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145.604 agents payés disposent des numéros matricules incorrects (IGF)



Dans le rapport de sa mission d’audit du fichier de la paie des agents et fonctionnaires de l’État , l’Inspection générale des Finances ( IGF) a révélé que, 145.604 agents disposent des numéros matricules incorrects, fantaisistes et fabriqués pour le besoin de la paie.

Ce rapport a aussi indiqué que, 53.328 agents disposent à eux seuls plus d’un numéro matricule dans le fichier avec le même numéro; 93.356 agents partagent un même numéro matricule avec d’autres agents également payés et 43.725 agents sont payés sans que leurs noms ne figurent sur les listes déclaratives provenant de leurs services d’origine.

Bien plus, 961 agents chargés du traitement de la paie se retrouvent sur les listes de la paie de plusieurs ministères. A en croire, l’inspection générale des Finances, plusieurs d’entre eux sont sur plus de 15 listes de paie. Les noms de ces agents seront transmis aux instances judiciaires, rassure l’IGF.

De ce fait, elle révèle que le manque à gagner mensuel subi par le Trésor public est estimé à 148.999.749.440.95 Francs congolais par mois. « D’ores et déjà, certains cas d’irrégularités manifestes font l’objet d’une désactivation », précise ce rapport.

Et d’ajouter, « Sur instruction de son du vice-Premier ministre en charge de la Fonction publique, l’inspection générale des Finances va poursuivre avec l’inspection générale de l’administration publique le travail de nettoyage du fichier des effectifs des agents de l’État».

Goma: Le maire ai promet son implication pour obtenir de la CENI une nouvelle prorogation d’ici deux jours

Une foule compacte a afflué en pleine journée de ce Jeudi 27 Avril, la mairie de Goma, pour exprimer son indignation face à la décision de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui a fermé les centres d’enrôlement pendant que nombreux citoyens ne se sont pas encore procurés les cartes d’électeur.

Le Maire qui les a reçus, a rassuré qu’il s’active pour décrocher de la CENI, la prolongation de la durée d’enrôlement pour rattraper tous ceux qui tardent à se faire identifier.

« Je sais que parmi vous il y en a ceux qui vont bientôt devenir députés. Et ils ont aussi besoin de la carte d’électeur. Nous avons pris contact avec la CENI et d’ici deux ou trois jours, il vous sera ouvert quelques centres pour vous faire enrôler, Soyez-en sûrs. Car vos questions, tout comme vos inquiétudes à ce sujet, sont aussi les miennes», a confié le commissaire divisionnaire adjoint Faustin Kamand Kapend, maire ai de la ville de Goma.

Satisfaite de la réponse de l’autorité, la population a dit entendre impatiemment la communication de l’autorité à ce sujet.

Selon la CENI, dans la province du Nord Kivu sur le 4 millions des requérants attendus, seul 10% da la population ne s’était pas enrôlée.

Dossier Jean-Marc Kabund : la Cour de cassation va poursuivre son instruction où elle s’est arrêtée 

La Cour constitutionnelle a déclaré  recevable, mais non fondée, la requête en inconstitutionnalité introduite par Jean-Marc Kabund dans l’affaire qui l’oppose au ministère public. D’après l’arrêt de cette haute Cour,  la Cour de cassation va poursuivre l’instruction du dossier. 

Poursuivi pour avoir tenu, au cours d’un point de presse, des propos qualifiés d’injurieux, de nature à alarmer la population et à porter atteinte à l’honneur dû aux institutions publiques et à la dignité du Chef de l’Etat, l’ancien président ad intérim du parti présidentiel avait, au travers de ses avocats soulevé une exception sur la contrariété entre les infractions énoncées dans le réquisitoire du Procureur général et celles qui sont retenues contre lui.

Après le rejet de cette exception, en novembre 2022, par la Cour de cassation, ses conseils ont recouru à la Cour constitutionnelle une requête en inconstitutionnalité.

C’est depuis le mois d’août 2022 que l’ancien premier vice -président de l’Assemblée nationale est détenu à la prison centrale de Makala à Kinshasa, capitale congolaise. La chambre de conseil de la Cour de cassation avait décidé son assignation à résidence pour sa qualité de député national, comme l’exige la constitution, mais cette décision n’a jamais été exécutée.

Kinshasa : la deuxième réunion du Conseil d’affaires RDC-Nigéria attendue ce vendredi

Booster l’entrepreneuriat et les affaires et faciliter le partage d’expériences entre hommes d’affaires congolais et leurs homologues nigérians est le but de la 2e réunion du Conseil d’affaires RDC-Nigéria qui aura lieu ce vendredi 28 avril à Kinshasa.

Cette réunion portera sur les changements politiques récents au Nigeria, ainsi que sur des propositions concrètes pour réduire les barrières commerciales entre Abuja et Kinshasa.

La conférence explorera aussi les tendances actuelles et futures du marché RDC-Nigeria, ainsi que les avancées dans la réduction des obstacles au commerce entre ces deux pays.

L’événement connaîtra la présence d’une foule de dignitaires congolais, dont les présidents de la République et des provinces, les gouverneurs, les chefs des services de l’État et l’ANAPI.

L’ancien Président du Nigeria, Olusegun Obasanjo, participera à cette réunion en tant que représentant de l’Africa Business Initiative (ABI). Il sera accompagné d’un entourage comprenant plus d’une dizaine de responsables et capitaines d’industrie nigérians.

Cette activité se déroule dans la foulée immédiate de la huitième édition du Forum Makutano, qui a eu lieu le 31 octobre 2022 à Kinshasa avec pour thème : « Opportunités et modèles pour créer la création des champions congolais ».

A savoir, ce forum a conduit à la création d’un Business Council qui a été chargé de promouvoir les relations d’affaires et commerciales entre le Nigeria et la République démocratique du Congo. Le conseil était présidé par le Dr Nteraya Sanginga, qui était auparavant responsable de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA), tandis que Malam Nasir El-Rufai, gouverneur de l’État de Kaduna, en est le vice-président.

Goma: 4 autres présumés voleurs présentés à la presse ce jeudi

Quatre (4) jeunes présumés voleurs ont été appréhendés en pleine opération la nuit de mercredi à ce jeudi 27 avril en ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, ont été présentés ce jeudi devant la presse.

Selon Célestin Bahemuke, chef du quartier Bujovu, ces jeunes viennent fraîchement de la prison centrale de Munzenze, où ils étaient incarcérés pour les même faits.

Leur appréhension a été facilitée par la task-force sécuritaire, installée pour un système sécuritaire participatif dans les divers quartiers de la ville de Goma.

Ceux-ci sont accusés de faire partie de la bande de bandits à mains armées, qui sèment la terreur et désolation au quartier Bujovu.

Célestin Bahemuke, encourage la population à continuer à dénoncer tout cas suspect auprès des autorités et surtout, à accompagner les services de sécurité afin de diminuer la nuisance de ces malfrats, qui troublent la quiétude des civils.

Le commissaire supérieur principal Kapend Kamand Faustin, maire adjoint de Goma, a appelé tous ses collaborateurs au respect strict des consignes pour permettre à la population de participer à sa propre sécurité

Est de la RDC : l’UE alloue 32,7 millions d’euros supplémentaires d’aide humanitaire

L’Union européenne a alloué une enveloppe supplémentaire de 32,7 millions d’euros d’aide humanitaire pour soutenir la réponse à la crise humanitaire dans l’Est de la République démocratique du Congo, a annoncé mercredi 26 avril, le commissaire de l’UE chargé de la gestion des crises, Janez Lenarčič.

D’après lui, la détérioration de la situation sécuritaire en République démocratique du Congo est une tragédie pour des millions de personnes, qui ont perdu la vie ou ont été déplacées en raison de la violence.

« L’UE reste déterminée à soutenir l’acheminement de l’aide aux plus vulnérables. Notre pont aérien humanitaire vers Goma a joué un rôle déterminant à cet égard. Le nouveau financement annoncé par l’UE contribuera à intensifier la réponse humanitaire, afin que nous puissions atteindre autant de personnes que possible », a-t-il indiqué.

Ce nouveau financement de l’Union européenne vient s’ajouter aux 45,7 millions d’euros annoncés plus tôt cette année et porte le financement total pour la RDC à près de 80 millions d’euros pour 2023.

Pour ce faire, cette aide sera conduite par l’intermédiaire d’organisations humanitaires pour couvrir les besoins immédiats tels que la nutrition, les soins de santé, l’eau et l’assainissement, le logement et la protection, note l’UE.

L’UE a également mis en place des vols de pont aérien humanitaire vers Goma, dans l’est de la RDC, livrant des fournitures médicales et nutritionnelles essentielles et d’autres articles d’urgence.

En mars et avril 2023, ce pont aérien humanitaire a livré un total de 260 tonnes de fournitures via 7 vols. Ils ont été organisés en collaboration avec la France et les partenaires humanitaires de l’UE.

La situation humanitaire en République démocratique du Congo (RDC) continue de se détériorer, en particulier dans l’est du pays. Les besoins humanitaires sont parmi les plus élevés au monde. Il y a actuellement plus de 6,2 millions de personnes déplacées en RDC – le nombre le plus élevé en Afrique suite à la crise sécuritaire qui se vit dans l’Est du pays.

Félix Tshisekedi exhorte les membres du gouvernement à prioriser l’intérêt général

Le président de la République Félix Tshisekedi a exhorté, mercredi 26 avril, les membres du gouvernement à prioriser l’intérêt général dans leurs fonctions.

C’était lors de la clôture dy séminaire organisé du 25 au 26 avril à Kinshasa, en faveur des membres du gouvernement central afin de mieux répondre aux besoins de la population.

Pour le chef de l’État, la fonction ministérielle bien plus qu’un privilège demeure avant toute chose un sacerdoce et une lourde responsabilité qu’il revient d’assumer en ayant sans cesse à l’esprit l’intérêt général et non le contraire.

« J’attends de chacun de vous l’application des recommandations issues de ces assises afin de répondre afin de répondre aux multiples attentes de notre population », a dit Félix Tshisekedi.

Ainsi, il espère que chaque membre du gouvernement central va privilégier des actions qui a un impact réel et palpable.

« Je ne doute pas que vous êtes parvenus au cours de ces assises à vous approprier les principes et les règles qui garantissent la cohésion et l’exécution du programme du gouvernement, le programme de développement local des 145 territoires à travers la présentation d’un état des lieux programme phare de ma vision fondée sur mon ambition de construire un État fort, prospère et solidaire ainsi que les éléments clés portant sur la gouvernance et l’économie », a-t-il martelé.

Projet 145 territoires : Le Gouvernement veut repenser logements des victimes du volcan de Nyiragongo

L’éruption du volcan Nyiragongo, le 22 mai 2021, a fait au moins 32 victimes selon le bilan officiel et forçant des centaines de milliers de personnes à fuir leurs foyers à Goma et dans les environs.

Face à cette situation, le ministère de l’Urbanisme et habitat, et le Fonhab, Acorprim ainsi avec programme des Nations-Unies pour les établissements humains (Onu-Habitat) sont en train d’effectuer un travail pour repenser tous ces domiciles.

C’est ce qu’a fait savoir le représentant d’Onu-Habitat et représentant régional pour l’Afrique, M. Claude Albert Meutchehe, mardi 25 avril dernier au cours d’un atelier, entre le ministère de l’Urbanisme et habitat dans le cadre de projet 145 territoires.

Ce dernier explique que : « L’urbanisation est un secteur transversal, et le rôle de l’Onu-Habitat est d’encadrer la coordination des actions, la coordination des acteurs pour qu’en fait, l’offre du logement décent, avec l’accès à l’électricité, à l’eau, l’assainissement aux services de base soit partagé. Voilà le rôle que nous devons jouer et que nous comptons jouer dans ce processus »

Dans ce même cadre, ils ont aussi validé le document du programme pays de l’ONU-Habitat pour le quinquennat 2023-2027.

« Je confirme que nous allons recevoir le document pays qui servira de feuille de route de notre programme pour la modernisation de nos 36 villes et la maîtrise de l’occupation des sols dans les provinces, selon le processus de développement des 145 territoires mis en place par le président de la République. Ce travail sera effectué en étroite collaboration avec tous les ministères sectoriels, les 26 provinces ainsi que les entités territoriales décentralisées », a déclaré le directeur du cabinet adjoint, Mechack Mandefu Muela, à cette occasion.

Jacques Kyabula, ancien secrétaire du PPRD, ne cache plus son appartenance à l’Union sacrée

Les affiches annoncent ce mercredi 26 avril, la participation du nouveau parti politique du gouverneur de la province du Haut-Katanga à la sortie officielle de l’Union sacrée au Stade des Martyrs à Kinshasa. Jacques Kyabula, l’ancien proche de l’ex-Président Joseph Kabila ne cache plus son attachement à l’Union sacrée de Felix Tshisekedi.

Il y a deux semaines, lors d’une rencontre avec des supporters passionnés du Saint-Éloi Lupopo Football Club, qu’il dirige, l’ancien secrétaire exécutif provincial du Parti populaire pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) fondatey de l’Action pour la Rupture et le développement (ARD), son propre parti politique, avait annoncé la sortie officielle de son parti.

Pourtant, il y a deux mois, Jacques Kyabula était annoncé pour rejoindre le parti politique de l’ancien ambassadeur itinérant du chef de l’Etat, Dany Banza, ACO. Mais à la dernière minute, ses partisans ont démenti la nouvelle. D’autres sources indiquent même qu’il choisira le parti présidentiel, l’UDPS, avant de former son parti politique.

Lors des législatives de 2018, Jacques Kyabula a remporté des sièges en tant que récompensé national et provincial pour la ville de Likasi. Après avoir été secrétaire exécutif provincial du PPRD, Kyabula était considéré comme le candidat idéal pour briguer le poste de gouverneur du Haut-Katanga.

C’est en mai 2019, qu’il a été désigné gouverneur de la province du Haut-Katanga. Ce n’est qu’en 2021 qu’il a décidé de quitter le Front commun pour le Congo (FCC), dont le PPRD était membre, pour soutenir Félix Tshisekedi.

CAN 2023 (Q) : Cédric Bakambu exclut pour les deux dernières journées

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L’attaquant congolais Cédric Bakambu ne sera pas de la partie lors des deux dernières journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) prévue l’année prochaine en Côte d’Ivoire.

Ceci fait suite à la décision de la Confédération africaine de Football (CAF) qui a rejeté le recours de la Fédération congolaise de football association (FECOFA) sur le carton rouge écopé injustement par l’international congolais lors du match contre la sélection mauritanienne.

L’instance faîtière du football africain estime que les décisions de l’arbitre sont sans appel, bien que la Fédération congolaise de football association ait respecté la forme.

L’actuel sociétaire de l’Olympiakos en Grèce, Cédric Bakambu a marqué ses empreintes lors de la double confrontation, soit 3ᵉ et 4ᵉ journées des éliminatoires de la CAN entre la RDC et la Mauritanie en marquant deux buts.

Après 4 journées, la sélection congolaise se place à la dernière position avec 4 points. Les prochaines rencontres sont prévues le 12 juin face à la sélection gabonaise et le 04 septembre face au Soudan pour la dernière journée.

Guerre à Khartoum : la RDC examine les voies et moyens pour assurer la sécurité de ses compatriotes

Le gouvernement congolais poursuit des contacts avec les agences humanitaires et examine les voies et moyens pour assurer la sécurité de ses compatriotes, annonce le ministère congolais des Affaires étrangères et francophone.

Dans un communiqué rendu public mardi 25 avril signé par Alain Tshibanda, conseiller en communication et porte-parole, le ministère des Affaires étrangères dit qu’il envisage la possibilité de leur évacuation dès que les conditions sécuritaires le permettront.

« En ce qui concerne la situation des congolais se trouvant sur le territoire soudanais, les informations en provenance de notre ambassade à Khartoum qu’à ce jour, 52 compatriotes ont exprimé leur souhait d’être rapatriés et 13 autres étudiants à Khartoum en formation, ont sollicité une évacuation au Soudan », peut-on lire dans ce communiqué.

Elections 2023 : la CENI annonce avoir déjà enrôlé 95% de la population

Lors de la première journée porte ouverte organisée par la centrale électorale mardi 25 avril, Didi Manara, le deuxième vice-président de la CENI, a confirmé que 95% de la population attendue a déjà été enrôlée par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) dans cette opération qui a débuté en décembre 2022.

A ce jour, les populations de 143 territoires sur les 145 que compte le pays ont déjà leurs cartes d’électeurs. La CENI organise actuellement des journées portes ouvertes jusqu’au 4 mai pour assainir le fichier électoral, citant la transparence comme sa principale préoccupation. La première journée s’est concentrée sur les médias.

M. Manara a également mentionné que le mot « glissement » n’existe pas chez eux, et que les élections auront lieu en décembre de cette année.

Le gouvernement Sama II en renforcement des capacités




Placé sous le thème, « Construire une cohésion efficace et créer une dynamique de changement par la culture de l’excellence et la gestion publique axée sur les résultats du programme gouvernemental », le séminaire de renforcement des capacités des membres du gouvernement ouvert mardi dernier, va se clôturer ce mercredi 26 avril.

Bien avant la clôture dans la soirée par le président de la République Félix Tshisekedi, ces assises vont se poursuivre dans la matinée de ce mercredi 26 avril 2023.

L’objectif de ces travaux est la consolidation de la cohésion au sein du gouvernement afin d’assurer l’exécution du programme gouvernemental. C’est ce qu’a fait savoir le chef du gouvernement dans son discours d’ouverture mardi 25 avril dernier.

Aussi, le chef du gouvernement a dit espérer que les exposés des différents intervenants mettront en évidence les principes et règles qui garantissent la cohésion et l’exécution du programme du gouvernement.

Le premier jour, ce séminaire a été marqué par des exposés, question de partager les informations et d’échanger les expériences des uns et les autres dans la perspective d’arriver à atteindre l’objectif poursuivi par ces assises. Les agences d’exécution du programme de développement de 145 territoires, eux, ont aussi présenté le niveau d’exécution des travaux sur terrain.

Les étudiants de la RDC en Russie vont bientôt payer le frais au système russe

Dans une interview accordée à un média russe mardi 24 avril, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire Muhindo Nzangi a annoncé la possibilité pour les étudiants congolais de la Russe de payer leurs frais de scolarité en Mir.

« Nous sommes curieux de pouvoir essayer le nouveau système de paiement qui est initié par la Russie qui ferait office de Mastercard », a déclaré Muhindo Nzangi.

Il serait donc possible, poursuit-il, à un moment donné, que les étudiants congolais soient priés de l’utiliser.

Récemment, l’ambassadeur de la République démocratique du Congo en Russie a récemment signalé des difficultés d’étudiants congolais à payer les frais de scolarité.

La même source précitée a indiqué que les autorités congolaises vont « continuer à se renseigner » sur le système russe de paiement Mir.

Cette possibilité est donc liée aux problèmes de paiement auxquels font face ces étudiants depuis l’imposition de sanctions aux banques russes.

Pour résoudre ce problème, la Russie dispose d’un équivalent national à Visa et Mastercard qui pourrait résoudre ce problème.

«Le tournoi Fatshi Cup n’est pas une initiative de la caf et ni de la FIFA» (Véron Mosengo)

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Contrairement à ce qu’a dit le ministre des Sports et loisirs et la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA), le Secrétaire général de la Confédération Africaine de Football (CAF) décline la paternité du tournoi de football dénommé « Fatshi Cup ».

« L’initiative du tournoi fashi cap n’est nullement une initiative de la caf et moins encore celle de la FIFA » déclare Véron Mosengo Omba lors d’une conférence de presse qu’il a animé mardi 25 avril 2023 à Kinshasa.

Pourtant le ministère des sports et loisirs et l’organe technique du football congolais, la FECOFA ont affirmé le 17 avril dernier, que ce tournoi international devrait se tenir sous une bénédiction de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) et de la Confédération Africaine de Football (CAF).

Dans cette conférence de presse, cet ancien responsable de la FIFA a également évoqué la nomination du Comité de normalisation à la tête de la FECOFA.

Celui-ci a également tenu une réunion, ce même mardi 25 avril avec le Comité exécutif de la FECOFA, la Ligue nationale de football (LINAFOOT) et l’Association Dirigeants de football du Congo (ADFCO) dont les tenants et les aboutissants ne sont pas encore révélés.

Le Japon finance 2 millions USD pour faciliter la tenue des élections en RDC

Le gouvernement japonais, représenté par son ambassadeur en RDC, Minami Hiro, et le représentant résident du PNUD, Damien Mama, ont signé, ce mardi 25 avril, un accord de financement d’une valeur de 2.000.000 USD, visant à soutenir les prochaines élections en RDC, qui sont prévues pour la fin de l’année.

Ce financement a été alloué en tant que composante du Projet d’Appui au Cycle Electoral (PACE) 2023-2024. Le PNUD et la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) ont signé le document relatif à ce projet en 2022. Le gouvernement congolais avait demandé l’assistance du système des Nations Unies en RDC.

Selon Minami Hiro, le financement permettra de faciliter la tenue d’élections pacifiques dans les régions qui ont été touchées par le conflit en RDC

« A travers cette assistance, le Japon entend soutenir le processus électoral dans les provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu, et Ituri, qui connaissent des situations de conflits d’insécurité, déplacements massifs de personnes et de catastrophes naturelles qui risquent de compromettre la bonne tenue des élections dans ces zones. Je voudrais également saisir cette occasion pour rappeler que c’est l’opportunité pour la CENI d’échanger avec toutes les parties prenantes à ce projet, sur le mode opératoire des scrutins à venir et les différents mécanismes à mettre en place en vue de la matérialisation de ce projet », a-t-il indiqué.

De sa part, Damien Mama, le représentant résidant du PNUD en République démocratique du Congo, a indiqué que l’aide du Japon se concentrera sur le troisième axe prioritaire du programme d’assistance électorale des Nations unies. Il s’agira notamment de fournir une aide à la résolution des conflits et à la médiation électorale.

« Le dispositif à mettre en place ne servira pas seulement pour le cycle en cours, mais il permettra également d’appuyer le mécanisme de protection et de gestion des crises à caractère multidimensionnel au niveau local et selon une visée pérenne, et ce afin d’assurer l’émission et le traitement d’alertes en temps réel, en 2023 et durant les cycles à venir. Je n’ai aucun doute que cette assistance pourra aider à asseoir de solides mécanismes communautaires de prévention et d’alerte tout en assurant une collaboration entre les communautés et les services de l’Etat en charge de la protection », a-t-il déclaré.

A savoir, le budget alloué à l’assistance électorale s’élève à 21.051.813 USD. Selon le représentant résident du PNUD, cette aide est fournie par le biais de l’initiative « basket fund », qui permet aux partenaires de contribuer plus efficacement.

Incendie du lycée Mwanga : l’une des élèves blessés est décédée à l’hôpital

L’élève Glody Ntanga Maloba, du Lycée Mwanga en ville de Kolwezi, au Lualaba, victime de l’incendie est décédée la nuit de lundi à ce mardi 25 avril à l’hôpital de Kolwezi. C’est ce qu’ont annoncé les autorités locales.

Le médecin de l’hôpital où les élèves ont été acheminés pour des soins a précisé que, deux autres cas de blessure grave sont suivis en urgences.

L’avant-midi de lundi 24 avril, le Lycée Mwanga a été touchée par un incendie dont la cause n’est pas encore déterminée.

Le même jour, les autorités ont indiqué qu’il n’y avait pas eu de décès et que 132 élèves avaient été blessées, 8 d’entre eux se trouvant dans un état critique en raison de traumatismes.

Selon le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya, la cause de l’incendie est soit un court-circuit, soit un incendie provenant de l’école primaire adjacente.

Sud-Kivu : le dernier centre d’enrolement ferme ses porte ce mardi (SEP CENI)

La fermeture définitive des centres d’identification et d’enregistrement des électeurs de la Commission Nationale Indépendante CENI intervient ce mardi 25 avril 2023. C’est ce qu’indique le Secrétaire Exécutif Provincial (SEP) de la CENI au Sud-Kivu, qui renseigne que cette fermeture correspond au calendrier de la troisième aire opérationnelle arrêté par la hiérarchie de la CENI au niveau national.

Sans donner les statistiques finales de cette opération, Gaudens Maheshe, indique que les derniers requérants ayant obtenus des jetons ont jusqu’à ce mardi soir pour passer dans les différents centres et y obtenir leurs cartes d’électeurs.

Il faut dire que, l’opération d’identification et d’enregistrement des électeurs a commencé depuis le 16 février au Sud-Kivu. Cette opération qui devait se clôturer le 16 mars dernier, s’est vu prolongée à 15 jours par la CENI après un faible taux des personnes qui c’étaient déjà fait enrôlées.

Jusqu’au 16 mars, la CENI a affirmé que moins de 50% des personnes attendues à cette opération avaient été enrôlées. Pour l’instant, au Sud-Kivu qui fait également partie de l’aire opérationnelle 3, aucune statistique finale n’est disponible mais comme on peut le constater, des requérants continuent de diffiler devant les centres de la CENI pour tenter de se rattraper.

Bertin Bulonza depuis Bukavu

Journée mondiale de lutte contre le paludisme : 95% de cas recensés en Afrique (OMS)

Le thème « Zéro paludisme : investir, innover, mettre en œuvre » a fait l’objet du rapport publié ce mardi 25 avril, par l’Organisation mondiale de la santé à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme.

Selon l’OMS, 247 millions de personnes ont été diagnostiquées comme souffrant du paludisme en 2021, ce qui a entraîné 619 000 décès dans le monde. Il est constaté que 95 % de ces cas ont été enregistrés dans la région africaine, selon le rapport 2022 de l’OMS.

Ce rapport souligne que l’écart d’investissement dans la lutte contre le paludisme s’est creusé au cours des trois dernières années. Il était de 2,6 milliards de dollars US en 2019, de 3,5 milliards de dollars US en 2020 et de 3,8 milliards de dollars US en 2021.

Pour lutter contre ce problème, l’OMS souligne l’importance d’une utilisation plus efficace des fonds disponibles. Elle suggère d’orienter les financements vers les personnes vulnérables qui rencontrent des difficultés d’accès aux services et qui sont les plus touchées par les maladies.

Dans ce même rapport, l’agence mondiale exhorte les pays et les partenaires les plus touchés par le paludisme à mettre en œuvre les outils et les stratégies recommandés pour les personnes à risque. L’une de ces stratégies est l’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide.

Selon le rapport, l’Organisation mondiale de la santé mettra l’accent sur les stratégies de mise en œuvre et sur la nécessité d’atteindre les populations marginalisées dans le cadre de sa campagne pour la Journée mondiale de lutte contre le paludisme de cette année.

Le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) a déclaré que le paludisme reste la première cause de maladie et de décès en RDC et qu’il contribue de manière significative à la pauvreté.

Les rapports montrent qu’en 2022, 27 296 419 cas de paludisme ont été enregistrés, dont plus de la moitié chez les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. En outre, 24 880 décès ont été enregistrés, la majorité d’entre eux sont des enfants de moins de cinq ans.

Sud-Kivu : vives tensions à la prison centrale de Bukavu

Une vive tension a été rapportée dans l’avant-midi de ce mardi 25 avril 2023, à la prison centrale de Bukavu. Des coups de balles et des bombes à Gaz lacrymogènes ont été entendus aux alentours de cette maison carcérale située en plein centre-ville de Bukavu.

Quelques prisonniers rencontrés casernés dans l’enclos ont affirmé que leur soulèvement est dû au manque de nourriture dans cette prison. Certains font croire qu’ils totalisent ce jour 2 semaines sans ratio alimentaire. Ce qui aurait provoqué un soulèvement jusqu’à mettre du feu sur la cellule qui loge certains administratifs de cette prison.

Photo sur la situation d’aujourd’hui à la prison centrale de Bukavu @credit photo Kinshasatimes

Cette version est balayée par les autorités provinciales ayant en charge la justice dans leurs attributions. Le chef de division provinviale de la justice contacté par Kt.cd parle d’un soulèvement qui se serait produit lorsque les services pénitentiaires en concours aux services judiciaires voulaient extrader une prison qui est également le Capita de la prison de Bukavu. Celui-ci ayant purgé sa peine et compte-tenu des avantages dont il jouit dans la prison, n’a pas voulu sortir.

Le Capita aurait par l’occasion instrumentalisé ses hommes à l’intérieur de la prison pour troubler l’ordre et afficher une résistance à son extradition. Cette situation a poussé les gardiens de la prison à faire usage de la force pour exécuter l’ordre.

Et dans une mise au point publiée par la cellule de Communication du Gouvernorat de province, l’hypothèse de manque de nourriture est également démentie par le cabinet du Gouverneur, qui indique que la prison centrale de Bukavu venait d’être ravitaillée en nourriture il y a de cela 48 heures.

Pour l’instant, le calme précaire règne dans cette maison carcérale. Les éléments de garde de cette prison ont été renforcés par les éléments FARDC pour sécuriser le lieu et faire revenir l’ordre.

Bertin Bulonza, depuis Bukavu

Agression rwandaise : l’Egypte et la République du Congo solidaire à la RDC

La République du Congo et l’Egypte se joignent à d’autres pays pour apporter leur soutien à la République démocratique du Congo dans la lutte contre les groupes terroristes dans sa partie Est.

Lundi 24 avril, le vice-Premier ministre, ministre de la Défense congolais Jean-Pierre Bemba a échangé à tour de rôle, avec Cyprien Sylvestre et Hesham El Mekwad, respectivement, ambassadeurs brazzavillois et égyptien. les deux diplomates l’ont rassuré du soutien de leur pays à la RDC face à l’agression rwandaise.

Pour M. Hesham El Mekwad son pays aiderait la République démocratique du Congo (RDC) à sauvegarder l’intégrité de son territoire. « La coopération militaire qui ne souffre pas, est appelée à s’améliorer pour que la République démocratique du Congo et la République Arabe d’Egypte tirent le meilleur de cette collaboration, qui a déjà apporté par le passé des résultats dont les effets n’ont cessé de soulager nos peuples respectifs », a-t-il déclaré devant la presse au sortir des échanges.

Le diplomate brazzavillois a précisé que son pays, étant membre de la Troïka de la CIRGL, va considérablement contribuer à la quête d’une solution efficace et durable dans l’Est de la RDC. Ce dernier « note que les discussions en profondeur pour des sujets plus techniques sur le plan de la sécurité seront débattues entre deux pays dans les prochains jours », a dit l’ambassadeur Cyprien Sylvestre à l’issue de l’entretien.

Et de poursuivre, « nos échanges ne vont pas se limiter à l’audience de ce jour (…) en vue de confirmer davantage notre soutien indéfectible aux efforts militaires de la RDC ».

La partie Est de la RDC reste en proie à l’insécurité depuis plusieurs décennies. Cette situation est causée par plus de deux groupes armés locaux et étrangers répertoriés par le P-DDRCS cette situation très accentuée par l’incivisme du mouvement de M23 soutenue par le Rwanda, laissant place au déplacement massif des populations.

Démarrage des travaux de réhabilitation de la FIKIN

Dans un communiqué lundi 24 avril, la Foire internationale de Kinshasa (FIKIN) a annoncé le démarrage des travaux préparatifs pour la modernisation de cet établissement et l’aménagement de la plate-forme du lieu de stockages des matériaux.

« Ces travaux de remblayage vont permettre à construire un entrepôt qui va servir de dépôt des matériels de construction de l’entreprise Turque. A ce sujet, le Directeur général de la FIKIN, Didier Kabampele Ngabul et son adjoint, Serge Kuvukinina Lunda, avait décidé de faire l’assainissement en amont, de cet établissement public, en prélude desdits travaux de réhabilitation et de modernisation des installations foraines qui s’annoncent déjà » indique ce document.

La même source explique qu’il y a eu des opérations d’assainissement dans toute l’étendue qu’occupe cette foire. Il s’agit de la démolition des plusieurs constructions, l’enlèvement des kiosques et garages et l’instauration d’un salongo spécial dénommé « opération FIKIN Bopeto »

Dans le projet de réhabilitation, il est prévu la construction d’un park d’attraction contenant plusieurs jeux de divertissement, une semi Hall couverte, un hôtel de luxe avec parking, un Mail Center, un terrain de foot sur une étendue de 2,9 hectares, une cité moderne d’environ 6 hectares, une halle d’exposition ainsi que d’autres compartiments dont l’importance n’est pas à négliger.

La FIKIN a fermé ses portes il y a plus d’une année. Cet espace de divertissement a perdu plus sa saveur et l’attraction connues depuis 1969. Une déstabilisation faisant suite aux scènes des pillages de 1991 et 1993. .

De porte-à-porte, Kyabula cherche une solution efficace face à la rareté des maïs dans le Haut Katanga

En séjour à Kinshasa, Jacques Kyabula, gouverneur de la province du Haut Katanga va de porte-à-porte auprès des autorités du pays pour une solution face à la rareté du maïs, aliment de base, dans cette province. Reçu le lundi 24 avril par le chef de l’Etat Felix Tshisekedi, le gouverneur du Haut-Katanga a fait part de la situation générale que connaît la province, particulièrement sécuritaire et alimentaire.

À en croire, la province a atteint 59 mille hectares subventionnés par le gouvernement provincial, mais cela demeure insuffisant, car d’autres provinces viennent s’approvisionner dans le Haut-Katanga.

Le gouverneur Jacques Kyabula a rappelé que le Haut-Katanga s’est engagé, depuis près de 3 ans, dans un programme de production locale de farine de maïs. S’agissant de la sécurité des personnes et de leurs biens, il a rassuré que la province a renforcé la sécurité par les éléments des FARDC et de la Garde républicaine aux côtés de la Police nationale.

Le Haut-Katanga est l’une des parties de la RDC où le prix de la farine de maïs connaît une hausse depuis quelques semaines. Lors du conseil des ministres de vendredi dernier, le ministre de l’Économie avait fait savoir que des grandes lignes des mesures sont en cours d’examen dans la commission ECOFIN.

Retard de paiement des fonctionnaires: « Nous avons rencontré une difficulté exceptionnelle de trésorerie », (Nicolas Kazadi)

Face à la presse lundi 24 avril, le ministre des finances Nicolas Kazadi a justifié le retard observé dans la paie des fonctionnaires congolais. « Au premier trimestre, on a eu une difficulté de trésorerie exceptionnelle qui a fait qu’on a eu la situation qu’on a connue sur le salaire », a-t-il déclaré.

Ce choc, a-t-il estimé, « est dû aux dépenses sécuritaires, humanitaires et celles liées aux élections ont perturbé la trésorerie ».

Il a par ailleurs assuré que le gouvernent n’a pas menti sur le budget 2023 estimé à 16 milliards USD.

Par la même occasion, Nicolas Kazadi s’est félicité de l’augmentation du salaire des fonctionnaires en RDC. « Comparées à 2018, les dépenses en termes de rémunérations et de fonctionnement ont été multipliées par trois en RDC. Soit une augmentation de 195 % … C’est ce qui fait que la pression reste la même, même si les recettes augmentent », a-t-il surenchéri.

Nicolas Kazadi a rassuré le peuple congolais qui s’inquiétait de la capacité du gouvernement à remplir ses obligations dans les circonstances actuelles. Selon lui, ces limitations sont temporaires et l’exécutif national assurera le paiement des fonctionnaires en temps voulu, comme d’habitude.

FECOFA : la FIFA nomme enfin un comité de normalisation

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La Fédération internationale de Football Association (FIFA) vient de clore les débats autour de la nomination du Comité de normalisation au sein de Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA). Cette transnationale a décidé de mettre en place un comité qui va gérer les affaires courantes pendant 7 mois à la Fédération congolaise.

Cette nouvelle a été annoncée, dans une correspondance publiée lundi 24 avril dernier, par le bureau du conseil de l’instance faîtière du mondial. Et cette nomination, d’après ledit document, est conforme à l’article 8, alinéa 2 des Statuts de la FIFA.

La même source documentaire explique que « Le comité de normalisation se compose d’un nombre opportun de membres, désignés conjointement par la FIFA et la CAF dans les plus brefs délais. Tous ces membres feront l’objet d’un contrôle d’éligibilité mené par la Commission de Contrôle de la FIFA. Aucun d’entre eux ne sera éligible pour les postes à pourvoir lors des élections de la FECOFA, quelles que soient les circonstances »

Cette même lettre lettre précise aussi que « Le mandat du comité de normalisation courra jusqu’à ce que ce dernier ait mené à bien les tâches qui lui ont été confiées, quoi qu’il en soit d’ici au 30 novembre 2023 au plus tard »

De ce fait, le secrétaire général de la Confédération Africaine de Football (CAF), Véron Mosengo et la délégation de la FIFA vont tenir une conférence de presse ce mardi 25 avril à Pullman hôtel.

Les raisons de ce face à face avec les professionnels de média, n’ont pas été clairement élucidées. Néanmoins, certaines indiscrétions indiquent que c’est pour révéler les animateurs dudit comité.

Ci-dessous les attributions de ce comité de normalisation

Gérer les affaires courantes de la FECOFA ;

Veiller à ce que les membres des comités électoraux soient élus par le congrès de la FECOFA en accord avec les nouveaux statuts et le nouveau code électoral de la fédération approuvés le 15 septembre 2022 ;

Veiller à ce que l’élection des membres et des affiliés (ligues, districts, etc.) de la FECOFA ait lieu en temps utile ;

Veiller à ce que l’élection d’un nouveau comité exécutif de la FECOFA soit organisée en accord avec le nouveau cadre statutaire de la fédération.