Vonkutu» indique Christophe Munyanderu.

Par ailleurs cet acteur des droits de l’homme, indique que ces miliciens interdisent aux agriculteurs de la communauté Nande, d’accéder dans leurs champs se trouvant dans cette chefferie. Il appelle les autorités à vite agir avant que cette situation d’insécurité ne fasse encore des nouvelles victimes.

Nord-Kivu: Des rues de la commune rurale de Walikale revêtent une nouvelle robe grâce à Feza Binti Mutia

Les travaux d’aménagement des rues qui relient les différents quartiers de la commune rurale de Walikale dans la province du Nord Kivu se poursuivent normalement. Ceci, en vue de faciliter la circulation des engins roulant, des personnes ainsi que de leurs biens.

Une initiative propre de maître Feza Binti Mutia Jolie ministre provincial honoraire chargé de l’Administration de la justice au Nord Kivu. C’est depuis 2019, que cette jeune dame de Walikale s’est décidée de poursuivre à fond le changement a tout les niveaux dans son territoire d’origine.

Les bénéficiaires de cette initiative se trouvant dans l’axe Nyalusukula, Camp TP, entrée skyborn, Kisima, Kailenge, Mombo nord ainsi que Mombo sud, se disent tous satisfaits des avancées enregistrées dans l’aménagement des rues dans leur entité. Ils remercient son initiatrice, leur sœur Feza Binti Mutia Jolie pour cet engagement ainsi que pour tant d’autres bonnes œuvres qu’elle ne cesse de réaliser à Walikale.

« Au jadis quand il pleuvait on ne pouvait pas se déplacer d’un endroit à un autre même les élèves avaient des difficultés d’arriver à l’école suite à la boue, mais depuis que notre sœur a commencée avec l’aménagement des rues ici dans notre quartier, nous commençons à nous déplacer facilement même s’il pleut, c’est sans problème comme avant. Nous la remercions infiniment pour ce bon cœur et geste qu’elle est entrain de réaliser pour nous, nous la promettons d’être derrière elle» a témoigné un habitant du quartier Nyalusukula avenue Mombo Nord.

Ces habitants de Walikale plaide aussi auprès de Feza Binti Mutia, coordinatrice de l’organisation union des filles et femmes de Walikale (UFEFIWA) une organisation qui milite pour l’autonomisation de la femme, de vouloir continuer avec ces travaux dans d’autres avenues qui sont encore en difficultés.

Assemblée nationale : les députés adoptent huit projets de lois de ratification des ordonnances-lois

Les députés nationaux ont adopté, mardi 4 avril,  huit projets de lois portant ratification des ordonnances-lois prises en exécution de la loi n°22/066 du 26 décembre 2022 portant habilitation du gouvernement.

Il s’agit du projet de loi portant ratification de l’ordonnance-loi n° 23/05 modifiant et complétant le loi n°018/035 du 13 décembre 2018 fixant les principes fondamentaux relatifs à l’organisation de la santé publique ;  du projet de loi portant ratification de l’ordonnance-loi du 13 mars 2023  fixant les modalités de l’exercice de la liberté de presse, la liberté d’information et d’émission par la radio et la télévision, la presse écrite ou tout autre moyen de communication en RDC ; du projet de loi portant ratification n°23/007 du 3 mars 2023 modifiant et complétant la loi n°11/009 du 9 juillet 2011 portant principes fondamentaux à la protection de l’environnement.

Mais aussi, projet de la loi portant ratification de l’ordonnance-loi n°23/008 du 10 mars 2023 autorisant la ratification de l’accord  de la Convention de l’Union africaine sur la cyber-sécurité et la protection des données à caractère personnel ; projet de loi portant ratification de l’ordonnance-loi n°23/010 du 13 mars 2023 portant code numérique ; projet de loi portant ratification de l’ordonnance-loi n°23/011 du  13 mars 2023 autorisant la ratification de la Convention l’Union africaine des télécommunications ; projet de loi portant ratification de l’ordonnance-loi n°23/0112 du  13 mars 2023 portant autorisation de la prorogation de l’état de siège sur une partie de la RDC.

Déclarés recevables, les huit projets de lois ont été soumis au vote.

Loi Tshiani : « Nous allons demander au peuple de bloquer son exécution », (Salomon Kalonda)

Salomon Idi Kalonda s’est prononcé pour la première fois sur la polémique née de l’alignement de la Loi Tshiani sur le calendrier des matières à traiter par l’assemblée nationale de la République Démocratique du Congo.

En séjour au Sud-Kivu, ce haut représentant de Moïse Katumbi dans le Kivu a parlé d’une loi raciste, personnelle et divisionniste qui ne vise que Moïse Katumbi. Pour lui, une telle initiative révèle d’une mauvaise volonté de diviser les congolais. D’où son appel à la population du Kivu à faire échec à cette loi.

 » Que ce message leurs arrive à Kinshasa. On sait ce qu’ils cherchent, c’est Moïse Katumbi. S’ils tiennent au forcing pour que le parlement l’adopte, nous allons demander au peuple de bloquer son exécution. Ce pays se veut démocratique et le dernier mot appartient au souverain primaire que vous êtes » a laissé entendre le conseiller spécial de Moïse Katumbi.

Celui-ci a invité les populations du Sud-Kivu à s’approprier les opérations d’enrolement et d’identification des électeurs en cours, pour qu’en décembre elles se servent de leurs cartes d’électeur pour dit-il « sanctionner ce régime incapable d’améliorer les conditions de vie ».

Le M23 devrait se retirer de la ville Kiwandja d’ici 15 avril, (Uhuru Kenyatta )

D’après la feuille de route de Nairobi, le Mouvement du 23 mars ( M23) devrait se retirer de la ville de Kiwandja d’ici 15 avril prochain. C’est ce qu’a annoncé Uhuru Kenyatta, facilitateur de la région est-africaine pour la crise dans l’Est de la RDC.

Cependant, il a rassuré le bon déploiement des différentes forces de renfort et le retrait des rebelles du M23 des localités actuellement occupées par les forces de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC). Ce sont quelques-unes des villes de Masisi, mais aussi de Bunagana.

L’ancien président kenyan a également évoqué la possibilité d’un retour des rebelles du M23 à la table des négociations, ce que la RDC a jusqu’ici nié.

Lundi 3 mars, le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya a de nouveau réaffirmé la position congolaise de ne pas négocier avec le M23. Mais le facilitateur est ouvert à une intégration du M23 dans le processus de Nairobi qui a débuté depuis avril 2022.

Jusqu’à présent, ces discussions ont eu lieu sans le M23. Ce dernier a été éliminé dès le premier tour dans la capitale kenyane, à la demande des autorités congolaises, lorsqu’une délégation est arrivée sur les lieux.

D’autres réunions débuteront dans la seconde quinzaine d’avril. Cette fois, ce ne sera plus au Kenya, mais en RDC, notamment à Kinshasa mais aussi à Bukavu, Goma et Bunia. Plus de 40 groupes armés étaient impliqués dans les discussions en décembre. Cette fois-ci, il pourrait y en avoir davantage.

Mauritanie vs RDC : La FECOFA lance une offensive contre l’arbitrage injuste

La Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) a fait savoir dans un communiqué publié mardi 04 avril dernier, qu’elle a introduit une procédure auprès de la Confédération Africaine de Football (CAF) contre l’arbitre injuste qui a dirigé le match de la 4e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 opposant la Mauritanie contre la RDC.
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Dans ce document rendu public sur ses réseaux sociaux l’organe technique du football congolais dit que « À la suite des événements liés au match Mauritanie – RD Congo du 28 mars dernier au stade Cheikha Boïdiya à Nouakchott, la Fédération Congolaise de Football Association « FECOFA » rassure l’opinion publique tant sportive qu’elle a pris toutes les dispositions utiles » lit-on.

Et de poursuivre : « La procédure idoine en la matière a été effectuée, en effet, dans le respect des délais légaux exigés. Celle-ci a été introduite auprès de la CAF, et nous attendons la suite qui en sera réservée »

L’on se souvient encore de plusieurs faits qui ont été à la base de considérables critiques notamment le carton rouge infligé à Cédric Bakambu à la 59e minute pour une faute que l’arbitre tunisien, Selim, était le seul à voir alors qu’au départ il avait sifflé une position litigieuse de la part de l’international congolais.

Face ces genres d’injustice, la FECOFA déclare dans ledit document qu’il « tient à rassurer les fans et les supporters des Léopards et toute la communauté sur sa volonté et sa détermination pour défendre les droits de notre équipe nationale et de nos joueurs dans le respect règlements internationaux et des compétitions organisée sous l’égide de la Confédération Africaine de Football (CAF) »

FECOFA : vers l’installation du Comité de normalisation ?

L’installation du Comité de normalisation par la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) est sur le point de se produire. Une annonce faite par le journaliste d’investigation français, Romain Molina, mardi 04 avril dernier sur ses réseaux sociaux.

Sur Twitter, celui qui est à l’auteur de sept livres plus des reportages, enquêtes dans plusieurs médias renommés, a écrit : « Confirmation que la FIFA va introniser un comité de normalisation ces prochains jours en RDC. Il en est fini des hauts dirigeants de la FECOFA… »

Par conséquent, les jours de Donatien Tshimanga et toute son équipe sont plus que jamais comptés à la tête de la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA). Assumant l’intérim à la suite de la démission de Constant Omari en 2021, l’ancien 1er vice-président de l’organe technique du football congolais et son Comité vont céder leurs fauteuils aux prochains animateurs qui seront élus à la prochaine Assemblée Générale Élective qui se tiendra au mois de juillet.

Signalons que, le nouveaux Statuts prévoyant la tenue des élections à la tête de FECOFA et qui était pour le Comité Donatien Tshimanga, une raison de freiner certaines étapes préliminaires a été déjà publié sur le le journal officiel au mois de mars dernier. Ainsi donc, les élections seront cette fois-ci organisées pour élire des nouveaux animateurs à la tête de cette instance après plusieurs reports.

Nord-Kivu: Le Chef d’état major général attendu à Beni ce mercredi

Le chef d’état major général des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), le lieutenant général Christian Tshiwewe est annoncé à Beni dans la province du Nord-Kivu ce mercredi 05 avril 2023.

Cette annoncée a été faite par le gouverneur de province du Nord Kivu, le lieutenant général Constant Ndima, lors de sa décente dans la région de Beni ce mardi 04 avril 2023.

D’après lui, cette visite du numéro 1 de l’armée congolaise s’inscrit dans le cadre d’évaluer les opérations militaires dans cette partie où opèrent les terroristes de la force démocratique et alliée (ADF) depuis plus de deux décennies.

L’autorité provinciale a également fait savoir qu’il est allé dans le grand nord de la province pour préparer l’accueil du chef d’état-major général annoncé dans la région pour pour cette fin.

Dans l’objectif de contenir les ADF, l’armée congolaise avait lancé depuis le mois de novembre 2021 l’opération Shujaa, conjointement avec l’armée ougandaise (UPDF), une opération qui produit des résultats palpables avec l’arrestation de certains leaders de ce mouvement terroriste.

Nord Kivu: Un nouvel éboulement de terre fait 3 mort à Masisi

Trois personnes toutes d’une même famille sont décédés ensevelies dans un nouvel éboulement de terre survenu dans le village Musenge dans le territoire de Masisi en province du Nord Kivu ce mardi 04 avril dans la matinée.

Un drame survenu deux jours seulement après un autre similaire enregistré à Bulua un village situé non loin du lieu de ce nouvel incident le dimanche dernier causant la mort d’une vingtaine de personnes dont la majorité était des femmes.

Selon Télesphore Mitondeke, président de la société civile du territoire de Masisi, c’était aux environs d’une heure du matin quand cette famille a été surprise par ce glissement de terrain.

« Les victimes sont le père de famille et ses deux enfants. Sa femme, gravement blessée a été sauvée de justesse par les jeunes du milieu. Elle est admise dans une structure de santé pour des soins» a dit le président de la société civile.

A ceci s’ajouter aussi la démolition de plusieurs maisons voisines par cette boue. La société civile du milieu appelle la population à reboiser leurs parcelles pour éviter que pareil cas ne se reproduise.

Simon Kimbangu : l’entrée d’une légende vivante dans l’Histoire (Tribune de Japhet Tekila)

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Comprendre l’histoire doit nous aider à affronter notre propre époque. Comme un pavé dans la mare, l’opinion publique congolaise a suivi la publication de l’ordonnance n° 23/042 du 30 mars 2023 fixant la liste des jours fériés légaux en République Démocratique du Congo parmi lesquels la date du 6 avril consacrée désormais Journée du combat de Simon Kimbangu et de la conscience africaine. Il était temps pour ainsi dire que l’entrée dans la légende de cette personnalité hors du commun, née à Nkamba le 1er septembre 1887, soit célébrée au plan national. Que d’ouvrages, d’articles, des colloques, d’émissions radiophoniques et télévisées sur sa vie !

Contrairement à une certaine opinion peu instruite, Simon Kimbangu n’était pas exclusivement un leader religieux. Au départ, Simon Kimbangu est un homme apparemment ordinaire qui a fait ses études à la mission protestante de Ngombe Lutete ; il devint catéchiste dans la communauté baptiste. Le mercredi 6 avril 1921 est considérée comme le début de sa mission prophétique, réalisant des guérisons diverses et développant un enseignement religieux de type nouveau, selon l’historien Isidore Ndaywel. Dans le contexte de son époque, il a osé dire : « Un jour, les Blancs deviendront des Noirs et les Noirs deviendront des Blancs ! ». Cette idée était profondément révolutionnaire. C’était un choc contre l’ordre colonial scélérat et injuste. Simon Kimbangu avait ses propres idées, ses propres combats.

Vraisemblablement, Simon Kimbangu fait partie de la grande lignée des héros et de hérauts de la libération panafricaine qui ont inspiré les nobles idéaux qui ont guidé des générations de panafricanistes dans leur détermination à promouvoir la dignité humaine et l’émancipation des peuples. Le destin a voulu qu’il soit arrêté le 12 septembre 1921, condamné à mort par le Conseil de Guerre de Thysville (Mbanza-Ngungu actuel)… comme s’il avait été un militaire !

Simon Kimbangu Kiangani, responsable Kimbanguiste serrant les mains du président Félix Tshisekedi. @Photo Droits tiers

Malgré que sa peine fut communiée en celle de servitude pénale à perpétuité par le roi des Belges, Simon Kimbangu sera relégué à la prison d’Elisabethville (actuellement Lubumbashi), où il demeura prisonnier pendant trente ans (le plus vieux prisonnier du monde ?) jusqu’à sa mort, le 14 octobre 1951. Du 6 avril 1921 à sa condamnation à mort le 3 octobre de la même année, sa vie publique n’a duré que six mois. Une vie pleine de bravoure, fière et digne, incorruptible et invincible, dont la stature surclasse celle de certains dieux, à travers le monde entier. A l’heure actuelle où les espérances placées dans certains gouvernants se sont fondus, il faut espérer que surgissent encore des hommes de la trempe de Simon Kimbangu.

Sud-Kivu : La pirogue motorisée qui a chaviré transportait une centaine de personnes (autorité locale)

La pirogue motorisée qui a chaviré sur le lac Kivu la nuit de dimanche à lundi 3 avril transportait au moins 100 personnes. C’est ce qu’a affirmé le Chef de village Kabingu de la collectivité Ntambuka en territoire d’Idjwi d’où provenait la boat en direction de Kituku en ville de Goma.

Selon cette autorité locale, jusque dans l’après-midi de ce lundi 6 corps sans vie ont été découverts et remis à leurs familles pour enterrement.

La même source renseigne que, pendant que les recherches se poursuivent pour les disparus, déjà 55 personnes ont été repêchées des eaux. Parmi elles, plusieurs poursuivent des soins dans des structures sanitaires de la place.

Pour rappel, une pirogue motorisée a chaviré sur le lac Kivu la nuit de dimanche au lundi 3 avril. Cette pirogue qui transportait plusieurs personnes et des marchandises aurait chaviré suite à une forte vague qui a secoué le lac Kivu. Plusieurs autres sources évoquent le surchargement comme cause de cet accident lacustre.

Bertin Bulonza depuis Bukavu

Tanganyika : la découverte d’un gîte de coltan à la base d’un imbroglio entre deux territoires

Le gouvernement provincial de Tanganyika a annoncé lundi 3 avril, la descente sur terrain d’une commission pour apaiser le conflit qui oppose le territoire de Kalemie à celui de Nyunzu après la découverte d’un gisement de coltan dans le village Sango Mutosha situé à la limite entre les deux territoires.

« Selon ce qui a été dit il fallait qu’une équipe gouvernementale, avec certains notables de tous les coins ensemble avec certains députés provinciaux qui ne sont pas des élus, ni de Kalemie ni de Nyunzu, puisse descendre pour voir quelles sont les faisabilités pour arriver à départager ces deux territoires», a déclaré le ministre provincial de l’intérieur du Tanganyika, Dieudonné Kasaka.

Et de poursuivre, « On a fait ça, il fallait maintenant qu’une commission soit créée, pour que cette commission de huit personnes statue selon les éléments qui ont été pris qu’on sache réellement est ce que cette partie appartient au territoire de Kalemie ou de Nyunzu ».

Il a tout de même rassuré que, toutes les cartes sont disponibles et seront consultés avant qu’une décision ne soit prise.

Un enfant d’au moins 13 ans retrouvé mort à Goma

Un enfant d’environ 13 ans a été retrouvé mort suite au gaz communément appelé « Mazuku» la soirée du dimanche 2 avril 2023 dans le quartier Lac Vert à l’ouest de la ville volcanique de Goma.

L’incident s’est produit précisément sur avenue Mabanga, tout près du stade au quartier de Goma dans ledit quartier, alors que « cet enfant voulait se soulager » a noté le chef de ce quartier dans une alerte.

Le corps de la victime découverte était « déjà en état de décomposition dans une zone de Mazuku », ajoute-t-il.

Il y’a peu, en février, Joseph Makundi coordonnateur principal de la protection civile dans la province du Nord-Kivu
avait perdu la vie pendant qu’il tentait d’extirper le corps d’un déplacé de guerre coincé dans une grotte au quartier Lac-Vert.

Le responsable de l’initiative Watoto radio, le journaliste Daniel Makasi de la ville de Goma plaide pour que “l’OVG (Observatoire volcanologique de Goma) remette en place des panneaux de signalisation afin d’épargner la population de ce danger”.

Ce journaliste spécialisé dans l’environnement a lancé sur les réseaux sociaux une campagne dénommée « Hange na Mazuku » (attention avec le gaz Mazuku en français) de sensibilisation sur « la connaissance et le danger que représente le gaz Mazuku ».

Gaz toxique généré par l’activité volcanique, le Mazuku présente aujourd’hui un danger pour les habitants de Goma en général et en particulier ceux des zones ouest de la ville.

Nord Kivu: La Fédération de l’ACN Sud Kivu reçue à Goma par le Président national du Parti

Profitant du séjour à Goma de Célestin Nvunabandi président national du Parti politique Action pour un Congo nouveau (ACN) où il est venu pour se faire enrôler, la fédération du Sud Kivu est venue lui présenter des civiles.

Conduite des mains de maître par Mulumeoderhwa Bibentyo Unique Josué, cette délégation venue de la ville de Bukavu a rencontré le président national de leur parti ce lundi 03 mars 2023. En tête à tête, ce jeune ambitieux qui assure la présidence provinciale du parti dans le Sud Kivu a présenté à Célestin Nvunavandi l’état d’avancement de l’ACN dans le Sud Kivu.

Comme il revient de facto à chaque parti politique de conquérir des sièges lors des élections, ce parti est aussi aligné en ordre de bataille utile pour les prochaines élections prévues en décembre prochain, selon le calendrier de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

Selon Mulumeoderhwa Bibentyo Unique Josué, l’ACN est déjà implanté dans tous les 8 territoires de la province du Sud Kivu et sa mission est qu’il y ait aucune famille sans un membre de l’ACN.

Célestin Nvunabandi s’est acquitté de son devoir patriotique le samedi 1 avril dernier à l’école primaire Mbonga dans le camp des déplacés de guerre venus de Rutshuru, son territoire d’origine.

Nord-Kivu: Au moins 20 morts et des disparus dans un éboulement de terre à Masisi





Au moins 20 personnes sont décédées ensevelies dans un éboulement de terre l’après-midi du hier dimanche 02 avril 2022 dans la localité Balowa en groupement Osso dans le territoire de Masisi.

Selon des sources officielles qui dressent ce bilan, cet incident malheureux a surpris cette population dans une circonstance jusque-là peu connue.

En début d’après-midi de ce lundi, le porte-parole du gouverneur militaire du Nord Kivu, le lieutenant-colonel Guillaume Ndjike Kaiko vient d’adresser les compassions de l’autorité à toutes ces familles éplorées.

«Eu égard à cette circonstance due à la nature, l’autorité provinciale présente ses sincères condoléances et sa compassion aux familles biologiques des illustres disparus et à toute la population de la province » lit-on dans ce communiqué.

Jusqu’à ce lundi, les fouilles systématiques se poursuivent sur le lieu de drame pour tenter de retirer d’autres corps dans les décombres.

Dans la foulée, les voix se lèvent pour demander à la population de Masisi de penser au reboisement pour éviter que pareil cas ne se reproduise plus. Celui-ci vient de s’ajouter à d’autres cas de glissement des terrains et d’éboulement enregistrés dans cette partie de la province depuis le début de l’année 2023.

Muhindo Nzangi et Patrick Muyaya s’imprègnent de l’évolution des travaux de réhabilitation de l’UPN et UNIKIN

Ce lundi 3 avril, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire ( ESU), Muhindo Nzangi et son collègue de la communication et des médias Patrick Muyaya se sont rendus tour à tour à l’Université pédagogique nationale ( UPN) et à l’Université de Kinshasa ( UNIKIN).

D’après la cellule de communication du ministère de l’ESU, l’objectif de cette descente était de s’enquérir de l’évolution des travaux de réhabilitation et de modernisation de ces établissements. La même source rassure que, les travaux lancés depuis l’année dernière, évoluent à pas de géant « ce qui traduit le véritable changement de narratif».

En janvier de l’année en cours, le ministre de l’ESU avait effectué une visite d’inspection à l’Institut national des Bâtiments et Travaux Publics (INBTP). Accompagné du Recteur de cet établissement universitaire, Muhindo Nzangi avait noté une évolution satisfaisante des travaux de finalisation des auditoires et homes des étudiants en construction.

Le même jour, il s’était rendu à l’Université Pédagogique Nationale (UPN) où le comité de gestion l’avait fait visiter les bâtiments abritant les homes des étudiants qui sont à 90% de la fin des travaux.

A la dernière étape, il avait visité l’Université de Kinshasa (UNIKIN) où il avait constaté une grande évolution des travaux. Ainsi, il avait exprimé son satisfecit du fait que la réhabilitation des homes de l’UNIKIN a été réalisée par une entreprise congolaise.

Le 6 avril décrété journée du combat de Simon Kimbangu et de la conscience Africaine

Désormais, le 6 avril de chaque année est reconnue comme journée du combat de Simon Kimbangu et de la conscience africaine, indique une ordonnance de la présidence de la République rendue publique ce 3 avril.

Dans ce même document, la Présidence a rappelé les différents jours fériés de la République démocratique du Congo ( RDC). « Dans le cas où l’un des jours fériés légaux visés à l’article 1er coïncide avec un dimanche, le congé relatif à ce jour est repris le jour précédent », a-t-on appris de ce document.

Cette annonce fait suite à la promesse du chef de l’État Félix Tshisekedi de faire de cette date chômée et payée. « Je demande aux présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat pour que la date du 06 avril soit retenue comme journée chômée et payée», avait-il laissé entendre.

Né le 12 septembre 1887 à Nkamba dans l’actuelle province du Kongo Central, Simon Kimbangu est considéré par les fidèles de l’église Kimbanguiste comme un envoyé spirituel congolais. Il est mort le 12 octobre 1951 dans la ville d’Élisabethville après une longue détention d’une trentaine d’années

Sud-Kivu : des morts et des disparus dans un chavirement d’une pirogue motorisée à Idjwi

Plusieurs personnes sont mortes et d’autres disparues dans la nuit du dimanche à ce lundi 3 avril 2023 dans un chavirement d’une pirogue motorisée communément appelée Boat.

Le fait s’est produit dans la collectivité Ntambuka lorsque cette pirogue a quitté la piste Musama pour la ville de Goma au Nord-Kivu voisin. Les premières informations nous parvenues indiquent que la pirogue qui a chaviré avait à son bord plusieurs personnes estimées à une trentaine et plusieurs marchandises composées essentiellement des produits champêtres.

Des sources lacustres de la Zone renseignent que la pirogue en question n’avait aucun document des services habilités pour cette navigation nocturne. Elles évoquent le surchargement et la vague comme causes ayant occasionné ce chavirement. 

Le bilan provisoire fait état de 6 personnes rescapées. « Difficile pour l’instant de confirmer si oui ou non les autres sont mortes étant donné que les recherches se poursuivent sur le lac Kivu » confie un habitant de la place.

Bertin Bulonza depuis Bukavu

Les soldats sud-soudanais rejoignent la force de l’EAC dans l’Est de la RDC

Au moins 45 soldats de l’armée sud-soudanaise sont arrivés, dimanche 2 avril, à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo. Cette unité est venue rejoindre la force régionale de l’EAC pour contrôler le retrait des rebelles du M23.

« Maintenant vous êtes dans un environnement opérationnel différent. Vous devez vous tenir prêts », a déclaré le colonel Jok Akech, un officier de la force de l’EAC.

La taille exacte du contingent sud-soudanais au complet reste non précisée, de même que son lieu de déploiement. En décembre, le Sud-Soudan avait annoncé l’envoi de 750 soldats en RDC.

La force de l’EAC, qui comprend outre les Sud-Soudanais des soldats du Kenya, du Burundi et de l’Ouganda, doit superviser un retrait programmé de la rébellion.

Dans la province du Nord-Kivu, le M23 (Mouvement du 23 mars), ancienne rébellion majoritairement tutsi, s’est emparé depuis un an de vastes pans de territoire jusqu’à quelques dizaines de kilomètres de Goma, la capitale provinciale, déclenchant une vaste crise humanitaire.

Le M23, qui a repris les armes fin 2021, est soutenu, selon la RDC et des experts de l’ONU, par le Rwanda ce que Kigali dément.

Élections 2023 : l’enrôlement dans la 3ème aire opérationnelle prolongé au 11 avril

L’opération d’identification et d’enrôlement dans la troisième aire opérationnelle est prolongée de 10 jours, elle va se poursuivre jusqu’au 11 avril prochain. C’est ce qui ressort d’un communiqué de la Commission électorale nationale indépendante ( CENI) le weekend dernier.

Selon la centrale électorale, ceci s’inscrit dans le souci de préserver un caractère inclusif des opérations en cours « Afin de permettre à tout congolais remplissant les conditions requises d’obtenir la carte d’électeur et de figurer sur la liste électorale ».

« La CENI invite donc la population des provinces de l’Aire opérationnelle 3 à saisir cette opportunité qui leur es offerte de se rendre massivement dans les centres d’inscription de leurs lieux de résidence pour l’identification et L’enrôlement », a-t-on lu dans ce communiqué.

C’est depuis le 16 février que la Centrale électorale a lancé cette opération dans la troisième aire opérationnelle. Ce processus concerne les provinces de Bas-Uélé, Haut-Uélé, Ituri, Maniema, Nord-Kivu, Sud-kivu, Tshopo ainsi que le Canada et les États-Unis d’Amérique.