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CHAN 2024 : La RDC veut accueillir conjointement la compétition avec Congo-Brazza

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La République démocratique du Congo, a exprimé sa volonté d’organiser conjointement le Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2024 avec son voisin de la République du Congo.

Ceci est l’un des sujets émanant d’un échange qu’a eu le ministre des Sports et loisirs, François Kabulo, et le Secrétaire général de la Confédération Africaine de Football (CAF), Véron Mosengo Omba au siège de ladite instance en Egypte.

M. François Claude Kabulo est en séjour de travail depuis le lundi 10 avril dernier au Caire pour non seulement redynamiser les sports entre la RD Congo et l’Égypte, mais également envisager sous un nouveau jour la relance et le développement du football congolais.

Accompagné des Délégués FIFA/CAF en activité à la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) en charge des questions financières et juridiques, ce dernier a discuté sur six points essentiels avec celui qui s’occupe de l’administration de la CAF, M. Veron Omba.

Il s’agit de la standardisation aux normes CAF des stade des martyrs et Kibassa Maliba, la reprise du championnat national, la formation des arbitres, le développement du football féminin et des jeunes, la formation des entraîneurs et l’organisation conjointe Congo-Brazza-RD Congo du CHAN 2024.

Pour sa première visite officielle au Quartier général de cette instance, M. Kabulo Mwana Kabulo a profité pour déclarer qu’en tant que ministre des Sports, « il était important de prendre attache avec la CAF, qui a la charge du football africain» dit-il.

Via cette même occasion, Il a ajouté qu’il reconnaît les attributions exclusives de la FECOFA en matière d’organisation du football en RDC tout en rappelant l’apport significatif de l’Etat dans le financement du football en général. Il était donc important de préciser le cadre réglementaire des interactions afin qu’il n’y ait pas de confusion.

Mbanza-ngungu : Un corps enterré six ans après sa conservation à la morgue

Un des rares événements et une situation alarmante se sont produits à Mbanza-Ngungu, l’une des villes de la province du Kongo-Central. Le corps d’une femme morte en 2017 a été porté en terre mardi 11 avril dernier.

D’après une dépêche de l’Agence congolaise de presse (ACP), ce corps a été conservé pendant six ans dans la morgue de Nsona Nkulu toujours à Mbanza-ngungu suite a une disparition mystérieuse de la défunte

« Cette durée de conservation à la morgue du corps de la défunte, Mme Madeleine Nsimba, fait suite à sa disparition mystérieuse constatée le jour de son embaumement », a-t-on appris.

Cette même source rapporte que, trois jours après son décès survenu le 12 juillet 2017, le corps de l’illustre disparu a été « retrouvé à l’extérieur de l’enclos de la morgue dans la matinée du 15 juillet 2017… Au bout de plusieurs mois d’enquête, les services judiciaires n’ont trouvé aucun coupable »

Une autre source nous renseigne qu’après une mésentente entre l’État et la famille de la défunte sur la lumière concernant sa profanation quelques heures après le dépôt du corps de la morgue, il a été longtemps gardé dans cette morgue avant que la famille décide de l’inhumer en 2020. Faute d’un terrain d’attente, le corps était retourné à la morgue.

La même source fait savoir que, le parquet de grande instance de Mbanza-Ngungu qui avait été saisi de la situation, a procédé à l’arrestation de certains travailleurs de cette morgue pour raison d’enquête. Mais cet enterrement vient de mettre fin à long suspense qui planait autour de cette affaire.

Sud-Kivu : Les casques bleus en patrouilles autour du camp de Mikenge pour dissuader les attaques des rebelles



La Mission des Nations-Unies pour la stabilité au Congo (MONUSCO) indique que les casques bleus pakistanais organisent des patrouilles régulières autour du camp de Mikenge au Sud-Kivu.

D’après cette agence des Nations Unies, ces patrouilles sont effectuées pour rassurer la population et dissuader les attaques des rebelles.

Plusieurs personnes sont cantonnées au camp Mikenge fuyant ainsi les atrocités des groupes armés dans les territoires de Fizi et Mwanga.

L’année dernière des manifestations anti Monusco ont été organisées à l’Est de la RDC notamment dans le territoire et la ville d’Uvira (Sud-Kivu). Les manifestants réclamaient le départ de la Monusco accusée d’inaction dans la recherche de la paix dans l’Est du pays.

L’on compte à ce jour plus de deux décennies depuis que la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (Monusco) existe. Elle a pour mission de maintenir la paix.

Crise humanitaire au Nord Kivu : Mbusa Nyamwisi promet sa sérieuse participation pour une amélioration

Le ministre d’État, ministre de l’Intégration régionale Antipas Mbusa Nyamwisi séjourne dans la ville de Goma en province du Nord Kivu depuis ce mercredi 12 avril 2023 dans la soirée.

Celui-ci a été accueilli par une foule immense de militants, cadres et sympathisants de son parti le RCD/KML. Aussitôt arrivé, le patron de l’intégration régionale en RDC est allé présenter au gouverneur de province avant de se rendre au complexe scolaire la Concorde où il s’est enrôlé.

Devant la presse, ce dernier a condamné la situation humanitaire et sécuritaire dans la province du Nord-Kivu. Pour lui, le pays compte actuellement un grand nombre des déplacés au niveau mondial constitué notamment des enfants, des vieilles femmes ainsi que toute catégorie des personnes.

« Des personnes qui vivent calmement chez elles vivent actuellement dans des maisons de fortune à cause de la guerre. Je crois que nous devons mettre fin à cela et en tant que ministre de l’intégration régionale je suis aussi chargé du processus de retour à la paix; j’ai une participation à faire et je le ferai avec le maximum de sérieux avec le soutien de ma hiérarchie » a-t-il fait savoir.

Tout en adressant un message de compassion à toutes les familles des victimes des affres de la guerre, Mbusa Nyamwisi n’a pas manqué d’encourager tous les agents humanitaires impliqués dans cette crise. Il a par ailleurs marqué son admiration au travail de titan que ne cessent d’abattre tout le personnel humanitaire et public.

Situation à Kibumba: Les FARDC nient toute participation dans les affrontements

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Après plusieurs heures d’affrontements l’avant midi de mercredi 12 avril 2023, sur le mont Nyindu dans le groupement de Kibumba en territoire de Nyiragongo, l’armée congolaise vient de nier toute participation dans ceux ci.

Dans un communiqué officiel rendu public la soirée de ce même mercredi, le porte-parole de l’armée le lieutenant colonel Ndjike Kaiko Guillaume rassure que les prétendus accrochages ont été à la base d’une défensive qui aurait opposé la jeunesse du milieu communément appelée les Wazalendo à la rébellion du M23/RDF.

Le même communiqué précise que, ces affrontements n’engagnent en rien les forces armées de la RDC. « Les FARDC informent qu’elles se sont employées à la recherche des auteurs de ces coups de feu et ont interpellé 59 personnes de ce groupe qui a déclenché des accrochages ».

A noter que, le M23 avait annoncé depuis le 23 décembre dernier avoir cédé la cité de Kibumba en territoire de Nyiragongo à la force régionale de l’Eac

Boris Mbuku plaide pour une peine allant de 10 à 20 ans pour les mangeurs de la viande du chien

A la plénière du mardi 11 avril, le député national Boris Mbuku a proposé une peine de 10 à 20 ans pour toute personne qui sera attrapée en train d’abattre et de manger notamment la viande du chien et chat.

A en croire cet élu, cette proposition porte sur la préservation des espèces d’animaux de compagnies menacées de disparition dont le chien et le chat. Ainsi, il a plaidé que cette proposition soit intégrée dans la proposition de loi portant principes fondamentaux relatifs à l’élevage en RDC.

Il a déploré la non protection des animaux de compagnie. «Dans la proposition de loi, il y a un chapitre consacré à la protection des animaux. Parce que l’éléphant est protégé, pourquoi pas d’autres animaux comme les animaux de compagnie », a-t-il interrogé à la plénière.

Pourtant, d’après lui, les animaux de compagnie sont en voie de disparition. « C’est le cas du chat, du chien. Nous devons trouver dans la loi les dispositions relatives à l’interdiction formelle de manger publiquement la viande du chien », a-t-il poursuivi.

La plénière a déclaré recevable la proposition de loi portant principe relatif à l’élevage en RDC. Elle est envoyée à la commission environnement pour un examen approfondi. Ce texte est initié par la député Annie Mombunza.

En effet, la viande canine ou viande de chien est de plus en plus consommée par certains habitants de Kinshasa. Si cette viande fait partie de la gastronomie de certaines régions de la RDC, comme le Kasaï, c’est seulement depuis quelques années qu’elle a fait son entrée dans les habitudes culinaires de certains kinois.

Nord Kivu: Les positions des résistants à Kibumba attaquées par le M23

Des violents combats ont été signalés à Kibumba dans le territoire de Nyiragongo ce mercredi 2023. Selon des sources recoupées, les rebelles du M23 ont attaqué pour une énième fois les positions occupées par les forces armées de la République démocratique du Congo ainsi que quelques résistants locaux pour tenter d’occuper cette partie de la province située au nord du territoire de Nyiragongo.

Les mêmes sources confirment que les éléments de la force régionale de l’EAC se sont battus aux côtés des éléments du M23 en attaquant les positions de jeunes résistants sur l’axe de Kibumba. « Beaucoup de jeunes résistants se sont rendus aux FARDC et qui viennent d’être interpellés par SOKOLA 2» ajoutent nos sources.

Annoncée avec pompe en janvier dernier, la passation de Kibumba entre les mains de la force régionale de l’EAC en décembre dernier n’aura été qu’une simple mascarade car, selon nos sources la présence du M23 était toujours signalée dans plusieurs coins et recoins de la cité.

Peter Kazadi et Marc Ekila veulent lutter contre les embouteillages à Kinshasa

La question sur les embouteillages en ville de Kinshasa, capitale congolaise, a été au centre des discussions mardi 11 avril entre le Vice-premier ministre, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Peter Kazadi et son collègue des Transports et voies de communication, Marc Ekila.


Le VPM Peter Kazadi a salué le projet lui présenté par son collègue des Transports pour faire face à cette situation. D’après lui, il y aura des artères qui seront, à des heures fixes, utilisées comme sens unique et à d’autres heures, comme le sens inverse.


« Je pense que c’est un début de recherche des solutions aux problèmes des embouteillages dans la ville de Kinshasa », a-t-il fait savoir à la presse.


Le ministre de l’intérieur et de la sécurité reste tout de même convaincu qu’avec le concours de la police et de tous les congolais, « nous allons essayer d’appliquer ce plan et le faire respecter rigoureusement pour que nous puissions juguler, dans la mesure du possible, les embouteillages qui polluent notre vie à tous ».


Les embouteillages observés à Kinshasa le matin et après-midi sont à la base de la majoration du coût de transports par les conducteurs des transports en commun. Certaines personnes par insuffisance d’argent sont obligées de faire de longs trajets à pied.

Le Sukhoï 25 survole à nouveau Goma

L’avion de chasse congolais a de nouveau survolé, mardi 11 avril, la ville de Goma, dans la province du Nord-Kivu, après avoir été touchée par l’armée rwandaise en janvier dernier.

« Aujourd’hui, l’autorité est venue assister à un vol d’essai d’un Sukhoï qui avait été endommagé pendant les opérations et qui a été remis en état grâce à l’expertise des fils de ce pays», a déclaré le porte-parole des FARDC de cette province, le colonel Ndjike Kaiko Guillaume.

Des images partagées en Janvier dernier, sur les réseaux sociaux montrant l’avion militaire de la RDC se faire tirer dessus alors qu’il volait à basse altitude entre les villes de Goma en RD Congo et Gisenyi au Rwanda.

D’autres images montraient que l’avion endommagé, Sukhoi-25 de fabrication soviétique, refroidi avec de l’eau à l’aéroport de Goma.

« Cet avion de chasse a été attaqué pendant qu’il entamait son atterrissage sur la piste de l’aéroport international de Goma », avait réagi le gouvernement congolais , précisant que l’avion a atterri « sans dégât matériel majeur. »

Enrôlement des électeurs : la troisième aire opérationnelle se ferme ce mercredi



Ouverts depuis le 16 février dernier, les Centres d’inscription de l’Aire opérationnelle 3 (AO3) seront fermés ce mercredi 12 avril à 17h, heures locales.


La Commission électorale nationale indépendante (CENI), qui livre l’information, a indiqué que dans les territoires de Masisi, Nyiragongo et Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu, des mesures particulières seront prises en fonction de l’évolution de la situation sécuritaire.


«…Compte tenu des difficultés de fonctionnement et de sécurité rencontrées pendant la période de récupération dans certains centres d’inscription et le nombre élevé des requérants dans les files d’attente dans quelques Centres d’inscription, les jetons seront distribués afin de les prendre en charge progressivement », a-t-on appris.


La centrale électorale invite de ce fait la population habitant ces provinces à dénoncer tout cas de monnayage des jetons, de corruption et de désordre dans les Centres d’inscription ainsi que les faits saillants susceptibles de perturber la fermeture des centres d’inscription.


L’Aire opérationnelle 3 comprend le Canada et les États-Unis ainsi que les provinces de l’Ituri, Maniema, Nord-Kivu, Sud-Kivu, Bas-Uélé, Haut-Uélé et Tshopo.

Le député UNC, John Ntumba n’est plus



Le député national John Ntumba de l’Union pour la nation congolaise ( UNC) a rendu l’âme la nuit du mardi à ce mercredi 12 avril. Selon les sources familiales, il est décédé à la suite d’un malaise.

Les mêmes sources renseignent que, le corps de l’illustre disparu a quitté l’hôpital HJ où il a tiré sa révérence pour être transféré à la morgue du cinquantenaire.

Originaire de la province du Kasaï central est né le 24 août 1968 à Kinshasa, John Ntumba Panumpakole,détenteur d’un master en sciences économiques, option gestion financière obtenu à l’Université protestante au Congo en 1999.

En 2018, ce cadre du parti cher à Vital Kamerhe a été Élu doublement député national et provincial dans la ville de Kananga au Kasaï Central. En 2019, il a piloté le ministère de la Formation professionnelle, arts et métiers du gouvernement Ilunga Ilunkamba, en République démocratique du Congo.

Mauritanie – RDC : La CAF rend son verdict

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La Confédération Africaine de Football (CAF) a suspendu l’arbitre tunisien Sadok Selim pour sa prestation douteuse lors du match du match entre les Léopards de la RDC face à la Mauritanie à Nouakchott à l’occasion de la 4e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Côte d’Ivoire en 2023.

Choisi comme l’arbitre central lors cette fameuse rencontre, le tunisien est suspendu pour 3 mois et retiré de la liste des arbitres retenus pour officier les prochaines affiches de la Ligue des champions de la CAF 2022-2023.

À titre de rappel, La Mauritanie et la République démocratique du Congo se sont quittées dos à dos (1-1) lors de cette confrontation. Mais l’équipe congolaise avait fini ce match à 10 après le carton rouge de Cédric Bakambu à la 59e minute pour une faute que l’arbitre tunisien, Selim, était le seul à voir alors qu’au départ il avait sifflé une position litigieuse de la part de l’international congolais.

Cette nouvelle semble comme un gain de cause pour la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) qui avait saisi l’instance du football continental quant à cet arbitrage injuste dont les Léopards ont été victimes.

Handball/ Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe : La JSK va représenter la RDC

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La formation de la Jeunesse sportive de Kinshasa (JSK) sera la seule représentante de la République démocratique du Congo à la 39e édition de la Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe de handball masculin qui se tiendra du 09 au 18 mai prochain en Egypte.

Logé dans le groupe A, très relevé, à l’issue du tirage au sort effectué samedi 08 avril dernier, le 11 fois vainqueur de la Coupe du Congo va faire face au Zamalek d’Égypte, six fois champion de cette compétition, Wydad Smara du Maroc, Fanz du Cameroun et Red star de la Côte d’Ivoire.

Le club congolais de handball va affronter ses adversaires dans ce premier tour que dans une seule manche. Ainsi donc, cette équipe kinoise va devoir mettre toutes les batteries en marche afin d’aller chercher se classer aux quatres premières places qualificatives au quart de finale.

En effet, ceci ne semble donc pas une mission impossible pour la JSK. Cette formation sait négocier des compétitions continentales. D’ailleurs en 2022 lors de la Ligue des champions de cette même discipline sportive, ladite équipe a réussi à se hisser en quart de finale.

C’était après avoir fini à la 3e place avec 4 à l’étape de la phase des groupes. Mais elle a été arrêtée par Zamalek avant d’aller arracher le match de classement de la 5e place devant ES Aïn Touta d’Algérie.

Mongala : 5 personnes échappent à la mort après un crash d’avion

Aucune perte de vie humaine enregistrée lors d’un crash d’avion qui est survenu mardi 11 avril dernier à l’aérodrome de Lisala dans la province de Mongala. Un total de 5 personnes ont échappé belle la mort.

Il s’agit de deux pilotes, deux équipages et un technicien qui était à bord de cette aéronef bi-moteur Fokker d’une compagnie aérienne congolaise (Air Kasaï).

D’après certaines sources, cet accident fait suite à une météo morose dans cette région nord-ouest de la République démocratique du Congo où il pleut quotidiennement.

Les mêmes sources renseignent également que cet appareil volant a fait une sortie de piste, qui a endommagé son nez. transportait les moustiquaires imprégnées d’insecticides l’appareil a quitté le sol à 200 mètres pour s’arrêter à 2 mètres d’une maison.

Retour sur la première semaine de Kabulo à la tête des Sports congolais

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Le ministre des Sports et loisirs, François Claude Kabulo Mwana Kabulo, séjourne depuis lundi 10 avril dernier en Egypte. D’après ses services, ce voyage consiste à régler certains dossiers et de renouveler un accord bilatéral qui prévoit la formation approfondie des cadres techniques et des arbitres congolais.

Aussi, l’ancien emblématique journaliste sportif de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), « est dans une mission de redynamisation des relations sportives entre la République démocratique du Congo et les pays des Pharaons » rapporte la même source. Qui indique que cette coopération sportive entre les deux pays a été signée en 2004.

Par la même occasion, M. le ministre aura également un rendez-vous avec le Comité exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF). Dans cette rencontre, il va tenter d’attirer leur attention afin de revenir pour une autre mission d’homologation du Stade des Martyrs de la Pentecôte qui est parmi ses priorités. C’est ce qu’a fait savoir la cellule de la communication du cabinet de Mr F. Kabulo Mwana Kabulo.

Dans un autre registre, le troisième ministre des Sports congolais de ce régime, va tout de même essayer d’évoquer avec la CAF la question sur les élections à la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA). Une acte auquel sa cellule de communication dit qu’il « n’a aucune connotation d’ingérence dans le fonctionnement des Fédérations sportives »

Par ailleurs, le ministre des Sports et loisirs à bien avant de partir à l’Égypte, assisté le dimanche 09 avril dernier dans une cérémonie de remise des brevets des certains cadres techniques et officiels qui ont suivi un séminaire de formation de 6 jours organisée Dans le but de renforcer les capacités nécessaires des arbitres congolais, par la Fédération Congolaise de Lutte et Associées (FECOLUTTA).

Sud-Kivu : malgré sa reprise des fonctions, Théo Ngwabidje court toujours le risque d’une éviction

Réhabilité par la cour constitutionnelle depuis mars dernier, le Gouverneur du Sud-Kivu a enfin repris ses fonctions ce mardi 11 avril 2023. C’est après avoir obtenu du Vice-Premier ministre et ministre de l’intérieur une lettre lui demandant de reprendre ses fonctions en tant que Gouverneur.

Malgré cette reprise des fonctions, le Gouverneur Théo Ngwabidje est loin de travailler dans le calme. Déjà quelques heures après la lettre du Vice-Premier ministre et ministre de l’intérieur, les députés provinciaux ont encore une fois déposé une autre motion de censure contre le Gouvernement Provincial.

Cette cinquième motion depuis l’élection de Théo Ngwabidje n’a presque rien de nouveau. Les députés motionnaires soutiennent que cette motion n’a jamais été vidé de son contenu.

« Tous les griefs contenus dans notre motion sont toujours d’actualité » lâche un député, qui indique que malgré la réhabilitation de Théo Ngwabidje, le détournement, la gestion opaque, le mépris envers l’assemblée provinciale, la mauvaise gestion administrative et le manque d’infrastructures sont toujours à la une en province.

Autre raison qui aurait motivé les députés motionnaires, c’est la volonté de Kinshasa de vouloir maintenir un Gouverneur « vomi » par leur organe. Comme ils avaient prévenu lors de leur retour en province en provenance de Kinshasa où ils avaient été reçus par le président de la République, les députés n’ont cessé de jurer que sur la fin du règne de Théo Ngwabidje.

Pour eux, aucune cour, constitutionnelle soit-elle, ne saurait rétablir la confiance rompue entre l’assemblée Provinciale et l’exécutif Provincial sous la houlette de Théo Ngwabidje.

La motion de censure déposée a d’ailleurs été transmise au gouvernement provincial suivie d’une invitation pour que le chef de l’exécutif provincial vienne y répondre dans une plénière prévue ce vendredi 14 avril 2023.

Une crise entretenue ?

Cette crise qui ne fait que trop durer au Sud-Kivu semble être entretenue par Kinshasa, qui malgré les différentes demandes des auteurs de la société civile, les groupes de pression et les députés provinciaux, n’est pas disposé à livrer Théo Ngwabidje.

Au Sud-Kivu, plus d’un observateur se pose la question de savoir pourquoi Kinshasa tient à imposer Théo Ngwabidje à la tête de la province, et ce malgré son rejet par les acteurs majeurs de la province.

Cadre de l’UDPS, le parti présidentiel, Théo Ngwabidje se sauvera-t-il dans cette nouvelle guerre déclenchée contre lui ? En tout cas personne ne sait le confirmer ou le nier pour l’instant, mais à l’assemblée Provinciale la détermination des élus provinciaux à en finir avec Théo Ngwabidje est visible. C’est donc une question d’ heures.

Nous y reviendrons.

Rien ne rassure que la loi Tshiani sera adoptée par l’Assemblée nationale (Patrick Muyaya)

Le ministre de la Communication et des médias et porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, s’est exprimé lundi au briefing presse, concernant la proposition de loi sur la Tshiani jugée discriminatoire par certains congolais.

« Le projet de loi sur la congolité de Noël Tshiani est une expression de la démocratie qui n’engage pas le gouvernement congolais. Qui vous dit que l’Assemblée nationale va adopter cette Loi ?», s’interroge-t-il.

Pour lui, « le cardinal Fridolin Ambongo qui condamne cette loi jugée par certains congolais discriminatoire doit aussi condamner avec la même énergie les propos ségrégationnistes tenus par Christian Mwando ».

La réaction du porte-parole du gouvernement intervient après celle de Christian Mwando Simba, ex ministre du plan au sein du gouvernement Sama 1, où il a indiqué que les jeunes Katangais pourront utiliser le ciseau si la candidature de Moïse Katumbi à la présidentielle n’est pas alignée.

La proposition de loi dite de « père et de mère », Noel Tshiani, son initiateur veut réserver l’accès aux hautes fonctions aux congolais de père et de mère. Mais l’avocat Constant Mutamba estime que ces fonctions doivent plutôt être réservées aux congolais « de père ou de mère ».

9e Jeux de la Francophonie : Une délégation de l’OIF attendue ce mercredi à Kinshasa

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La République démocratique du Congo est à 3 mois de tenir la 9e édition des jeux de la Francophonie. Dans cette perspective, la nouvelle administratrice de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Caroline St-Hilaire effectuera, du 12 au 15 avril, une mission à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), pour inspecter les travaux en cours.

C’est ce qu’a renseigné le Directeur Général de ces neuvièmes jeux de la Francophonie, Isidore Kwandja sur ses réseaux sociaux il y a 24 heures.

« La nouvelle Administratrice de l’OIF, St-Hilaire effectue sa première mission de travail cette semaine en RDC hôte des Jeux de la Francophonie, pour s’enquérir de l’état d’avancement des préparatifs et nous assure de l’accompagnement de l’OIF », note sur son compte Twitter.

S’agissant de l’état d’avancement des travaux de construction des infrastructures, certaines sources ont fait savoir que, les travaux du Stade des Martyrs sont déjà exécutés à 80%, l’ancien Stadium de basketball est désormais recouvert avec une capacité de 200 places. Il sera réservé aux entraînements.

Concernant les sites d’hébergement notamment l’Université de Kinshasa, le niveau d’exécution des travaux avoisine 85%. Il reste la révision du circuit électrique, la plomberie et l’ameublement des pièces dont notamment aux 1950 chambres déjà disponibles, prêtes Au total, 1950 chambres sont déjà disponibles et prêtes à accueillir les premiers occupants, sur un total de 4000 athlètes attendus dans cet espace universitaire.

Crise au sein de Lamuka : Nouvel Élan exclut Fayulu et prend les commandes de la plateforme

Lors d’un pont de presse ce mardi 11 avril, le parti politique Nouvel Élan dit prendre acte de ce qu’il qualifie de l’auto-exclusion de Martin Fayulu et son parti Engagement pour la citoyenneté et le développement ( ECIDé) de la plateforme Lamuka.

Le parti cher à Adolphe Muzito accuse Martin Fayulu de violer les textes régissant Lamuka. « La passation du pouvoir en faveur de Monsieur Matthieu Kalele par Martin Fayulu après sa coopération irrégulière et frauduleuse est une opération faite en violation des textes régissant Lamuka dans l’objectif de s’accaparer de la plateforme », a dit le Secrétaire général de Nouvel Élan.

Ce faisant, ce dernier dit prendre à ce jour le commandement de Lamuka pour les 6 prochains mois. Selon Blanchard Mongomba, Nouvel Élan mettra au profit son mandat pour évaluer le travail de la plateforme au courant de 4 dernières années.

Il a précisé que cette évaluation portera notamment sur le niveau d’attente des objectifs, des réformes portées par Lamuka à l’intention du pays, le niveau d’adhésion de masses à la lutte de Lamuka, la raison de cette adhésion ou non du peuple à la lutte, la redéfinition du contenu des revendications, de la stratégie de mobilisation des populations et des rapports entre la plateforme et ses partis fondateurs.

La SNEL veut lancer une application de prépaiement mobile pour ses abonnés de Kinshasa et Kisantu

La Société nationale d’électricité (SNEL) travaille sur le développement d’une application de prépaiement mobile sur compteur communiquant avec carte Sim directement relié à son téléphone portable.

Il s’agit de « SNEL et moi », un système que la SNEL compte lancer dans les prochains jours à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo et Kisantu, l’une des villes de la province du Kongo-Central. C’est ce qu’a fait savoir le Directeur Général de ce service public décentralisé, Fabrice Lusinde wa Lusangi Kabemba.

« Nous voyons l’année 2023 sous des meilleures perspectives. Raison pour laquelle la SNEL SA travaille un projet pilote de développement d’une application de prépaiement mobile sur compteur communiquant avec carte Sim directement relié à son téléphone portable. A terme, le projet pilote va être lancé simultanément à Kisantu (milieu périurbain) et à Kinshasa (milieu urbain) » a-t-il renseigné.

D’après le numéro un de la SNEL, « SNEL et moi » est une application digitale, sécurisée et connectée à la Snel Box. Ce dernier est un compteur communicant qui transmet les données de consommation en temps réel au client et à la Snel.

Il a également expliqué que, SNELBOX et « SNEL et moi » sont les deux composantes de sa nouvelle vision du digital au service de sa clientèle et vise à réduire le délestage, à mieux communiquer et mieux répondre aux besoins de sa clientèle et à améliorer la desserte en électricité.

Le lancement de cette application a pour objectif de regagner la confiance de sa clientèle en leur accordant la possibilité de gérer de manière optimale leur propre consommation. Dans cette perceptive, la SNEL prévoit déjà le mois prochain, l’installation de 100 Snelbox à Kinshasa et au Kongo central.

Cédric Bakambu en lice pour une nouvelle récompense

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L’année 2023 va de mieux en mieux pour l’international congolais, Cédric Bakambu. L’avant-centre d’Olympiakos est en lice pour le prix du meilleur joueur du championnat grecque de la division 1 pour le mois de mars. C’est ce qu’il a annoncé via ses réseaux sociaux ce mardi 11 avril 2023.

« Encore en lice pour être élu joueur du mois, je compte sur vos votes ! », peut-on lire sur la page Facebook de celui qui est sur la voie d’être primé pour sa deuxième fois dans la même catégorie en ce début d’année. L’ancien sous-marin jaune de Villarreal a remporté le même prix au mois de janvier dernier avec 33.90% de votes.

Pour ce mois, l’ex sociétaire de l’Olympique de Marseille fait face à trois protagonistes. Il s’agit de Pineda, Zuber et Narey. Tous ont été prolifiques au dernier mois.

Cédric Bakambu a inscrit 3 buts en 3 matchs consécutifs. Ces buts ont même amélioré son palmarès en devenant le meilleur buteur avec 15 réalisations. C’est énorme pour l’international congolais qui n’avait marqué que 4 buts en deux saisons à Marseille, éprouvant ainsi des difficultés de se créer une place de titulaire aux côtés d’Alexis Sanchez et Dimitri Payette.

L’opposition se déchire avant le grand test

La présidentielle approche. Le pouvoir en place renforce ses rangs pour se maintenir. Mais l’opposition se déchire. La guerre de leadership divise. Des choses cachées sont maintenant mises au goût du jour. Deux grands amis, fidèles à l’opposition, se tirent à boulet rouge.

Tous deux parlent de Lamuka, l’une des principales plateformes de l’opposition, mais on ne sait plus qui est le vrai maître de jeux dans cette plateforme. Martin Fayulu vient de passer le flambeau de la présidence tournante de cette plateforme électorale qui a porté Martin Fayulu à la présidentielle de 2018, à un nouveau venu ignorant que son ancien collaborateur Muzito.

C’est la goutte d’eau qui fait déborder la vase. Adolphe Muzito qui s’affirme toujours membre du présidium de Lamuka. Dans un communiqué avec l’entête de Lamuka et son parti, Nouvel Élan prend acte ce qu’il qualifie de “rébellion de Monsieur Martin Fayulu et son parti Ecide contre la Convention de Lamuka”.

Muzito va plus loin, en annonçant un point de presse le jour même de la passation du pouvoir. Ce sera “Une cérémonie du constat de l’auto-exclusion de Lamuka de Monsieur Martin Fayulu et de son Parti Ecide, pour assurer la reprise de la Coordination de Lamuka”a-t-il indiqué.

Depuis des mois, les relations entre Martin Fayulu et l’ancien Premier ministre Adolphe Muzito ne sont pas au beau fixe. Les deux personnalités s’affichent plus ensemble, après une séparation tacite. Cette fois sur la place publique, ils se brouillent autour de la gestion de la coalition Lamuka.

La RDC et l’EAC discutent sur le renouvellement du mandat SOFA pour une durée de trois mois

Le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya a confié à la presse lundi 10 avril que, la République démocratique du Congo a entamé des nouvelles négociations pour le renouvellement d’une durée de trois mois, du SOFA (Statuts of Forces Agreement) entre le gouvernement congolais et la Communauté des États d’Afrique de l’Est (CAE) pour la force régionale déployée au Nord-Kivu.

« Je pense que je ne dévoile pas un secret d’État mais je pense que le renouvellement pourra se faire autour de trois mois parce que nous estimons que si cette phase critique se déroule dans la sérénité comme les choses sont prévues, il n’y aura pas besoin d’avoir cette force au-delà de ce délai », a déclaré Patrick Muyaya.

Il a également martelé sur la nécessité d’un réajustement de la force régionale, « dans l’objectif pour nous tous de parvenir au respect du plan qui a été convenu ».

Pourtant, la première mission de cette force régionale s’est terminée par la critique que les troupes déployées sur le terrain n’ont pas arrêté l’avancée du M23 qui avait occupé plusieurs positions. Des voix ont même réclamé le retrait de cette force.

Une réunion des ministres de la défense des pays de l’EAC était prévue à Goma pour évaluer les actions de la force sur le besoin d’efficacité sur le terrain.

L’accord de statut des forces à l’étranger ou encore Status of Forces Agreement (SOFA) avait été signé pour six mois renouvelable. Cet accord juridique entre la RDC et l’EAC était à l’époque qualifié d’historique. Il porte en lui les souhaits importants du gouvernement et du peuple de la RDC, qui y ont vu une solution rapide pour combattre non seulement le M23 mais aussi d’autres groupes armés.

Actuellement, des soldats de tous les pays contributeurs de troupes de la force régionale de l’EAC sont arrivés dans l’est de la RDC. Les derniers d’entre eux étaient des Sud-Soudanais arrivés à Goma (Nord-Kivu) le dimanche 2 avril. Leur mission était de capturer les zones libérées par le M23.

Le M23 s’est retiré de trois colonies du territoire de Masisi. Ce sont Mushaki, Kilolirwe et Kitshanga qui modèrent l’annonce. « Cela a été vérifié par le mécanisme spécial, EJV (IGLR) et le mécanisme de vérification et de surveillance de la CAE », a déclaré le modérateur Uhuru Kenyatta dans un communiqué.

Dans le territoire de Rutshuru, les rebelles se sont « retirés » de Bunagana et quitteront la ville de Kiwanja le 15 avril, selon le communiqué de presse de Kenyatta.

9e Jeux de la Francophonie : L’UPN n’acceuillira pas les compétitions

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Contrairement aux informations qui ont circulé dans la toile, l’Université Pédagogique Nationale (UPN) ne fait pas partie des sites retenus pour les 9e Jeux de la Francophonie prévus aux mois de juillet et août prochain.

En pleine rénovation, cet Alma mater n’a pas été cité par Isidore Kwandja, lors du briefing co-animé avec le ministre de la Communication et des médias, Patrick Muyaya lundi 10 avril dernier, parmi les sites qui accueilleront les différentes compétitions.

Dans son speech lors de cet entretien avec la presse, le Directeur national de ces jeux, Isidore Kwandja, a précisé que « Treize (13) disciplines sportives et 11 concours sont retenus pour les 9èmesJeux et qui vont se dérouler sur trois (3) sites pour le sport, à savoir : les stades des Martyrs et Tata Raphaël et le campus de l’Université de Kinshasa. Quant aux activités culturelles, les sites prévus sont : le palais du Peuple, le Musée national, l’Académie des beaux-arts et le Centre Wallonie Bruxelles ».

Dans le même cadre, il a également donné les détails sur les infrastructures construites sur les différents sites des Jeux notamment les gymnases pour le basket et le tennis de table (stades des Martyrs et Tata Raphaël), un gymnase de lutte libre, la réhabilitation de la piste d’athlétisme, une piscine olympique la réhabilitation du village des athlètes à l’Université de Kinshasa, etc.

Par ailleurs, celui qui fait également partie du Comité de pilotage de cette nouvelle édition de ces jeux, a révélé que le coût de l’organisation s’élèvent à 66.900.000 d’euros provenant également de la contribution de l’OIF et de la contribution des pays participants.

Handball Dames : la RDC pays hôte pour la CAN 2028

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La Fédération Congolaise de Handball (FECOHAND), organe technique de handball congolais a été choisi par la Confédération africaine de handball (CHAB) pour assurer l’organisation de la 27e édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) féminine en République démocratique du Congo.

Cette nouvelle a été annoncée par l’actuel président de cette fédération de handball congolais, Amos Mbayo à l’issue de l’Assemblée générale extraordinaire élective de cette entité sportive.

« La RDC n’a pas postulé pour l’organisation de cette CAN 2028. C’est plutôt la CAHB qui a choisi notre pays compte tenu de ses performances. La FEHAND ne pouvait qu’accepter cette main tendue », a fait savoir celui qui a été réélu président à l’issue de ces assises organisées au siège de la FEHAND dans la commune de Limete.

Par la même occasion, celui qui va assurer son 6e mandat au commande de cet instance de handball congolais, a exprimé sa satisfaction quant à cet événement qui s’annonce historique pour la RDC. Le pays situé au centre de l’Afrique tenira pour sa première fois cette grande messe africaine de handball féminin.

« Depuis toujours, nous étions habitués à nous produire chez les autres mieux outillés en termes d’infrastructures. A présent, nous aurons les avantages d’évoluer à domicile. Nous y avons foi dans la mesure où de nos jours, l’avènement des nos gymnases qui poussent ici et là, sera la concrétisation d’un vieux rêve. Dieu aidant, nous allons organiser cette grande compétition chez nous. Ce qui sera une fierté nationale pour tous les sportifs congolais » s’est-il réjoui dans son speech.

Amos Mbayo Kitenge s’est présenté lors des dernières élections comme candidat unique comme aux scrutins de 2018.