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RDC: impayés depuis 6 mois, les députés provinciaux promettent de destabiliser les institutions

Impayés depuis le mois de mars 2024 les députés provinciaux de la législature 2023-2028 en République démocratique du Congo promettent de déstabiliser les institutions provinciales.

C’est ce qu’on lire dans une déclaration faite à Kinshasa par le collectif des députés provinciaux, ces derniers dénoncent ce qu’ils qualifient du dysfonctionnement majeur. Face à cette situation, ils exigent le paiement de leurs émoluments endéans 48 heures. Passé ce délai, le collectif des députés provinciaux annoncent une série de manifestations avec la participation de leurs électeurs.

« Nous sollicitons le paiement de nos émoluments depuis le mois de mars de l’année en cours dont le dossier complet est sur la table du ministre des Finances. Nous demandons aussi le paiement de frais d’installation des députés provinciaux exercice 2023-2028 ainsi que celui de la session inaugurale dite extraordinaire » lit-on dans leur déclaration.

Poursuivant, le collectif des élus provinciaux menace d’organiser des actions des grandes envergures qui vont déstabiliser les institutions provinciales. Ils annoncent entrer dans les rues accompagnés de leurs bases respectives pour obtenir le paiement de leur salaire.

Ils annoncent aussi le boycott de la rentrée parlementaire dans la session septembre 2024 jusqu’au paiement de leurs émoluments. Ils exigent en outre l’insertion de la rubrique émoluments des députés provinciaux dans la loi de Finances 2025.

Nyiragongo: le muzalendu auteur du meurtre d’un élève, condamné à mort

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Un élément Muzalendo a été condamné à la peine de mort pour assassinat d’un élève à l’école Mugara. Celui-ci est condamnée à peine de mort ce mercredi 18 septembre pour avoir tué l’élève Norbert de la 8ème année le 11 septembre dernier. Il lui est également reproché la dissipation des munitions ainsi que meurtre et tentative de meurtre.

Cet élément muzalendu sera soumis au paiement d’une amande de 5 000 000$ payable in soludum avec l’état congolais comme civilement responsable. Dans son jugement, le tribunal militaire de garnison de Goma siégeant en foraine a acquitté un autre groupe de ses coaccusés dont son chef, le colonel muzalendu Bakambwe David dit Ramsi Maraso.

Celui-ci a été blanchi par le tribunal dans cette affaire. Le tribunal a saisi les deux armes qui étaient présenté comme pièce à conviction dans cette affaire. L’un a été utilisé par l’incriminé pour commettre son forfait.L’acquittement de cet officier muzalendu laisse parler l’opinion dans le chef de la population qui a assisté à ces audiences. Les habitants de Nyiragongo attendaient avec impatience la condamnation de ces deux militaires en divagation qui ont causé la mort de ce paisible élève.

Il sied de rappeler que le 11 septembre dernier, pendant que ces deux éléments Wazalendo se disputaient, l’un d’eux a ouvert le feu sur des élèves qui étaient dans la salle de classe. Sur le champ, l’élève Norbert a rendu l’âme pendant que deux autres ont été grièvement blessés et conduits aux soins appropriés.

Kinshasa : Constant Mutamba s’attaque à la surpopulation carcérale

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Le ministre de la Justice, Constant Mutamba a signé mardi 17 septembre, un arrêté accordant la libération conditionnelle à 303 détenus de la prison centrale de Makala, trois jours après son retour au pays.

Cette intervient dans un contexte tendu, suite au massacre de plus de 129 prisonniers.

Soucieux de désengorger cette prison surpeuplée, Mutamba a libéré des détenus malades, âgés ou en fin de peine. Il s’agit de la deuxième vague de libérations, après une première opération ayant libéré une centaine de prisonniers il y a environ trois semaines.
Le ministre prévoit également d’autres libérations pout améliorer les conditions dans cette prison.

Ituri : au moins 10 morts dans une attaque de CODECO à Fataki

Au moins une dizaine de civils ont été tués dans une nouvelle attaque attribuée aux milices CODECO, qui a visé la localité de Fataki, en territoire de Djugu, dans le Nord-Est de la République Démocratique du Congo, dans la province de l’Ituri.

Selon la société civile, l’attaque a eu lieu dans la nuit du lundi au mardi 17 septembre 2024, lorsque des civils ont été tués par les miliciens de la CODECO.

« Nous avons la tristesse d’annoncer à l’opinion publique locale, nationale et internationale une attaque du groupe armé CODECO dans la localité de Fataki. Ils ont fait incursion vers minuit dans deux parcelles majoritairement habitées par la communauté Hema. Ils ont décapité à l’aide de machettes 9 personnes dans la première parcelle, et 3 personnes dans la seconde, tandis qu’une autre personne, qui tentait de fuir, a également été tuée », explique Jules Tshuba.

Cette structure citoyenne précise que ces miliciens ont tiré un coup de feu avant de s’enfuir dans la nature. L’incident s’est produit à 200 mètres de la position des FARDC, qui n’ont pas réagi pour secourir les habitants.

« Comment ce groupe armé peut-il venir attaquer dans ce groupement qui est toujours très calme et sans problème ? Les Lendu et les Hema y vivent bien. Le groupe CODECO ou son porte-parole peut-il expliquer comment ses militaires peuvent attaquer Fataki, un lieu paisible, sans attaques ni conflits ? Il s’agit d’un massacre, pas d’une guerre », s’indigne la société civile.

Malgré l’état de siège et les innombrables accords signés avec les groupes armés, la situation sécuritaire reste précaire dans l’ensemble de la province de l’Ituri. Actuellement, seul le territoire d’Aru est calme, tandis que Djugu, Mambasa, Irumu, et Mahagi continuent de déplorer des morts suite aux attaques de groupes armés locaux et étrangers.

Économie : Le DG a.i de l’ANAPI, le Professeur Bruno Tshibangu renforce l’attractivité des investissements lors du Forum économique RDC-Chine

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Le lundi 02 septembre 2024, au China World Hotel à Pékin, capitale de la Chine, lors de son intervention à la première session du Forum Économique RDC-Chine, le Directeur général à l’intérim de l’Agence nationale pour la promotion de l’investissement (ANAPI ) a brillamment démontré aux investisseurs chinois, aux potentiels partenaires, ainsi qu’aux officiels présents que la République Démocratique du Congo est plus que jamais prête à accueillir et soutenir les investissements de tout type de projet.

En sa qualité de Guichet Unique, l’ANAPI se positionne incontestablement comme le partenaire privilégié pour l’accompagnement et la facilitation des investissements entrant en RDC, un pays aux multiples opportunités au cœur de l’Afrique. La Chine, étant l’une des économies émergentes et compte tenu de ses liens étroits avec la RDC, constitue une cible prioritaire pour l’ANAPI dans sa mission d’attractivité des investissements chinois dans notre pays, en particulier dans le secteur productif.

Le professeur Bruno Thibangu Kabaji a mis en avant les nombreuses opportunités d’investissement en RDC. Il a eu des discussions prometteuses avec des investisseurs chinois, sur plusieurs secteurs économiques clés, tels que le numérique, l’agriculture, les énergies et le secteur minier. Tout en présentant le cadre réglementaire et institutionnel garantissant la sécurité des investissements étrangers en RDC.

Avec la Cellule de communication ANAPI.

Seth Kikuni dans un état critique, sa défense dénonce une persécution politique

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L’opposant politique Seth Kikuni se trouve dans un état de santé critique après intervention chirurgicale, a alerté sa défense, lundi 16 septembre. Cette dernière dénonce la responsabilité de l’Agence nationale de renseignements (ANR) dans son calvaire.

M. Kikuni a fait appel du rejet de sa demande de mise en liberté provisoire, réclamant une prise en charge médicale « sérieuse et urgente », poursuit sa défense.

Selon ses avocats, Seth Kikuni fait face à une « persécution politique ». Ils appellent les autorités à respecter ses droits fondamentaux.

Le budget 2024 estimé à 18 milliards de dollars américain

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La Première ministre Judith Suminwa Tuluka a déposé au Bureau de l’Assemblée Nationale trois projets de lois : le Projet de loi de finances exercice 2025, le Projet de loi portant reddition des comptes exercice 2024 et le Projet de loi de finances rectificative 2024. Le budget est revu à la hausse avec 49 847 milliards FC (18 milliards USD), soit une augmentation de 21% par rapport à 2024.

Le Gouvernement place la sécurité, l’amélioration du pouvoir d’achat, l’éducation et la promotion de l’agriculture au cœur de ses priorités, avec une augmentation de 13% des ressources allouées à ce secteur. Le budget 2025 prévoit également une hausse des investissements, la poursuite des réformes sur la gratuité de l’enseignement et la matérialisation du programme de développement local des 145 territoires (PDL-145T).

Les secteurs de la défense, de la justice et la lutte contre la corruption seront aussi renforcés pour assurer la paix, en particulier dans l’est du pays. Le développement rural et les infrastructures, notamment les routes et les voies fluviales, sont alignés parmi les priorités pour améliorer la connectivité nationale.

Le dépôt de ces projets de loi coïncide avec la date de la rentrée parlementaire. Trois mois après les vacances parlementaires, les députés nationaux ont repris le chemin de l’hémicycle pour entamer essentiellement budgétaire.

Budget 2024 : Vital Kamerhe appel les députés à penser au peuple

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Le rétablissement de la paix sur l’ensemble du territoire national, l’amélioration du social des congolais, le développement et la  prospérité sont les urgences à prendre en compte dans le Budget 2024. c’est ce qu’a lancé Vital Kamerhe, aux élus, lors de la rentrée parlementaire. 

Trois mois après les vacances parlementaires, les députés nationaux ont repris le chemin de l’hémicycle ce lundi 16 septembre pour entamer la session ordinaire de septembre 2024. Cette session est essentiellement budgétaire, le Professeur Vital Kamerhe a invité les députés nationaux à veiller à ce que le Budget 2024 reflète une réponse adaptée aux attentes de la Population. 

Avant son mot de circonstance, le Speaker de la Chambre basse du Parlement, a tout d’abord salué la présence de son Homologue de l’Assemblée nationale Ivoirienne, Adama Bictogo, invité d’honneur à cette cérémonie. Pour le professeur Vital Kamerhe, sa présence conforte et renforce la coopération entre la RDC et la Côte d’Ivoire.

« Cette année, plus que jamais, la conjoncture nationale et internationale exigent de nous une rigueur accrue et une vision stratégique. Le contexte économique mondial est marqué par des incertitudes, des crises alimentaires, des défis climatiques et des tensions géopolitiques. En tant que représentants du peuple, nous avons le devoir de veiller à ce que le budget de 2024 reflète une réponse adaptée à ces défis, tout en restant centré sur les priorités qui concernent directement nos concitoyens », a déclaré le speaker de la chambre basse du Parlement, le Professeur Vital Kamerhe.

Invité à prendre la Parole, le Président de l’Assemblée Nationale Ivoirienne, a d’abord remercié le Président Vital Kamerhe pour cette invitation, une preuve que la RDC et la Côte d’Ivoire entretiennent des très bonnes relations.

Ensuite, Adama Bictogo a émis le vœu de voir la paix être restaurée sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo. « Une RDC en paix, est une Afrique forte, plus résiliente et capable de se projeter vers l’avenir », a dit le Président Adama Bictogo. 

Il y a lieu de rappeler qu’à son tour, le Professeur Vital KAMERHE, est attendu le 1ᵉʳ octobre prochain en Côte d’Ivoire. Sur invitation de son homologue Adama Bictogo, il va lui également prendre part à la rentrée parlementaire de l’Assemblée Nationale Ivoirienne.

RDC : l’UE dénonce les nouvelles condamnations à mort

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L’Union européenne a exprimé ce 19 septembre, son inquiétude face aux récentes condamnations à mort prononcées en République démocratique du Congo (RDC).

Trente-sept personnes, dont six étranges, ont été condamnées par la justice militaire dans le cadre du procès des événements du 19 mai 2024 à Kinshasa.

Fervente opposante à la peine de mort, l’UE réaffirme son refus catégorique de cette pratique, qu’elle considère comme une violation du droit à la vie, qualifiant la peine capitale de « cruelle, inhumaine et dégradante ».

L’UE appelle la RDC à respecter ses engagements internationaux, notamment en matière de procès équitable, et exhorte le gouvernement à réinstaurer le moratoire sur la peine de mort, craignant un recul de l’état de droit dans le pays.

Cette prise de position marque la volonté de l’UE de maintenir la pression sur les autorités congolaises pour éviter toute exécution et promouvoir le respect des droits humains.

Bukavu : l’UDPS en guerre contre les récents arrêtés du gouverneur Purusi jugé de tribal

La ville de Bukavu au Sud-kivu est en ébullition la matinée de ce lundi 16 septembre 2024. Les militants de l’UDPS sont descendus dans les rues de la ville, ils exigent le départ du Gouverneur de province, le professeur Jean-Jacques Purusi qu’ils qualifient de tribal.

Ceci, après une série des nominations que l’autorité provinciale a fait par voie d’arrêtés. Le parti au pouvoir, l’UDPS lui reproche d’avoir nommé seulement les membres de sa communauté et de son village sans avoir tenu compte des forces politiques en province tel que l’UDPS et l’UNC.

Ce lundi matin, la situation est restée très tendue dans la majeure partie de la ville de Bukavu. Des routes barricadées , des militants de l’UDPS ont incendié des pneus à la place de la Paix de l’indépendance ainsi que dans d’autres coins chauds de Bukavu , bloquant ainsi la Ils protestent contre les nouvelles nominations au cabinet du Gouverneur, qu’ils jugent insatisfaisantes, et exigent son départ. Les forces de l’ordre sont présentes pour tenter de contenir la colère des manifestants.

Wissa coupé dans son élan 

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Buteur dès la 22ᵉ seconde face à Manchester City, Yoane Wissa a quitté le terrain avant la pause, victime d’une blessure après un tacle appuyé de Mateo Kovacic. 

Auteur de trois buts et d’une passe décisive lors de ses quatre premiers matchs de Premier League de la saison, l’international congolais est coupé dans son élan après un tacle imprudent de la part de Kovačić qui a conduit à une blessure. 

Depuis, son club n’a donné aucune nouvelle de lui, mais l’entraîneur qui a réagi à cette action laisse planer le doute en affirmant ne pas savoir si l’indisponibilité due à cette blessure « pourrait être plus courte ou plus longue ». 

Après sa sortie de la pelouse, le Brentford, son équipe, a perdu la rencontre face au Manchester City, le samedi 14 septembre dernier. 

CAF/Coupe de la confédération : Lupopo chute devant Bravos do Maquis 

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En déplacement en Angola, le football club Saint-Éloi Lupopo qui a fait preuve d’une résistance dans la grande partie du jeu, a été surpris par un but angolais aux ultimes minutes de la rencontre. 

Alors que les cheminots de Lubumbashi pensaient décrocher un nul à l’extérieur, les maquisards de Bravos ont créé la sensation dans les temps additionnels. Matoka perturbe le gardien Nathan Mabruki qui encaisse, pour sa première sortie officielle avec le FC Saint-Éloi Lupopo.

Lupopo, qui a perdu sa première bataille, garde encore ses chances de se venger sur son sol, au match retour prévu dans une semaine à domicile. 

Joël Ekutshu

CAF Ligue des champions  : Mazembe à l’abri ! 

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Le TP Mazembe s’est imposé à l’extérieur sur la pelouse du club zambien de Red Arrows, le samedi 14 septembre. Le club congolais, demi-finaliste de l’édition précédente de la Ligue des champions de la Caf, a réussi son entrée, il est peut-être à l’abri. 

Le club zambien devra battre les corbeaux sur leur temple de Badiangwena le week-end prochain pour se qualifier. Chose qui n’est pas envisageable, sauf miracle. 

Pour cette entrée en matière, Oscar Kabwik et Merceil Ngimbi ont porté l’équipe noir et blanc à la 66 et 72ᵉ minute après un nul vierge à la première mi-temps. 

La manche retour est prévue le week-end prochain. Exempté du premier tour, le TP Mazembe est à deux pas de la phase de groupe. 

Guerre du M23: un calme précaire règne à Masisi après des violents combats ce weekend

Après des violents affrontements, la situation est relativement calme sur la ligne de front à Bweremana dans le territoire de Masisi dans la chefferie des Bahunde, située dans le territoire de Masisi au Nord-Kivu.

Depuis tôt le matin de ce samedi 14 septembre, des combats ont encore une fois opposés le deux parties dont les Forces armées de la RDC (FARDC), leurs alliés de la force d’auto-défense pour la patrie (Wazalendo) et les rebelles du M23.

Selon des sources locales, les rebelles voulaient prendre le contrôle des positions FARDC sur ces hauteurs stratégiques dans le territoire de Masisi. Les mêmes sources concordantes rapportent que cette situation a été observée pendant qu’aucun coup de feu n’a été entendu ces dernières 48 heures. Une situation qui a encore une fois perturbée la quiétude des habitants de Bweremana, une entité située à quelques kilomètres de la ville de Goma au Nord Kivu.

Notez cependant que, ces violents continuer pendant que se poursuivent les pourparlers à Luanda, dans la capitale angolaise entre le Rwanda et la RDC pour espérer désamorcer la fin de cette situation de la guerre.

Assemblée nationale : la session de septembre demarre ce lundi

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La journée du 15 septembre 2024 tombe un dimanche, la rentrée parlementaire de l’Assemblée nationale aura lieu le lundi 16 septembre 2024 conformément à l’article 115 de la Constitution de la République.

Cette annonce a été faite par le rapporteur Jacques Djoli Eseng’Ekeli , au terme de la réunion du bureau de cette Chambre basse du Parlementaire présidée par son président, Vital Kamerhe ce vendredi 13 septembre 2024.

Au cours de cette réunion à laquelle ont pris part certains hauts cadres de l’administration parlementaire, le Membre du bureau Kamerhe, ont également passé en revue toutes les questions liées aux préparatifs techniques et organisationnels afin d’avoir une bonne ouverture de cette nouvelle session parlementaire qui sera essentiellement budgétaire.  

Goma: Chantal Faida dresse un tableau sombre de la situation sécuritaire durant le mois d’août dernier

Dans carnet sécuritaire publié régulièrement par Chantal Faida, le tableau de la situation sécuritaire dans la ville volcanique demeure sombre. Dans ce document parvenu à la rédaction de kt.cd, Chantal Faida parle de l’assassinat d’une femme à Mugunga en début du mois d’aout, ainsi d’un incendie qui s’est déclaré ce même jour au quartier Katindo dans un atelier.

Le début de mois tragique a été suivi de plusieurs autres incidents : des cambriolages violents, des accidents de la route et des actes de violence communautaire. A ceci s’ajoutent six morts et des blessés de suite d’un accident causé par un convoi miliaire sur la route Goma-Sake suivit d’une altercation entre motard et policiers.

Notre source énumère aussi quelques cas des justices populaires qui ont été enregistrés durant le mois qui s’achève mais aussi le cas d’un la force navale de l’armée qui a été tué un militaire en raison d’un conflit lié à une solde impayée.Tout ceci survient pendant que des bandes des présumes bandits sont présentés chaque weekend à la presse chaque weekend par les services de sécurité. La réalité sur le terrain semble indiquer un décalage entre les préceptes légaux et leur application effective.

Goma: Chantal Faida dresse un tableau sombre de la situation sécuritaire pour le mois d’août dernier


Dans carnet sécuritaire publié régulièrement par Chantal Faida, le tableau de la situation sécuritaire dans la ville volcanique demeure sombre. Dans ce document parvenu à la rédaction de Go FM, Chantal Faida parle de l’assassinat d’une femme à Mugunga en début du mois d’aout, ainsi d’un incendie qui s’est déclaré ce même jour au quartier Katindo dans un atelier.  Ce début de mois tragique a été suivi de plusieurs autres incidents : des cambriolages violents, des accidents de la route et des actes de violence communautaire. A ceci s’ajoutent six morts et des blessés de suite d’un accident causé par un convoi miliaire sur la route Goma-Sake suivit d’une altercation entre motard et policiers.


Notre source énumère aussi quelques cas des justices populaires qui ont été enregistrés durant le mois qui s’achève mais aussi le cas d’un la force navale de l’armée qui a été tué un militaire en raison d’un conflit lié à une solde impayée.

Tout ceci survient pendant que des bandes des présumes bandits sont présentés chaque weekend à la presse chaque weekend par les services de sécurité. La réalité sur le terrain semble indiquer un décalage entre les préceptes légaux et leur application effective.

Procès coup d’État manqué : la peine de mort prononcée contre 37 sur 51  accusés 

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Le tribunal militaire de Kinshasa a prononcé son verdict sur le procès de la « tentative de coup d’Etat »  que l’armée de la République démocratique du Congo a dit avoir déjouée le 19 mai dernier. Sur les 51 personnes sur le banc des accusés 37, dont six étrangers, ont été condamnés à mort. 

Trois Américains nés aux États-Unis, un Belge, un autre Britannique ainsi qu’un Canadien, tous les trois des Congolais naturalisés. Les condamnés à la peine capitale ont été reconnus coupables d’association de malfaiteurs et d’attentat mais aussi de terrorisme sauf pour l’un d’entre eux.

Ce procès  était ouvert depuis début juin dans l’enceinte de la prison militaire de Ndolo à Kinshasa, où les accusés sont incarcérés. Des avocats de la défense ont indique qu’ils vont déposer un recours dans le délai légal pour contester ce verdict. 

Sur 51 prévenus au total, 14 ont été acquittés. Le  juge souligne que l’instruction a démontré qu’ils n’avaient « aucun lien » avec l’affaire. Le ministère public avait requis la peine de mort pour 50 prévenus, le dernier ayant été déclaré atteint de « troubles psychologiques ».

Dans la nuit du 19, mais à Kinshasa, plusieurs dizaines d’hommes armés avaient attaqué le domicile de Vital Kamerhe, actuel président de l’Assemblée nationale, avant d’inviter le Palais de la Nation non loin, bâtiment historique abritant des bureaux du président Félix Tshisekedi. Les membres du commando s’y étaient filmés, brandissant le drapeau du Zaïre, ancien nom de la RDC du temps de Mobutu, dictateur renversé en 1997, et déclarant la fin du régime de l’actuel chef de l’État.

Littérature : « Course contre la honte », une œuvre qui lance Reinette Mulonda dans les olympiades des écrivains congolais

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La course des jeux olympiques et paralympiques a pris fin. Mais la « Course contre la honte » reste d’actualité. C’est le titre d’un roman qui vient de paraître dans la bibliothèque congolaise. Captivante et poignante, cette fiction permet à Reinette Mulonda, son auteure, de signer son entrée dans le florilège des écrivains congolais.

Ce joyau, publié aux éditions Mesdames, est parmi les œuvres qui ont retenu l’attention ce vendredi 13 septembre à la deuxième journée de la grande rentrée littéraire organisée par le Centre Wallonie-Bruxelles. Dans ce cadre, l’auteure a pris part à la rencontre et partage avec les nouvelles voix féminines de la littérature congolaise.

Lauréate du prix Zamenga en 2019, grâce à une nouvelle intitulée Fioti (en kikongo), ce médecin de formation, énarque et administrateur civil ne se sent mieux qu’en écrivant. Elle s’est confiée à cœur ouvert à une série de questions réponses sur son livre et son parcours, avant son vernissage prévu le 20 septembre prochain. Interview

KinshasaTimes : Vous êtes médecin, Administrateur civil, qu’est-ce qui vous a poussé à vous frayer une place dans le monde des écrivains ?

Reinette Mulonda : Il faut dire que le monde des écrivains, c’est un peu ma vie. J’ai l’habitude de dire que tout ce que je fais en amont, c’est mon gagne-pain. L’écriture, c’est ma passion, c’est un peu mon oxygène. C’est quelque chose que je fais depuis des dizaines d’années qui me permet d’exister, de m’évader, qui me permet de dire les choses par moi-meme.

KT : Pourquoi la course contre la honte ?

RM : j’ai écrit Course contre la honte qui est mon premier roman, après une nouvelle déjà écrite et éditée au niveau du prix littéraire Zamenga. “La course contre la honte”est un voyage, parce que nous sommes dans une culture où l’honneur et la dignité sont très importants. C’est aussi un voyage dans le quotidien de beaucoup des femmes qui mènent pour la plupart une course à se conformer aux critères que la société leur a imposé.

KT : Cette œuvre a un lien avec l’histoire de votre vie ?

RM : Je dirai non. En tant qu’auteur, je me décrirai comme un paysagiste. Je vois les faits, j’observe les faits, et je crée de la fiction, mais basée sur des observations du quotidien. C’est un peu ça qui a permis de créer Contre la honte. On est vraiment dans un monde totalement fictif, mais cette fiction-là est teintée d’une observation de notre quotidien.

KT : le titre de votre roman est puissant et évocateur. Que représente la honte pour vous et pourquoi pensez-vous qu’il est important de lutter contre elle ?

RM : Le titre est évocateur, oui. Les humains, en général, sont versés en permanence dans une quête de la noblesse et de la dignité. Et la honte représente, surtout dans la culture bantoue, quelque chose de très important. Nous avons une culture fortement liée à l’honneur et « la course contre la honte », c’est un peu ce que nous faisons au quotidien dans notre environnement. Nous essayons de prouver que nous sommes les meilleurs, nous avons atteint un certain standing. En fait, nous avons une quête en permanence pour être nobles et être considérés dans la société comme des personnes ayant réussi.

KT : Pourrions-nous savoir qui est le personnage principal de votre roman et y a-t-il un lien entre son parcours et le vôtre ?

RM : pour ne pas spoiler le livre, vous verrez qu’il n’y a pas un seul individu qui réalise une course contre la honte, mais un ensemble de personnages. Le personnage principal de mon livre, désolé, est une femme. Il faut dire que je suis une passionnée des questions des femmes. J’aime énormément les femmes. Et j’écris toujours au féminin. Le personnage principal de mon livre est une femme qui se nomme Raissa Kundaza. Elle n’est pas inspirée de moi, mais en elle se retrouvent beaucoup de femmes. Et en elle, la plupart des femmes qui liront mon livre se retrouveront.

KT : Écrire un premier roman est souvent un processus long et intense. Quels ont été les plus grands défis que vous avez rencontrés en écrivant « Lutte contre la honte » ?

RM: je vous assure, écrire un roman dans notre contexte congolais, c’est compliqué. C’est un peu comme les douze travaux d’Hercule. L’industrie de l’édition chez nous, c’est très compliqué. Et le premier défi de chaque auteur, c’est vraiment celui-là, de se faire éditer. Chaque auteur vous dira que lorsqu’il tient son livre en ses mains, vous avez un sentiment d’accomplissement, mais vous en gardez aussi beaucoup de blessures. Il y a beaucoup de dépenses financières que vous avez faites individuellement. C’est beaucoup de défis en tout cas. Et nous espérons, dans les jours qui viennent, l’industrie de l’édition de notre pays va se développer comme ailleurs.

KT : À qui s’adresse votre roman ? Aviez-vous un public spécifique en tête en l’écrivant, et que souhaitez-vous que vos lecteurs retirent de cette lecture ?

Mon roman, il s’adresse à tout le monde, à l’homme, à la femme, à toute notre société. Il s’adresse à une maman, un papa, à la jeune fille, à la femme accomplie, à l’étudiante, même à l’élève. En fait, toute la société est concernée par le sujet qui est peint dans mon roman.

KT : le processus de publication peut être intimidant pour une nouvelle auteure. Comment avez-vous vécu ce parcours, de l’écriture à la publication ?

RM : Beaucoup d’abnégation pour se dire, on garde en tête le but. Le but était de se faire hésiter. Et alors, peu importe le nombre de portes qui se ferment, on n’a pas arrêté d’en frapper jusqu’à trouver la bonne porte.

KT : conseil donneriez-vous à ceux qui, comme vous, cherchent à transformer leurs expériences personnelles en une œuvre littéraire ?

RM : Il faut beaucoup de courage et un geste de passion pour devenir auteurs dans notre contexte congolais. Avec ces deux, on arrive toujours à ses fins.

Seth Kikuni refait surface 

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L’on connaît désormais où se trouve Seth Kikuni, président du parti politique Piste pour l’émergence, porté disparu depuis dix jours. Selon ses avocats, il était dans les locaux de l’Agence nationale de Renseignements avant d’être transféré hier au parquet général près la Cour d’appel de la Gombe. 

La même source souligne que ce dernier a été entendu par le procureur pour des faits d’incitation à la désobéissance civile et la propagation des faux bruits. Les accusations que ses avocats rejettent. Ces derniers affirment avoir introduit une demande en liberté provisoire. 

Seth Kikuni avait été arrêté après ses propos devant les ressortissants Katangais, qu’il a appelé à se « lever pour libérer le pays ». Candidat à la présidentielle du 20 décembre 2023, Seth Kikuni a été arrêté le 2 septembre 2024. 

Ses avocats précisent que leur client est affaibli après son séjour dans les locaux de l’ANR. Ce dernier était privé de ses avocats et des membres de sa famille. Plusieurs de ses proches étaient sans nouvelles de lui. 

CAF C2 : V.club rate son entrée 

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Exempté du premier tour, l’AS V.club commence le deuxième tour des préliminaires de la Coupe des Confédérations africaines par une défaite à l’extérieur. Les Congolais ont perdu sur la note de 0-2 face aux Sud-Africains du FC Stellenbosch. 

Les Sud-Africains se sont montrés très entreprenants dans le premier quart d’heure de la rencontre, chose qui leur a permis de remporter le match. C’est à la 7ᵉ minute que Moloisane ouvre le score. Quatre minutes après, de la tête, son coéquipier Mojela, fait de même. Le break est fait, le sort du match est scellé. 

Le club congolais, qui a éprouvé des difficultés pour effectuer son déplacement pour l’Afrique du Sud, s’est mis dans une situation très délicate en attendant son match retour à domicile. Marquer plus de trois buts et ne rien encaisser, c’est la seule option qui soit possible pour que les Moscovites retrouvent la phase suivante de la compétition. 

Disparition de Seth Kikuni : « Mon mari est entre la vie et la mort », Laureine Kabwiz

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Depuis la disparition de son mari, sa femme Laureine Kabwiz, inquiète, n’a plus eu de nouvelles de lui. Elle affirme que son mari n’est détenu ni à l’Agence nationale de renseignements (ANR), ni à la DEMIAP (Détection militaire des activités anti-patrie), d’après les autorités.

« Ça fait maintenant 8 jours que nous ne sommes pas en contact avec lui. Ils ont refusé qu’on puisse le voir. Je ne sais pas non plus pourquoi il a été arrêté », déclare-t-elle. Ses préoccupations sont d’autant plus vives que son lari a récemment subi une opération pour le retrait de la vésicule biliaire et nécessite un suivi médical régulier.

Nathanaël Onakomba, porte-parole du parti de Seth Kikuni, rapporte que les agents ayantprocédé à son arrestation se sont présentés comme membres de l’ANR. « ls ont déposé sur la table un papier qualifié de mandat. Le président ne l’avait même pas encore vérifié qu’ils le brutalisaient déjà », témoigne-t-il. Il précise que Seth Kikuni et ses deux collaborateurs ont été emmenés au centre de détention de la place 3Z. Tandis que les collaborateurs ont été relâchés, Kikuni demeure introuvable.

Dolly Ibefu, directrice exécutive adjointe de l’ONG La Voix des sans voix (VSV), qui milite pour les droits de l’homme, a organisé une tribune pour exiger la libération de Seth Kikuni. Elle en appelle aux autorités congolaises pour « permettre à son épouse, à ses proches et à ses avocats de lui rendre visite, ou, à défaut, de le présenter devant une juridiction compétente afin de mettre fin à sa détention au secret ».

Bukavu: toute une famille de 6 personnes disparaît dans un incendie à Panzi

Six personnes d’une même famille ont perdu la vie dans un incendie qui s’est déclenché la nuit du jeudi à ce vendredi sur avenue Nyarwizimya au quartier Panzi dans la commune d’Ibanda en ville de Bukavu.


La société civile de la place renseigne le fait s’est passé aux environs de 23h pendant que les victimes étaient endormis.
Jusqu’à présent l’origine du feu n’est pas encore connue.

David Cikuru ajoute hormis les victimes, six maisons et plusieurs biens de valeurs ont été aussi consumés.

« La recrudescence des incendies en ville de Bukavu plonge plusieurs familles dans la désolation. Certaines perdent leurs membres et des biens et d’autres perdent leurs biens et sont contraintes de passer des nuits à la belle étoile. » explique David Cikuru président de la société civile en commune d’Ibanda

Selon ce dernier aucune enquête n’est ouverte afin de  connaître les causes de ces incendies.

Réunion inter-institutionnelle : le chef de l’État donne de nouvelles orientations sur les domaines clés

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Le président de la République avec les responsables des institutions du pays ont analysé, au cours d’une inter-institutionnelle tenue jeudi 12 septembre à la Cité de l’Union africaine, la situation globale du pays. Le chef de l’État a donné des orientations aux animateurs des quatre principales institutions de la République : l’Assemblée nationale, le Sénat, le Gouvernement et le Conseil supérieur de la magistrature.

Sur le plan économique, le Chef de l’État a réitéré sa « détermination de voir notre économie décoller avec notamment la baisse du taux directeur de la Banque centrale du Congo. Concernant le secteur de l’Éducation, le Président Tshisekedi a insisté pour que la gratuité de l’enseignement de base soit totalement parachevée », a rapporté le président de la Chambre basse du Parlement, Vital Kamerhe.

Au chapitre de la Santé, le speaker de l’Assemblée nationale affirme que « le président de la République a donné des orientations sur la prévention comme un des piliers du système de santé ». La réforme du système judiciaire a aussi été évoquée dans cette réunion : « les réformes dans le secteur de la justice doivent être parachevées afin que nous ayons une justice équitable  », a martelé le Président Tshisekedi.

Enfin, la situation sécuritaire de la République démocratique du Congo (RDC), particulièrement dans les de l’est et de l’ouest, ainsi que le parachèvement du processus électoral dans certaines zones du pays ont aussi été abordés.

La Fondation Airtel Africa dévoile le « Programme de bourses Airtel Africa »

pour soutenir des étudiants de l’IIT Madras Zanzibar

ZANZIBAR/CHENNAI/NEW DELHI, 10 septembre 2024 : La Fondation Airtel Africa a annoncé aujourd’hui le lancement du prestigieux « Programme de bourses Airtel Africa » pour les étudiants de premier cycle de l’IIT Madras Zanzibar, le tout premier campus étranger créé par un IIT. La bourse a pour objectif de soutenir les étudiants méritants issus de divers milieux socio-économiques inscrits au Bachelor of Science en science des données et intelligence artificielle à l’Indian Institute of Technology Madras (IITM) à Zanzibar. Avec un investissement initial de 500 000 $US, ce programme bénéficiera à 10 étudiants de premier cycle, pendant toute la durée de leur cursus de 4 ans.

Fondée en 2024 avec pour vision de favoriser une Afrique prospère, la Fondation Airtel Africa se consacre à la promotion de l’inclusion numérique et financière à travers le continent, tout en mettant l’accent sur l’éducation et la protection de l’environnement. Cette bourse est la première initiative entreprise pour améliorer les opportunités éducatives des étudiants méritants, en particulier issus de milieux défavorisés, inscrits à l’IIT M Zanzibar. Elle est conçue pour soutenir les étudiants de 14 pays africains, à savoir le Nigéria, le Kenya, le Malawi, l’Ouganda, la Zambie, la Tanzanie, le Rwanda, la RDC, le Niger, le Tchad, le Congo B, le Gabon, Madagascar et les Seychelles.

Les bénéficiaires de cette bourse seront connus sous le nom de « Airtel Africa Fellows ». Ils recevront 100 % de leurs frais de scolarité, soit 12 000 $US, conformément à la structure des frais de cours de l’Institut pour un programme de quatre ans. De plus, afin de couvrir les frais de subsistance, 500 $US seront versés à tous les étudiants éligibles. Cette initiative visera à transformer, à façonner des vies et à former de futurs dirigeants qui contribueront à l’innovation technologique et à la croissance économique de l’Afrique.

S’exprimant sur le programme de bourses, la ministre de l’Éducation et de la Formation professionnelle de Zanzibar, S.E. Mme Lela Mohamed Mussa, a déclaré : « L’IITM Zanzibar trace une voie merveilleuse dans l’enseignement technique dans la région. Fournir un accès à cette éducation de haute qualité aux étudiants de Tanzanie et du reste du continent, qui sont en tête des processus de sélection et de test de l’IITM Zanzibar, grâce à une aide financière, est une priorité importante pour nous. Nous sommes reconnaissants de ce soutien de la Fondation Airtel Africa, qui renforcera nos propres efforts dans cette direction. »

Le président de la Fondation Airtel Africa, Dr Olusegun Ogunsanya, a déclaré : « Nous sommes heureux de nous associer à l’IIT Madras Zanzibar pour offrir aux jeunes Africains la possibilité d’accéder à une éducation de qualité. Cette initiative vise à contribuer à la création d’un continent prospère et durable. Nous sommes impatients de créer encore plus d’opportunités non seulement dans le domaine de l’éducation, mais aussi dans celui de l’inclusion financière et numérique et de la protection de l’environnement ».

Le directeur de l’IIT de Madras, le professeur V. Kamakoti, a déclaré : « L’IIT de Madras s’est engagé à établir un campus de niveau mondial à Zanzibar. Nous sommes ravis que la Fondation Airtel Africa s’associe à nous dans cet effort. Nous sommes impatients d’accueillir la deuxième cohorte de jeunes étudiants brillants sur le campus de l’IITM de Zanzibar cette année. Nous sommes extrêmement reconnaissants à la Fondation Airtel Africa d’avoir fourni une aide financière à ces futurs leaders mondiaux. »

-FIN

Renseignements

Airtel AfricaEmeka OparahVice-président Communication & RSE[email protected] Bharti EnterprisesMehak KapurDGM, Communication institutionnelle[email protected]  
  
Hudson SandlerCosmas Butunyi, Eugene Ng’ang’a[email protected](+44) 20 7796 4133

A propos de la Fondation Airtel Africa

La Fondation Airtel Africa est la branche philanthropique d’Airtel Africa, l’un des principaux fournisseurs de services de télécommunications et d’argent mobile, avec une présence dans 14 pays d’Afrique, principalement en Afrique de l’Est, en Afrique centrale et en Afrique de l’Ouest. La vision de la Fondation Airtel Africa est une Afrique prospère pour tous. Elle s’efforce d’accroître l’alphabétisation numérique et les compétences, d’étendre l’infrastructure numérique dans les zones mal desservies, de promouvoir l’autonomisation économique des femmes, d’élargir l’accès à l’éducation et de lutter contre la dégradation de l’environnement en préconisant et en mettant en œuvre des pratiques durables.

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A propos de l’IIT MADRAS

L’Institut indien de technologie de Madras (IITM) a été créé en 1959 par le gouvernement indien en tant            qu’« Institut d’importance nationale ». Les activités de l’Institut dans divers domaines de la science et de la technologie sont menées dans 18 départements universitaires et plusieurs centres universitaires de recherche interdisciplinaire avancée. L’Institut propose des programmes de premier et de deuxième cycle menant à des diplômes de B.Tech., M.Sc., M.B.A., M.Tech., M.S. et Ph.D. dans diverses spécialisations. L’IITM est un institut résidentiel avec plus de 600 professeurs et 9 500 étudiants. Des étudiants de 18 pays y sont inscrits. L’IITM favorise une culture entrepreneuriale active avec un soutien pédagogique solide et par le biais de la Cellule d’incubation de l’IITM.

Reconnu comme une Institution d’Excellence (IoE) en 2019, l’IITM a été classé n° 1 dans la catégorie « Global » pour la sixième année consécutive dans le classement indien 2024 publié par le National Institutional Ranking Framework, ministère de l’Éducation, gouvernement indien. L’Institut a également été classé n° 1 dans la catégorie « Institutions d’ingénierie » dans le même classement pendant neuf années consécutives – de 2016 à 2024. Il a également été jugé « meilleure institution innovante » du pays dans le classement Atal des Institutions sur les réalisations en matière d’innovation (ARIIA) en 2019, 2020 et 2021. Le classement ARIIA a été lancé par la cellule d’innovation du ministère de l’Éducation.


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